La Pierre de Tear fait peau neuve ! L'aventure continue sur www.pierredetear.fr !
L'ancien site est a présent archivé pour la postérité et en mode "lecture seule". Vous pouvez consulter l'ensemble du contenu et des anciennes discussions du forum,
mais plus créer de nouveaux topics ni écrire de nouvelles réponses.
N'hésitez pas à rejoindre le Discord de la Pierre de Tear en cliquant ici: Discord Pierre de Tear
- L'équipe des Admins: Klian, Owyn et DS
Que les Jeux Oosquaï-olypiques commencent! [ouvert à la lecture]
(Sujet créé par Noemy l 01/03/07 à 12:47)
::MESSAGE AUX PERSONNES NE PARTICIPANT PAS AUX EPREUVES::
Pour des raisons de gestion, je ne peux pas laisser tout le monde participer aux épreuves, je suis désolée...peut-etre une autre fois, mais là, c'est une sorte d'essai.
En revanche, nous aurons besoin de "guest-star" pour certaines épreuves sans doute, vous pouvez toujours vous inscrire ici, ou nous donnez vos avis : RP OFF Aiels
Voila, et encore désolé à Jordan pour ça
**************************
Allez, un petit RP juste pour la déconne.... hehe, on est Aiel ou on l'est pas !! Je vous explique vite les règles : Il s'agit d'un RP, donc n'oubliez pas de respecter l'adversaire et de faire de joli post, mais qui ne correspond en rien à celui que nous faisons en ce moment. C'est une sorte de "RP parallele" qui n'influence en rien l'autre! Ensuite, on est là que pour faire ce que l'on ne peux pas faire en vrai, alors je veux de la blague, de l'action, des coups traitres, des gros mots, du sexe, des anachronismes, etc... Comme cela n'influence pas le RP réel, vous avez même le droit d'eclater votre camarade de jeu, enfin, vous me comprennez...
On part sur une base de coucours à la Interville, je vous donnerai les épreuves au fur et à mesure, avec les regles et comment je compte les points. D'ailleurs, pour les points, il n'y a pas que les jets qui comptent, il y aura aussi la narration et plein d'autre élément.
Je gare ma golfette à côté du parking à Gaish'an à l'entrée du stade pour annoncer la future épreuve.
Je me rappelle avoir laissé un groupe à la sortie du fast-food, puis un autre auvestiaire. Ayant moi meme enfilé une demi-douzaine de big-burger, je prends le chemin le plus court et me dirige vers les vestaires. Et là, c'est le drame !
Je retrouve Jibai en train de profiter de Sharyakin, visiblement dans les pommes... ou plutot les Feijoadas. Je m'approche de Jibai, m'accroupi pour etre à son niveau et me permet de le couper dans son elan :
- Euuuhh, tu fais quoi? De la réspiration feu d'artifice, dentifricielle (pour la bonne haleine ) ? ça pete dit moi ! Et tu t'amuses bien là? Non parce que si je me permets de dire, c'est parce qu'elle a les yeux grand ouvert depuis un petit moment quand meme là.
Voyant tout le monde commencer à refluer vers le stade, je devine que la troisième tâche va bientôt commencer. ayant vu Jibaï et le journaliste s'aventurer dans le vestiaire pour une interview je suis Noemy à l'intérieur pour le prévenir.
Quel est cet étrange bruit de pompe à vélo que j'entends? Je cligne des yeux pour m'abituer à l'obscurité et...que vois-je?
L'étranger des terres humides passerait il son examen de secouriste? Ou tenterait il d'asphixier la demoiselle?
Je ris doucement en écoutant le commentaire de Noemy. Moi aussi je voudrais bien une séance de travaux pratiques.
- Euuuhh, tu fais quoi? De la réspiration feu d'artifice, dentifricielle (pour la bonne haleine ) ? ça pete dit moi ! Et tu t'amuses bien là? Non parce que si je me permets de dire, c'est parce qu'elle a les yeux grand ouvert depuis un petit moment quand meme là.
qu'elle a les yeux grand ouvert depuis un petit moment quand meme là...
Je répète cette phrase tout doucement dans ma tête et tourne lentement mon regard vers la sagette évanouie qui effectivement n'a plus l'air si évanouie que ça. Je me relève précipitemment tout penaud.
