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Chevalier un jour, Chevalier toujours ! Montjoie Saint Denis et Tutti Quanti !
Ce n'est pas une demande étrange, tu demandes juste ce qu'on nomme une bêta lecture. J'en fais quelques unes sur un autre forum. Je te promets de bêta lire ton texte, mais pas tout de suite parce que j'ai une réunion à 19:00 !
Chevalier un jour, Chevalier toujours ! Montjoie Saint Denis et Tutti Quanti !
je m'y mettrai demain après-midi mais pour avoir survolé ton texte, je peux déjà dire qu'il va y avoir du travail au niveau de l'orthographe et de la construction des phrases.
Xilian Baradion, je met ton texte ici, l'en tête n'es pas fait pour ça, il est là pour donner une rapide description du topic ou des informations importantes. Il ne remplace en aucun cas le premier post. A l'avenir j'aimerais que tu fasses ainsi. Un texte entier, bien que court, en en-tête, ça surcharge la page. Voilà
Et ne t'inquiète pas, la recherche de critique c'est normal, ya que ça sur cette partie du forum
Un conseil sans avoir lu, c'est qu'à première vue, ton texte est très compact, tente de structurer, aérer. Ca n'est pas uniquement esthétique, ça donne de l'air à la lecture et à la compréhension.
Xilian Baradion
Bien le bonjours tout le monde!
Je suis nouveau, ou à peu prés!
Je voudrais publier un extrait d'un texte que j'ai ecris.
Je veux juste savoir ce que vous pensez de mon texte! Les defauts, lourdeurs, s'il y a un manque de description etc... ou ce que vous avez aimé ( s'il y a un quelques choses que vous avez aimé bien sur!), ce que vous pensez de l'ambiance, enfin je voudrais être critiqué!
Oui c'est etrange comme requete.
Ps : Si vous voyez que il y a trop de fautes dites le moi, des fois je suis completement étourdi.
Ps 2 : J'ai decouvert que quand on faisait copier coller, l'italique sauté! Donc quand vous voyez un " je" c'est que Xilian est entrain de faire une reflexion pour lui même.
Et merci de votre comprehension d'avance. Voila mon texte :
Xilian se déplaçait avec agilité dans les couloirs couleurs émeraude du Château Del Loco. Des torches d’un bleu océan éclairaient par intermittence le couloir, ce qui lui donnait un aspect fantomatique à faire froid dans le dos. Mais ce couloir menait à la salle du trone et c’était la destination de Xilian. Après quelques minutes de marche angoissée, il vit enfin la grande porte noire incrustée de diamants aux multiples couleurs. Deux gardes étaient postés avec leurs hallebardes qui se terminaient en croissant de lune. Un des gardes hocha la tête, puis ouvrit la porte et le présenta. « Xilian Baradion, Grand Conseiller. » Xilian entra dans la salle sombre et totalement silencieuse. « Excusez-moi, Mon Seigneur. » Il n’y avait pas de fenêtre, juste le trône gris à très haut dossier collait au fond de la salle, une longue table noire aux courbes arrondies et neuf chaises grises aussi à très hauts dossiers du même style dont deux vacantes une en face du Roi et l‘autre à gauche . Seul deux torches, comme celles du couloir, étaient posées à la gauche et la droite de la salle. La pièce était oppressante mais ce n’était pas seulement ca qui donnait cette impression de lourdeur et de tension. Le Roi, assis les jambes croisées, les mains qui pendaient sur les accoudoirs, ses yeux gris enfonçaient dans son visage maigre et gris, ses cheveux grisonnants lui donnait l‘aspect d‘un homme froid et manipulateur. D’un geste négligent de la main, il répondit aux excuses de Xilian, sans dédaigné le regarder et de son autre main il pointa la chaise à la gauche du Roi. Puis il réunit ses mains et cacha sa bouche derrière ses doigts fins réunis. « Reprenons » avec sa voie délicate à faire froid dans le dos. « Mon Seigneur nous disions que les dragons Syphiliens pourraient se réveiller bientôt.» Commença Jade, la Capitaine Des Prophètes. Xilian renifla de dédain sans aucune discrétion en s’asseyant. Les petits yeux du Roi se tournèrent lentement vers Xilian. On ne voyait pas sa bouche mais Xilian aurait juré avoir vu un sourire furtif. « Quelques choses à dire Baradion ? ». Sous le regard de son Roi, il courba l’échine et répondit : « Je pense que la priorité n’est pas aux prophéties hypothétiques, encore moins sur la possible attaque de prétendus dragons dont nous avons toujours aucune preuve de leurs existences. » Orimort Philius, le Roi, fixa Jade, qui rougissait presque, de colère ou de honte, Xilian ne savait pas trop. « Baradion à raison mais contactait Tar-Draconis au cas où et entrainait une petite armée contre ce type de dragon. » Jade et Xilian furent contents que le Roi les écoute. Maelin, chargeait des affaires dites « secrètes » du Royaume parla. « Monsieur la mission en Alqualon…a échoué. »
