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les sceptres
(Sujet créé par cassica l 18/10/07 à 22:38)
non favori


Voici les deux premiers chapitres d'un livre que j'écris. Pour que la suite soit meilleures j’accepte toutes le critiques... Cependant je sais que j'ai de grosses difficultés avec l'orthographe et écrire est un passion, j'ai d'autre priorités a coter, donc je veux pas que se soie trop entreprenant non plus.

Surtout ne pas hésiter a dire se que vous en penser, aussi insignifiante soit la remarque, elle peut beaucoup m'aider. Je vous remerci d'avance et vous souhaite une bonne lecture




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cassica
18/10/2007 14:13


le résumer: (comme sa vous serez un peux plus de quoi sa parle)

Après la mort précipiter de sa mère, alors qu’elle était enfants, Nuria reçu en héritage un sceptre. Celui-ci ayant des pouvoirs magique, il c’est fait connaître d’un homme avide de pouvoir. La jeune fille devra alors quitter le village en y laissant son père. Elle sera alors vite entraîner dans une aventure, ou elle devra trouver des pierres précieuses malgré la concurrence du beau Dylan pour qui son cœur balance…

chapitre 1 :
Au village

Des cheveux onduler, noir t’elle le nuit. Une peau mate, des yeux verts dessinés sur un visage aux traits fins. Habiller d’une longue robe vert, mettant en valeur les formes de son corps. Les bras tendu en direction de sa fille, qui attendait de se blottir dedans. Soudain un sifflement se fit entendre arrachant un crie de douleur a la jeune femme, une flèche planter au cœur, elle s’effondre. En larmes, interpellant sa maman, la petite fille vient sangloter sur le corps meurtri. Déjà une mare de sang souillait sa belle robe verte, maintenant rouge. Laissant un dernier sourire a se fille, la jeune femme sombra dans le sommeil de la mort…
Secoué par son père, Nuria se reveilla en sursaut. Perdu elle regarda autour d’elle, le temps de reprendre ses esprits.
- Une rêve, se n’était qu’un rêve se rassura elle a voix basse. Enfin plutôt un cauchemar, cela faisait des années qu’elle n’avait pas revécu la mort de sa mère en rêve. C’était a la fois le seul souvenir de la femme qui l’avait porter et son plus horrible cauchemar. Perdue dans ses pensées elle avait négliger la présence de son père, qui l’avait tirer de son sommeil avec hâte. Elle tourna son regard vers le veille homme, aux cheveux et la longue barbe blanche empiétant sur son visage ridé. A genou au près du lit, il attendait patiemment, qu’on lui prête attention.
- Pourquoi m’as-tu réveillé ?
- Je t’ai étendu pleurer et les villageois t’attendent dit il en se levant pour quitter la pièce, maintenant rassurer pour sa fille. Une fois la porte refermer sur les pas de son père, Nuria balaya d’une main sa couverture en laine et sorti de son lit. S’habillant d’un chemisier blanc, laissant ses épaules a nue et d’une robe couleur amarante. Avant de quitter sa chambre elle s’empara d’un bâton en or, garni d’émeraude. Ce sceptre était le seul héritage de sa mère, il l’accompagnait toujours et trouvais bien son utilité. Arriver dans la pièce principale de la demeure qui n’avait pas changer depuis sa nuit agité, elle découvrit une miche de pain placer a sa disposition sur la table de chaîne. Son appétits n’étant pas des plus grand, elle en manga de piètre quantité et quitta la table. Enfin elle sorti de la maison, son sceptre en main. Un groupe d’homme l’attendait devant chez elle, mais restait tout de même à une certaine distance. Un homme de forte carrure, sa détacha du groupement et annonça :
- Un arbre est tombé sur une maison et…
- Je vous accompagne lança t’elle d’un ton glaciale. Elle se mit en marche derrière le groupe. Chaque un de ces hommes la redoutaient, ils épiaient le moindre de ses faits et gestes, prêt s’enfuir à toutes jambes a la première menace. Nuria n’y prêtait pas vraiment attention, elle marchait tête haute prête a défié tout problème t’elle qu’il soit. Quand il arrivèrent sur le lieu du drame toutes les personnes présente reculèrent d’un mettre pour laisser
passer la jeune fille. Elle prit sont sceptre a deux mains, tendu face a elle, le temps de mobiliser sa volonté et l’arbre se redressa. En réalité sa mère lui avait laissé en héritage un sceptre magique, que seul une personne ayant de grands pouvoirs pouvait contrôlé. Appartenant a une ligner qui détenait ses pouvoirs, leur famille pouvait sans servir. Nuria trouvait lassant de résoudre des problèmes aussi faciles et rêvait d’explorer le monde. A la place elle restait enfermé dans un village, à rendre des services à des gens qui avait peur d’elle. D’un autre coté, elle ne voulais pas laisser son père, il était la seul chose qui la rattachait au village. Auparavant elle avait plusieurs fois pensé se débarrasser du sceptre pour être une fille comme toutes les autres de son village, mais on avait sans cesse besoin de son aide. De plus elle ne pouvait pas renier la seule chose venant de sa mère. Une femme d’une trentaine d’années accouru, a genou la supplia de sauver son enfants, la tirant de ses pensées.
