La Pierre de Tear fait peau neuve ! L'aventure continue sur www.pierredetear.fr !
L'ancien site est a présent archivé pour la postérité et en mode "lecture seule". Vous pouvez consulter l'ensemble du contenu et des anciennes discussions du forum,
mais plus créer de nouveaux topics ni écrire de nouvelles réponses.
Mention spéciale à mon prof d'espagnol qui nous donnait les réponses du devoir en temps réel. Il nous passait derrière et pointé du doigt l'erreur "C'est faux là, la réponse est...."
Que du bonheur !!!
Avec un prof comme ça, même pas la peine de faire tourner les copies
Recrue Guignol Ton secret est ton sang ; si tu le laisses s'échapper, tu mourras
J'avais un prof d'anglais qui nous a dit texto :
"Ne trichez que quand je vous tourne le dos svp."
Et effectivement, il était les 3/4 du temps dos à nous
Les contrôles d'allemand au lycée !!!!!! On était 6 en cours (Lv1 allemand dans un lycée technique, c'est pas très populaire)3 en section générale et 3 en sms, les nanas d'sms étaient bien meilleures que nous en allemand. Bref, pendant les contrôles, la prof assez âgée ne décollait que rarement le nez des trucs qu'elle était en train de lire. On a donc mis au point une super technique! Forcément en étant 6, la prof nous séparait bien dans la salle pour pas qu'on copie. C'était la seule matière où tous les élèves avaient un gros packet de feuilles de brouillon. On les utilisait pour écrire en gros la question qui nous posait problème :
Exercice 2 ligne 3 ?
On écrivait bien gros sur la feuille, on appelait la copine (oui, la prof était un peu sourde) qui à son tour utilisait ces fameuses feuilles de brouillon pour nous donner la réponse en gros! C'est un de mes meilleurs souvenirs de lycée. Avec cette technique j'ai réussi à avoir 9 de moyenne toute l'année alors que je ne sais pas aligner 3 mots en allemand sans faire de fautes et que je ne connais même pas la déclinaison der, die, das!
Si on avait pu prendre des photos! C'était folklo de nous voir lever une feuille A4 bien haut pour que la copine voit, tout ça sous le nez de la prof !
Merci Camille , Daphne et Virginie!!! Je ne vous oublierai jamais !!!!
Sinon, je me souviens de l'enfer des dst d'espagnol où plein de papiers arrivaient devant moi avec des : "tu peux me traduire ça s'il te plait?" suivit d'un texte de 5 lignes. Ils étaient mignons mes camarades, mais au bout d'un moment, j'avais plus le temps de faire mon propre dst
Même technique utilisée à la fac : y a une salle où on compose en rang d'oignons. Alors certains lèvent leur copie au-dessus de leur tête pour le gars de derrière. Super fortiches en surveillance nos profs
Classique aussi, l'échange de brouillons sur la rangée, en amphi
Alors certains lèvent leur copie au-dessus de leur tête pour le gars de derrière. Super fortiches en surveillance nos profs
Pas discrets les élèves surtout. Nous on faisait passer les brouillons sous les tables c'est moins visible
Ici le meilleur ça a été cette semaine en partiel de théâtre
Bon, c'était une UE d'ouverture, pas très importante. La prof devait faire une épreuve écrite donc elle nous demande de faire une analyse d'un des spectacles qu'on est allé voir ce semestre. On a droit à nos notes, aux prospectus du spectacle...
A un moment un collègue passe la voir pour un truc urgent, ils sortent et PAF! Echanges de brouillons, commentaires sur nos problématiques...
Oh non il ne fallait pas faire un topic comme celui-là, j'en ai des tonnes des anecdotes de cours, je ne sais même pas par où commencer !
Bon vu qu'on est sur la triche nous on avait un prof de physique (Mr Le Gall pour ne pas le citer) qui était en fait 24/24 déchirer. A tel point que personne n'osait l'appeler pour lui demander quelque chose par peur d'avoir sous le nez son haleine alcoolisée. Enfin bref déjà qu'il allait régulièrement dans son arrière salle pour picoler un peu et même quand il était là, c'était pareil. Ca parlait à tout va, les réponses fusaient dans la salle et même des gens se levaient pour aller voir la copie de leur voisin ! Le gros bordel.
