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18 et 3 Je déprime un peu... Normal je suis en plein partiels et d'ailleurs en psy on avait une question sur le syndrome maniaque : "Décrivez les modifications de la pensée dans le sd maniaque" Ben il y a fuite des idées, tachypsychie (on pense trop vite), et puis je sais déjà plus le reste
Je ne comprend pas ce qu'un tel sujet vient faire sur la pierre... La prochaine fois ce sera : êtes vous schizophrene ? êtes vous nevrosés ? êtes vous histerique?
Sincerrement , j'ai attendu que ce sujet sombre dans l'oubli mais non il remonte !!!!
La PMD est une maladie tres grave et hereditaire , elle ne se soigne qu'avec des medicaments... Alors reelement je vois pas le jeu. Pourquoi pas un test pour savoir si vous êtes atteints d'alzheimer? Je suis prête à discuter mais je comprend pas ...
A la replique "de toutes façons on peut trouver ça sur internet" je repondrai que sur internet on peut trouver des tas de choses comme la recette pour fabriquer des bombes, des conseil pour devenir anorexique et même des methodes scientifiques pour se suicider. Est ce que ça aurait sa place sur la pierre ?
A la réplique "après ça sera ça, puis ça, puis ça...."je répond "non, pas forcément, c'est de l'alarmisme par la sur-enchère".
C'est comme dire: "tu consommes du shit, donc tu tomberas dans la cocaïne..."
Et la PMD c'est quoi?
On parle de dépression et de comportement maniaque. C'est héréditaire ça? Ca ne me semble en tout cas n'avoir rien a voir avec Alzheimer...Mais tu es bien plus formée que moi sur le sujet cependant.
Au final, je maintiens : chacun est libre de faire le test ou pas, on sait bien à quoi il faut s'en tenir, et si qqn va voir un psy à la suite de cela: pourquoi serait-ce un mal?
En outre, je ne suis pas prêt à m'interdire ce genre de chose parceque cela pourrait choquer des âmes sensibles: à ce rythme, on ne ferait plus rien!
Je signale tout de même qu'au final, on ne fait rien d'autre de répondre à des questions plus ou moins morbides, ou tout simplement à s'interroger sur notre comportement. Ca n'a rien de choquant...
Je suis cependant curieux de connaître l'avis des autres participants à ce sujet...
modérateur Aes Sedai Co-resp de la Tour Blanche demi-Fluffy
PMD c'est psychose maniaco dépressive
pour ce qui est du test ... je n'en vois pas l'interet ... donc je ne le fais pas. Je comprends ce que veut dire Arwen, c'est une maladie difficile et cotoyer des gens qui en sont atteint ne donne pas trop envie de plaisanter sur le sujet. Si on a un doute, on va chez le médecin ... pas sur le net
pour ce qui est de la surenchère, je fais confiance aux Pierreux
Merci Elea tu traduis ma pensée Et oui la PMD est hereditaire. C'est caracterisé par des episodes de manie et des episodes de depression, sachant que ça peut aller trés loin. One ne parle pas de legers troubles ici mais d'une maladie grave parfois nommée depression bipolaire et comme le dit justement Elea quand on connais des personnes qui en souffrent ça enerve un peu de voir des personnes s'amuser avec . Attention je dis ceci sachant que je suis partisane de l'humour noir mais ici il en est pas question à moins que j'ai mal lu ...
"tu consommes du shit, donc tu tomberas dans la cocaïne..."
ce n'est pas de la surenchere, ces maladies sont à mon sens aussi graves les unes que les autres ,mais la PMD est moins connue donc ça vous choque moins...
Hé oh ! On ne va pas faire de tabou sur tout et sur n'importe quoi. Si vous voulez je peux me mettre à parler d'elfes tout au long de la journée, mais dans les sujets coups de gueules et vie de tous les jours on parle du réel, dans la section libre également. Pour ma part je ne connaissais rien de la "PMD" à part quelques concepts, avant de lire ce sujet.
La psychologie n'est pas quelque chose de "tabou", et d'ailleurs, c'est une science très peu exacte encore. Et on fait bien d'en parler. Si nous blaguons, c'est par rapport à nos scores, pas par rapport à des personnes. On fait toujours des blagues au quotidien du genre "tu vas finir chez les tarés" sans penser à mal à ceux qui y sont malgré eux, et ici on était encore loin de ça.
