La Pierre de Tear fait peau neuve ! L'aventure continue sur www.pierredetear.fr !
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Je l’ai vu, l’enfant malade.
Les gens n’ont pas tord,
C’est l’otage de la mort.
A sa naissance il reçut,
Le fardeau, qu’il ne voulut.
Ses cris assourdissants,
Ses larmes et ses prières incessantes…
Je l’ai vu, je l’ai connu.
Je l’ai aidé, je l’ai admiré,
Pour son innocence, sa sincérité
Pour sa témérité, sa volonté.
De vaincre ce virus intrus.
Il est comme une fleur qui résiste au vent.
Comme un poisson qui résiste à un tourbillon.
Comme un fleuve qui repousse un barrage.
Ou un canari voulant sortir de sa cage.
Il veut grandir, il se bat pour vivre.
Pour cette vie à la quelle il va donner un sens.
Il veut connaître l’adolescence.
Rire aux éclats, savourer les bons moments de l’existence.
Savoir ce que ça fait que d’être adulte
Aller à l’école pour ne pas être inculte.
Il a des rêves, comme tous les enfants.
Tels que se faire des amis, voyager à travers les pays.
J’espère le progrès de la science.
J’espère l’aide et la bienfaisance.
De vous, de nous, de tout le monde.
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