Toutes les têtes se tournèrent vers Orimort guettant sa réaction. Le Roi changea ses mains de positions et les remis sur l’accoudoir, laissait voir son visage impassible, froid et gris. Mais avant que le Roi puisse répondre, la seul porte de la salle vola et le fils du Roi entra sans aucune cérémonie. Toutes les têtes se tournèrent de l’autre sens pour le regarder. Autant son père avait un visage froid, désabusé et gris, son fils avait un visage charmeur, espiègle et sourieur. Il a tout hérité de sa mère, on se demande même si c’est son vrai fils. « Salut Papi, désolée du retard. » en faisant un geste de la main à son père, puis se retourna vers les conseillers « Salut les paysans. Vous pouvez continuer votre petite réunion, je resterais silencieux. » En quelques secondes, il avait presque détruit toute l’atmosphère oppressante, sinistre et tendu avec quelques mots. Mais le Roi reprit aussitôt. « Pour qu’elles raisons » Fit-il simplement à Maelin comme si rien ne s’était passé. Toutes les têtes se retournèrent de nouveaux vers Orimort. La tension revint aussitôt bien que Palandor Philius reculait bruyamment la chaise en la faisant racler et en s’asseyant négligemment en posant les pieds sur la table impeccablement noire et vide. Niveau respect des autres, je pense qu’il tient ca de son père. Fit-il riant sous cape. Xilian maintenant revenais à Maelin. « La situation a changée en Alqualon…l’Eglise ne possède plus aucune autorité…le Royaume a réussi un coup de maitre…en réunissant la Guilde au Royaume d’Alqualon et en tuant les deux représentants de l’Eglise … » D’un regard désabusé, le Roi continua. « Et vous avez jugé que la situation était différente et qu’il était inutile de tuer le nouveau Milenim? » Maelin fit les grands yeux. Les informations vont vite, on dirait. pensa Xilian. Elle répondit par un simple « Oui… ». Le Roi ne changea pas de ton, mais ses yeux étaient lave en fusion. « Esteroth, quand je dis que le Roi d’Alqualon doit-être tué, ce n’est pas une proposition que je vous fais, ni une demande où votre avis personnel compte, c’est un ordre de votre Seigneur. » Philius regardait Maelin Esteroth droit dans les yeux, elle bafouilla tellement dans sa réponse que c’en était pitoyable à voir. « Mais mon Seigneur… le Roi a changé depuis la dernière fois que…que vous m’aviez donné l’ordre… ce n’est plus Altaïr Milenim mais…mais Valendor Milenim. »
« Quel ordre t‘ais je donné?» Répondit simplement Orimort.
« Tuer Milenim. » Le visage de Maelin se décomposa petit à petit pendant que la compréhension venait à elle. Orimort à prévu le changement de Roi. Je crois qu’il me terrifie vraiment.
« Maintenant petite sotte tu peux disposer, va accomplir ton ordre, si tu échoue, tu seras pendu. »
Maelin bafouilla des remerciements, fit une courbette exagérée devant son Roi et sorti presque en courant de la sinistre salle du Trone De Damoclès. Palandor commença à mâchonner ses ongles par ennui. Il ne faisait même pas semblant de s’intéresser aux affaires du royaume. Les sept autres retinrent leurs souffles quand le Roi revint les regarder. « Affaires suivantes » Un grand malabar aux yeux bleus avec une bouche prête au rire parla d’une voie chantante qui faisait contraste avec le reste de la salle : « Mon Seigneur, un de nos bateaux, a été attaqués par des pirates d’Ivinos. Le bateau transportait la boule d’Alchimie numéro 16. » Le Roi répondit bizarrement ou avec désintérêt totale. « Autres choses ? ». Mais le grand malabar continua « Mais mon Seigneur, ses boules d’Alchimie… » Le Roi fixa l’homme qui commença alors à avoir des convulsions violentes sur sa chaise, puis il tomba par terre, et commença à crier. L’homme gesticulait par terre en se tenant la tête entre ses mains, limite entrain se s’arracher les cheveux, en hurlant de souffrance physique et mentale. L’ambiance du château va comme un gant avec Orimort et ses pouvoirs. Fit Xilian dont le cœur commençait à battre violement. Puis les cris s’arrêtèrent, et Orimort, comme si rien ne s’était passé fit « Suivant » avec un léger sourire démoniaque. « Le problème de l’eau, mon Seigneur. Nous avons besoin d’eau pour la ville. Les ressources s’amenuisent. Il faut importer plus ou il faut trouver une nouvelle ressource d’eau au plus vite. » Commença l‘Homme en face de Xilian. « Exorios, je ne vous ai pas engagé pour que vous nous donniez des conclusions inutiles que tout le monde sais déjà. Il faut agir. Quel est votre plan ? »