- Où est-il ? Demanda t’elle sèchement
- Il est tombée a l’eau, je vous en supplie sauvez le. La seconde plus tard, Nuria s’engagea dans une course folle pour sauver le malheureux. Sautant par-dessus des poterie séchant au sol, poussant quelques personnes, sont passage laissait une confusion inhabituel. Le bruit de l’eau ruisselant lui confirma son approche de la rivière, seul point d’eau du village. Sur place deux femmes en larmes avait cédé à la panique, pendent qu’un troisième criait des paroles réconfortantes à l’enfant. Celui-ci n’était plus visible a la surface de l’eau, elle prit dans son élan et plongea dans l’eau glacer. Remontant a la surface pour reprendre un peu d’air et reparti au secoure du jeune garçon maintenant au fond de l’eau. Les vêtements ralentissaient sa progression, elle trouva tout de même le garçon inconscient et le tira à la surface. Le ramena au rivage, pour le laisser aux mains du guérisseur plus apte à le sauver. Le temps de reprendre son souffle, et l’enfant recrachait l’eau accumulé dans ses poumons, un soulagement pour tous. Les vêtements tremper lui collait a la peau, elle passait se mains sur ses bras pour se réchauffer, sans grand succès. Deux femmes se tournèrent vers Nuria et la remercièrent. Le regard noir de la jeune fille les dissuada de continuer, a haute vois elle annonça :
- Je ne serais pas toujours la pour sauver vos enfants, mon sceptre est une aide pas un outils. Sacher que cette mort a pu être éviter sans lui, il a des pouvoirs mais fait pas tout… Je ne veux plus voir une situation ou le sceptre na pas son utilité ! Tous avais le regard river sur Nuria, de la peur passait dans leur yeux, ils s’attendaient a tous moment recevoir une éclaires qui les foudroierais sur place. La jeune fille ayant finit son discours quitta les lieux sans demander son reste. Reprenant la rue qu’elle avait, y a peut de temps emprunter en courant en laissant le cohue totale. Tous les villageois s’éloignait d’elle sa sont passage, fuyant la jeune fille comme si elle était atteinte de la peste. Elle n’avait pas besoin de parole pour exprimer sa colère, ses yeux sans chargeait a leur place. Arriver devant sa porte, son déplaisir était déjà atténuer, a quoi sa lui servirais de rester sur cette incident, les villageois apprendrais à se débrouiller seul quand elle partira. La porte étant sèche et dure à ouvrir, d’un coup sec elle planta son sceptre en terre, qui lança une petite éclaire lui ouvrant l’accès. La maison était vide, une chaleur étouffante l’enveloppait du au soleil accablant. Dans sa chambre, elle changea de son chemisier à sa robe, maintenant d’un bleu azure. Aux longs manches s’élargissant à partir de son coude, décorer par des broderies de fantaisies. Quand elle ressorti de la maison, elle remarqua manifestement qu’on la craignait encor plus, si un mètre les séparait il a quelque temps, c’était maintenant trois. Le sourire afficher sur le visage de la jeune fille réussi quand même à rassurer quelqu’un des villageois, qui lui rendirent. Elle lança, d’une voix plus douce que d’habitude :
- On a besoin de mon aide ?
Un homme dans la foule dit a voix haute, sans se démarquer.
