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Les Légendes de Damien
(Sujet créé par Laurian l 26/03/08 à 16:05)
Ce titre est le titre que j'ai donné à ces légendes, bien qu'elles ne sont que des histoires simple et courte. Le tout avait été créé dans le but de faire un conteur dans un GN, malheureusement, l'idée à planté.
J'aimerais grandement des commentaires, positifs mais surtout négatifs.
Au plaisir.
Il fut un temps où la guerre ravageait les pays de l'est. De grands royaumes en étaient venus aux armes après plusieurs siècles de querelle territoriale. De riches mines séparaient les deux terres et chacune les voulait. Ce qui, dans l'avidité et le bain de pouvoir d'un roi, voulait dire une guerre pour les obtenir. Sous la bannière de leur roi, tous les hommes valides furent appelés à combattre. En particulier les hommes qui travaillaient dans les endroits visés. Les cris qui résonnèrent de cette nouvelle furent entendu de loin. Maokel était l'un deux. Il avait quitté sa femme par la force pour une épouse beaucoup plus cruel, l'armée. Les premiers mois furent de simples petites escarmouches et il en profita pour rapidement apprendre à combattre, comprenant malgré lui les durs lois de la guerre. Après une demie année, Maokel était désormais le chef d'une bonne troupe et le soldat improvisé se languissait de sa dame. Cette nostalgie lui fut fatale. Il n'avait qu'une hâte, terminer cette guerre. Son plan était simple : détruire tous les villages frontaliers ennemis. À chaque fois, il ressentait un pincement au cœur. Tout village, d'un bout à l'autre du monde, se ressemble. Alors, ceux simplement de l'autre côté de la frontière était quasiment identique au sien. À chaque fois, il pouvait presque sentir l'odeur de sa bien aimée.
C'était une nuit de pluie. On n'y voyait pas à deux pas en avant. Un éclaireur vint lui annoncer un village ennemi. Croyant trouver un abri contre la pluie dans ce village, il dit à ses hommes de « Nettoyer » le village. Il fut dans les premiers à foncer vers leur protection contre cette pluie incessante. Contrairement à ses hommes, il s'arrêta au milieu de la grande place pour regarder le massacre. Un sourire de satisfaction était visible quand il prit le chemin d'une maison, « Nettoyée » pour l'occasion. Il s'endormit au chaud pour la première fois depuis des mois. Cette maison lui rappelait étrangement son petit village. Comme tous les villages qu'ils avaient nettoyés. La nuit fut douce, la pluie une berceuse à ses oreilles. Il se leva le matin, le soleil éclairant la maison dans laquelle il avait dormi. Il ouvrit la porte et alla voir ses compagnons de voyage. C'était la meilleure nuit qu'ils avaient passée depuis bien des mois. Il entreprit de brûler le village, comme ils l'avaient fait avec les autres. Avant de déposer la torche sur la pile de ce qui avait été des villageois, il entendit des cris.
« Capitaine, ils sont là. Les soldats ennemis.»
Son épée avait été dégainée avant même qu'il ne s'en aperçoive. Ils étaient prêts à les recevoir.
« Tous dans le village. Cachez-vous bien.»
Il se cacha derrière une maison pour bien les voir. Il les regardait avancer, une expression de haine sur son visage. De sa cachette, il vit une forme dans le tas de cadavre. Une forme connue. Elle lui rappelait quelqu'un. Finalement, il l'a reconnu, dans le tas de cadavre empilé la veille, sa femme. Une fureur infinie l'envahit. La seconde d'après, il était sur les ennemis, à un contre trois.
Salut, bravo pour ton texte (et l'illustration ),
je trouve deux défauts :
Le manque de crédibilité. La première impresssion que j'ai en lisant la fin, c'est simplement "il est c*" ce personnage, pourquoi ne pas rendre plus crédible son erreur en expliquant que les villageois ont du se déplacer et ils attaquent une caravane par exemple ou un autre lieu?
Le deuxième point est justement la briéveté du récit, c'est un peu court, jeune homme. Pour prendre le temps d'amener les personnages et l'histoire à se dévoiler, il faut plus d'un paragraphe. Sinon, c'est juste une "idée brute". Dans le cadre d'un scénario, c'est déjà discutable mais dès lors que tu le proposes comme lecture, il faut développer un peu.
Chevalier un jour, Chevalier toujours ! Montjoie Saint Denis et Tutti Quanti !
L'idée est intéressante mais je rejoins Lugh sur le fait qu'il faut développer, on dirait presque un résumé. Et le personnage fait un peu " bourrin"... Il ne reconnait pas son village. (Tu aurais d'ailleurs dû préciser que son bled était lui aussi frontalier)
Sur la forme :
- Pas mal de fautes d'orthographe
- l'usage des pronoms : "Son épée avait été dégainée avant même qu'il ne s'en aperçoive. Ils étaient prêts à les recevoir". (pronoms imprécis, mal utilisés, il existe d'autres substituts du nom que les pronoms)
- Des répétitions (ex : tas de cadavres)
- Des expressions maladroites (ex : bain de pouvoir d'un roi,...Les cris qui résonnèrent de cette nouvelle furent entendu de loin...Les premiers mois furent de simples petites escarmouches... Alors, ceux simplement de l'autre côté de la frontière était quasiment identique au sien...il l'a reconnu, dans le tas de cadavres, sa femme...
des imprécisions : sa dame : pour un villageois ?
et alla voir ses compagnons de voyage. : ils ne voyagent pas, ils guerroient
Bon, j'arrête. Ah si, une dernière :
"Avant de déposer la torche sur la pile ": en général, on met la pile dans la torche sinon ça n'éclaire pas !