Exorios baissa les yeux cherchant une réponse, pendant que le grand malabar se remettait péniblement sur sa chaise, c’est Xilian qui répondit. « Pourquoi ne pas s’approvisionner dans la baie d’Arvandar ? » Tout le monde se retourna d’un même geste vers Xilian, même le Roi et Palandor. « Seriez vous devenu fou Baradion. Vous savez très bien que cette Baie n’appartient pas encore à nous, vous allez déclencher une guerre si vous faites… » La femme en face de Jade fut interrompu par un léger mouvement de la main du Roi qui pour une fois, souriait vraiment. « Déroulez votre pensée Conseiller Baradion. » Attention. « Mon Seigneur, la dernière séance, vous nous aviez dit qu’un conflit entre Ivinos et Dedabar éclaterait bientôt. » Xilian reprit sa respiration qui était faible à cause de la pression et de l’atmosphère oppressante. « Je me suis dis, que nous pourrions profiter d’un conflit entre nos deux adversaires pour nous approvisionner en eau en toutes discrétions, mais peut-être que cela ne colle pas à vos plans, mon Seigneur ? ». Philius regardait avec une telle intensité Xilian, que cela faisait peur, enfin, plus que d’habitude. « Xilian, Exorios vous travaillerez ensemble quand le conflit naitra entre nos deux ennemis. Exorios, vous ferez comme viens de le dire Xilian. » Les deux hommes hochèrent la tête. « Palandor, tu iras avec Menistros à Tar-Draconis pour notre demande. » Le fils ne répondit même pas, il était de nouveau captivé par ses ongles. « Vous pouvez tous disposer. » Tout le monde se leva, fit une courbette devant le Roi toujours assis, sauf le fils qui fit « Tchao papi. » et les conseillers s’empressèrent de sortir de la salle. « Baradion, j’ai deux mots à te dire. » Xilian qui était le dernier à partir de la salle, se retourna lentement vers son Roi. Quand vais-je sortir de cette maudite salle. « Si j’apprends que le Prince Milenim a disparu et qu’il n’est pas officiellement mort, je prendrais cela comme une trahison de ta part et de celle de Esteroth. » Penchant la tête de coté et lui faisant un sourire machiavélique, il continua. « Tu peux maintenant disposer. » Xilian, resta impassible devant son Roi, courba l’échine puis sorti de la salle. Mais dés qu’il sortit, il se mit à courir comme il n’avait jamais couru. Les torches bleues passèrent à toutes allures, il bouscula les autres conseillers dans sa hâte. Ils commencèrent à jurer mais Xilian partait déjà. Il faut que je trouve Maelin sinon on est mort. Que je suis bête, j‘ai été négligent…C’est une vrai catastrophe. Xilian courait toujours quand soudain, quelqu’un lui fis un croche patte. Xilian s’affala violement par terre, tête la première. Un rire arriva de dernière, certainement du fils du Roi, qui était le seul à rire dans le château et… « Alors on panique ? » Fit d’un ton malicieux le bouffon de Palandor qui l‘avait surpris en arrivant dans l‘angle à sa gauche. Il se releva péniblement. Xilian lui envoya son poing dans la face d’ahuri du bouffon qui tomba par terre sous le choc et grogna de douleur quand Xilian lui écrasa la main quand il recommençât à courir en se massant l’épaule. Qu’elle journée merdique ! Baradion tournait à droite, à gauche, à droite dans ce dédale de flamme bleue à vous faire perdre la tête. Puis tourna une dernière fois à droite et se retrouva chez Maelin. Il défonça la porte. Elle était entrain de se préparer quand elle leva la tête. « Il sait tout ! » Fit-il simplement, trop essoufflé pour dire plus. Elle arrêta se qu’elle faisait et il s’assit sur son grand lit. « On fait quoi maintenant ? » Répondit-elle. « Je t’accompagne en Alqualon, je vais m’occuper personnellement de cette affaire. » Je sens le piège d’Orimort qui se resserre autour de mon coup. Il sait que je pouvais faire disparaitre Milenim ou que je pouvais le faire portait pour mort, si les choses tournaient mal… Il m’a déjà contrecarré alors que je n’ai même pas encore agis. C’est aberrant. Il faut que je trouve une solution…si solution il y a.
Salut et bienvenue.
Lecture rapide de ton texte et c'est vrai qu'il a besoin d'être retravaillé !
Relie toi et à haute voix, et tu verras que tes phrases ne sont pas toujours claires.
