La Pierre de Tear fait peau neuve ! L'aventure continue sur www.pierredetear.fr !
L'ancien site est a présent archivé pour la postérité et en mode "lecture seule". Vous pouvez consulter l'ensemble du contenu et des anciennes discussions du forum,
mais plus créer de nouveaux topics ni écrire de nouvelles réponses.
Voilà une histoire étrange à plus d'un titre car l'action ne se passe pas dans un cadre fantaisiste, mais dans la Russie du XIXe me siècle. Après avoir lu des auteurs comme Gogol, Dostoievski, ou encore Tolstoï, j'ai décidé d'écrire une petite histoire dans cet univers si particulier. Il y a donc des expressions qui vont peut être vous paraitre bizarre si vous n'êtes pas habitué. Ayant beaucoup de problème d'orthographe et le texte étant assez long ( 12 pages pour l'instant ) le peu que je vais publier sera sans doute entaché de fautes surement grossières aux yeux d'un lecteur avertis. Je vais autant que possible essayait de corriger cela mais je vous demande d'être patient. Je commence par publier les deux premières pages pour voir les réactions et les changements à opérer. Voilà merci de votre intention ( et encore désolé pour les fautes, j'essaye de combattre mes démons mais le combat est assez difficile...) bonne lecture ^^.
La nuit avait déjà étendue son manteau sur toute la ville, quand la fantaisie me pris d'allait me balader. A peine avais-je fait un pas dans la rue, que le froid m'enveloppa, je précipitais alors mes pas vers une destination qui m'était inconnue. Je longeais le canal N..... depuis un certain temps, plongé dans mes pensées, je voyais défilé devant moi des fonctionnaires de toute condition, qui avaient l'air renfrognés que prennent les travailleurs zélés après une journée de travail laborieuse. Mes pas me menèrent jusqu'à la Perspective, où à cette heure le carnaval, composait de toute la haute société, ne faisait que commencer. Je continuais ma marche tranquillement, lorsqu'un spectacle des plus singuliers s'offrit à moi. Un jeune cocher était en train de se faire rosser par sa maitresse sous le prétexte qu'il n'avait pas assez vite ouvert la porte de la voiture. La maitresse, une dame aux contours assez disgracieux, s'évertuait à lui donner des coups de mouchoir, le pauvre cocher, la mine grave, ne bronchait pas, subissant ce tourment amplement mérité. . Je me plaisais à ces balades nocturne hivernale, la ville brillait de mille feux, à ce qu'on disait, il n'était même pas la peine d'allumer la moindre lanterne, la lumière des magasins suffisait à illuminer la Perspective. Je me retrouvai au boute d'un moment devant chez Datinski, le libraire. Sans savoir pourquoi, j'entrais dans la boutique. La chaleur du magasin contrasté avec la température extérieur, qui était glacial. Je me mis alors à parcourir les étagères sans trop de but, quand un ouvrage attira mon regard, je voulus le prendre pour l'examiner quand une voix derrière moi s'écria:
-"Par terre!"
Je me retournais,et vis un être des plus extravaguant,il était accoutré de la manière de la plus singulière qui m'était donné de voir dans toute mon existence.Son visage était à moitié noyé sous une masse capillaire,qui n'avait pas vu un peigne depuis moult décennie,à n'en pas douté.Le jeune homme blond habillé,excusé moi l'expression,comme un fonctionnaire de seconde zone,me répéta alors:
-"Par terre!"
Je balayais alors le sol de la librairie du regard et n'y trouva que du plancher.Mon regard alla se planter dans celui du jeune homme,et attendis assez perplexe la suite des évènements.Voyant qu'il ne se passait rien,je tendis mon bras pour saisir,de nouveau,le livre qui m'intéressait quand j'entendis de nouveau:
-"Par terre!"
Voyant que le jeune homme avait l'air assez primaire,je m'exprimais alors dans un langage qui devait lui être accessible,pour lui montrer pourquoi je voulais prendre le livre:
-"Beau livre!" lui dit-je.J'attendis,mais aucune réaction de la part de cette individus,qui devenait de plus en plus bizarre.
Il ne me quitta pas du regard pendant cinq bonne minute.
-"Mais que diable voulez vous ?" m'écriais-je,perdant peu à peu contenance.
-"S'il plait à monsieur de bien vouloir m'écouter,je m'évertue à lui dire qu'il trouvera,il est certain,ce qu'il cherche par terre." répondit le jeune homme avec un sourire.
Je restais quelques instants quelque peu abasourdit,le bougre venait passé du parfaite allemand au plus chic de mes compatriotes maitrisant à la perfection le verbe.
