La Pierre de Tear fait peau neuve ! L'aventure continue sur www.pierredetear.fr !
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Ces hommes, ils sont vraiment tous idiots et butés !
Sûr ce.
L'Aes Sedai fait signe à Maelyne de sortir, et la renvoie dans sa cellule.
Je vous laisse jusqu'à ce soir. Quelques Gardes veilleront sur vous, pour que vous ne vous perdiez pas dans la Tour. Vous me trouverez sans trop de difficultés.
Se rapproche de la porte, et lance avant de sortir :
Ne vous avisez pas de vous approcher de Maelyne sans autorisation, ou sans être accompagné. *Cet homme est dangereux, il pourrait faire du mal à cette pauvre petite. La pauvre, elle n'est vraiment pas gâtée..
Vieux routard revenant des brumes du temps passé....
Perceval, sûr de lui, salut l'Aes Sedai de facon encore plus infime que precedamment et attend les chiens de gardes mis a sa disposition...
Encore des jeunes gens, sans experiences...
Allons dans la cours des liges...
Perceval descend avec son escorte dans la cours des liges pour s'y entrainer avant de partir se coucher pour une chasse Revée qui sera des plus amusante il le sait!
[i]Regarde l'AE et le vieux loup se disputer comme des entetés ...
Ais soudain la désagréable impression de ne plus maitriser ce dans quand j'ai mis les pieds, et de plonger a nouveau dans les ennuis!
Reste plantée la betement sans savoir quoi dire...
Sur le chemin menant de la buanderie à la chambre de Cersei Sedai - Lisbeth
[i]Bien des heures ont passé depuis que messire Brandin m'a quittée sur une menace, il est temps pour moi d'accomplir ma mission... Une pile de linge frais sur le bras, j'approche de la chambre de l'Aes de feu et de glace, en tremblant. Cersei Sedai m'a toujours impressionnée... comme tout le monde ici ?
A ma taille pend un trousseau de clés, je choisis la quatrième, tourne, et pousse la porte.
Les rideaux ont été tirés, la chambre est imprégnée d'une légère odeur de renfermé. J'ai promis de l'aérer, ce sera donc mon premier geste, après avoir soigneusement fermé (rpoff/pas à clé ) la porte derrière moi. De la fenêtre s'étend une vue imprenable sur Tar Valon, blanche et calme sous la lumière douce du jour. Dans une dizaine d'heures, il reviendra... Je jette un coup d'oeil nerveux à la pièce. J'ai l'impression que Cersei va rentrer d'une minute à une autre. Elle a certainement rejoint l'armée, à présent... C'est une petite chambre, au mobilier simple mais élégant : un lit de chêne d'une largeur plus que respectable, deux chaises, un petit bureau dont le coin gauche supporte un miroir, une armoire et un grand coffre.
J'ouvre la porte de l'armoire pour y déposer soigneusement le linge et entreprends de la fouiller méthodiquement : il n'y a rien qui concerne maîtresse Menoly. Elle ne contient que des vêtements et affaires de toilette, quelques objets personnels auxquels je n'accorde aucune once d'intérêt.
Je me tourne vers le bureau :
[D10]:
Les tiroirs en sont fermés. Pas de clé visibile. Il me faudra demander à Nathaël de les forcer, peut-être. Rien ne traîne sur le bois patiné par l'usage, tâché d'encre renversée, griffé par quelque accès de colère. Cersei a visiblement pris ses précautions avant de quitter les lieux. Il faut bien qu'elle ait rangé quelque part tout ce qu'elle a pris dans la chambre de maîtresse Menoly, elle ne peut avoir tout emporté avec elle...
La main inquisitrice qui s'y pose se recule immédiatement, sous l'effet d'une forte chaleur.
Lisbeth berce sa main endolorie : le coffre a été piégé par le pouvoir unique !
Mais que diable allait-elle faire dans cette galère ?