Exemple frappant : "Xilian lui envoya son poing dans la face d’ahuri du bouffon qui tomba par terre sous le choc et grogna de douleur quand Xilian lui écrasa la main quand il recommençât à courir en se massant l’épaule."
Des maladresses : "L’homme gesticulait par terre en se tenant la tête entre ses mains, limite entrain se s’arracher les cheveux" Ok ça passe à l'oral mais dans un texte ...
Beaucoup de répétitions inutiles comme le Roi, Xilian ... Essaie de diversifier.
Comme l'a dit Nayla, aère plus ton texte, il deviendra plus compréhensible, surtout que pour un début il y a déjà pas mal de noms à se rappeler pour ne pas mélanger les personnages ...
Pas mal de fautes d'orthographe aussi, mais Aelghir te fera surement une petite liste hein?
Malgré toutes les choses négatives qu'on va te dire (c'est pour ton bien mon petit), ne te décourage pas et continue à écrire. Bon courage
Oui merci deja à vous Nayla et Darkan de m'aider.
Je dois avouer que j'ai envoyé le texte un peu trop vite!
En fait sur Work la presentation etait pas comme ca et aprés j'ai directement envoyé sans modifier, donc la prochaine fois, j'y penserais
Oui la frase que tu as souligné est imcomprehensible,Darkan,je dois dire!
La prochaine fois je me relirais une bonne cinquantaine de fois avant de le metre sur le site!
Sinon, manque de clarté avec les noms? Je vais essayer d'être plus clair mais je pensais que c'etait bon.
Les Repetitions à la relecture doivent partir normalement.
Et enfin l'orthographe c'est mon enorme defaut...mais bon avec le futur ca devrait s'arranger à force d'écrire.
Merci à vous deux pour les critiques instructives et maintenant j'attends la critique d'Aelghir.
Chevalier un jour, Chevalier toujours ! Montjoie Saint Denis et Tutti Quanti !
Xilian se déplaçait avec agilité dans les couloirs couleurs(couleur [et en plus inutile]) émeraude du Château Del Loco. Des torches d’un bleu océan (? le corps des torches ou la flamme ? en tous cas, c'est une précision "coloristique" assez déroutante) éclairaient par intermittence le couloir, ce qui lui donnait un aspect fantomatique à faire froid dans le dos(redondant. D'autant plus que tu utilises un peu plus loin la même expression :à faire froid dans le dos). Mais ce couloir menait à la salle du trone (trône) et c’était la destination de Xilian. Après quelques minutes de marche angoissée, il vit enfin la grande porte noire incrustée de diamants aux multiples couleurs(ça fait beaucoup de couleurs depuis le début, un peu basique pour une description) . Deux gardes étaient postés avec leurs hallebardes qui se terminaient en croissant de lune.(phrase maladroite) Un des gardes ((répétition) l'un d'eux) hocha la tête, puis ouvrit la porte et le présenta. (à la ligne)« Xilian Baradion, Grand Conseiller. » (à la ligne)Xilian entra dans la salle sombre et totalement silencieuse. (à la ligne)« Excusez-moi, Mon Seigneur. »(réplique mal placée, au milieu de la description. De plus, un peu sec. il y faudrait ajouter une justification) ) Il n’y avait pas de fenêtre, juste le trône gris(fenêtre n'est pas un meuble donc ça ne colle pas avec le "juste le trône)) à très haut dossier collait (collé [et ce terme ne convient pas])au fond de la salle, une longue table noire aux courbes arrondies [/b](en général les courbes sont arrondies )et [b]neuf chaises grises aussi à très hauts dossiers du même style dont deux vacantes une en face du Roi et l‘autre à gauche(Ouf ! beaucoup trop d'informations en vrac avec répétition. Il faut faire plusieurs phrases. Ex : Aucune fenêtre n'éclairait la salle plongée dans le silence. Contre le mur du fond, un trône gris à très haut dossier dominait une longue table sombre, aux angles arrondis. Autour de celle-ci, sept des neuf chaises assorties au trône étaient occupées. Les deux sièges vacants étaient situés, l'un à gauche du roi, l'autre en face de lui. (ce n'est qu'une suggestion) Seul(es) deux torches, comme celles du couloir,(bof !) étaient posées (terme inapproprié) à la gauche et la droite de la salle.(Phrase maladroite) La pièce était oppressante (l'atmosphère est oppressante pas la pièce) mais ce n’était pas seulement ca (ça) qui donnait(maladroit) cette impression de lourdeur et de tension. Le Roi, assis les jambes croisées, les mains qui pendaient sur les accoudoirs,(position bizarre) ses yeux gris enfonçaient (enfonçés) dans son visage maigre et gris, ses cheveux grisonnants lui donnait (donnaient)l‘aspect d‘un homme froid et manipulateur.