"Ben j'ai entendu du bruit dans le placard... et puis comme elle était évanoue ben... vous comprenez quoi..."
Je quémande un peu d'aide vers Huan mais celui-ci, à peine sorti de son cahier, semble découvrir la scène. Tu parles d'un journaliste... (RPOff: Sans vouloir offenser tes capacités Huan )
Sharyakin ne pipe mot et entretien le mystère, un léger sourire à la bouche. Léger sourire que je retrouve chez Noemy et Liessa qui se tenait juste derrière elle.
Décidément elles sont bien bizarres de ce côté-ci des montagnes...
*Je tente de noter toute les réponses de Jibaï, qu'il m'as donné d'une traite. C'est alors qu'on entend du bruit venant d'un placard.Jibaï part au nouvelle et je le suis , sachant- qu'un placard peut receler bien des mystère; et-pourquoi pas- un bon scoop. Ce n'est qu'une femme qui tombe évanouie, je crois que c'est une Aielle. Je prend note de tout ce qui arrive, sans apercevoir que Jibaï demande de l'aide du regard. Mais au moment où moi je lève le mien, il est déjà en train de pratiquer une respiration artificielle.
Tiens, la femme n'as pa l'air si évanoui que ça, je me demande si je dois lui dire....Eh puis non, je crois que l'Aielle qui arrive va lui faire savoir.
Effectivement, et Jibaï a l'air géné. Il essaye de se justifier, mais si il comptait sur moi, je ne l'aide pas vraiment: d'abord plongé dans mes notes, je m'occupe plutot de la jeune femme "évanouie" * "Bonjour, je suis Huan, reporter au Tairen-Hebdo, et je fais un article sur lesz participants aux jeux, avec interview de chacun. Dites moi, Est ce que Jibaï embrasse bien? C'est pour nos lectrices"
*Elle est pas mal cette jeune femme* "Et vous, que faite vous dans les Jeux"
"Ben j'ai entendu du bruit dans le placard... et puis comme elle était évanoue ben... vous comprenez quoi..."
T'en fait pas, on comprend tres bien ! Je donne une bonne claque sur l'épaule de Jibai et retiens de ne pas m'effondrer de rire devant le visage de Liessa et de la p'tite Sagette.
Allez, dépechez-vous, la pause est finie et on reprend dans quelques minutes.
[i]Un dernier coup d'oeil à la scene, j'essuie les larmes de mes yeux et m'en vais prévenir les autres, sans doute en train de s'empifrer au fast-flood
La musique reste en arrière fond dans ma tête, pas désagréable du tout. L'étranger à les lèvres douces, même s'il n'ose s'en servir. Malheureusement, il est vite interrompu par d'autres qui accourrent.
*Tututu tutututu tututu tutututu*
Trouver un coin plus tranquille pour qu'il s'améliore, s'il veut devenir aide-sagette ou brancardier
*Tututu tutututu tututu tutututu*
Là bizarrement, je m'apperçois que je n'ai plus les même fringues: à la place de mon cadinsor couleur sable habituel, j'ai un tee shirt jaune, une jupette verte encore plus courte que mon ancienne après la course contre les trollocs, les deux barrés en lettres bleues du slogan "J AIME LA SAMBA"
Euh... Mais qu'est ce que j'ai bien pu faire moi... Toute ressemblance avec la pub "Tu t'es vue quand t'as bu" est bien entendu purement fortuite!
*Tututu tutututu tututu tutututu*
Je remercie mon sauveur: "C'est gentil de m'avoir aider, j'ai du toh, reviens quand tu veux pour arranger ça!"
Je me remets dedout rapidement, tout en massant la bosse sur l'arrière de mon crâne. Mais qu'est ce que j'ai bien pu faire. Avant la samba, c'est le trou noir.
*Tututu tutututu tututu tutututu*
Au journaliste : "Oui, très très bien" *Sourire*
Puis entendant qu'une nouvelle épreuve approche:
"Oulaaa, faut que je trouve un nouveau cadinsor de sport, là. Je file..."
Je regarde partir la jeune apprentie sagette d'un air mauvais.