Je vous remercie de vos critiques et je vais en prendre compte pour la modifier...
Je vais juste me justifié en un point: Elle se devait d'être brève.
Sinon, en voici une deuxième. Il n'a a pas d'image pour l'accompagner, puisqu'elle dérive d'une histoire de grandeur nature.
Ryvnel
La dernière bataille
Dans l’une des plus belle contrée que l’on pouvait rencontrer, tous et chacun faisaient leurs petites besognes, peu importait le temps où l'on s'y rendait. Malheureusement, en ces terres de Ryvnel, rien ne restait paisible bien longtemps. Années par-dessus années, les habitants de ces terres ont dû combattre dieux et démons pour leurs saluts. Dans le souvenir des plus anciens, liches et dragons tissaient leurs cauchemars les plus noirs. Alors que ceux-ci ne rêvaient qu'à la paix, de nouveaux guerriers venaient les rejoindre avec une envie insatiable de sang. Tout ça, pour prouver aux autres qu'ils étaient les meilleurs. Cette année-ci, ce fut différent. La mort elle-même leur avait donné rendez-vous. Après des siècles de batailles acharnées pour sauver leur terre tant aimée, la création en avait eu assez de voir des rivières rouges à Ryvnel. Puisque personne ne peut détruire ce qui a été crée, pas même la création elle-même, la grande déesse les punirent d'une autre manière. Leur punition était la mort. D'abord, personne ne prit cette menace au sérieux. Le sang continua à couler insensible à la douleur de la terre. Puis la création mit sa menace à exécution. Tranquillement, la terre devint l'hôte de phénomènes étranges. Et puis un soir, des êtres venus d'une dimension enflammée vinrent dérangés le calme précaire qui s'était établi à Ryvnel. Mais alors que ces fiers patriotes ne se battaient que pour sauver leur univers, leurs brûlants ennemis ne songeaient qu'à détruire l’alliance qui unissait les peuples de cette terre maintes fois inondé par le sang. La bataille fut longue. Un parti ayant le désir ardent de tout anéantir, l'autre un bouillonnant désir de vie. Alors que les défenseurs croyaient enfin avoir vaincu, le maître des êtres embrasés sortit d'une éclatante flamme irréel. Un Phénix. Excités par une rage incendiaire, ryvniens et ryvniennes redoublèrent d'ardeurs. La mort elle-même ne les arrêterait pas. C'était la leur. Leur terre. Peu importait si la création désirait reprendre ses droits sur Ryvnel. Ils étaient là. Leurs corps seraient le bouclier face à la destruction. Ce fut l'étincelle qui raviva la flamme de leur volonté. Ils remportèrent une flamboyante victoire. La lumière brillait sur leurs pauvres âmes perdues. Plusieurs mois passèrent avant qu'à nouveau, on y voit une créature enflammée. Durant ce temps de paix, les quatre races vivant sur ces terres en profitèrent pour faire la dernière grande alliance. La seule qui fut respecté. Les combats reprirent brutalement alors que les derniers préparatifs allaient être complété. Cette fois-ci, plus que de simple créature. Selon des témoins, les terres furent le théâtre de mystérieuse visite. D'un Bélial jusqu'à des fous jurant la venu d'une puissance maléfique. On pense même y avoir trouvé des traces de Valkyrie. Mais qui peut réellement croire ses dires? Des Valkyries venus sur cette terre pour tester des champions? Et puis quoi encore? Puis, la folie s'empara définitivement des terres : ils sacrifièrent leurs chefs pour ouvrir un portail. À la seconde où ils s'y engouffrèrent, la terre se détruit. Personne n'a jamais su ce qui était arrivé. C'est le mystère de la terre maudite de Ryvnel.
Chevalier un jour, Chevalier toujours ! Montjoie Saint Denis et Tutti Quanti !
Je n'ai rien à dire sur l'histoire en elle-même mais tu dois avant tout, si tu veux être lu avec plaisir, veiller à l'orthographe et à la justesse de l'écriture. Par exemple dans ta première phrase :
Dans l’une des plus belle contrée que l’on pouvait rencontrer, tous et chacun faisaient leurs petites besognes, peu importait le temps où l'on s'y rendait.
Dans l’une des plus belle contrée [au pluriel] que l’on pouvait rencontrer, tous et chacun [incohérent : soit tous, soit chacun mais pas les deux ensemble ou alors l'expression "Tout un chacun" ? ]faisaient [le verbe faire est un verbe fourre-tout à éviter au maximum,il existe tellement de verbes précis] leurs petites [pourquoi petites ?]besognes [ vaquaient à leurs besognes], peu importait le temps où l'on s'y rendait. [Assez incompréhensible... de quel "temps s'agit-il ? ]
Et c'est pareil dans tout ton texte. L'intérêt de l'histoire n'est pas tout, il faut que les mots la soutiennent. Le choix du vocabulaire, la formulation des phrases, l'orthographe rendent un récit agréable à lire. Une bonne histoire mal écrite, c'est comme un diamant qui serait serti dans un anneau de pacotille. Je ne dis pas que tout est mauvais, loin de là mais, s'il te plait, travaille et retravaille l'écriture pour offrir un écrin convenable à tes histoires.