(les mains qui pendent ne me donnent pas cette impression (phrase mal construite, fais des phrases plus courtes.) D’un geste négligent de la main, il répondit aux excuses de Xilian, sans dédaigné (daigner) le regarder et de son autre main il pointa (désigna)la chaise à la gauche du Roi(à sa gauche). Puis il réunit ses mains (Je vois des mains partout ! répétitions) et cacha sa bouche derrière ses doigts fins réunis(répétition. Et le terme fins ne me paraît pas convenir au bonhomme). (à la ligne) « Reprenons » (où est le verbe ?) avec sa voie (voix) délicate(pareil que pour "fins") à faire froid dans le dos (répétition). (à la ligne)« Mon Seigneur (virgule)[pour un roi : Sire, Votre Majesté) nous disions que les dragons Syphiliens(ça me fait penser un peu trop à syphilis, désolé) pourraient se réveiller bientôt.» Commença (Plutôt : rappela) Jade, la Capitaine Des (des)Prophètes. Xilian renifla de dédain sans aucune discrétion en s’asseyant(mal situé dans la phrase). Les petits yeux du Roi se tournèrent lentement vers Xilian (fais agir le perso, pas ses yeux, on dirait qu'ils bougent tous seuls dans son visage) : Le roi tourna lentemant la tête vers le retardataire et fixa sur lui ses petits yeux. On ne voyait pas sa bouche (pourquoi ? Tu n'as pas indiqué s'il est barbu] mais Xilian aurait juré avoir vu (aperçu) un sourire furtif. « Quelques choses (quelque chose) à dire (virgule) Baradion ? ». Sous le regard de son Roi,(inutile) il courba l’échine et répondit : « Je pense que la priorité n’est pas aux prophéties hypothétiques(hypothèses ou prophéties obscures), encore moins sur la possible attaque de prétendus dragons dont nous avons toujours aucune preuve de leurs existences(maladroit)[Je pense que la priorité ne doit pas aller à des prophéties obscures au sujet de prétendues attaques de dragons. Nous n'avons aucune preuve de l'existence de ces créatures). » Orimort Philius, le Roi,(tu aurais dû dire son nom avant) fixa Jade, qui rougissait presque (inutile), de colère ou de honte, Xilian ne savait pas trop. « Baradion à raison mais contactait (contactez)Tar-Draconis au cas où et entrainait (entrainez) une petite armée contre ce type de dragon. » (un conseiller ne donne pas d'ordres au roi, juste des conseils)Jade et Xilian furent contents que le Roi les écoute.([i]très enfantin !) [/i]Maelin, chargeait (chargé) des affaires dites «(inutile) secrètes » du Royaume parla.(bof) [s'exprima à son tour ou demanda la parole) « Monsieur Sire la mission en Alqualon…a échoué. »
Toutes les têtes se tournèrent vers Orimort guettant sa réaction(les têtes ne guettent pas, les gens si. Et puis c'est inutile puisque on se doute que ce n'est pas pour regarder friser sa moustache qu'ils se tournent vers la roi). Le Roi changea ses mains de positions (inutile)et les remis sur l’accoudoir, laissait voir son visage impassible, froid et gris[/b](maladroit et répétitions). Mais avant que le [b]Roi puisse répondre, la seul(e) porte de la salle vola (cui cui !)( L'unique porte s'ouvrit à la volée) et le fils du Roi entra sans aucune cérémonie(sans se faire annoncer). Toutes les têtes se tournèrent (répétition) [b]de l’autre sens pour le regarder(dans sa direction). Autant sonle père avait un visage froid, désabusé et gris (répétition), son fils autant le fils avait un visage charmeur, espiègle et sourieur(souriant)(3 adjectifs de sens proche). Il a tout hérité de sa mère, on se demande même si c’est son vrai fils[/b](quelqu'un pense apparemment, mais qui ? son vrai fils : le vrai fils de sa mère ?). « Salut [b]Papi (il ne faut pas exagérer quand même !), désolée (fils ou fifille ? ) du retard. » en faisant un geste de la main (quel geste ? )à son père, puis (il)se retourna vers les conseillers (difficile puisqu'il est face à eux)« Salut les paysans[/b](idem !). Vous pouvez continuer votre petite réunion, je [b]resterais (resterai) silencieux. » En quelques secondes, il avait presque détruit (bof) toute l’atmosphère oppressante, sinistre et tendu (tendue)avec quelques mots. (a mon avis, passage à supprimer) Mais le Roi reprit aussitôt. « Pour qu’elles (quelles )raisons (?) » Fit-il simplement à Maelin comme si rien ne s’était passé. (Le Roi fit mine de l'ignorer et interrogea Maelin :