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Mildred, Elora et Vella En suivant discrètement Lisbeth afin de lui dérober le journal de Menoly q'elle doit ammener à un autre ami des ténèbres, nous entrons prudamment dans le quartier des Vertes ... Lisbeth rentre dans la chambre de Cersei. Elle ferme la porte.
Afin de ne pas nous faire remarquer lorsque Lisbeth sortira, nous nous cachons dans un coin, et je refais le tissage qui nous permettait de nous cacher aux yeux dea autres. J'essaie d'utiliser le moins de pouvoir possible ([d10] ) afin de ne pas nous faire remarquer par d'éventuelles Aes Sedai ... Même si la plupart des vertes sont parties et que dans la tour on ne fasse pas attention aux tissages qu'on peut remarquer un peu partout, c'est toujours plus prudent.
off : c'est le livre sur les prophéties, pas le journal de menoly
Apres un long conciliabule, nous avons décidé d'attendre que Lisbeth sorte de la chambre de Cersei et voir ce qu'elle a pu y dénicher. M'ayant remis en mémoire divers épisodes subis à l'orphelinat, je capte la vraie source ce qui me permet de voir avec quelle facilité Mildred reproduit son tissage d'invisibilité.*J'espère un jour être aussi douée.*
Quelquepart dans un recoin de mon esprit, je sens la bague s'éloigner de plus en plus. Sans trop savoir comment, j'ai la certitude que Brandin ne l'a plus en sa possession.*Aucun cheval ne peut avoir été aussi loin en seulement quelques heures ...Coment peut elle se déplacer aussi vite...* L'image des corbeaux qui nous ont attaqués cette nuit là s'impose à mon esprit et un frisson glacé m'envahit. *Allez reprend toi ma grande. Tu ne peux pas te laisser distraire par ça.*
Retrouvant mon contrôle, je reporte toute mon attention sur la porte et sur le couloir, mes sens aux aguets.
A côté de Mildred et d'Elora je tente de ne pas laisser transparaître ma contrariété. Je n'ai pas réussi à les convaincre de me laisser y aller seule. *Tant pis ma chère Lisbeth, je trouverai une autre occasion de me faire connaitre de vous et du Seigneur Brandin...* Une lueur maléfique apparait alors fugitivement dans mon regard pour disparaitre aussitôt...
Une nouvelle tentative d'effleurer le coffre se solde par une brûlure un peu plus douloureuse. Lisbeth sent les poils de ses bras se hérisser, sous le contact du PU. Qu'y pourrait-elle, petite lavandière ?
* soupire *
Il ne me reste plus qu'à explorer un peu plus le bureau.
* tire une épingle de ses cheveux *
Je ne peux pas demander à Nathaël de forcer les tiroirs, cela serait bruyant et nous ne savons pas quand Cersei Sedai reviendra...*
* tentative de crochetage *
Le premier tiroir s'ouvre à grand peine sur une pile de papiers divers et variés : ce qui semble être des poèmes maculés d'encre (rpoff/les prophéties trouvées par Mildred), des papiers recouverts de l'écriture sinueuse de maîtresse Menoly qui n'ont pas de sens aux yeux d'une petite lavandière, des lettres qui semblent être sa correspondance sa famille. Lisbeth reconnaît d'un coup d'oeil la graphie torturée de messire Brandin et s'empare avec avidité du paquet qui disparaît dans une poche de sa jupe.
Curieux que Cersei ne l'ait pas emporté ? Peut-être n'a-t-elle pas jugé bon de s'encombrer d'informations qu'elle connaissait déjà.
Le tiroir ne contient rien de plus probant, les autres ne livreront aucune réponse... Ce sont les affaires personnelles de Cersei, Lisbeth choisit de ne pas s'y attarder.