Je devrais peut être feindre un malaise non? Ou alors trébucher et tomber dans ses bras? Il y a tant à apprendre de l'étranger. Comme ce livre que Suondhe a ramené du Shara, le kama-sofa.
J'entends alors la demande du jouranliste à la jeune femme qui titube vers la sortie.
dites moi, Est ce que Jibaï embrasse bien? C'est pour nos lectrices"
Prennons l'initiative. Je me dirige avec la grâce d'un chat avancant vers sa proie, la détermination d'une araignée tissant sa proie et le regard d'un serpent hypnotiseur vers le beau brun.
Au journaliste: je vais y répondre à votre question.
Je souris d'un sourire colgate et vise le bas du visage du jeune homme.
Bang!! Impact!!
Ps1:Attention ne vous méprenez pas: tout ceci est d'un intérêt purement journalistique.
Ps2: Je suis une menteuse .
*La soi disant évanouie me gratifie d'un sourire quand je lui pose la question*
Oui, très très bien
*A peine est elle partie qu'une autre femme s'avance vers moi*
je vais y répondre à votre question.
*Et en effet...elle embrasse a pleine bouche un Jibaî totalement médusé mais pas mécontent de l'attention qu'on lui porte. Le prenant a part, je lui demande:* "is, comment tu fais? D'après mes sources les Aiels ne sont pas censée aimer les Terres-humidiens. Pourtant tu en a embrasser une sans qu'elle te plante. Ton secret? c'est pour nos lecteurs"
Ps: et pour moi aussi
"J'ai cru comprendre qu'une nouvelle épreuve s'annonçait. Quelle est t elle?"
A peine Sharyakin partit et moi-même remis de mes émotions, Liessa s'approche d'Huan et lui lance:
je vais y répondre à votre question.
Quelle question...?
Puis elle se jette sur moi d'un air déterminé et m'embrasse à peine bouche. Tout content de cette attention malgré le contexte je ne peux m'empêcher de lui rendre la pareil. Après quelques secondes ou minutes je ne sais pas vraiment... elle s'éloigne de moi lentement, avec toujours ce sourire collé aux lèvres. Et Huan de me demander:
"is, comment tu fais? D'après mes sources les Aiels ne sont pas censée aimer les Terres-humidiens. Pourtant tu en a embrasser une sans qu'elle te plante. Ton secret? c'est pour nos lecteurs"
Un slogan me revient alors.
"Avec Axe exotique cultive ton côté mystérieux."
Bon c'est bidon mais de toute manière je n'avais rien de mieux à lui dire, moi-même je cherche encore l'explication à tout cet attrait soudain.
"Pour l'énoncé de la nouvelle épreuve on doit aller dans le stade."
Vierge de la lance qui distille et pête une durite à l'occasion
Kyr et Kashim s'étaient depuis longtemps éloignés de la piste, elle avait déniché un vendeur de brochettes-trolloc et de spririt.
- quelques temps plus tard -
Kyr croisa le regard de Kashim, il est ptetre temps qu'on se pointe pour la prochaine épreuve... J'ai bien récupéré t'en fais pas...
Elle avait ajouté ca en voyant son air désaprobateur.
- Et puis...Au pire cette immonde bestiole d'un autre monde rapliquera me sortir d'affaire...
Ils se levèrent.
- Elle ou une autre encore plus afreuse... ajouta t elle a mi voix pour elle même.
Elle le regarda avec un air étrange mi amusé et franchement moqueur.
Kyr verifia son cadin'sor, se souvint qu'il était propre puisque Kashim avait veillé a renouveller la loque avec laquelle elle s'était sortie de la dernière épreuve.
Elle poussa un soupir d'agacement a cette pensée.
S'occuper de moi ! comme si j'avais besoin de lui !
Ils arrivèrent sur la piste juste a temps pour saluer le remplisseur de piscine.
- Salut Radn... Aie... Toujours ces méchantes brulures ?
En effet, Radn venait de lacher brusquement le tuyau d'arrosage et se tenait a présent très fort la paume sur laquelle on pouvait distinguer une étrange forme... Un arrosoir peut être...
Kyr chuchotta a l'adresse de Kashim
- Il a la peau qui marque vite le pauvre... et il arrete pas de se bruler... En plus, comme un de ses extra c'est tatoueur, il aura bientot plus une once de peau intacte. Son sang va couler un de ces quatre, je te le dit...
