La Pierre de Tear fait peau neuve ! L'aventure continue sur www.pierredetear.fr !
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Ezlédor cessa le garde-à-vous et se mit à courir vers son cheval. Il entendit les pas de l'homme derrière lui. Pourquoi cet homme le suivait-il toujours? Il était bien sympathique, mais pas trop quand même. Malgré son renflement au niveau de l'estomac, il couru rapidement jusqu'à l'endroit où il avait attaché son fidèle destrier. En arrivant sur les lieux, il eut tout un choc.
Devant lui se trouvait les restes de son cheval. Mordu par les loups lors de l'attaque. Il n'avait pu se défendre ou s'enfuir, il était attaché.
(d10) : 1
Ce fut plus fort que lui, il se mit littéralement à pleuré. Les larmes coulaient sur ses joues, lui brouillant la vue. Qu'allait-il faire maintenant, sans son hongre? Comment allait-il pouvoir survire, sans sa jolie tête et son magnifique museau. Anthelme pu même entendre quelques reniflements. Il s'approcha du cadavre du cheval. Les yeux encore embrouillés, il tâta le mort pour trouver sa sacoche. « C'est injuste que ce soit toi qui soit mort. Je t'aimais. Qu'est-ce que je vais faire, moi, maintenant? Sans toi, je vais où? », dit-il, mélangé à une nouvelle série de larmes interminable.
Il trouva enfin ses papiers. Il tenta de ne laisser paraître qu'il avait pleuré. C'est-à-dire sécher de son bras les gouttes restantes. Malheureusement pour lui, quelques traces restaient bien visibles. La tête haute, il reprit au pas de course le chemin de la tente d'Azgaroth.
Devant la tente, il attendit, espérant que sa douleur de tantôt ne paraisse plus.
J'avais voulu forcer l'allure a tout prix. Cette mise à l'écart du front, accompagné de jeunots idéalistes m'avait mis hors de moi. Mais ils avaient tous réclamés une pause. C'est donc ce que nous avons fait. Et je leur faisait maintenant payé. Nous allions à un rythme encore plus soutenu qu'à l'aller.
"Allons ne perdons pas de temps ! Dans une heure ou deux nous repasserons par la ferme par laquelle nous sommes passés à l'aller. A partir de ce point il nous restera pile une journée pour rejoindre le Pacificateur et vous débarasser de moi."
Je suis anxieux à l'idée de repasser par la ferme. Je me demande si il ne vaudrait pas mieux faire un détour. On ne sait jamais...peut-être que la fumée a attiré des curieux. Le rire de Henric me fait froid dans le dos. Le mieux est de me taire pour le moment. Je n'ai pas envie de me faire insulter de froussard.
Il ne reste plus qu'une seule journée avec ce fou et après le cauchemar sera fini. Une toute petite journée...
Arrivés près des lieux je fais ralentir ma petite troupe. A quelques distances à peine nous apercevons de la fumée et des bruits.
On dirait quelqu'un a établit un camp ici. Sûrement pas des hommes à nous.
En m'adressant aux hommes:
"Vous voyez là-bas ? Ce sont soit ces pauvres fous qui persistent encore à nous résister, soit des Blancs Manteaux. Dans un cas comme dans l'autre nous allons charger. Et je ne veux pas que nous leur fassons de cadeaux !"
Je scrute des yeux chacun de mes hommes. Nous sommes une dizaine mais beaucoup sont jeunes et la plupart n'ont pas le goût du sang dans la bouche.
Malgré cela ils sont assez apeurés et stressés pour ne pas faire de quartier. On va voir ce qu'ils valent.
Je dégaine mon épée et fonce à bride abattue. Il n'y a pas grand monde à la lisière du camp, mais tout le monde à l'air en alerte. Ce sont des Blancs Manteaux et ils ont l'air d'avoir déjà eu de l'action ce soir. Plusieurs corps sont déjà entassés dans un coin.
Je n'ai pas le temps d'en voir beaucoup plus. J'aperçois un petit rassemblement autour de ce qui doit être un capitaine, tenant un prisonnier. Je fonce dessus, suivi de mes hommes.
* Henric dégaine son épée et fonce à toute vitesse. L'imitant, je m'aperçoit bientot que ce sont des Blancs Manteaux que nous avons devant nous* "Yaha!! Vous allez crever tous autant que vous etes!"
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RPOFF : Henric, le bonhomme n'esqt plus à terre, il gigote au bout de mon bras costaud.