* coup d'oeil inquiet au coffre *
Je me demande ce qu'elle a pu y dissimuler *
*L'épingle à cheveux que Lisbeth a approché de la serrure du coffre se consumme entre ses doigts tremblants. Quelques cendres tombent à terre, qu'elle oublie de ramasser.*
Je ne suis pas de force à affronter cela... Nathaël ne le pourra pas plus... et les autres membres de l'Ajah Noire ont quitté la Tour depuis belle lurette... Il comprendra...? Je lui rapporterai ces papiers comme gage de ma bonne foi... Peut-être pourrais-je dérober le livre à la bibliothèque pour lui remettre... on ne me laissera pas y rentrer... Il comprendra ?...
*La lavandière est livide de terreur, elle tord ses doigts avec anxiété. *
Je ne peux rien faire de plus... Il me faut lui dire... Il comprendra, il ne pourra faire autrement que comprendre...?
* quitte la pièce à petits pas nerveux, après un dernier coup d'oeil derrière elle *
Tout est si bien rangé... Je n'ai rien pu rater... si seulement ce coffre... !
* tire la porte derrière elle... et la referme à clé*
* s'adosse contre la porte, jette un coup d'oeil à droite et à gauche dans le couloir *
Ouhlà, y'en a une des trois qui a respiré trop fort !
* voix tremblante *
Il... il y a quelqu'un ?
* souffle précipité *
Je passais juste apporter du linge propre. Montrez-vous, s'il vous plaît, j'ai peur... avec toutes ces rumeurs sur l'Aj... tous ces problèmes, je... où êtes-vous ?
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off : allez, j'ai un peu de temps ce matin sinon, je ne serais pas là ce week end à partir de sammedi midi jusqu'a dimanche soir j'espère que ca ne vous dérange pas trop.
Je vois Lisbeth ressortir de la chambre ... elle n'a rien avec elle, serait-ce possible ? C'est une chambre d'Aes Sedai après tout et il est possible que Cersei ait protégé ses affaires les plus précieuses ...
« Il... il y a quelqu'un ? »
« Je passais juste apporter du linge propre. Montrez-vous, s'il vous plaît, j'ai peur... avec toutes ces rumeurs sur l'Aj... tous ces problèmes, je... où êtes-vous ? »
*Oh Lumière, comment a-t-elle pu nous découvrir ?* je jette un regard anxieux a mes deux comparses les intérrogant du regard sur ce qu'il conviendrait de faire ... Je n'ose pas intervenir. Que faire ?
Lisbeth ressort de la chambre, les mains vides. *Elle n'a pas réussi à trouver le livre...*
Il... il y a quelqu'un ?
Je passais juste apporter du linge propre. Montrez-vous, s'il vous plaît, j'ai peur... avec toutes ces rumeurs sur l'Aj... tous ces problèmes, je... où êtes-vous ?
Je jette un cou d'oeil à mes amies. Aucune d'elle ne sait comment réagir. Je vois alors une occasion s'offrir à moi.
Devant le regard surpris de mes compagnes, je sors de la limite du tissage d'invisibilité. Le dos droit, le regard sévère je me dirige vers Lisbeth.
Que faites vous là? Vous n'avez rien à faire ici. Les Aes Sedai sont toutes parties à la guerre.
Ne lui laissant pas le temps de répliquer je l'attrape par le bras et la conduit vers la sortie des appartements de l'Ajah Verte, assez loin pour ne pas être à portée d'oreilles d'Elora et Mildred...
*Sans et sacré cendres. Nous nous sommes faites repérées par cette Lisbeth!!* Avant d'avoir eu le temps de faire quoi que soit, je vois Vella l'apostropher et la conduire loin de la chambre de Cersei.
Profitant de la diversion de Vella, j'entraine Mildred vers la porte de la chambre. Malheureusement celle-ci est fermée à clé.
[d10]
Retirant une épingle de mes cheveux, je tente de crocheter la serrure come je l'ai fait tant de fois à l'orphelinat. Mais malheureusement je n'y arrive pas . Je chuchote anxieusement à Mildred :
Essaye, toi, avec la saidar. Avec un flux d'air ou de terre peut-être ?!!
rpoff. je m'étais dit que je bosserai toute l'après-midi, mais je suis trop faible, je craque, je joue
Que faites vous là? Vous n'avez rien à faire ici. Les Aes Sedai sont toutes parties à la guerre.
