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Aaaah, la Belgariade, ça me rappelle de vieux souvenirs joyeux.
En ce moment je lis "le sacré et le profane" de Mircea Eliade, à savoir un essai d'ethnologie passionnant. Mais dans un cadre plus sf j'ai commencé "la cité et les astres" d'Arthur C Clarke qui attend patiemment que j'aie un peu plus de temps pour m'y plonger vraiment.
Aelfinn de la PierreModo - Jury des Joutes - Conseil RPRelecteur
in-ter-mi-nable ou inter-minable ?
Ça va les 6 tomes derrières ne sont pas aussi chiants. Quoique... Crossroads of Twilight est pas passionnant non plus, sauf Mat. Je viens de voir sur encyclopaedia-wot la répartition des chapitres, et j'avais jamais remarqué à quel point la structure est carrée...
Aelfinn de la PierreModo - Jury des Joutes - Conseil RPRelecteur
Je sais pas trop c'est sorti comme ça. Ben au niveau des plotlines, c'est 5 chapitres de l'un, puis 5 chapitre du suivant, et ainsi de suite jusqu'à l'épilogue (en gros).
Après réflexion et vérification, c'est l'inverse. Ce sont les derniers livres qui sont pêle-mêle au niveau répartition.
Je suis en train de terminer la Saga d'Alvin le Faiseur d'Orson Scott Card. J'adore même si le dernier tome est un peu WTF. Avant ça j'avais lu la saga d'Ender et celle de l'Ombre du même auteur.
Le soucis c'est qu'il écrit plusieurs sagas en même temps et mets plus de 20 ans à les terminer. On attends encore les suites de de l'ombre et d'Alvin commencées dans les années 80... Du coup il s’emmêle les pinceaux. Ceci dit il a un groupe d'amis et de fans qui le relisent et le corrigent.
Bref, je conseille vivement la strategie de l'ombre à tous ceux qui ont aimé la Strategie Ender. C'est la suite du point de vue de Bean.
Je conseille Alvin le faiseur à ceux qui aiment la fantasy, la magie, l'écologie et les uchronies. Ça se passe en Amérique un peu après la colonisation. On y retrouve des personnages comme La Fayette, Bonaparte, Balzac, Abraham Lincoln etc...
J'ai fini il y a quelques mois le cycle d'Ender et le cycle des Ombres, et les deux sont absolument excellents. On pourrait d'ailleurs dire qu'il s'agit d'un seul et même cycle, l'un qui se produit sur une période très courte et l'autre sur une période très longue. Il y a un grand nombre de formidables idées d'un point de vue SF, de l'action bien intégrée dans le récit, de la stratégie, un développement intéressant des personnages... que du bon, à mon point de vue.
Je suis plus réservé sur le cycle d'Alvin le faiseur, que j'ai arrêté de lire il y a une bonne douzaine d'années lorsque j'ai compris que l'auteur s'en foutait et n'avait pas vraiment l'intention de le finir, sauf s'il n'avait rien de mieux à faire par ailleurs. S'il avait fait ça sur le cycle d'Ender, ça n'aurait pas eu autant d'importance parce que, même si c'est une histoire complète, chaque livre se suffit à lui-même. Sur Alvin, c'est supposé être une histoire complète qui s'arrête en plein milieu.
En effet, trois bouquins en trois ans de 1987 à 1989, puis sept ans de pause ; deux bouquins et demi en quatre ans (95 et 98), puis cinq ans de pause ; un bouquin en 2003, puis... au moins ONZE ANS de pause, puisqu'un volume est encore à paraître, peut-être en 2015... Et avec tout ça, l'histoire n'est pas encore achevée. Je ne suis d'ailleurs pas le seul à penser que Card ne finit pas son histoire parce qu'il l'a laissée se développer toute seule sans véritable plan initial. Dans tous les cas, à mon sens, c'est un grand manque de respect vis-à-vis de ses lecteurs. (Je ressens la même chose en ce qui concerne Game of thrones, à ceci près qu'en plus George Martin privilégie la série parce qu'elle rapporte plus de pognon.)