J'ai une amie qui était atteinte de paranoïa excessive ; elle n'a jamais voulu suivre de traitement (trop tabou d'aborder les psys), et a traversé plusieurs épisodes dans son histoire ; vers la fin, en pleine nuit elle a essayé de tuer son propre petit ami pendant son sommeil ; je ne vous dirai pas comment cela a terminé, mais de manière très grave en tout cas. Si parler des méandres que crée notre esprit contre lui-même n'était pas si tabou, la situation aurait peut-être été différente.
Ce test, et la façon pas si sérieuse dont je l'ai posée à la façon des "cosmopolitan" très aimés de la gente féminine, je l'ai amené ici par simple curiosité. Et d'un autre côté, le sujet en lien m'a informé sur ce qui était appelé la "bipolarité" (même si j'avais pas tout compris à ma première lecture) dans l'univers psycho-médical. Il faut savoir que l'auteur de l'article distingue justement plusieurs degrés de bipolarité, dont certains ne sont pas reconnus par le monde psycho-médical comme nécessitant d'être reconnus ou traités ; il s'agit de la bipolarité de faible niveau qu'a "selon le sondage qu'il cite" 6 à 8 % de la population.
Il ne faut pas oublier que l'auteur avait lui-même indiquer EN MAJUSCULES de ne pas s'auto-diagnostiquer une maladie psychologique théorique suite à ces simples questions ; il s'agissait juste de s'en servir pour "faire le point", en quelque sorte.
Une conclusion à tirer de ses résultats, s'il y en a bien une, c'est que la "pondération" qu'on accorde à différents événements (on peut appeler ça une sorte de sensibilité) est ce qui va influer sur nos états euphoriques et dépressifs, de grande énergie ou de grande fatigue, d'insomnie comme de passage à vide (à moins d'ailleurs que ce ne soit l'inverse, mais les deux sont liés).
La conclusion serait donc qu'il faut relativiser, bien plus que prendre des médocs...
Et aussi, nos états euphorico-créatifs et profondément tristes sont des états humains très normaux (il n'y a qu'à voir le nombre qu'on est à avoir des nombres importants dans ces tests), que 6 à 8 % de la population a ça - je ne parle pas bien sûr des cas extrêmes nécessitant forcément un traitement - et que si on ne voit ça chez aucun de ses amis proches, chez sa famille, ou sa compagne, et bien c'est normal, ils ne font pas partie de ces 6 à 8 %
Tout comme l'auteur de cet article, et plus encore que lui, et tout comme Sihaya, je dirai qu'il faut bien réaliser que les traitements psychologiques ne sont pas recommandés à moins de cas extrême.
Parler du divorce n'est pas non plus tabou, par exemple, quand bien même ces choses rendent des personnes très malheureuses (ou heureuses d'être débarrassées d'un poids qui pesait sur tout leur avenir).
Pour ma part, cette lecture m'a au moins un peu renseigné, quand bien même je n'accorde aucun poids décisionnel à la science de la psychologie qui me paraît encore bien trop inexacte (et un peu dangereuse).
Ca me permet de savoir qu'en effet, si je présente tout ça, et que ma compagne ne le présente pas, ni mes parents, ni mes amis proches, et bien ce n'est pas grave, je pourrai presque leur en parler et leur dire :
"aujourd'hui je me sens très très fatigué, il faut m'excuser, vraiment" et eux ne seraient pas surpris quand bien même ils m'auraient vu en super-forme juste quelques temps avant ;
Je pourrai aussi leur faire comprendre que ceratins choses qu'ils peuvent dire (si ce sont des choses pensées à tort, ou légèrement blessantes) peuvent aussi tourner en boucle dans mon esprit qui va les ressasser pendant des heurse d'insomnie.
Je pourrai en fait leur faire comprendre ce degré de sensibilité que semblent partager beaucoup d'autres gens, que cela passe par des "sentiments euphoriques de puissance" qui m'entraînent sans doute à créer, à les solliciter, à les rassembler, à essayer de les amuser, à essayer de leur apporter beaucoup ; mais aussi un sentiment d'échec quand je n'arrive pas à apporter quoi que ce soit.