Parsifal se retourna en entendant des glapissements retentir à l'orée du camp !
"Mais qu'est-ce qui se passe ? Tous les malandrins se sont donnés le mot pour nous attaquer cette nuit. Cette région est vraiment un repaire d'amis du ténébreux. Nous avons bien fait de venir ici pour défendre la Lumière contre les suppôts du Maudit !" eut-il le temps de se dire avant de jeter violemment à terre le prisonnier et de dégainer son épée. puis il se rua à la rencontre des agresseurs tout en ordonnant d'une voix tranchante (comme la lame de son épée brandie) :
- Surveillez-moi cet homme et qu'il ne s'échappe pas comme la prisonnière ou vous aurez affaire à moi si vous survivez à cette nouvelle attaque !
(ben oui, Parsi est aussi doué qu'une femme, il peut faire plusieurs choses à la fois )
(RPoff: C'est corrigé pour le prisonnier. Pour info nous sommes un peu plus d'une dizaine.)
Les Blancs Manteaux ont réagi plus vite que prévu. Nous ne pourrons pas vraiment comptés sur l'effet de surprise espéré. Mais ils n'ont pas vraiment eu le temps de se préparer et nous sommes tous montés, c'est toujours ça de pris.
"Ne vous arrêtez pas, foncez leur dans le tas ! Je veux qu'au matin nos chevaux aient les pattes rouges de sang !"
J'accélère encore et arrive à la hauteur des deux premiers gardes, avant le groupesur lequel je me dirige.
[d10]+2=9
Mon coup est puissant et précis. Je tranche net le premier du front à l'abdomen. Le deuxième, dépassé par la vitesse de ma monture, se fait piettiné comme un rien, je continue mon assaut pleine bourre, et arrive à toutes jambes sur le groupe.
"Le Cap'taine est pour moi !!"
Je me prépare pour ma seconde attaque.
[d10]+2=7
Surpris par une foulée de mon cheval je suis à moitié décalé est mon attaque est moins précise.
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[d10]+ 2 = 12 !!!
Epée en garde haute pour affronter le cavalier, Parsifal profita du déséquilibre de son cheval pour assener une coup formidable à l'ami du ténébreux. Atteint à la poitrine, celui-ci tomba lourdement à terre. Un rictus méprisant relevant un seul coin de sa bouche, l'Inquisiteur marcha posément vers son adversaire. Il n'avait plus de raison de se dépêcher. Mais il ne l'achèverait pas tout de suite. Quelques réponses aux questions qu'il se posait sur l'étrange situation actuelle seraient les bienvenues.
(RPoff Avec un tel jet de dés, j'aurais pu te zigouiller mais ça casserait le jeu. Mais la JUSTICE vaincra !)
(RPoff: oui c'est sûr ! Je vois que je suis face à un chanceux)
Je tombe au sol lourdement. Heureusement le coup ne m'as pas blessé trop pronfendément mais je suis complètement K.O. et j'ai le souffle court.
[d10] (Par contre j'ai merdé j'avais posté avec Jibaï et j'avais fait un 10 et le copier-coller à tout fait foirer... Tu me fais confiance ou je refais tout le post ?)
Alors que le capitaine adverse s'avance tranquillement le sourire aux lèvres, j'attends mon heure. Lorsqu'il est à porter je lui jette violemment une poignée de sable au visage il est aveuglé. Juste de quoi me redresser lentement et reprendre mon épée. Même si je n'ai pas encore récupérer le combat n'est pas fini. Alors que le soldat rouvre ses yeux rougis lentement, je m'approche de lui l'épée haute.
*J'arrive dans le camp. Tout de suite, je vois que nous avons un petit avantage, parce que nous nous sommes a cheval, et pas eux. Tiens d'ailleurs, où sont leurs chevaux? Là, je les vois. Je vais essayer de m'approcher pour couper les liens.*
La charge a été meurtrière des 2 cotés. Je remarque que plusieurs de nos chevaux n'ont plus leurs cavaliers en selle. Lorsque je me retourne pour voir les dégâts que nous commis, de nombreux Blancs Manteaux gisent à terre, mais ils commencent à se regrouper. Un combat au corps à corps s'engage...
Je saute de mon cheval, prends plusieurs torches à côté d'un feu et en lance sur les tentes des BM pour les désorganiser encore plus...