Autre réserve, le principe de l'uchronie, dont on a l'impression qu'il a un peu dépassé l'auteur - j'ai eu la sensation que Card s'était arrêté parce qu'il ne savait plus trop comment s'en sortir de façon cohérente. L'uchronie, c'est bien, mais il faut la manipuler très prudemment, il faut modifier un seul tout petit élément du passé pour voir les conséquences. Là, ça part dans du grand n'importe quoi sans qu'on n'ait vraiment d'explication, simplement parce que ça paraît cool de voir Napoléon en Amérique du nord. Card utilise l'uchronie pour créer des situations cool, genre "ouaaaiiis, j'ai fait une histoire avec plein plein de personnages historiques qui ne se sont jamais rencontrés dans la réalité, supeeeer"... Sympa, mais ça tue un peu la crédibilité de l'ensemble, à mon sens.
Et c'est vraiment dommage parce que tout ce qui concerne Alvin lui-même donne vraiment envie d'en savoir plus. On aurait pu avoir un récit absolument excellent sans avoir besoin d'en faire des tonnes sur l'uchronie. Le système de "magie" est très bon, l'incorporation du folklore nord-américain est vraiment une belle réussite, Card sait vraiment écrire.
Bref, décevant, mais il est vrai que je me suis arrêté au milieu d'une série qui n'a pour l'instant jamais été achevée... peut-être que je reprendrai le tout si jamais il se décide à publier la fin. Mais rien n'est moins sûr !
Je suis assez d'accord avec toi au sujet D'Alvin et d'Orson Scott Card.
Je reproche à l'auteur d'être négligent. Néanmoins il l'avoue lui même avec ses longues pages de remerciement où il admet clairement que ses fans connaissent mieux son œuvre que lui. Il les remercie (notamment pour le cycle de l'ombre de d'Ender) de lui avoir fait un tableau avec les événements chronologiques. Il s’emmêlait les pinceaux. J’apprécie aussi qu'il remercie ses traducteurs de lui avoir fait remarquer les incohérences et de les avoir corrigées.(J'ai une copine traductrice d'une grosse saga de bit-lit qui n'a pas cette chance, elle doit jongler avec les incohérences de l'auteur qui n'en n'a rien à faire).
Ceci-dit c'est réellement dommage car l'auteur a vraiment du potentiel. Une fois encore j'aime beaucoup ses univers que ce soit celui de l'Ombre ou celui d'Alvin.
En ce qui concerne Alvin, l'Uchronie me fait marrer plus qu'autre chose. Je ne suis pas férue d'histoire et du coup relève un peu moins les incohérences à ce niveau là. Je suis en train de terminer le 6eme tome et même si au début de celui-ci j'étais assez contrariée (disparitions illogique de personnages secondaires importants, cafouillage dans les dates et les ages...) je le lis quand même avec plaisir. Je tiens aussi à dire chapeau au traducteur d'Alvin qui n'est autre que Patrick Couton le traducteur de Pratchett! Il jongle avec un vocabulaire de campagnards du 19eme siècle. C'est délicieux!
Le cycle d'Ender m'a moins plu. Un peu trop teinté de religion (on a parfois du mal à oublier que Card est mormon) et de discours philosophiques inintéressants (pour moi). Certains passages sont néanmoins chouette mais je me suis arrêtée à 200 pages de la fin du 4eme et dernier tome. Personnellement je ne le conseille pas à ceux qui ont aimé la stratégie Ender. Je conseille plutôt le cycle de l'ombre qui est beaucoup plus dans la continuité des thèmes du roman principal.
Lilla Mu ! Bizarreland........ Das ist das Land der begrenzten Unmöglichkeiten
Piou, ça fait longtemps que j'ai lu Alvin, mais je me souviens d'avoir été très déçue par le dernier tome. Il m'a laissé un souvenir de grand n'importe quoi.
Et c'est bien dommage parce que j'aimais beaucoup cette série.