En vérité, cela démarginalise, plutôt que de laisser un individu être marginalisé parce qu'il ne voit pas ses comparses présenter le même profil psychologique.
En fait, pour finir sur une note plus amusante... ça se trouve, cela explique même le fait d'écrire des posts trop longs
alors là c'est un autre débat, si tu veux on peut le lancer Je me souviens d'une discussion trés interessante à ce sujet avec Klian lors d'une rencontre de la pierre
Parler du divorce n'est pas non plus tabou, par exemple, quand bien même ces choses rendent des personnes très malheureuses
ça c'est autre chose, je dirais presque que ça n'a aucun rapport, en tous cas je le vois comme ça , c'est un sujet grave et personel mais comme le mariage. C'est ce que ça represente dans notre societe qui pourait être un débat tres interessant.
je n'accorde aucun poids décisionnel à la science de la psychologie qui me paraît encore bien trop inexacte (et un peu dangereuse).
Tiens je suis devenue dangereuse Attention Teariens!!! Une future psychologue est parmis vous !!!!
Sincerrement , ça me blesse presque ce que tu penses. Je discuterai bien de ça avec toi, mais de vive voix car un post repondant à ça risque de faire de moi une aekarienne
Ce test, et la façon pas si sérieuse dont je l'ai posée à la façon des "cosmopolitan" très aimés de la gente féminine
Pas de moi ni d'aucune de mes amies , mais on est un faible echantillon de la population... bref, les test type qu'on peut trouver dans ces revues sont loin d'avoir la même portée et la même gravité.
Et en ce qui concerne la fin de ton post, je ne saurais que dire si ce n'est en privé...
Tu n'es pas dangereuse en devenant psychologue, c'est suivre un traitement qui peut être dangereux pour le patient. J'ai dit que la psychologie était dangereuse, parce que je trouve les traitements diagnostiqués souvent diagnostiqués à la va-vite, en fait.
Tiens je suis devenue dangereuse Attention Teariens!!! Une future psychologue est parmis vous !!!!
Sincerrement , ça me blesse presque ce que tu penses.
Tu as émis une conclusion hâtive sur ma phrase. C'est ce que je déteste à chaque fois que j'en écris long, on en prend la moitié.
Etudier la psychologie est une bonne chose : cela doit receler beaucoup d'informations passionnantes. Mais il faut savoir conserver son esprit critique et sa capacité à remettre en question toutes les choses qui, de fait, ne peuvent pas avoir autant valeur de vérité que la simple loi de gravité que l'on peut mesurer, peser, compenser. Freud par exemple a donné des principes difficilement aussi quantifiables et aussi vérifiables que cela.
Je connais un "psychiatre", par exemple, qui fumait un joint pendant que sa patiente de 17 ans lui racontait l'histoire de viol qu'elle venait de traverser. Et ceux qui se contentent de diagnosticer des surdoses de médicaments... sont assez nombreux. Ce dernier point pour dire qu'il y a psychiatre, psychologue, psychothérapeute, et que parmi eux il y a des bons et des mauvais, et des mauvais qui sont très dangereux (dont des titulaires).
Je pense qu'il faut bien peser la chose avant de suivre un traitement "en dur", avec médicaments.
Pour la parenthèse sur Cosmo, j'ai écrit "la façon pas si sérieuse dont je l'ai posé à la façon des cosmopolitan" pour dire : je voulais parler de la façon pas si sérieuse dont j'avais posé le test, qui était similaire (selon moi au moment où j'ai choisi d'écrire ce sujet) à la façon pas si sérieuse dont sont posés les tests de Cosmopolitan. Ce test bien sûr n'aurait rien à faire dans un Cosmo et ne s'y trouverait jamais. En fait, si, il se serait juste appelé "Test : êtes vous dépressive ?" et "Test : êtes vous maniaque ?" avec un prélude d'explication sur la psychologie, avec un petit décompte en points disant en conclusion qu'il faut prendre du repos et du recul, "peut-être des vacances à l'extérieur avec votre doux chéri... ou sinon des vacances à l'extérieur pour en trouver un !" (ce qui est du ton Cosmo ça j'en ai survolé quelques uns à Rose).