Par contre l'année suivante c'était la désillusion. Nous avons eu le terrible Mr. Munier et là c'était une autre paire de manches. Au premier bavardage c'était la craie en pleine gueu.., ensuite le tampon en bois puis la porte et la copie déchirée. Au moins c'était radical, vraiment la méthode adécquate pour une bande de loulous comme nous.
Pffff pareil, trop de trucs, même pas envie de commencer...
Et puis bon, tellement de trucs inavouables aussi Je me demande, avec toutes les conneries que j'ai faites, comment je n'ai même jamais été collée
Je suis une très bonne manipulatrice faut dire (cf GN )
Vu la façon dont tu m'avais manipulé ce jour là j'ai confiance en tes talents
Mais bon les 'trucs inavouables', tu les colle sur "un voisin de classe" et ça passe Le problème c'est si les profs de la Pierre passent par là. On va quand même pas leur refiler les techniques de tust ultra secrètes qu'on a développé
En cherchant je viens de me rappeler un autre épisode du collège celui là. En physique je me trouvais au second rang devant trois bavards de première catégorie. Pour éviter qu'ils bavardent avant un contrôle le prof les a forcé à tous changer de plaçe. J'ai du prendre la place de l'un d'entre eux et j'ai eu la surprise de voir épinglé sur ma chaise devant les formules chimiques qu'il fallait savoir.
Grave dilemne. Que faire? Ne rien dire au risque que le prof le voit ou le prévenir et me faire massacrer par les trois glandeurs?
Le collège c'est la jungle. Tuer ou être tué...
Ah un autre très bon souvenir : Dans ma classe de 1ere et terminale c'etait le bronx, les vannes entre filles et garçons fusaient tout le temps, mais dés qu'il y avait une interro orale c'etait solidarité absolue! Ceux qui connaissaient la réponse l'écrivaient sur un papier qui arrivait devant l'interrogé qui séchait. C'était une magnifique lueur d'espoir que de voir ce fameux bout de papier arriver devant soi quand on était tétanisé par la prof !
Les profs râlaient bien entendu car personne ne levait la main , mais ... Je l'aimais ma classe !!!!!!!
Mais rassure-toi, mon propre collège n'est pas si loin que je ne souvienne pas des trucs de triche
Comme je le dis souvent à mes élèves, je suis prof, pas débile
*soit dit en passant, c'est en fac que j'ai vu le pire... Mais m'en fous, ça se règle en concours *
Or donc, moi, j'ai les méthodes anti triche suivantes : c'est moi qui distribue les copies (que j'ai demandées en début d'année), les cartables sont posés sous le tableau et sur la table, il n'y a que les stylos (au sac la trousse).
Oui, pour répondre à votre question, j'ai une réputation de chieuse... Peut-être parce que mon collège est trop récent justement !
En même temps... Autant en latin, les antisèches peuvent être utiles pour les flemmards, autant en français... Bah, ça n'aide pas à comprendre un texte
Qu'ai-je eu, moi ?
Ah oui, un gros cas de conscience (dure comme décision vues les conséquences...) : lors du brevet, une fille se tourne vers sa camarade de derrière et lui demande avec la discrétion de Rincevent dans l'Université de l'Invisible, "C'est quoi la date du temps des cathédrales ???
- XIXe siècle !"
...
Là, je me tourne vers mon collègue : "on fait quoi ?
- Bah on les sort...
- En même temps, c'est faux...
- Ouais, mais même..."
Pas malines les filles...
Et en latin : oh, toutes les déclinaisons écrites sur la table... Bah voyons...
Souvenir de BEP : les grenouilles en Origami avec les réponses des contrôles dessus. Une fos qu'on maitrise cet art ancestral, il est facile de didfuser des messages discrétement dans tout la salle
Tricher... humm... ca m'a toujours dégouté. En fait je me souviens que je trichais en 6eme en classe de Latin. J'étais trop stressé et incapable de trouver un autre moyen de m'en sortir.