Sinon, j'ai enfin fini The Path of Daggers et j'ai remarqué un truc : autant il est dur d'arriver au bout, autant la fin donne quand même envie de lire la suite...
Enfin, je fais quand même une pause, là je viens de finir Trop de bonheur d'Alice Munro. Certaines nouvelles sont bien glaçantes, parfois déroutantes. Par contre j'ai trouvé la nouvelle qui donne son titre au recueil un peu déplacée, pas vraiment dans l'ambiance, je ne sais pas si c'est fait exprès.
Petite anecdote : sans avoir lu le cycle de Card ( je connais pour avoir lu quelques infos et résumés sur cette saga), j'ai acheté le jeu Zone of the Enders 2 en pensant que c'était adapté de la Stratégie Ender.
Alvin ça m'a laissé effectivement un sentiment de grande déception. Des premiers tomes super mais qui deviennent peu à peu de plus en plus longs, de plus en plus confus, pour qu'au final la longueur et la confusion prennent le pas sur l'intérêt...
Zone of the Enders 2 n'a effectivement pas l'air de vraiment coller avec l'histoire du cycle d'Ender
Par curiosité, j'ai regardé le film, et même si c'était plutôt bien fait et qu'il était sympa de mettre des visages sur les différents personnages, ça ressemblait trop à un résumé du livre pour être vraiment réussi.
J'ai terminé Alvin. Je n'ai pas été autant déçue par la "fin" que la plupart des gens. Peut-être parce que je l'avais déjà été beaucoup par le début de ce "dernier" tome. Les personnages disparus au début finissent par réapparaitre, presque en tant que figurants et sans aucune explication quant à leur disparition. Frustration.
Je ne regrette pas cette lecture bien au contraire et continuerai à recommander cette saga qui est riche en sentiments humains.
J'étais déjà en train de la lire alors que j'étais au Japon, visitant des temples aux jardins zen fabuleux, me disant que ce serait merveilleux de vivre dans des endroits pareils. Transportée par le Chant Vert d'Alvin je me suis rendu compte qu'il manquait quelque chose. La nature est tellement travaillée qu'il n'y a presque plus de faune. Pas de pépiement d'oiseaux, pas de bruits si ce n'est celui d'un ruisseau ou d'une fontaine quand il y en a.
Alvin m'a fait beaucoup réfléchir à ce moment là. Je ne rêve plus de vivre dans un tel endroit aussi magnifique soit-il.
Par ailleurs j'ai commencé L'Homme-rune de Peter V. Brett suite aux recommandations de DS et d'un ami en commun. L'écriture à moins de charme que celle de Card (je crois que c'est ce qui m'a rendue addict dés les premiers dialogues) mais les personnages sont intéressants. J'ai hâte d'en savoir plus sur Leesha, une héroïne pleine de caractère qui ne semble pas tomber dans l’écueil du personnage masculinisé et/ou imbuvable.
En ce qui concerne le film La Stratégie Ender, oui il est décevant, c'est évident. En 1h20 on ne pouvait pas retranscrire tout le livre dont chaque ligne a son importance. Dés le début tous les personnages apparaissent dans la même navette alors que ce n'est pas le cas en réalité. Ils n'ont pas le même age et n'arrivent pas à l'école la même année. Passons. L'évolution d'Ender, tout le cheminement qui en fera The commandant passe aussi à la trappe. Cependant j'étais ravie de visualiser ce que j'avais du mal à imaginer. Les salles de combat lors de ma lecture m'ont posé un réel problème. J'ai été émerveillée par ce qu'ils en ont fait à l'écran.
Les enfants acteurs (à part celui qui joue le rôle d'Ender) n’étant pas charismatiques ont vite été oubliés par mon cerveau, ce qui du coup n'a pas gêné ma lecture pour le cycle de l'ombre. J'avais même oublié qu'Alaï était noir (ce qui a son importance par la suite).