" Pour quelles raisons ?") Toutes les têtes se retournèrent (rerépétition !)de nouveaux (nouveau) vers Orimort. La tension revint aussitôt bien que Palandor Philius [b]reculait(reculât mais comme tu as utilisé précédemment un subjonctif présent, on laisse tomber le subjonctif passé et on met : recule) bruyamment la chaise en la faisant racler (inutile) et en s’asseyant (s'asseye)négligemment en posant les pieds sur la table impeccablement noire et vide(inutile).[/b] Niveau respect des autres(trop familier), je pense qu’il(qui ?) tient ca (ça)de son père. Fit-il(qui?) riant sous cape. Xilian maintenant revenais (revenait)à Maelin. (l'attention de Xilian revint)« La situation a changée (changé) en Alqualon…l’Eglise ne possède plus aucune autorité…le Royaume (quel royaume ?, ce n'est pas net) a réussi un coup de maitre…(maître)en réunissant la Guilde au Royaume d’Alqualon et en tuant les deux représentants de l’Eglise … » D’un regard désabusé, le Roi continua.(Il parle avec le regard ? D'un ton désabusé) « Et vous avez jugé que la situation était différente et qu’il était inutile de tuer le nouveau Milenim? » Maelin fit les grands yeux(bof). Les informations vont vite, on dirait.(virgule) pensa Xilian. Elle(Heu, qui ça ??? Maelin ? Aucun indice précédemment pour indiquer que c'est une femme) répondit par un simple « Oui… ». Le Roi ne changea pas de ton, mais ses yeux étaient lave en fusion(maladroit, excessif surtout pour un type que tu veux désabusé, impassible, froid et tout et tout !). « Esteroth, quand je dis que le Roi d’Alqualon doit-être tué,(doit mourir) ce n’est pas une proposition que je vous fais, ni une demande où votre avis personnel compte(maladroit), c’est un ordre de votre Seigneur(inutile). » Philius regardait Maelin Esteroth droit dans les yeux, elle bafouilla tellement dans sa réponse que c’en était pitoyable à voir(entendre).(maladroit) « Mais mon Seigneur… le Roi a changé depuis la dernière fois que…que vous m’aviez donné l’ordre… ce n’est plus Altaïr Milenim mais…mais Valendor Milenim. »
« Quel ordre t‘aisai- je donné?» Répondit (demanda) simplement Orimort.
« Tuer Milenim. » Le visage de Maelin se décomposa petit à petit(peu à peu)pendant que la compréhension venait à elle(maladroit). Orimort à (a)prévu le changement de Roi. Je crois qu’il me terrifie vraiment.
« Maintenant petite sotte[/b](ça fait papa qui gronde fifille) [b]tu (vous ?)peux disposer, va accomplir ton ordre(mon ordre ou ta mission), si tu échoues, tu seras pendue. »
Maelin bafouilla(répétition) des remerciements (pas vraiment le bon mot), fit une courbette exagérée devant son Roi et sorti (sortit) presque en courant de la sinistre salle du Trone(trône) De Damoclès. Palandor commença à mâchonner (se mit à ronger) ses ongles par ennui. Il ne faisait même pas semblant de s’intéresser aux affaires du royaume. Les sept autres (quoi ? conseillers ?) retinrent leurs souffles(leur souffle, chacun n'a qu'un souffle)quand le Roi revint les regarder (maladroit). « Affaires suivantes » Un grand malabar(trop familier) aux yeux bleus avec une bouche prête au rire (bof, surtout dans la circonstance)parla d’une voie chantante qui faisait contraste avec le reste de la salle (maladroit): « Mon Seigneur, un de nos bateaux,(pas de virgule) a été attaqués (attaqué) par des pirates d’Ivinos. Le bateau transportait la boule d’Alchimie numéro 16 (seize). » Le Roi répondit bizarrement ou avec désintérêt totale(très maladroit). « Autres choses ? (autre chose)». Mais le grand malabar continua « Mais mon Seigneur, ses(les boules de qui ?) boules d’Alchimie… » Le Roi fixa l’homme qui commença alors à avoir des convulsions violentes sur sa chaise, puis il tomba par terre, et commença à crier. L’homme gesticulait par terre en se tenant la tête entre ses mains, limite entrain (familier et assez moche comme expression)se s’arracher les cheveux, en hurlant de souffrance physique et mentale. (tout ce passage est à revoir, répétitions, maladresses) L’ambiance du château va comme un gant (à qui ?) avec Orimort et ses pouvoirs. Fit (il parle ou il pense ?)Xilian dont le cœur commençait à battre violement. Puis les cris s’arrêtèrent, et Orimort, comme si rien ne s’était passé fitordonna « Suivant(pas très royal) » avec un léger sourire démoniaque(léger et démoniaque ne vont pas très bien ensemble). « Le problème de l’eau, mon Seigneur. Nous avons besoin d’eau pour la ville. Les ressources s’amenuisent. Il faut importer plus ou il faut trouver une nouvelle ressource d’eau au plus vite. » Commença l‘Homme en face de Xilian. « Exorios, je ne vous ai pas engagé pour que vous nous donniez des conclusions inutiles que tout le monde sais (connait) déjà. Il faut agir.(Le roi est-il sourd ? Il me semble qu'Exorios lui en a parlé) Quel est votre plan ? »