Le mauvais souvenir c'était en master. L'enseignant qui sortait de la pièce afin de laisser à tous le soin de tricher. Les élèves qui se frottent les mains car le bulletin final de notation intéresse les DRH. L'administration qui ferme les yeux car ça permet à tous les élèves de passer avec de bonnes notations, sans baisser le niveau de l'examen et puis pouvoir payer un enseignant deux semaines au lieu de 5 mois... tant mieux. Car passer un examen de finance apres deux semaines c est mission impossible pour ceux qui n avaient pas d antecedent de finance. Cette attitude de triche alors même que l'on recoit des cours d'éthique et de morale, c'est inacceptable. Je leur ai fait la guerre à l'école, à cet enseignant et aux élèves au risque d'etre viré du programme. Une horreur. Et même si cela m'a plutôt couté au final j'ai gagné: ils ont organisé un programme de cours long. En fait j'étais bête on ne peut pas se battre sur des principes. Il faut faire des concession autrement on craque.
Chevalier un jour, Chevalier toujours ! Montjoie Saint Denis et Tutti Quanti !
Je n'ai pas beaucoup triché ou alors c'est que je ne m'en souviens pas... ah ! si... à l'oral du bac, en latin, j'avais écrit au crayon dans les interlignes la traduction de tous les textes du livre, en fait je crois bien qu'il y avait trois livres, ça faisait un paquet, je ne me souviens plus du temps que ça m'a pris. Puis j'avais bien gommé tout ça, il ne restait plus qu'une gravure en creux, assez lisible ma foi.
Ouais bon, il y a prescription, vous n'étiez même pas nés !
*soit dit en passant, c'est en fac que j'ai vu le pire... Mais m'en fout, ça se règle en concours *
Y en a quand même qui y arrivent
Ca me désole
Tricher ne me dérange pas, dans certaines circonstances, particulièrement les épreuves où les profs se moquent ouvertement de nous. Même si en général, j'ai pas trop le temps de regarder à gauche à droite ^^
Je n'ai jamais pu tricher. Le simple fait d'avoir une note que je ne méritais pas m'aurai je pense rendu folle dans le sens honteuse et pleine de remords. Et puis, je n'en ai jamais eu besoin.
Par contre tous le monde copiait sur moi en DM.
Sinon, j'avais des profs assez sévères et stricts, copier en ds était égal à copie = 0 si il y avait la moindre suspicion. (mes profs étaient tous vieux : vieille école mais ils étaient très sympa si on savait les prendre. Ma prof de physique de lycée restera ma prof préférée). Quand j'y pense, au collège et au lycée, je n'ai eu que des vieux profs. oO
Anecdote : J'avais une prof qui avait trouvé le truc pour que les garçons ne copient pas (on était 6 filles sur 38 élèves en 1ère et terminale et les filles étaient assez tranquilles). C'était une bombe qui s'habillait soit en longue jupe fendue jusqu'en haut de la cuisse (soft)ou alors en mini jupe et elle écartait les jambes pendant le ds, le bureau étant réduit à une planche et 4 pieds. Imaginez la vue.
Je dirai que la moitié des garçons avaient tellement bavé qu'ils n'avaient pas fait le ds. ^^ Elle parlait aussi de positions et de films scientifiques ou de loisirs qu'elle regardait parfois. Elle était charmante, et très gentille mais un peu beaucoup portée sur la chose.
En prépa, euh, on ne recopie pas les démo de 3 pages en ds le samedi matin à 7h30 quand on ne comprend pas Copier ne servait à rien, je pense. Un trou dans la démo c'était zéro et cela se voyait comme le nez au milieu de la figure si on ne comprenait pas. ^^
A la fac, c'est le cirque. De toutes façons c'est toujours le cirque à la fac, que cela soit en cours, en td, en partiels ou à la bu. ^^
On a une salle énorme où on peut composer à euh beaucoup trop je crois... Et bien certains, cela ne leur gène pas de pêter la discut, de demander les réponses aux questions à 10 rangs derrière avec un mégaphone et de prendre le thé alors que le partiel d'optique non linéaire ou de physique atomique et moléculaire est infaisable. grrrr
Un des meilleur souvenir de triche: en troisième, j'avais une copine attitrée qui me copiait à tous les devoirs, normal, c'était une copine. Arrive le contrôle de physique: le prof nous sépare, un par bureau. Comme ma copine est fortiche dans sa spécialité, et qu'elle a des yeux de lynx, elle reluque ma copie dès que le monsieur a le dos tourné...
...
... sauf qu'au final, on n'avait pas les mêmes sujets!!!
Ex: dessiner une tension sinusoïdale: ----------!!!