Après six minutes, trente six secondes et deux dixièmes je lâche enfin Jibaï.
*Pas mal, pas mal, surtout ce goût de... fraise des bois??!! Il a mis du gloss?* Sophistiqués ces numides, et attentionnés avec la gent féminine. Nos hommes ont un goût d'oosquaï. Ou alors c'est nous.
Toujours avec un sourire éclatent je quitte l'infirmerie en chantonnant 'l'amour est enfant du désert, il n'a jamais connu de lois. Si tu ne m'aime pas je t'aime et si je t'aime prends garde à toi'. Un tube cette chanson.
J'arrive près du bassin et surprend la fin de la conversation entre la Vierge et le guerrier.
-Il paraît qu'il a un pigeon tatoué sous chaque main et une créature qu'il s'est tatoué alors qu'il était ivre mort sur chaque bras. Je ne les ait jamais vu mais il parait qu'un éléphant rose c'est de la gnognote à côté.
Puis je repart vers les autres concurents en me remettant à chantonner.
'Près des remparts de Cairhien, chez mon ami Laman, j'irais danser la sa'sara et boire de l'oo'
Attendez. Il me vient un soupson là...Radn... il remplissait un bassin... d'eau? C'est quoi cette histoire? tout le monde sait qu'il est schtarbé mais là...
Liessa partit, je guide Huan jusqu'au lieu de la prochaine épreuve, à la vue du grand lascar en train de remplir un bassin je me réjouis d'avance.
Cette fois je ne peux pas perdre, c'est sûr. Avec une épreuve aquatique je ne peux pas perdre. Autant l'eau c'est pas bon à boire mais pour y nager je suis quand même 'achement fort ! C'est pour moi cette épreuve !
*Kashim se tenait près de Khyra’Fyn, la main autour de sa taille depuis qu’ils était revenue de leur petite … ballade. Ils avaient mis à profits ce petit temps ou les autres se faisait « soigner » pour mieux se connaître.*
- « J’en connais une autre qui marque très facilement … heureusement qu’elle porte un Cadin’Sor neuf car sinon ».
*Regardant la piscine avec un air suspect, il ne se sentait pas très chaud pour danser avec cette étendue d’eau tiède. Néanmoins, il se dit qu’un concours de Cadin’Sor mouillé de la part de la gente féminine, pourrais être plus que divertissant.*
- « Attend moi la, je reviens tout de suite. »
*Il se dirigea vers Radn et l’interpella.*
- « Je te vois paysan ! Passe moi donc ton tuyau, j’en ai pour quelque seconde ! »
*Avant que le fermier au bras taché ne s’aperçoive de quoi que ce soit, Kashim commençait a arrosé rapidement et discrètement toutes les femmes présentes sur le terrain, y compris Khyra’Fyn !
Les Cadin’Sor et robes des sagettes était tous détrempés et l’on pouvais voir les courbes de leurs corps plutôt précisément.
Repassant le tuyau à Radn, il commença à parler assez fort …*
- « Non mais ça ne va pas d’arroser les femmes comme cela ! »
*Retournant auprès de Kyr qui était ruisselantes.*
- « Heureusement que cela va vite sécher, vu le soleil que nous avons aujourd’hui … ou bien vu a quelle point tes joues sont rouge …, je ne sait pas quelle chaleur l’emporte entre celle du soleil et celle de tes pommettes. »
*Avant qu’elle n’eu pu dire mot, il l’embrassa si vite que personne d’autre qu’elle ne pu s’en rendre compte, puis lui adressa un sourire satisfait et un clin d’œil qui en disais long.*
[MCRO]
Musique de sprmarché en fond Au rayon poissonerie, nous retrouvons nos truites séchées au soleil du desert.....
EPREUVE NUMERO 3 : Quelle est-elle, le suspense est insoutenable !
Nager les 200m nages très libres en rimes !
Un seul jet déterminera le gagant de l'épreuve, deux si il y a une égalité (je fais simple pour une fois)
1er place : 2 pts
Meilleures rimes : 2 pts
2eme aux Meilleures rimes : 1 pts
[d10]
La peur, immonde insulte pour le brave me saisit
Allons Liessa, hardi!