Je suis à 80 pages de la fin de La guerre du jour, le 3ème tome du cycle des démons de Peter V. Brett (il en fait plus de 800). Je n'ai jamais envie de lâcher le bouquin et pourtant je redoute d'en arriver à la fin et de devoir attendre de longs mois pour avoir la suite, le tome 4 sortant en mars en VO.
J'ai adoré et j'adore toujours cette lecture, depuis le premier tome. Riche en personnages attachants.
J'adore le personnage de Leesha qui change des personnages féminins que l'on voit d'ordinaire dans la fantasy. Hélas les autres personnages féminins tombent dans l’écueil des personnages féminins manipulateurs ou masculinisés.
Ce qui ne me ferait pas donner la note maximale à cette série ce sont les scènes de sexe. A la première j'étais perplexe. Depuis je le suis toujours. C'est cru, à la limite de la pornographie. Du coup ça me rappelle une discussion lancée par Gael sur Facebook quant à la pertinence d'inclure une scène de sexe dans un roman/une nouvelle. Personnellement je préfère l’érotisme, la suggestion plutôt que le détail cru.
Le sexe est important dans ce cycle, il a notamment des enjeux politiques, il est source de manipulation mais Brett est-il obligé d'amener autant de détails?
Du coup j'en viens à me demander si cela n'est pas amplifié par la traduction. La phrase "Tu l'as baisé?!" prononcée par un personnage était-elle réellement "You fucked him?!" dans la version originale? Si oui, je n'accroche pas à la démarche de Brett.
Mais bon, sincèrement, si je devais noter ce cycle je lui mettrais un 9.75/10. C'est le livre le plus prenant, le plus riche, le plus intéressant que j'ai pu lire.
Je n'ai pas lu autant que la majorité d'entre vous. J'ai quasiment cessé de lire pendant mes 4 années en Belgique et je lis lentement. De plus beaucoup de mes lectures étaient basées sur les conseils d'une ancienne amie qui est critique jeunesse pour Elbakin. Du coup ma liste de livres lu est largement plus petite que celle de certains de mes amis. Ceux-ci se sont empressés de me conseiller d'autres romans que je devrais adorer. J'ai beaucoup de choses à découvrir dans le domaine de la fantasy et de la science-fiction. J'ai hâte!
Un truc génial pour lire plus vite : les audiolivres ! C'est une super alternative et la grande majorité des bons livres de SF/Fantasy en anglais existent en audiolivre.
En ce qui concerne les scènes de sexe, je suis d'accord avec toi sur le fait que les allusions sont suffisantes. Cela dit, j'ai l'impression que la démarche d'un certain nombre d'auteurs est de traiter le sexe exactement comme la violence. Les scènes de violence (à commencer par les scènes de combat) sont très souvent décrites dans le détail, donc les scènes de sexe doivent faire l'objet d'un traitement identique. La question est double : pourquoi apprécie-t-on autant la description de scènes de violence au sens large, et ces raisons peuvent-elles s'appliquer aux scènes de sexe ? Et par extension, pourrait-on envisager un roman de fantasy ou de SF où les scènes de combat et de violence sont suggérées plutôt que décrites en détail ?
En ce qui concerne le livre dont tu parles, je ne connaissais absolument pas... je vais mettre ça sur ma liste de livres à lire, qui est elle aussi infiniment plus longue que ma liste de livres lus
Màni, je trouve que tu soulèves une question très intéressante.
La première réponse qui m'est venue à l'esprit c'est l'imaginaire. Je lis de la fantasy et de la sf pour m'évader, voyager dans un univers totalement différent de mon quotidien. La violence ne fait pas partie de "mon" monde, toutes les descriptions de batailles, bagarres à coup de magie, de dragons ou de "sharusak" relèvent donc pour moi de l'imaginaire et me permettent toujours de m'évader.
J'ai réfléchi encore un peu et me suis souvenu que lors de ma lecture du cycle des démons (terminé hier soir)les seules scènes de sexe que j'ai pu apprécier étaient celles mettant en scène les Damaji'ting et leurs mini-cymbales. Pourquoi ? C'est exotique (cela ne fait pas partie de mon univers) mais c'est aussi suggéré. Pas de description précise de cette "danse des coussins".