Elzédor, surprit d'une nouvelle attaque, prit quelques secondes avant de réagir. Comment ces amis du ténébreux pouvaient-ils penser à attaquer deux fois le même campement? Ils devaient venir chercher celui laissé à l'arrière.
Il mit ses papiers dans son armure, sortit son épée et couru vers les bruits qui venait du coeur de la nuit.
Arriver près de ceux qui gardait Azkhan, Notre malchanceux Elzédor trébucha en tentant de sortir sa lame. Comble du malheur, il tomba lourdement sur le sol en emportant avec lui son confrère qui détenait celui qui marchait dans l'ombre. (Off: Là Azkhan, c'est tout une fleur que je te fais! Alors Enfuis toi rapidement!)
Emmêler dans l'ex gardien du prisonnier, Elzédor sentit la honte de la lumière elle-même peser sur lui. Par sa maladresse, il venait de libérer un ami des ténèbres. Il serait indirectement responsable de tout les méfaits que commettrait cette immonde et cruel monstre lié aux ténèbres.
Au fond de lui, un mal naissait. Quelque chose mourrait en lui. Il pouvait le sentir. Tranquillement, son estime de lui-même perdait de la force.
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[d10]+3 (grande endurance à la douleur)
Parsifal battit vivement des paupières afin que les larmes, les seules qu'il s'autorisât à laisser couler, chassassent le sable. Un rictus méprisant s'afficha sur son visage émacié. Le lâche ne méritait guère plus. Cette manoeuvre trahissait une bassesse digne d'une ami du Ténébreux. L'Inquisiteur contra l'attaque du brigand.
[d10]+ 2
La lame de l'homme glissa le long de la sienne et l'assaut du lâche y perdit toute son efficacité. Parsifal lança son attaque, visant l'épaule droite de son adversaire.
*hahahaha! toujours aussi efficaces ces Blanc Manteaux... *
Il se releva, et arrachant la cape d'un blanc manteau par terre, il la mit par dessus ses épaules, histoire de ne pas trop attirer l'attention, et fuya le camp*
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(Azkhan, pssst ! ce n'est pas le verbe fuyer mais fuir donc fuit le camp ou mieux : s'enfuit du camp )
[d10]+ 2
A ce moment-là, le prisonnier prit la poudre d'escampette et l'attention de Melodrad fut malencontreusement détournée de son adversaire immédiat. La pointe de l'épée ne fit qu'effleurer l'épaule visée.
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[d10]
- Ya le prisonnier qui s'enfuit !
- Où ça, où ça ?
- Qui qui ?
- Là-bas le saligaud !
- J'le vois pas.
- Si là-bas !
- T'es bigleux, c'est un des nôtres !
- J'te dis que...
- Ferme là ! L'Inquisiteur doit rien savoir.
- Il l'verra bien après.
- Si l'est pas mort.
Entendant au loin les cris des blancs manteaux, et appremment leur hésitation a le poursuivre, il eut du mal a retenir son sérieux. Une fois hors de portée du camp blanc manteau, il explosa de rire.
Hahaha! Fichus Blancs Manteaux, j'savais qu'y'en avait pas un pour rattrapper l'autre, mais là, c'était grandiose.
Puis, il avança a son aise, et regarda ses mains, avec le bout des doigts ensenglantés et sans ongles. Les plaies étaient surement en train de s'infecter, étant donner l'odeur de pus et la délicate couleur jaune les entourant.
Ces salauds... comment je vais faire pour me gratter sans oncles maintenant? Bon, faut que je retrouve les autres...
Décidément, c'est un bon jour pour moi: mon oeil et mes doigts, hahaha! Enfin, si c'est pour lutter contre le tenebreux, ça vaut bien la peine...
Alors que nous nous retrouvons face mon adversaire s'élance vers moi, et complètement déconcentré, rate totalement sa botte. Il va même jusqu'à me quitter des yeux pour regarder derrière lui des gens courir. Il ne m'en faut pas plus pour profiter de l'instant.
[d10]+2=7
Juste au moment où il se retourne enfin vers moi je plante mon épée dans une des brèches de son armure. Ma lame lui traverse littéralement l'épaule, je la sens crissée sur les os qui se brise. Tout en gardant ma lame dans son épaule je la remue doucement en le regardant avec un sourire carnassier. Tout son visage n'est que souffrance et il sue à grosses gouttes. Je profite du spectacle, sourire carnassier vissé sur les lèvres.