*Lisbeth tremble un peu plus en apercevant Vella surgir comme de nulle part et se laisse entraîner au loin sans résistance *
C'est que, demoiselle, vous comprenez, la pile de linge encombrait la buanderie, il fallait que je l'amène et la range dans l'armoire de Cersei Sedai, pour gagner de la place, et puis on ne sait pas quand elle rentrera, mais il y aura au moins du linge propre pour l'attendre et...
*bredouille son excuse vaseuse et lève de grands yeux myosotis affolés vers Vella*
* jet de mémoire/perception/confiance *
[D10]:
Ne serait-ce point cette novice dont parle la rumeur...? Celle qui pourrait avoir un penchant pour...?
Vous même, vous avez certainement des raisons d'être ici, demoiselle, de bonnes raisons...?
Le regard affolé de Lisbeth ne change rien à ma froideur apparente, il ne fait que renforcer l'idée que cette bonne-femme me cache quelque chose.
Vous même, vous avez certainement des raisons d'être ici, demoiselle, de bonnes raisons...?
Mes raisons ne vous concernent pas... [small][small]Du moins pas encore.[/small][/small]
* Elle est bien curieuse pour une lavandière ! * Tout en marchant d'un pas rapide, je l'entraine fermement dans les couloirs jusqu'à un petit débaras, je l'y pousse et referme la porte derière nous.
La regardant dans les yeux, le regard dur et froid, une main posée sur son épaule :
Lisbeth, je vais vous poser quelques questions inutile de vous préciser que me mentir serai regrétable... Sourir mielleux.
*ne parvient pas à se calmer, continue de trembler *
Il fait sombre, dans ce débarras, si sombre... Sombre comme cette nuit où maîtresse Menoly m'a prise pour espionne... Sombre comme son regard... aussi froid que celui de la novice... aussi froids que les flux d'air qui m'avaient giflée, quand je l'avais surprise, cette nuit-là, alors que je venais me proposer pour la servir... Elle m'a toujours bien plus impressionnée que Cersei... son mystère mêlé de folie faisait mon adoration totale...
Mais cette novice... est différente encore. Elle me fait peur...
Que... que voulez-vous ?
mode conteuse on/
Pour la porte, un jet égal ou supérieur à 5 sera amplement suffisant !
Le coffre, ça sera plus compliqué
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Alors que j'espérais que la lavandière parte enfin, nous laissant nous découvrir, Vella, elle, n'attend pas et va a sa rencontre. Je n'aime pas trop lorsque ainsi, Vella nous tient à part de ses tractations, j'étais prête a tisser un peu d'air pour amplifier leur voix pour qu'on puisse entandre mais Elora m'entraine vers la porte de Cersei Sedai et tente de la crocheter sans obtenir toutefois de résultat significatif.
Elora : « Essaye toi avec la saidar. Avec un flux d'air ou de terre peut-être ?!! »
« tu crois, j'aimerais bien savoir ce que va faire Vella quand même ... »
Malgré cela, je décide tout de même de tenter un tissage. je n'ai aucune idée du fonctionnement d'une serrure, cela me déstabilise un peu. je tente alors de sonder la serrure pour comprendre son fonctionnement. [d10] -1 (terre) +2 (Acceptée) = 2
L'élément Terre étant le plus faible chez moi, je ne parviens pas a sonder convenablement la serrure.
) la porte derrière moi. De la fenêtre s'étend une vue imprenable sur Tar Valon, blanche et calme sous la lumière douce du jour. Dans une dizaine d'heures, il reviendra... Je jette un coup d'oeil nerveux à la pièce. J'ai l'impression que Cersei va rentrer d'une minute à une autre. Elle a certainement rejoint l'armée, à présent... C'est une petite chambre, au mobilier simple mais élégant : un lit de chêne d'une largeur plus que respectable, deux chaises, un petit bureau dont le coin gauche supporte un miroir, une armoire et un grand coffre.