- Un de nos garde a vu en approche une armée
- Comprend-elle beaucoup de soldats ? Demanda Nuria toujours aussi froide.
- Assez pour ne pas pouvoir leur résister
- Les femmes, enfants et vieillards sont t’ils en sécurité ? Et les hommes préparer à la défense ?
- Non, nous…
- Exécution, le temps presse ordonna t’elle sèchement, personne n’auraient voulu la contredire ou placer sont objection. Ils s’appliquèrent plutôt à la tache, contant de fuir le plus loin d’elle. Nuria de son coté retourna pour la troisième fois de la journée dans la maison, cette fois pas question de se changer. Avec rapidité elle atteignit sa chambre, s’empara d’un sac en peau, qu’elle remplit d’objets nécessaires au cas ou elle devrait fuir. Chose faite, quitta la maison le sceptre en main, dans les rues le désarroi régnait en maître. Après avoir été bousculer par des personnes, qui en temps normal l’aurait toucher pour rien au monde, elle arriva au forteresse en bois peu solides. La première échelle a porter de main, elle accéda a l’étage supérieur réserver aux archers, qui étaient déjà sur place, arc bander. Aucun des hommes lui barra le passage, s’était a peine s’ils remarquait sa présence, focaliser sur le premier petit buissons qui bougeait. Quand elle trouva assez de place, pour pouvoir se tenir debout entre deux hommes, elle se posta immobile prête a résister. Elle laissa sont regard naviguer sur la forêt dense un peut plus loin, après la grande plaine sauvage. Les herbes jaunies et sèches prouvaient la présence d’un soleil abondant, pourtant les nuages semblaient se fusionner, annonciateur de la pluie. L’archer à sa gauche se leva d’un bond, se tournant vers elle. Remarquant se changement précipiter d’attitude et son embarra pour l’aborder, elle lui facilita la tache. Sans se retourner elle commença :
- Oui
- Des gens veulent vous parler il me semble dit il, d’une petite voix intimider. Juste derrière vous madame. S’il avait pu le garçon lui aurait fait une courbette de salutation pensa t’elle. Enfin elle se résigna a se retourner pour faire face au groupe au quel elle avait imposer ses ordres un peu plus tôt.
- Nous avons remplit notre devoir…
- Mettez vous en position et accueillons, nos inviter surprissent lança t’elle froidement comme a son habitude. A sa gauche, elle aperçut le comportement troubler du jeune homme, en ayant finit avec le groupe elle se tourna vers lui.
- Quel age as-tu ?
- Euh…J’ai euh…17 ans bégaya t’il. Etonner qu’on s’intéresse a lui.
- C’est ton premier combat ?
- Oui, je vous protégerait répondit il plus assurer.
- Contente toi de sauver ton village, ma vie ne vaux pas celle de millions d’humains. Le jeune homme se pétrifia, le ton aborder n’était des plus tendre. Nuria posa une main sur son épaule en signe de réconfort et dit cette fois-ci avec tendresse :
- Combat en premier pour ta vie, car si tu meurs, tu nous seras d’aucune utilité, c’est d’accord ?