J'ai, du coup, essayé de penser à des scènes de violence qui auraient pu me mettre mal à l'aise. Les scènes de viol me gênent. Peut-être parceque je suis une femme? Mais là sexe et violence se mêlent... Cherchons encore un peu... Non, je ne vois pas. J'ai pu pleurer et me sentir mal à la lecture de certaines scènes mais à aucun moment je me suis dit que l'auteur en faisait trop.
"pourrait-on envisager un roman de fantasy ou de SF où les scènes de combat et de violence sont suggérées plutôt que décrites en détail ?" Ma réponse est non.
Du coup si les scènes de sexe décrites trop crument me gênent est-ce une question de tabou? Je ne pense pas avoir de problème avec ça cependant je préférè quand même quand c'est suggéré.
En ce qui concerne les audiobooks j'y ai déjà pensé mais j'aime trop lire et ça ne s’inclurait pas bien dans mon quotidien : je lis dans le rer, pendant ma pause et la nuit avec ma liseuse rétroéclairée pour ne pas déranger mon copain.
J'ai finis la Belgariade et la Mallorée et j'enchaine sur la Trilogie du Magicien Noir de Trudi Canavan. Les deux premiers tomes sont pas mal, ça se lit tout seul sans difficulté mais bon reste encore le tome 3 a lire ainsi que les les Chroniques du Magicien Noir. Je me demande si ils seront a la hauteur de mes espérances.
Apres avoir terminé le cycle des démons j'ai plongé dans les chroniques du tueur de roi de Rothfuss. J'ai adoré. Je n'ai même pas les mots pour expliquer à quel point j'ai aimé. On passe par toutes les émotions. Les personnages sont hyper attachants. Je l'ai terminé et depuis je vis ça comme une rupture, Kvothe me manque! Il y a encore des moments où je me dis "Chouette! Je vais pouvoir ouvrir ma liseuse et... Ah, non! Merde! J'ai terminé mon fabuleux bouquin!" Et là c'est le drame!
J'ai aussitôt commencé La horde du Contrevent de Damasio. Je ne savais même pas de quoi ça parlait, je ne savais même pas que c'était de la sf. J'ai du mal, vraiment du mal.
Cette critique trouvée sur Babelio m'a incitée à poursuivre :
"Vous lecteurs !!! Vous comptez lire La Horde du Contrevent ? Et vous pensez pouvoir le faire tranquillement sans efforts ? Assis sur votre canapé en sirotant un petit jus alors que le pack contre pour survivre à la trace ? Mouhahahaha, je rigole !! Vous êtes naïf. Ce ne sera pas si simple. La Horde ça se mérite !
Vous voulez être des leurs ? Alors préparez-vous à souffrir. Il vous faudra d'abord passer le premier cap des 100 pages en acceptant de ne pas tout comprendre. En acceptant ces étrangers dont on ne sait rien. Puis, pour ne rien arranger, il y a ce texte compliqué, rempli à chaque page de mots inconnus et qui ne veulent pas toujours dire quelque chose. Il faudra également faire avec une numérotation des pages inversée. Après avoir tourné la première il est indiqué 615 ouch. Et enfin, pour rien arranger, à chaque page il y a un mot partiellement recouvert de symboles qui oblige le lecteurs à une attention particulière.
Si vous arrivez à contrer les 100 premières pages, les membres de la Horde commenceront à vous respecter. Ils vous ferons une petite place dans leur groupe et vous permettront au fil des 100 pages suivantes de faire connaissance, de prendre conscience d'être face à un groupe exceptionnel. Ils sont 23, les meilleurs ! " Par Wiitoo.
J'ai imprimé la liste des symboles pour savoir qui parle. Au bout de 100 pages on nous présente enfin la horde. Je vais peut-être commencer à accrocher. Je me suis donné 200 pages pour décider si je poursuis ou pas. Je suis une béotienne en ce qui concerne la sf et là c'est probablement trop pour moi. Wait & see.