Nul ne peut concurencer une Vierge à la course,
montre leur que tu ne couleras pas comme une ourse.
Je fait lentement l'abondon
du cad'in sor qui cachait mes têtons,
je jette avec grâce mes lances
et en appelle à la chance.
Couler ou flotter, telle est la question.
Pourvu que la gravité ne tranche pas par le fond!
Elégante comme Cyrano,
agile comme un asticot,
Je vous préviens chers auditeurs,
que si je me nois, je meurt!
Après un dernier regard aux concurents,
pas un ne sort des rangs?
je me laisse glisser
dans le liquide abbhoré;
je jette un regard d'envie
sur cette satanée Noemy
et met la tête sous l'eau.
Dieux! Ce n'est vraiment pas chaud!
De ces profondeurs abbyssales
j'entends sortir un râle.
Ces vingt mêtres de profondeurs
me feront passer un mauvais quart d'heure...
Quelque chose me frôle!
Messieurs, ce n'est pas drôle!
Ou serais-ce un requin,
comme j'en ait vu dans les bouquins?
J'ouvre la bouche pour crier,
ne voulant pas me faire manger,
mais -dure loi de la nature-
l'eau pénètre par cette ouverture
et là je coule pour de bon!
Heureusement je touche le fond
et, paniquer ne sert à rien,
je tape du pied sur ce requin taquin
et tel un ressort,
me voilà qui vaint le sort
qui me retenais prisonière
au fond de cette eau amère.
L'autre côté est proche,
mais la victoire, pas dans la poche!
J'y arrive sans trop de mal,
mais reste à affronter les mâles,
qui veulent de l'héroine arracher
ce que sur l'autre rive elle n'a pas laissé.
Tout doux messieurs, tout doux,
ou sur ma foi, je vous romps le cou!
Concurents valeureux, élancer vous dans le bassin,
plongez, nagez, noyez vous bien,
car sinon sur ma foi,
la victoire est à moi!
Me sentant assurée se ma victoire
Par les substances malhonéte
sortis du fond de mes armoires
inahlés en cachette
*ce n'était pas beau à voir*
de toutes ces maudites sagettes,
je m'avance, m'attendant à la gloire,
et lance à la foule, toute guillerette:
"ami du soir, bonsoir"
Je plonge dans l'eau glacée,
scrute les fonds marin,
m'élance, décidé à gagner,
fend l'eau, tel un requin,
le tout tout en beauté,
et voici qu'enfin
j'atteind l'arrivée!!
Le triomphe et mien!!
La foule aplaudi,
tout le monde me sourit,
et la gente masculine
à mes pieds docilement s'incline.
(Et maintenant l'alexandrin sauce Jibaï, attention les yeux !)
Sans santiag ni mon jean, je me met torse nu.
Ainsi j'apparaît devant le public qui hue.
Avec mon slip à la Clavier j'ai l'air de rien
Mais je vais leur montrer à tous ces petits nains.
1,2,3 marches je prends mon élan et plonge.
Ouah quel saut! Bien mieux que Patrick dans Bob l'éponge!
Une brasse ou deux, j'enchaîne en dos crawlé c'est mieux.
De toute manière tous les Aiels nagent comme des boeufs!
Je nage, je nage, rien ni personne ne m'arrête
Pfff! Michaël Phelps peut se rhabiller, la mauviette.
Je lève la tête, voilà la ligne d'arrivée
Ca c'est une épreuve gagné les doigts dans le nez!
(Bon je tiens à m'excuser, pardon aux familles tout ça. J'espère que les profs de français ne passeront pas par là )
Percé jusques au fond du coeur
D'une atteinte imprévue aussi bien que mortelle,
Misérable nageur parmi les belles,
Et malheureux objet d'une injuste frayeur,
Je demeure immobile, et mon âme abattue
Cède au coup qui me tue.
Si près de voir mon feu récompensé,
Ô Dieu, l'étrange peine !
Eh, cet affront l'épreuve est de nager,
Et moi malheur, je sais à peine
Il avance vers le bassin, entre et fait quelques brasses avant de couler.
Pardon à Corneille pour ma très mauvaise version de son oeuvre