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There's something rotten in the kingdom of Blizzard...Chevalier du Haut Verbeex Responsable des CL / Membre du Conseil RP / Modérateur / Newser
La question cependant est : le plaisir de fumer est-il réel ou induit par la dépendance ? Je penche pour la seconde solution.
Je ne suis pas dépendant à la cigarette ni à quoi que ce soit qui se fume, et je prends cependant plaisir à fumer, de temps en temps et très irrégulièrement, des joints et des cigares, voire des clopes.
Pour le joint, c'est le contraire de la dépendance qui me procure le plaisir : n'étant pas habitué à la substance, je plane d'autant plus facilement, j'aime ça. C'est convivial, toujours dans un contexte de fête, et la sensation me plaît. De toute façon je n'ai jamais ni tabac ni feuilles ni résine sur moi, je ne sais même pas rouler, donc ça m'oblige de facto à être accompagné.
Pour le cigare, c'est un peu comme Dagon. Au départ c'est un trip avec Brace 4 Impak, ensuite ça s'est rencentré avec un pote, et puis ça se relie avec des souvenirs, des odeurs, tout ça. Je les achète toujours par deux, je n'en fume jamais seul.
Après, la cigarette, c'est le truc pour lequel je prends le moins de plaisir physique. C'est plus un caprice, et c'est encore plus rare. C'est quand l'occasion s'y prête et que j'en ai envie, donc moins souvent encore que le pétard ou le cigare. Et là encore, il faut qu'il y ait au moins une personne à qui taxer la clope . Tout le plaisir se fixe alors sur le partage et la discussion. C'est déjà pas mal, même s'il est encore mieux pour moi d'associer ces deux choses à des sensations physiques plaisantes (odeur, planement...) .
Bonne question...quand on est jeune on est con et on commence à fumer, par mimétisme, pour faire comme les grands, comme les copains. Après, on est dépendant et impossible de s'arrêter.
Si quelqu'un à eu un autre parcours que celui ci j'aimerais bien son témoignage.
Ces claviers qwertz (et non qwerty ou azerty) sont peu pratiques, je vais donc etre court. Ton avis dans ce debat DS me choque profondement. Ouverture d'esprit 0, mais surtout intolerance et prejuges a fond. Des on dit, des suppositions, des simplifications effrayantes et insultantes, que sais-je encore. Le proces que tu fais aux fumeurs, s'il a des fondements, est si extremiste qu'il m'etonne de ta part.
Le plaisir de fumer est reel. Quand il est induit par la dependance, ca n´est plus un plaisir, c'est un besoin. A la base, la question est donc incoherente.
La cigarette pr un jeun's, c'est souvent pour briser un interdit et faire comme ses potes. Mais tlm ne commence pas pour ca, ni comme ca.
L'avis de Gab est le plus objectif, et je m'y range tout a fait. Je n'ai pas grand chose a y ajouter. Je prend plaisir a fumer une cigarette de temps en temps, un cigare et un joint de meme, et ne suis aucunement dependant: j'en veux pr preuve les longs moments ou je ne fume pas et ou ca ne me manque pas.
Il y a differentes manieres d'apprecier la cigarette, et ce qui est mauvais, comme dans tout, est l'abus. La societe sans clope dont tu parlais DS dans un autre topic, si on va au bout du raisonnement (sans meme en pousser l'extremisme), c'est une societe sans plaisirs, une societe de la moralisation a outrance, de l'etouffement sanitaire, un sorte de dictature de l'hygiene.
A ceux qui ne fument pas et/ou que la cigarette derange: ils peuvent le dire et dans la pluspart des cas, on respecte leur souhait. Un message cependant: qu'ils n'aillent pas plus (trop) loin dans le jugement des autres a propos d'une sensation et d'une chose qu'ils ne comprennent pas. La seule chose qu'ils peuvent juger en toute conscience et avec justesse, c'est l'effet que cela a sur eux. Les hommes sont differents, repectez cette difference, tant qu'on respecte votre sante.
DS ne parlaient pas des fumeurs occasionnels qui fument une clope par semaine, ce ne sont pas de vrais fumeurs, des gens qui fument de temps en temps et qui font attention lorsque ça leur arrive. Il parlaient des vrais fumeurs, ceux qui ne peuvent pas vivre sans leur 1 ou 2 paquets de clopes par jours, ceux qui n'en ont rien à foutre des autres.
La societe sans clope dont tu parlais DS dans un autre topic, si on va au bout du raisonnement (sans meme en pousser l'extremisme), c'est une societe sans plaisirs, une societe de la moralisation a outrance, de l'etouffement sanitaire, un sorte de dictature de l'hygiene.