-"Mais que croyais vous que je cherche,et comment se pourrait-il que je le trouve par terre ?" lui demandais-je d'un ton respectueux,voyant que l'homme n'était pas ce qu'il paraissait être,c'est à dire un de ces allemands se complaisant dans l'ivrognerie et gaspillant le moindre rouble dans une bouteille,ces animaux n'étaient,malheureusement,que trop fréquent de nos jours.
-"Les réponses arriveront à point nommée,mon bon monsieur,je puis vous l'assurer.Permettez moi de me présenter,Alexei Ivanovitch Pavliov."
Je ne savais que faire car j'ignorais la raison qu'avait bien pu avoir cet étrange personnage de venir à ma rencontre,d'une manière plus que singulière qui plus est.Ne sachant que faire je me présenté à mon tour:
-"Enchanter,Alexei Ivanovitch,je me présente à mon tour,je suis Mikhail Illitch Petrovitch "
-"Recevez mes hommages cher Mikhail Illitch."
Plus je l'observai moins les choses me paraissaient cohérente,pourquoi un tel individus qui cachait derrière un tel accoutrement,un esprit fort développé,était-il venu m'aborder ? Et que voulait-il de moi ? Et pourquoi,diantre,ne voulait-il pas que je prenne ce livre ? Les questions se succédaient dans ma tête,sans pour autant trouver de réponse.Une étrange impression envahissait mon esprit,quelque chose qui me faisait sentir que cette rencontre fortuite n'était pas le fruit du hasard,et,qu'à n'en pas douté,il allait en résulté quelque chose d'inattendu.
-"Que puis-je faire pour vous Alexei Ivanovitch ?" lui demandais-je.
-"C'est plutôt mon humble personne,qui vais venir à votre aide,Mikhail."
-"Mais comment cela ? Je n'ai pas besoin d'aide,et puis nous ne nous connaissons même pas."
-"L'aide la plus salutaire est celle que l'on donne à celui qui croie ne pas en avoir besoin." répondit Alexei d'un air mystérieux.
-"Je n'y comprend goutte !" m'écriais-je,sentant la roublardise.
-"N'ayez d'inquiétude mon cher,c'est la Providence qui m'a conduit à vous."
Ah,encore un mystique ! Me dit-je intérieurement.Me voilà bien embarrasser,encore un de ses fripons qui veulent vous soutirer quelques roubles en prétextant être votre amis,pour allez faire la tournée des bar.
-"Je vous vois troublé mon ami,que se passe t-il ?"
Je t'es percé à jour petit diable,cela fait cinq minutes que nous nous connaissons et déjà tu m'appelle "ami",il faut que je l'oblige à se trahir.
-"Rien d'important,je me disais juste qu'un bon verre de vodka ne me ferait pas de mal,cela me réchaufferait."
-"Je ne suis pas de votre avis,il est des moyens fort moins dégradant que s'adonner à la boisson pour se réchauffer."
Je te vois venir malandrin,débauché que tu es,tu entend ici la plaisir charnel avec une quelconque fille de joie,je vois claire dans ton regard lubrique.
Mais à ma grande surprise Alexei ajouta :
-"Rien de tel qu'un bon feu de cheminé,et un livre de Pouchkine,pour se donnez force au cœur,et vous réchauffez."
Je ne savais que trop pensée,toute mes conjectures étaient mise à mal,se pourrait-il qu'il lise dans mon esprit ? Je pris alors peur et serra mon manteau assez vigoureusement autour de moi.
-"Avez vous froid ?" me demanda t-il.
On sentait toute la niaiserie allemande suinté de cette interrogation.Je ne savais que faire,j'étais pris au piège par ce maudit personnage.C'est alors que Datinski,le libraire,s'approcha de nous,et nous annonça,à mon grand désarroi,que la boutique allait fermer.Je savais pertinemment que cet étrange personnage allait me suivre,il me regardait innocemment le sourire aux lèvres,mais que faire?!
Chevalier un jour, Chevalier toujours ! Montjoie Saint Denis et Tutti Quanti !
Je vais déjà corriger l'orthographe ! Ya du bouleau (boulot ?)