- Oui madame accepta t’il, content de savoir la jeune fille avec un cœur. Les première goûte d’eau glacer commencèrent a tomber et s’amplifièrent en peu de temps. Ses longue cheveux raide et noir maintenant collant, n’était pas plus agréable que ses habits gorger d’eau. Le froid lui vola quelques frissonnements, qui ne parvinrent pas à atteindre sa concentration. Un grondement de tonnerre se fit entendre, puis des éclaires zébrèrent le ciel noir. Le temps n’avait décidément pas voulu être de la parti, c’est a se moment que des hommes armés des grosse hache se précipitèrent hors de la forêt en hurlant. Les imposantes portes de bois s’ouvrirent pour laisser passer une armées, la première défense du village. La bataille était hors de porter de flèche, tout le monde regardait le carnage ne pouvant rien faire. Le rapprochement de l’armée ennemie confirma le massacre de leur première défense, on envoya alors la deuxième. Nuria se décida finalement à agir, prenant son sceptre a deux main tendu devant elle, la jeune fille s’éleva au dessus des remparts. L’éclaire qui vin déchirer le ciel, comme attirer, entra en contacte avec les sceptre qui la renvoya sur leur adversaire. Malgré cet effort, les ennemies gagnèrent en terrains et atteindraient bientôt le village. Ils installèrent des grands mécanismes servant envoyer des projectiles, charger de déstabiliser la jeune fille. Nuria avait prit de la confiance et amplifier ces éclaires, mais ces projectiles demandait encor plus de concentration. Ses paupières devinrent vite lourdes, lutter contre le sommeil devenait de plus en plus difficile. Pendant que la magie la vidait de ses forces, la concentration lui demandait de se battre contre le sommeil. Dans ses circonstances, elle ne pourrait pas tenir bien longtemps. En quelques minutes un plan s’échafauda dans son esprit, un hologramme se créa prenant sa place pendant qu’elle se rendait transparente. Ceci les occupera un instant, le temps de régler quelques dernières petite affaires. Elle redescendit sur terre, non loin de la bataille. C’est alors qu’elle remarqua que ça tenu avait changer, chausser de longues bottes, d’un pantalon ample et d’un chemisier, recouvert d’une cape légère, le tous en jaune doré. C’est la première fois que la magie produisait se genre de chose, mais elle n’avait le temps de se poser plus de question. Les premiers hommes adversaires qui l’aperçurent, fondirent sur elle, t’elle un meute de loup près a croquer un brebis au aboie. A l’aide de son sceptre, elle réussi a crée un champs de force leur bloquant l’accès. Sauf un, a qui elle avait intentionnellement laisser le passage, a peine rentrer dans la bulle il s’immobilisa, la magie venait d’encercler son corps lui broyant l’estomac. Se résulta ne se fit pas attendre, l’homme dégurgita son repas précédent laissant une odeur peu agréable.
- Tu me dis pourquoi vous combattez et tu as la vie sauve, annonça a-t-elle toujours aussi froidement. L’homme la fixa un instant, puis se concentra pour se libérer, mais aucun de ses membres réagirent a leur appelle. Nuria impassible attendit patiemment qu’il se rende conte de sa prison.
- Saleté de magie lança t’il d’une voix hargneuse, laissant échapper un soupire exaspérer il consentit finalement a parler :
- Notre chef veux le joli bâton que tu tiens, va savoir pourquoi il nous a fourrez la dedans. Aucune réaction ne se lu sur le visage de la jeune fille, elle se doutait qu’un jour quelqu’un voudrais s’emparer du sceptre.
- Comment s’appelle t’il ?
- On le nomme Vivian la terreur, je pense que vous avez compris d’où lui viens se surnom. Il a tuer notre chef, pris sa place et nous mène maintenant au combat, pour un bâton pourri renseignas l’ennemie avec arrogance. N’appréciant pas le surnom qu’il avait réservé à son sceptre, elle resserra l’étain de la magie. Le visage crisper du prisonnier, se relâcha quelques secondes plus tard libérer de sa souffrance.
- Comment la contrôlez-vous ? Demanda l’homme le souffle cours.
- C’est moi qui dicte les règles
- Pourtant votre village est en très mauvaise position que je sache et vous aussi, une fois que vous en aurez finit avec moi dit il hautainement. Il ravala son sourire, quand il rencontre les yeux de Nuria, qui ne semblais pas d’humeur a se genre de bêtises. Le temps lui était compté, ses forces se vident et elle devait se débarrasser des hommes qui l’entouraient.
- Tu es en bien mauvaise position pour te croire supérieure, tu es pitoyable, ton maître en s’emparant de se sceptre que tu dis pourri, pourrait t’infliger de bien prirent souffrances. Mais ne t’inquiète pas je veillerais a se qu’il ne tombe pas en sa possession.
- On voit que tu ne le connais pas…
- Assez ! coupa t’elle un ton au-dessus, s’il est si fort que tu le prétend qu’il vienne me défier. La réplique fonctionna t’elle un fusée, l’homme pétrifier aurait a cette instant échanger sa place pour une miette de pain. Nuria n’avait pas le temps pour ses menaces bidons, elle en avait finit avec lui et le libéra sur une penser. Il s’avança alors pour se venger de l’humiliation qu’elle venait de lui faire subir.