Et qu'elle ne l'a même pas remarqué!
On a bien rigolé. Pas elle... En même temps, on l'avait prévenu, tricher, pourquoi pas, mais réfléchir un peu, c'est pas mal aussi
La triche moi bof ...
Par contre, il y a une année en anglais... Déjà faut savoir que le prof ne savait absolument pas se faire respecter : s'appeler Emmanuel, avoir une voix qui frôle les aigus, et venir au lycée avec un vélo de dame, ca n'en impose pas. Je pourrais en parler un moment, ce prof et les deux années de cours qu'il a fait dans mon lycée étaient uniques.
Bon donc le prof n'avait quasiment pas d'autorité. En plus, j'étais déjà bon en anglais à l'époque, et le prof s'en était rendu compte l'année précédente ( 17 de moyenne dans sa matière).
Ainsi, en début d'année avec un ami lui aussi fortiche, nous avions une table dans le fond où nous étions tranquilles : on participait bien à l'oral au début du cour, et le prof nous foutait la paix, on discutait peinards. Sauf que ... Sauf qu'au bout de deux mois, il en a eu marre et nous a séparés : il m'a mis juste devant son bureau.
Dans une autre matière et avec un autre enseignant, ca aurait calmé ce cher Nicolas. Malheureusement pour mon prof ( et heureusement pour moi), je me retrouvais certe seul sur une table et devant le bureau, mais surtout juste devant la table d'une fille qui :
_ n'était pas aussi bonne en anglais que moi et appréciait l'aide apportée
_ était comme un rayon de soleil quand elle souriait et pour qui j'aurais conquis un continent sur une simple requête ( qu'elle n'a jamais faite hélas : son copain lui ait probablement apporter les amériques ou les indes sur un plateau avant qu'elle ne me voit).
Ainsi comme on pourrait le deviner je n'avais le tableau devant moi mais sur le coté, l'autre étant tourné vers cette demoiselle pour qui j'ai encore à l'occasion une tendresse. Durant l'année je n'ai guère manqué de l'assister, y compris durant les contrôles. L'enseignant n'y trouvait rien à redire après tout je faisais une partie de son travail : expliquer et aider à apprendre l'anglais.
La façon dont le prof venait à s'appuyer sur mes connaissances en était même amusante : un jour un ami a dit en anglais ( ppour une sorte de contrôle oral ) quelque chose qu'il savait être faux ( c'était sur les indiens d'amériques ). De même, je savais que c'était faux, mais quand le prof a hésité, j'ai dit que l'affirmation de l'ami était véridique. L'enseignant alors répondu " Bon si Nicolas dit que c'est vrai, alors ca doit l'être".
A la fin du cour, deux personnes furent prises d'un certain fou-rire en y repensant ...
2 très bons souvenirs :
L'un de ma prof de chimie, qui distribue les sujets imprimés à toute la classe, certains copient allègrement, elle fait semblant de ne rien voir. Le jour de la remise des corrigés, elle demande à certains de venir faire l'exercice et au tableau, les gars se rendent compte que tout le monde n'avait pas eu le même sujet et donc leur réponse "magique" était totalement erronée car copiée.
L'autre d'un prof de stats en fac qui est tout seul pour corriger notr exam. Et à 10h, pause café! il prend sa veste et nous laisse seul pendant 20 bonnes minutes en plein exam! Tellement beau que la triche perdait toute saveur, c'est un peu comme tirer le lapin de garenne au bazooka
Un souvenir amère qui m'amène à me demander comment les profs à la fac corrigent :
contexte : session de septembre, partiel de psycho clinique il me semble. Le partiel de septembre ne portait pas sur les cours qu'on avait suivit tout le semestre mais sur deux bouquin : un du style manuel de cours et l'autre un bouquin de Freud.
LA rumeur disait que le prof n'avait jamais fait tombé le sujet sur Freud donc tout le monde (ou presque, sauf les plus feignants) a lu le manuel de cours , bourré d'informations, on s'était fait des fiches tout ça ... Moi j'avais quand même lu en plus le profil du bouquin de Freud. Là le sujet tombe ... sur le bouquin de Freud! Une copine à moi se retrouve devant une page blanche . Cette copine était une mère de famille (3 enfants) qui avait repris ses études , hyper consciencieuse et sérieuse , elle est épileptique, et par malchance (enfin le stress ça aide) elle a parfois ses crises en période de partiel , c'est ce qui l'a amené en septembre car elle était à l'hôpital pendant la session de juin. J'écris tout ce dont je me souvenais du profil et au moment ou je vais pour rendre ma copie, je la voie désespérée , commencer à ranger ses affaires avec une copie vide devant elle. Je lui dis de rester assise et en partant je lui donne mon brouillon.
