La Pierre de Tear fait peau neuve ! L'aventure continue sur www.pierredetear.fr !
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En parlant de Cowboy...
Ready to come, ready to go... Cotton eye Joe
sauf peut-être pour M. J'accroche pas
Faut pas c'est énorme M, c'est la joie quand tu vas pas bien!!!!
Petite dédicace a Lan Gaidin et aux autres toulousains!!
et Toulouse, la ville rose,
même s'ils sont un peu chauvin;
quand ils te jacassent pas de rose,
ils te parle des toulousains;
ils ont un patois bien sûr
qu'ils utilisent parfois
pour écrire sur les murs
des usines: Plus jamais ça!
Lisez KhimairaMénestrelle [/link] I like being a mess. It's who I am.
Soclar
Les Ogres ! Les Ogres ! La chanson en entier, pour ceux qui ne connaissent pas :
3-0
Y’a Paris, la capitale, qui renifle son trou de bals,
Intra-muros c’est brillant, dehors c’est pour les paysans.
D’ailleurs s’il n’en restait qu’une, ce serait sûr’ment celle-là :
Qu’une aussi con que la lune et prétentieuse, comme il se doit.
Mais Paris, ça reste en France, les Français restent des Français,
Les chevilles en évidence, le nombril insatisfait !
À Rennes où il fait bon vivre, j’y ai vu - pardonnez-moi,
Des masses de foules ivres, des seringues plein les bras,
Un soir, une chose amusante, sur la route, croyez-moi :
La police qui plaisante d’un cadavre sur le toit.
Mais Rennes, ça reste en France, les Français restent des Français,
Des reins en convalescence, des poumons dans le regret.
Puis y’a Bordeaux la bourgeoise avec son grand cru classé
Que l’on déguste dans l’extase, dans les grands lieux new-yorkais
Qui indique à sa mémoire ce qui est bon, ce qui est mauvais :
Si pour Papon, c’est un trou noir, le Girondin c’est un succès.
Mais Bordeaux, ça reste en France, les Français restent des Français
Des trouillards de gauche en transe ou des cons de droite muets.
À Toulouse, la ville rose, peut-être sont-ils un peu chauvins ?
Quand ils jacassent pas du rose, ils te parlent des Toulousains,
Ils ont un patois bien sûr, qu’ils utilisent parfois,
Pour écrire sur les murs d’une usine : « Plus jamais ça ».
Mais Toulouse, ça reste en France, les Français restent des Français,
Des canards qui l’été dansent sur des rythmes « afro-laid ».
Puis il y a Marseille, celle qui a son port si charmant,
Sa Méditerranée belle, sa sardine et ses harengs.
Comme un tout petit village, un hameau ensoleillé,
Qui n’a qu’un désavantage : d’être rempli de Marseillais !
Mais Marseille, ça reste en France, les Français restent des Français,
Des grandes gueules à qui l’on pense, quand on veut avoir la paix.
Entre le Rhône et la Saône, il y a Lyon et ses reflets.
En banlieue, il y a sa zone, ses odeurs et ses rejets.
Sa gastronomie connue, qui veut nous faire oublier
Pour ne pas être déçus, tous ces scandales financiers.
Mais Lyon, ça reste en France, les Français restent des Français.
Des bonnes bouffes en concurrence, des non-dits sur le palais.
Lorsque j’ai connu Strasbourg pour la toute première fois
Je pensais trouver l’amour dans les rues de celle-là
Mais il y eut soudain un doute dans cette ville un peu cruche
Où l’on me parlait de choucroute, d’Europe et de flamenkuche
Mais Strasbourg, ça reste en France, les Français restent des Français
L’égalité en « free-lance », l’humanité qui s’essaie.
Il y a Lille dans le nord comme il y a le nord en Lille
Des grands hommes gras et forts ou des consanguins débiles
Les grands projets planétaires qui dépensent sans se soucier
À deux pas de la misère des petits enfants minés
Mais Lille, ça reste en France, les Français restent des Français
Des terrils d’arrogance, l’inégalité au sommet.
Après cet air géographe, une petite explication
Je ne cherche pas les baffes, je ne cherche pas la baston
Mais lorsque je vois au loin qui agitent leurs drapeaux
La grande race des chauvins, juste à côté des fachos,
Ben, moi qui suis né en France dans un bled incognito
Je ne comprends pas la démence, je ne vois pas les idéaux
De ceux qui pensent la naissance, comme une attache, un ghetto
Pardonnez-moi cette offense et traduisez en ces mots :
Issu de la poussière, je m’en retourne à la poussière
Issu de la planète terre, je m’y promène sans frontière !
Issu de la poussière, on s’en retourne à la poussière
Issu de la planète terre, on s’y promène sans frontière !
(vous la trouverez sur Terrain Vague... avec l'amicale participation de Sanseverino, des Hurlements, de Zebda... entre autres...)
Une fois n'est pas coutume, je vais faire une peu de pub pour les gens du sud (ceux qui habitent au bord des chemins avec les dames, les cabanes et les cailloux ) :
Les Fabulous Trobadors
Un accent croustillant (des Toulousains), une mitraille de paroles et sous leurs balles parfois fleurie la poésie. Du zebda déjanté...
je connais un peu Fabulous Trobadors pour les avoir écouter à la fnac, c vraiment pas mal... en parlant de toulousin...
C'est pas nous qui sommes à la rue, c'est la Rue Kétanou!!!
Ils était quatre par dessus...
elle était toute seule en dessous...
ils étaient sans par dessus, elle était sans dessous,
son lit était sans dessus dessous...
elle avait quatre amants,
elle avait quatre amants,
elle avait quatre amants...
et moi quatre paires de cornes...
Qui dit mieux? ...
La rue Kétanou La fiancée de l'eau, ma faute à toi, Les maisons, les mots, les hommes que j'aime...
...les cigales, peau de chagrin, les caravanes, personne n'a le prénom de ma femme... Rue Kétanou addicted
c'est ma faute à toi
toi, t'es trop belle,
toi t'es trop bel pour moi et les belles,
elles sont cruelles,
pour ceux qui les veulent,
pour ceux qui ne les ont pas,
pour ceux qui sont tous seuls, pour ceux qui ne savent pas,
pour ceux qui marchent des heures et qui vont nulle part,
pour ceux qui boivent, pour ceux qui ne dorment pas,
pour ceux qui chantent,
qui chantent
qui chantent,
qui chantent... POUR TOI!!!!!
Dans le même style de mes préférences, il y a les Croquants et la Varda... Vive Kif... et Brassens!!!