C'est le mot "bipolaire" qui vous a fait rebondir. Moi, ce qui m'a rassuré c'est de voir les degrés de bipolarité et de voir qu'il y a un autre domaine que ceux reconnus "vraiment" dans le monde psycho-médical nécessitant un traitement.
J'ai dit que la psychologie était dangereuse, parce que je trouve les traitements diagnostiqués souvent diagnostiqués à la va-vite, en fait.
Ce n'est pas la psychologie qui est dangeureuse ( qui plus est c'est comme la medecine , ya pleins de specialités, chez nous on manie pas les antidepresseurs), ce qui est dangeureux c'est sa pratique par des gens pas assez formés.
Quoi qu'il advienne c'est comem de dire que la medecine ou la dietetique est dangeureuse. Ca me choque que les antidepresseurs et autre anxyolitique soient distribués à tire larigot ( alors là je sais vraiment pas comment ça peut s'écrire!) par le generalistes et certains psychiatres et on a là tout un systeme à revoir. Mais pour la pmd , et je suis d'accord il y a certains niveau, pour certains patients, ça peut s'avere desastreux d'arreter de prendre ses medicaments ou de ne pas les prendre.
J'ai connue une fille qui en souffrait, elle etait tres serieuse et etudiat beaucoup. Puis elle a arreté de prendre ses medicaments , elle s'est retrouvée en totale euphorie, elle n'a plus trouvé bon d'aller en cours et de passer ses examens... Elle a du passer tout un semestre en septembre avec ses medicaments!!!! Je ne donne que cet exemple car bon , deontologiquement je ne peux pas parler des autres , mais j'ose esperer que vous comprenez.
Mais je parlais moi aussi des exemples "que je connaissais" à travers les personnes dans mon cercle proche qui ont vécu ces choses.
Ce qui me laisse imaginer tout ce que je ne connais pas, sur ce qui est prescrit ! Si déjà toutes les remontées que j'ai eu par moi-même ou d'autres sont si terribles, je n'ose imaginer ce que se passe en dehors de ce que j'en connais, moi qui ne suis qu'un parmi tant...
Je connais bien plus de médecins généralistes peu dangereux, qu'ils soient bons ou mauvais, que son équivalent de psys, donc je juge par rapport à ça. Généralement, le mauvais médecin prescrira des antibiotiques à tort et à travers, là où le mauvais psy vous mettra sous antidépresseur assez extrêmes... et les conséquences ne sont pas du tout les mêmes ! C'est donc bel et bien le métier qui fait le danger dans ce cas précis, quand il est combiné à l'homme.
Ce serait un autre débat, mais il m'est difficile aussi parfois de percevoir "l'humanité" d'une personne sous antidépresseur avec une dose impotante (encore que pas très importante comparé aux cas médicaux sévères). J'ai été une fois avec une personne qui m'a avoué être sous antidépresseur. Elle avait des avis moyens sur tout, elle ne prenait jamais d'initiative, n'avait pas de grande passion, et dès qu'elle n'en prenait plus quelque temps, elle retrouvait son humanité, celle qui m'avait fait la découvrir. Sans doute aussi avec les doutes, les passages à vide qui ont fait que cela lui avait été prescrit...
Mais avec les choses de la pensée humaine, il ne faut jamais jouer. Le sacrifice qu'on fait en prenant ces choses influant sur notre état d'esprit est assez grand en fait ; il faut donc à tout prix qu'il compense un état trop dangereux, sans quoi... on perdrait le principal, pour éviter le "possible". Ceci dit, attention, je ne parle pas ici de ne pas traiter les cas extrêmes par les seuls moyens qu'on connait qui sont des solutions actuellement.
Tu sais Arwen, on ne vit qu'une fois, notre époque en France veut qu'il paraisse sérieux de passer son temps en études puis de passer son temps à travailler pour "sa retraite", mais l'être humain, c'est aussi gambader dans la forêt sans rien avoir en tête que d'admirer le monde, et je pense que chacun a besoin d'une ou deux étapes dans sa vie où il faut se couper de certaines responsabilités qu'on nous impose pour apprendre notre vraie voie.