Résultat des courses : J'ai eu 2/20 et elle 8 ou 9 ! ou un truc comme ça...
Je ne regrette absolument pas de lui avoir donné mon brouillon mais punaise le prof j'ai envie de le ... grrrrr!!!!!!
Autre souvenir étrange à la fac : partiel de psycho clinique en td en deuxième année. La classe est archi pleine , on est limite les uns sur les autres. Moi je suis assise tout au fond. La prof distribue les sujets puis retourne à sa place. On était au moins 60 dans la classe. Je connais un peu le sujet mais c'est loin d'être ma matière préférée. J'essaie quand même de pondre un ptit truc puis je regarde les nanas autour de moi. Là c'est le choc ! TOUTES les nanas avaient leurs cours sur les genoux ou entre deux chaises voire directement sur la table! prise de conscience pendant 10 minutes ! Moi aussi ou pas ? Punaise , tout le monde triche ! Je vais être notée par rapport à toutes ces nanas ! Je connais pas super bien mon cours ! Oué mais non ! La triche c'pas bien ! Ce sera pas ma vraie note ... En même temps , j'ai pas envie de me spécialiser en clinique! Bref j'ai fini par succomber à la tentation. J'ai jamais été fière de la note que j'avais eue à ce fichu partiel et pire que ça , j'en ai voulu à cette prof , très intéressante, de nous avoir laissées tricher. Je connaissais un peu mon cours, j'aurais pu m'en sortir sans.
Bref, à part en allemand j'ai toujours détester tricher. J'ai plus jamais recommencé, quitte à rendre copie blanche.
Par contre, j'ai jamais rien contre un peu d'aide. Par exemple demander le résultat d'un problème de stats: c'est pas ce qui va me donner un demi point car sans le calcul ça vaut rien, mais ça permet de refaire le calcul si je vois que je me suis trompée. Aussi quand un sujet tombe, que c'est le gros trou noir alors que je connais mon cours, la copine qui chuchote "tu sais , dans telle partie du cours!" et hop ! tout revient ! Merci Céline !!!! Le nombre de fois où tu m'a sauvé la mise !!!!!
C'est que la connaissance brute ne fait pas tout. En histoire, savoir des dates et des faits, c'est la base. Mais juste la base. ça ne mène pas bien loin. Les profs aiment qu'on montre les points importants du sujets, qu'on apporte des mises en perspectives. Sans dates et faits, c'est un peu foutu, mais juste avec ça, la copie ne va pas bien loin. Je n'ai jamais vu des gens tricher en partiel - en même temps, une alarme se déclancherait que je ne l'entendrais pas- mais je pense que si certains le font, c'est surtout pour se rassurer.
Le seul moment de presque triche personnelle en fac était une réponse au foutage de gueule de la fac elle-même. Avec le passage de la maîtrise au master 1, nous avons dû valider cinq ou six cours en plus. Pour l'instant, ça va. Sauf que ces cours n'existaient pas^^. Ils nous ont donc dit de suivre des cours de licence (les mêmes que l'année précédantes)et de valider quelque chose. Je prend un cours interessant... Un mois plus tard, verdict, il ne faut pas suivre les cours, mais les TD, et valider une note de controle continu (exposé ou autre). On cherche un prof qui nous accepte en TD (et ce fut pas le cas de tous). GRRUHH! Notre prof de l'année précédante voulaient bien nous reprendre, mais elle était gênée de refaire les mêmes exposés. Tu m'étonnes. Finalement, sans état d'âme, je me suis inscrite avec une copine à un TD de médieval que mon copain avait suivi l'année précédante (il avait les prises de note des exposés et les reprises du prof!) Bibliothèque pendant trois heures avec les notes et les bouquins. Résultats, il y a eu 5 points d'écart entre nos deux copies, qui au final ne se ressemblaient pas. Comme quoi, l'avantage n'était pas décisif.