Alors là pas d'accord, mais pas d'accord du tout! Si on supprime la cigarette nous aurons une société sans plaisirs!!! Si on suit ce raisonnement (sans meme en pousser l'extremisme) ça voudrais dire que les non fumeurs ne savent pas ce que c'est que le plaisir!
La seule chose qu'ils peuvent juger en toute conscience et avec justesse, c'est l'effet que cela a sur eux. Les hommes sont differents, repectez cette difference, tant qu'on respecte votre sante.
tant qu'on respecte votre sante!!! Mais c'est ça le problème, la grande majorité des vrais fumeurs ne respectent pas la santé des autres! Quand tu vas au resto et que le type de la table d'a coté ne veut pas éteindre sa clope parcequ'il est de l'autre coté de la petite pancarte! Il y a pire il y a le type qui est dans la partie non fumeur et qui refuse d'éteindre sa clope (enfin jusqu'à ce que mon père et moi nous nous levions pour lui expliquer que c'était dans son intéret.)
Parcequ'en effet en toute conscience et avec justesse, on peut juger de l'effet que cela a sur nous et cette effet est désagréable et nocif! Quand tu ne plus aller dans un bar ou une boite sans ressortir sans puer la clope et sans avoir avaler autant de fumer qu'un fumeur, désolé mais je me dis qu'il y a un problème.
Alors encore une fois je ne m'em prend pas aux fumeurs respectueux des autres mais aux autres qui se moquent de la santé de leur entourage.
Je suis d'accord avec le dernier point d'Eltharion, je ne croise pas énormément de fumeurs qui me respectent hélas. Quand j'étais en France, ma mère me fumait dessus, j'avais beau lui opposer les meilleurs arguments sur ma santé et mon droit, rien à faire. Elle s'est même énervé une fois.
Et quand ses amis venaient à la maison, y'avait bien un "je peux fumer ça te dérange pas ?", mais dès que ma mère leur disait ok, plus personne pour se soucier de moi. Jamais eu autant l'impression que mon avis ne comptait pas.
Bref, j'ai l'impression que les fumeurs ont tous pouvoirs, et que ce sont les non-fumeurs qui gênent. Je parle là des fumeurs réguliers, genre deux cigarettes ou plus par jours. (Sont-ils tellement accro qu'ils pensent d'abord à leur cigarette plutôt qu'à respecter les autres ?)En général, ceux qui fument très rarement et pour le plaisir s'écartent pour ne pas déranger leurs voisins.
Pourquoi remettre à demain ce que l'on peut faire le sur-lendemain?
Oui je connais un peu le même problème :
Mes deux parents fument (et pas qu'un peu : près d'un paquet chacun par jour) et ils ne se dérangent pas pour moi. Et le pire c'est que quand je sors -ne serait-ce qu'aller au bahu- on me dit "tu sens la cloppe putain"! Imaginez à quel point c'est chiant!
Enfin mon avis perso sur la cigarette : cher et dangereux à long terme. C'et un peu comme acheter sa mort prochaine.
Les fumeurs font ce qu'ils veulent, mais à partir du moment où ils respectent les autres et ne les empoisonnent pas.
Je pense que le plaisir de fumer vient à long terme en fait, simplement car j'ai déjà essayé la cigarette à plusieurs reprises et je n'ai éprouvé aucun plaisir.
Sinon après pour les joints : aucun commentaire.
Pour les cigares : je n'ai jamais essayé.
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DS ne parlaient pas des fumeurs occasionnels qui fument une clope par semaine, ce ne sont pas de vrais fumeurs, des gens qui fument de temps en temps et qui font attention lorsque ça leur arrive. Il parlaient des vrais fumeurs, ceux qui ne peuvent pas vivre sans leur 1 ou 2 paquets de clopes par jours, ceux qui n'en ont rien à foutre des autres.
Attention, la question de DS concernait le plaisir à fumer en général. Il y a eu des réponses de gens comme monsieur D., fumeur régulier, et d'autres de fumeurs occasionnels, comme Klian ou moi (même si l'un est bien plus occasionnel que l'autre ).
A partir de là, le débat sur le respect est un autre sujet, sur lequel je suis d'accord avec les dernières interventions, évidemment. Cependant Elth', il me semble assez cavalier d'associer fumeur régulier et irrespect.
Cependant Elth', il me semble assez cavalier d'associer fumeur régulier et irrespect.
Mais ce n'est pas ce que je fais. Même si je pense que les fumeurs irréguliers ont plus tendance à faire attention, ça ne veut pas dire que pour moi les fumeurs réguliers sont tous des gens irrespectueux.