La nuit avait déjà étendue (étendu) son manteau sur toute la ville, quand la fantaisie me pris d'allait (prit d'aller) me balader. A peine avais-je fait un pas dans la rue, que le froid m'enveloppa, je précipitais (précipitai) alors mes pas vers une destination qui m'était(inutile) inconnue. Je longeais le canal N..... depuis un certain temps, plongé dans mes pensées, je voyais défilé (défiler)devant moi des fonctionnaires de toute condition (au pluriel), qui avaient l'air renfrognés (renfrogné) que prennent les travailleurs zélés après une journée de travail laborieuse(redondant avec zélé). (le passage à partir de Je longeais ne cadre pas d'un point de vue temporel avec le précédent, il semble qu'il était déjà au bord du canal avant de sortir de chez lui.] Mes pas me menèrent jusqu'à la Perspective, où à cette heure le carnaval, composait (composé [mais ce mot ne convient pas])de toute la haute société, ne faisait que commencer. Je continuais ma marche tranquillement, lorsqu'un spectacle des plus singuliers s'offrit à moi. Un jeune cocher était en train de se faire (se faisait) rosser par sa maitresse sous le prétexte qu'il n'avait pas assez vite ouvert la porte de la voiture [le promeneur ne peut pas avoir entendu la raison puisqu'il vient d'arriver au moment où l'autre se fait taper dessus) . La maitresse, une dame aux contours assez disgracieux(bof), s'évertuait à lui donner des coups de mouchoir (rosser quelqu'un à coups de mouchoir ???), le pauvre (pas trop de mal avec le mouchoir !) cocher, la mine grave, ne bronchait pas, subissant ce tourment amplement mérité ( trop de "an" De plus il suffit de mettre : Le cocher subissait ce tourment sans broncher. Et aussi :le promeneur estime-t-il que la punition est justifié, ou ironise-r-il ? . Je me plaisais à ces balades nocturne hivernale (nocturnes hivernales), la ville brillait de mille feux, à ce qu'on disait,(bof) il (.Il) n'était même pas la peine d'allumer la moindre lanterne, la lumière des magasins suffisait à illuminer la Perspective. Je me retrouvai au boute (bout)d'un moment devant chez Datinski, le libraire. Sans savoir pourquoi, j'entrais (j'entrai)dans la boutique. La chaleur du magasin contrasté (contrastait) avec la température extérieur(e), qui était glacial(e) [pas besoin de le redire]. Je me mis alors à parcourir les étagères (des yeux, non ?) sans trop de but,(bof) quand un ouvrage attira mon regard, je voulus le prendre pour l'examiner quand une voix derrière moi s'écria (une personne s'écrie, pas une voix): -"Par terre!"
Je me retournais (retournai),et vis un être des plus extravaguant(s),il était (inutile, redondant) accoutré de la manière de(supprimer) la plus singulière qui m'était (m'ait été) donné de voir dans toute mon existence.Son visage était à moitié noyé (enfoui)sous une masse capillaire (de cheveux),qui n'avait pas vu un peigne depuis moult (de nombreuses)décennie(s),à n'en pas dout(er).Le jeune homme ( ne cadre pas avec les moult décennies (d'années)) blond (virgule) habillé,excusé moi (excusez-moi)l'expression,comme un fonctionnaire de seconde zone,me répéta alors: [accoutré ne convient pas puisque tu parles de ses cheveux et ses habits sont ordinaires.)
-"Par terre!"
Je balayais (ai)alors le sol de la librairie du regard et n'y trouva (ai) que du plancher.Mon regard alla se planter (bof) dans celui du jeune homme,et (j')attendis (virgule)assez perplexe (virgule)la suite des évènements.Voyant qu'il ne se passait rien,je tendis mon bras pour saisir,de nouveau,le livre qui m'intéressait quand j'entendis de nouveau(répétition):
-"Par terre!"
Voyant que le jeune homme avait l'air assez primaire(bof),je m'exprimais (ai) alors dans un langage qui devait lui être accessible,pour lui montrer (démontrer) pourquoi je voulais prendre le livre:
-"Beau livre!" lui dit (dis)-je.J'attendis,mais (verbe ?)aucune réaction de la part de cette individus (cet individu),qui devenait de plus en plus bizarre.
Il ne me quitta pas du regard pendant cinq bonne(s) minute(s).
-"Mais que diable voulez vous ?" m'écriais(ai)-je,perdant peu à peu contenance.
-"S'il plait à monsieur de bien vouloir m'écouter,je m'évertue à lui dire qu'il trouvera,il est certain,ce qu'il cherche par terre." répondit le jeune homme avec un sourire.
Je restais (ai) quelques instants (un instant)quelque peu abasourdit (abasourdi),le bougre venait passé (de passer) du parfaite allemand au plus chic de mes compatriotes maitrisant à la perfection le verbe.( Gné ?) -"Mais que croyais vous (croyez-vous)que je cherche,et comment se pourrait-il que je le trouve par terre ?" lui demandais (ai)-je d'un ton respectueux(mot un peu fort),voyant que l'homme n'était pas ce qu'il paraissait être,c'est à dire un de ces allemands se complaisant dans l'ivrognerie et gaspillant le moindre rouble dans une bouteille,ces animaux n'étaient,malheureusement,que trop fréquent(s) de nos jours. (beaucoup trop long) -"Les réponses arriveront à point nommée (nommé),mon bon monsieur,je puis vous l'assurer.Permettez moi de me présenter,(je me nomme ou :, avec la virgule, on peut penser que c'est l'autre qui s'appelle A I A )Alexei Ivanovitch Pavliov."