Exorios baissa les yeux cherchant une réponse(maladroit), pendant que le grand malabar se remettait péniblement sur sa chaise,(point)c’est (ce fut)Xilian qui répondit. « Pourquoi ne pas s’approvisionner dans la baie d’Arvandar ? » Tout le monde se retourna(on se croirait à un match de tennis ) d’un même geste vers Xilian, même le Roi et Palandor. « Seriez vous devenu fou Baradion. Vous savez très bien que cette Baie n’appartient pas encore à nous (ne nous appartient pas ), vous allez déclencher une guerre si vous faites… (Xilian ne peur pas prendre la décésion à lui tout seul) » La femme en face de Jade fut interrompue par un léger mouvement de la main du Roi qui pour une fois, souriait vraiment. « Déroulez votre pensée Conseiller Baradion. » Attention. « Mon Seigneur, (au cours de) la dernière séance, vous nous aviez dit qu’un conflit entre Ivinos et Dedabar éclaterait bientôt. » Xilian reprit sa respiration qui était faible à cause de la pression (mal dit)et de l’atmosphère oppressante. « Je me suis dis,(pas de virgule) que nous pourrions profiter d’un conflit entre nos deux adversaires pour nous approvisionner en eau en toutes discrétions (singulier), mais peut-être que cela ne colle(familier) pas à vos plans, mon Seigneur ? ». Philius regardait (Xilian) avec une telle intensité Xilian, que cela faisait peur, enfin, plus que d’habitude. « Xilian, Exorios vous travaillerez ensemble quand le conflit naitra entre nos deux ennemis. Exorios, vous ferez comme viens (vient)de le dire Xilian. » Les deux hommes hochèrent la tête. « Palandor, tu iras avec Menistros à Tar-Draconis pour notre demande.(quelle demande ? Le prince est arrivé après l'histoire des dragons, il n'en sait rien) » Le (son)fils ne répondit même pas, il était de nouveau captivé par ses ongles. « Vous pouvez tous disposer. » Tout le monde se leva, fit une courbette(bof) devant le Roi toujours assis, sauf le fils qui fit « Tchao papi.(ça ne cadre pas du tout à moins que ce soit de la Fantasy résolument humoristique, ce qui n'est pas le cas. De plus, il ne me semble pas que l'Italie fasse partie de ce monde.) » et les conseillers s’empressèrent de sortir de la salle. « Baradion, j’ai deux mots à te dire. (pas très royal, cette expression)» Xilian qui était le dernier à partir de la salle, se retourna lentement vers son Roi. Quand vais-je sortir de cette maudite salle. « Si j’apprends que le Prince Milenim a disparu et qu’il n’est pas officiellement mort, je prendrais cela comme une trahison de ta part et de celle de Esteroth. » Penchant la tête de coté et lui faisant(avec) un sourire machiavélique, il continua. « Tu peux maintenant disposer. » Xilian, resta impassible devant son Roi, courba l’échine puis sorti (sortit)de la salle. Mais dés qu’il sortit(répét),(à peine dehors) il se mit à courir comme il n’avait jamais couru. Les torches bleues passèrent à toutes allures (singulier), il bouscula les autres conseillers dans sa hâte. Ils commencèrent à jurer mais Xilian partait déjà. Il faut que je trouve Maelin sinon on est (nous sommes)morts. Que je suis bête,(inutile) j‘ai été négligent…C’est une vrai catastrophe. Xilian courait toujours quand soudain, quelqu’un lui fis (fit) un croche patte. Xilian s’affala violement (violemment)par terre(inutile, on s'en doute), tête la première. Un rire arriva de dernière,(?)(retentit) certainement du fils du Roi, qui était le seul à rire dans le château et… « Alors on panique ? » Fit d’un ton malicieux le bouffon de Palandor qui l‘avait surpris en arrivant dans l‘angle à sa gauche.(maladroit) Il se releva péniblement. Xilian lui envoya son poing dans la face d’ahuri du bouffon qui tomba par terre sous le choc et grogna de douleur quand Xilian lui écrasa la main quand il recommençât à courir en se massant l’épaule. (très mal construit) Qu’elle (quelle) journée merdique (NON !)! Baradion tournait (tourna)à droite, (puis)à gauche, (et encore) à droite dans ce dédale de flamme bleue à vous(appel au lecteur incongru) faire perdre la tête. Puis il tourna une dernière fois à droite et se retrouva chez Maelin. Il défonça (excessif)la porte. Elle était entrain (en train)de se préparer quand elle leva la tête.(elle se préparait quand il est entré. Elle lève la tête ensuite) « Il sait tout ! » Fit-il simplement, trop essoufflé pour (en) dire plus. Elle arrêtase (ce)qu’elle faisait (Elle s'interrompit) et il s’assit sur son (le) grand lit. « On fait quoi maintenant ? » Répondit-elle. « Je t’accompagne en Alqualon, je vais m’occuper personnellement de cette affaire. » Je sens le piège d’Orimort qui se resserre autour de mon coup(cou).([i]autour de moi) [/i]Il sait que je pouvais faire disparaitre Milenim ou que je pouvais le faire portait (porter) pour mort,(passer pour mort) si les choses tournaient mal… Il m’a déjà contrecarré alors que je n’ai même pas encore agis (agi). C’est aberrant. Il faut que je trouve une solution…si solution il y a.