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Il parlaient des vrais fumeurs, ceux qui ne peuvent pas vivre sans leur 1 ou 2 paquets de clopes par jours, ceux qui n'en ont rien à foutre des autres.
Oui et alors? Je fais allusion aux vrais fumeurs qui ne respectent pas les autres, pas aux fumeurs réguliers en général. J'ai fait la distinction pour justement ne pas englober tous les fumeurs.
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Bon, c'est pas le débat, mais en français, la construction de ta phrase indique que pour toi, les vrais fumeurs sont les fumeurs très réguliers, et qu'ils sont ceux qui emmerdent les gens.
Tu veux dire quelque chose comme : "Il parlaient des vrais fumeurs, ceux qui ne peuvent pas vivre sans leur 1 ou 2 paquets de clopes par jours, et dont la plupart n'en ont rien à foutre des autres."
Lisez KhimairaMénestrelle [/link] I like being a mess. It's who I am.
Pour les cigares : je n'ai jamais essayé.
Et bah t'as tort
Ah, cette odeur envoûtante, ces magnifiques volutes grises, ce picotement délicieux sur mes lèvres, le poivre dans ma gorge, le vertige irrésistible qui me saisit à la fin de sa consommation...
Le parfum qui persiste faiblement sur mon écharpe...
Le moment privilégié qu'il représente et les souvenirs qui l'accompagnent désormais...
Désolé Klian, Gab, mais vos avis sont ceux de fumeurs occasionnels, et donc vos arguments ne sont pas du tout valides ! Quand on parle de fumeur vs non-fumeurs, les fumeurs sont ceux qui tournent à un paquet par jour en moyenne. Vous, vous vous trouvez entre-deux. Votre consommation n'est pas liée à la dépendance.
Mon avis extrême tient toujours, navré de vous le dire.
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Mais DS, là tu posais une question à laquelle tu réponds toi-même, et par là-même tu t'enfermes dans des stéréotypes caricaturaux .
Ta question concernait le plaisir que l'on pouvait éprouver à fumer, elle ne précisait pas si on devait fumer régulièrement ou non, une clope ou un paquet par jour, être homme ou femme, avoir entre 29 et 33 ans, et je ne sais quoi encore...
D'une part tu affirmes qu'il y a les fumeurs et les non-fumeurs, et ensuite tu dis que certains appartiennent malgré tout à un no man's land surgi d'une autre dimension, les non fumeurs qui fument, et qui n'ont donc pas le droit d'être pris en compte .
Ta question est peut-être rhétorique, mais si par malheur les réponses ne te conviennent pas, il me semble incorrect de les annuler pour diverses raisons.
"Tu es accroc ? C'est ta dépendance qui te pousse à répondre ça, car c'est ce que je te dis qui est vrai. Tu ne l'es pas ? Eh bien tu ne peux pas me répondre correctement non plus allons. Mais moi si."
C'est comme si je te disais que tu étais tellement anti cigarette que quoi qu'on puisse te dire, tes réactions étaient nulles et non avenues, et que de plus, ne fumant pas toi-même, tu ne pouvais te prononcer correctement sur le sujet.
Ce serait ridicule.
Les réponses à ta question me paraissent claires : il semble y avoir un réel plaisir à fumer, accroc ou pas accroc. Même si les raisons peuvent changer selon les cas : trip, odeur, saveur, ambiance, souvenirs, dépendance physique (et là tu as sans doute raison, c'est évident, mais pas complètement, c'est tout)...
Bref, cantonner les fumeurs dans un schéma rectiligne avec le début "je fume pour faire comme les autres c'est classe" et qui se termine par "je suis devenu accroc et seul la dépendance physique me pousse à continuer" est réducteur. Envisageable et peut-être majoritaire, mais bien trop généralisateur.
Et moi j'aime pas les généralisations .
Bref, cantonner les fumeurs dans un schéma rectiligne avec le début "je fume pour faire comme les autres c'est classe" et qui se termine par "je suis devenu accroc et seul la dépendance physique me pousse à continuer" est réducteur. Envisageable et peut-être majoritaire, mais bien trop généralisateur.
Et moi j'aime pas les généralisations .
Malheureusement, dans le cadre des fumeurs réguliers (et vous n'entrez pas dans ce cadre), cela est vrai. Il y a certainement un plaisir à fumer, mais la dépendance et l'habitude sont ce qui fait continuer plutôt qu'autre chose. Je ne parle pas dans le vide mais par mon expérience avec les fumeurs de mon entourage et ce depuis des années. J'attends toujours la preuve du contraire, et vos témoignages sont loin de m'avoir convaincu.