La faculté de détachement je suppose a aussi certains degrés, dont certains des extrêmes (qui doivent être ceux que tu connais, et je comprends alors tout à fait)...
Mais pour donner un exemple tout à fait théorique, supposons que l'on découvre plus tard que certains troubles de l'esprit auxquels on a diagnostiqué des solutions plutôt draconiennes, aient en fait pour origine une carence dans une simple vitamine qu'on ne connait pas encore, carence qui entraîne un déréglement hormonal ; ce genre de carence peut d'ailleurs tout à fait être héréditaire.
On se dirait alors... mais quel mal avons-nous causé, par ignorance, à tous ces pauvres gens !
C'est pourquoi je pense justement qu'il faut étudier ces choses de l'esprit, mais toujours savoir remettre en question les choses, car on est dans un domaine difficilement quantifiable qui repose sur des piliers que moi je qualifie d'encore branlants (c'est un point qui peut être défendu je pense, dans une longue argumentation, mais tu as compris mon idée je crois).
Aekar tu t'aventures , j'ai bien peur, dans un univers que tu méconnais.
Bref j'inciste pour dire que ce sont beaucoup de generalistes qui prescrivent ces cochonneries ( z'auriez dû voir ma tête quand ma soeur partie chez le medecin pour un rhume est revenue avec une boite d'antidepresseurs!!!! elle avait juste un coup de blues!!!!J'aurai étripé le medecin!!!!) Helas les generalistes font trés peu de psycho au cours de leurs etudes et sont donc quasiment les plus mal placés pour les prescrire. Les psychiatre c'est un peu la même et les psychologues ne peuvent pas en prescrire.
Pour ce qui est de la recherche, les neurosciences ont découvert pas mal de choses deja, mais je vais pas te refaire plusieurs années de cours de neurobio...
Heu... moi je voulais juste dire que les psychologues ne sont pas remboursés par la sécu et que les médecins généralistes oui...donc et bien quand on n'a pas les moyens d'aller voir un psychocologue , le généraliste et les antidépresseurs restent malheureusement la seule alternative.
J'ai pu constater une fois à quel point il était facile de se faire prescrire des anti-depresseurs. Bon, j'étais dans un état assez "grave", j'étais plus que simplement déprimé. Mais en 15 minutes l'homéopathe m'a prescrit ça! D'ailleurs, ces médocs m'ont couté bien moins cher que les autres trucs doux que j'avais acheté avant pour me calmer. (A peine 2 euros, contre une dizaine pour les machins homéopathiques). Bref, ça m'a quand même bien aidé à surmonter l'épreuve, et apres ça, je n'en ai quasiment jamais repris. Mais c'est vrai que je ne supporterai pas d'être sous antidepresseurs en permanence. Ca me rend toute sommeilleuse , toute molle, c'est horrible, je ne pourrais rien faire. Je pense que, dans certains cas, ça aide bien à passer des caps difficiles (surtout lorsqu'on est seul, si j'avais eu un soutient familliale proche, je n'y aurais pas eu recours), mais il faut aussi savoir s'en affranchir ensuite. Se dire que ce n'est pas parce qu'on arrête de les prendre au quotidien que tout va aller mal. Mais ça demande aussi un travail sur soi. je pense sincèrement que prendre des antidepresseurs ça ne fait qu'étouffer le mal, mais qu'il faut affronter les problèmes à un moment. Sans ça, on va prendre des comprimés toute sa vie ? Trop horrible à mon gout!
Par contre, j'avoue, quand je pars et que je sais que je vais être seule face à des situations difficiles, je les enmène avec moi, juste pour me dire que si ça va vraiment tres tres mal, il seront là. Pour le moment, ça me sert de "Roue de secours", et c'est plutot sur mon psychique que ça influe. Le seul faite de les savoir dans mon sac me rassure!
Je ne connais pas ton histoire Adelis mais l'effet placebo existe bel et bien. J'avais parlé de ma soeur plus haut avec les antidepresseurs prescrits par le generaliste. Au bout de deux jours elle allait mieux; c'est marrant mais biologiquement ça ne fait effet qu'au bout de deux à trois semaines...