Je ne savais que faire car j'ignorais la raison qu'avait bien pu avoir (qui avait poussé) cet étrange personnage de venir à ma rencontre,d'une manière plus que singulière qui plus est(inutile).Ne sachant que faire je me présenté (ai) à mon tour:
-"Enchanter (enchanté),Alexei Ivanovitch,je me présente à mon tour,je suis Mikhail Illitch Petrovitch "
-"Recevez mes hommages(excessif)cher Mikhail Illitch."
Plus je l'observai(s) moins les choses me paraissaient cohérente(s),pourquoi un tel individus (individu) qui cachait derrière un tel accoutrement,(supprimer)un esprit fort développé,était-il venu m'aborder ? Et que voulait-il de moi ? Et pourquoi,diantre,ne voulait-il pas que je prenne ce livre ? Les questions se succédaient dans ma tête,sans pour autant trouver de réponse.Une étrange impression envahissait mon esprit,quelque chose qui me faisait sentir que cette rencontre fortuite n'était pas le fruit du hasard,et,qu'à n'en pas douté (douter),il allait en résulté (résulter) quelque chose d'inattendu.
-"Que puis-je faire pour vous (virgule) Alexei Ivanovitch ?" lui demandais(ai)-je.
-"C'est plutôt mon humble personne,qui vais (va) venir à votre aide,Mikhail." (phrase maladroite)
-"Mais comment cela ? Je n'ai pas besoin d'aide,et puis nous ne nous connaissons même pas."
-"L'aide la plus salutaire est celle que l'on donne à celui qui croie (croit) ne pas en avoir besoin." répondit Alexei d'un air mystérieux.
-"Je n'y comprend (comprends)goutte !" m'écriais-je,sentant la roublardise.
-"N'ayez d'inquiétude mon cher,c'est la Providence qui m'a conduit à vous."
Ah,encore un mystique ! Me dit(dis)-je intérieurement.Me voilà bien embarrasser(embarrassé),encore un de ses (ces)fripons qui veulent vous soutirer quelques roubles en prétextant être votre amis (ami),pour allez (aller)faire la tournée des bar(bars)[cette expression est-elle russe ?).
-"Je vous vois troublé mon ami,que se passe t-il ?"
Je t'es (ai) percé à jour petit diable,cela fait cinq minutes que nous nous connaissons et déjà tu m'appelle(s) "ami",il faut que je l'oblige à se trahir.(ce sont ses pensées mais tu ne le précises pas. Au début, on croit qu'il lui répond)
-"Rien d'important,je me disais juste qu'un bon verre de vodka ne me ferait pas de mal,cela me réchaufferait."
-"Je ne suis pas de votre avis,il est des moyens fort moins dégradant(s) (maladroit) )que s'adonner à la boisson pour se réchauffer."
Je te vois venir malandrin,débauché que tu es,tu entend (entends)ici la plaisir charnel avec une quelconque fille de joie,je vois claire (clair) dans ton regard lubrique.
Mais à ma grande surprise Alexei ajouta :
-"Rien de tel qu'un bon feu de cheminé(e),et un livre de Pouchkine,pour se donnez (donner) force au cœur,et vous(se) réchauffez (réchauffer)."
Je ne savais que trop (trop que)pensée (penser),toute(s) mes conjectures étaient mise(s) à mal,se pourrait-il qu'il lise dans mon esprit ? Je pris alors peur et serra(i) mon manteau assez vigoureusement (bof) autour de moi.
-"Avez vous froid ?" me demanda t-il.
On sentait toute la niaiserie allemande suinté (suinter) (bof) de cette interrogation.Je ne savais que faire,j'étais pris au piège par ce maudit personnage.C'est alors que Datinski,le libraire,s'approcha de nous,et nous annonça,à mon grand désarroi,que la boutique allait fermer.Je savais pertinemment que cet étrange personnage allait me suivre,il me regardait innocemment le sourire aux lèvres,mais que faire?!
Sur deux pages, je ne peux juger l'intérêt de l'histoire. Mais sois plus rigoureux avec l'orthographe sinon les lecteurs décrocheront (utilise un correcteur). En particulier, tu confonds imparfait et passé simple, participe passé et infinitif, tu oublies les marques du pluriel) Dans un dialogue on ne met pas à la fois des " et des - ! On ouvre et on ferme un dialogue par des " et on met un - quand l'interlocuteur change. Simplifie-toi la vie ne n'utilisant que les -. Les virgules sont mal placées ou inexistantes. Certaines phrases sont trop longues et d'autres maladroites.
Retravaille sérieusement le début avant d'envoyer la suite si tu veux être lu.
Ps : Je ne ferai pas une relecture aussi approfondie pour la suite.