OUF ! Fini. Il avait du boulot.
Il va falloir beaucoup travailler pour être lisible et que l'on prenne du plaisir à te lire.
Laissons l'orthographe (utilise un correcteur orthographique). Beaucoup de tes phrases sont mal construites, maladroites, il y a beaucoup de répétitions, des incohérences. Les dialogues ne sont pas à la hauteur des personnages, roi et conseillers. Varie les verbes introducteurs de dialogues, pour éviter de répéter dit ou fit.
A propos des dialogues, tu dois aller à la ligne chaque fois que l'interlocuteur change.
Exemple :
"Coucou, c'est moi, dit le hibou.
- Salut, répondit le coucou.
- Tu viens avec moi en Suisse ? demanda le premier.
- Non, il y a trop de coucous", se fâcha l'autre.
Chevalier un jour, Chevalier toujours ! Montjoie Saint Denis et Tutti Quanti !
Bon, c'est très exaustif, j'espère que ça ne va pas te décourager mais t'aider au contraire.
Pense à tes personnages de façon à les rendre vivants et surtout crédibles (un roi et des conseillers ne s'expriment pas comme tout le monde)
Eh ben ! J’ai qu'un mot à dire " merci "malgré de temps en temps un ton ironique et moqueur totalement justifié.
Je vais donc de ce pas remanier en profondeur le texte, éviter les répétitions, corriger les nombreuses fautes, changer et remplacer les répliques pour plus de cohérence, remanier mon histoire pour quelle soit compréhensible pour tous, aérer et encore beaucoup de choses !
Ah oui pour les flammes bleues c'est normal, les explications viendront mais beaucoup plus tard dans un autre texte. Enfin bon, c'est quand même de la fantasy! Lutin, troll, gobelin, dragon et pourquoi pas flammes bleues ?
Pour Palandor, je voulais le faire très décalé par rapport au reste des conseillers et surtout à son père. Qu'il s'apparente plutôt à un bouffon, Palandor est très influencé par son bouffon personnel, sans trop détailler . Je changerais toutes ses répliques.
Pour Xilian,son langage peu en accord avec son rôle est normal,( bon désolé pour le gros mot quand même, j'ai exagéré aussi) il n'a pas vraiment eu d'éducation pour parler à un Roi,il est devenu Grand Conseiller par ses actions et non par des discours.Il essaye de s'adapter comme il peut.
Pour la réaction des conseillers, Orimort les a choisi, pour qu'il puisse les manipuler à sa guise. Ils essayent tous de résister bien sur, mais dans la salle du trône, Orimort les domine vraiment et il aime cette situation de superiorité.
Je veux que chaque conseil devienne en quelque sorte une épreuve psychologique.
Bref, je vais revoir l'ambiance à la hausse.
Bon ben merci à vous trois, j'ai beaucoup de boulot et merci encore ça m'a bien motivé.
Chevalier un jour, Chevalier toujours ! Montjoie Saint Denis et Tutti Quanti !
Ce que tu dis au sujet du roi, des conseillers, de Xilian, c'est bien. Essaie de le faire ressortir plus dans l'attitude de chacun, dans les dialogues afin que le lecteur le comprenne sans que tu aies besoin de mettre les points sur les i.
Pour le bouffon, on ne sait pas qu'il s'agit de celui du prince. Je croyais que c'était celui du roi.
Si je le dis au passage où Xilian trébuche à cause du bouffon :" « Alors on panique ? » Fit d’un ton malicieux le bouffon de Palandor."
Mais bon bref!
Sinon pour l'ambiance, je trouve que c'est difficile d'en mettre une sans être trop lourd dans les descriptions, je vais devoir reflechir à max pour voir comment faire.
Merci pour tous tes conseils Aelghir.