Je dois avouer que vos témoignages sont vraiment intéressants, et je n'imaginais pas que ca arriverait ici en postant mon message sur "Politique du monde".
Je dois avouer, de même, qu'au début, j'avais des opinions extrémistes ( paradoxal car j'essaie habituellement de garder une neutralité) et divisaient les gens en "non-fumeur donc sain" et "fumeur donc se préparant peinard son cancer" . Maintenant, avec les témoignages de Gablebo et de Klian, ainsi que de Dagon, j'ai vu que les "fumeurs occasionnels et non dépendants" existaient belle et bien ailleurs que dans les légendes urbaines . Cela me rassure un peu, même si je ne cautionne toujours pas l'acton de fumer elle même; enfin tant que vous n'êtes pas esclaves, que vous êtes conscient des effets à long termes ( peu de choses m'énervent plus que les gros fumeurs qui portent plainte contre les fabriquants de cigarettes ), et surtout que vous ne génez personnes, je ne vois aucuns problèmes là dedans.
Même si l'extremisme est une voie tentante ( je ne vise personne et parle en général, je tiens à le préciser), l'interdiction totale de la cigarette serait une chose idiote. Je veux dire, si les gens s'offrent un plaisir qui leur nuit à la santé, mais qu'ils font attetnion à ne pas géner les autres, ils peuvent continuer, pas la peine de leur interdire. Imaginer qu'on fasse la même chose pour l'alimentation.
Exemple, j'aime manger salé, c'est un fait, et je mets souvent une quantité importante de NaCl qui à terme va me provoquer des problèmes : j'en suis conscient et pourtant je continue car j'aime bien. Faudrait il donc interdire le sel parce que ca nuit à ma santé ? Idem pour la viande : en manger beaucoup provoque à terme un cancer du colon ( si mes souvenir sont bons), or je ne conçois pas un repas sans. Faut il donc limiter la quantité de viande par personne et ainsi nuire à mon bonheur ?
Durandal avait parlé du respect de la liberté individuelle au début du débat sur l'interdiction de la cigarette dans les lieux publiques. Moi je dis qu'on peut distinguer trois interdictions :
_ l'interdiction de se nuire à soit même, que ce soit avec la clope, le sel, l'abus de viande ...
_ l'interdiction de nuire à autrui (empoisonner quelqu'un à dessein, le frapper ... )
_ l'interdiction de se nuire à soit même et à son entourage. ( fumer et enfumer ceux qui n'ont rien demander).
La première interdiction est tyrannique, car nuirait vraiment à la liberté d'autrui : chacun a le droit de se "mutiler" comme il l'entend, et est libre de son corps. La deuxième se justifie tout simplement par le fait que la liberté des uns s'arrête ou commence celle des autres. La troisième se justifie par le fait qu'elle est l'union des deux premières.
Maintenant, je ne suis qu'un pauvre scientifique peu habitué à bretter avec les mots, donc je ne suis pas sûr que vous arriviez à comprendre mon point de vue, surtout dans la deuxième partie.
La première interdiction est tyrannique, car nuirait vraiment à la liberté d'autrui : chacun a le droit de se "mutiler" comme il l'entend, et est libre de son corps. La deuxième se justifie tout simplement par le fait que la liberté des uns s'arrête ou commence celle des autres. La troisième se justifie par le fait qu'elle est l'union des deux premières.
Je suis d'accord mais dans ce cas, il faut légaliser EN TOTALITE ces choses, comme la drogue ou l'euthanasie. Notre société est terriblement hypocrite sur la question. Certaines formes de suicide sont autorisées, et d'autres non. Pourquoi ?
La societe sans clope dont tu parlais DS dans un autre topic, si on va au bout du raisonnement (sans meme en pousser l'extremisme), c'est une societe sans plaisirs, une societe de la moralisation a outrance, de l'etouffement sanitaire, un sorte de dictature de l'hygiene.
Oui, et ? Ne serait il pas possible de trouver des formes de plaisir qui ne soit pas destructrices ? A mort l'alcool, le tabac et la drogue, et vive le sexe !
Oui, et ? Ne serait il pas possible de trouver des formes de plaisir qui ne soit pas destructrices ? A mort l'alcool, le tabac et la drogue, et vive le sexe !
Là il me semble que l'on verse dans le débat philosophique : l'homme peut il vivre sans ce désir d'autodestruction ? Une partie de la nature humaine est de désirer ce qu'elle n'a pas : peut être l'homme désire t'il inconsciemment sa mort.