- C’est de se bâton pourri que te provient ta magie, je le sais dit il se croyant maintenant hors de porter de Nuria. La jeune fille l’enserra une dernière fois avec la magie, histoire de lui laisser un petit souvenir qu’il n’oublierait pas de sitôt. L’homme tombas genoux a terre, incapable de se relever et de nuire a Nuria, qui se faisait la belle cacher derrière sa magie. Quand le bouclier charger de retenir ses sauvages se rompis tous se ruèrent a l’endroit ou elle avait pu être, il y eu peu de temps. Puis hébété ils se regardèrent tous, il venait de se fondre sur le pauvre prisonnier maintenant défigurer. Le sourire aux lèvres, après ce petit spectacle, elle gagna le village et se rendit a l’endroit ou étaient cacher les enfants, femmes et vieillards. Elle pourrait peut être les aider a fuirent, pendant qu’il en étaient encor temps. A sa grande surprise, ils avaient été trouvé par leurs ennemies un peu plus tôt. Elle se désola de n’avoir pu les trouver avant, devant elle des femmes se faisait violer avec barbarie devant leurs enfants perdus. Elle senti les larmes chaudes lui caresser la joue, puis la colère l’envahir elle aurait voulu couper une par une la tête de ses salopards. De quel droit, se permettaient-ils de souiller des femmes qu’elle connaissait depuis toujours, et devant leurs enfants. Les personnes que l’age avait abîmées, n’étaient plus que des pantins gisant au sol, immobile. Discrètement, elle put les identifier un par un, heureusement son père ne figurait pas sur la liste. Elle aperçu un jeune garçon regardait sa mère entre les mains d’un homme, hurlant de douleur, Nuria posa sa main sur ses yeux et le rendis invisible avec elle. S’éloigna pour être hors de vu des autres, puis pris les garçons dans ses bras qui pleura toutes les larmes de son corps.
- Ne t’inquiète pas, je suis la et tu n’as plus rien a craindre consola t’elle. Calmer il réussi a décroché quelques mots.
- Maman, où est maman ?
- Loin et sais mieux ainsi, où sont les autres enfants ? Demanda t’elle pour éviter le sujet, trop dure et répugnant a expliquer.
Je ne sais pas… Répondit le garçon le regard vide, ces événements l’avait choquer et en choquerait plus d’un. Le garçon innocent se remit à pleurer de plus belle. Elle devait trouver une solution pour le mettre en sécurité, hors de la ville serai le mieux. Seulement avant d’aller chercher les autres enfants, Nuria devait placer celui-ci sous la garde de quelqu’un. Elle savait qui, encor fallait il le trouver. L’emporter avec elle serait trop risqué, alors elle attacha le garçon à l’arbre proche à l’aide de la magie, sûrement la dernière fois qu’elle l’utilisait avant un bon moment pensa t’elle. Car si elle devais y avoir recoure, elle ne serait plus en état d’aider quelqu’un quel qu’il soit. elle se rendit aux remparts sur place aucune échelle n’était libre, combat faisait rage et la prudence était recommander. La fatigue l’avait quitté devant le sort des pauvres femmes et enfants, c’est d’ailler sûrement pour cette seule cause qu’elle continuait. Elle aurait du quitter le village depuis longtemps, mais abandonner ses pauvres villageois lui déchirais le cœur. Un coup de coude éviter de justesse la rappela à la prudence, ayant aucune arme en main elle réussi a s’en procurer une sans problème. Un homme mort, le crâne fracasser, n’en aurait plus besoin, lui subsistant se qui avait été son bien, elle avançais prête a se servir du couteau. Soudain un homme d’une grosse corpulence, la remarqua laissant traîner son regard sur certaines parties de son corps, la jeune fille comprit vite se qu’il lui voulais. Un sourire se dessina sur le visage de l’ennemie, son regard avide de faisait pas de défauts. Nuria n’avait pas dans ses projets de donner son corps à une brute, comme lui. Le voyant arriver elle essaya de se fondre dans une foule plus serrer ou les combats le plus violant se déroulait. Par malheureusement avec sa carrure, il se faisait facilement un passage, abattant ceux qui pouvait l’entraver. Elle n’avait pas la force de le combattre et il semblait bien décider à combler son plaisir. C’est la première fois que la panique prenait possession d’elle depuis la mort de sa mère, se n’était pas une expérience agréable, loin de la. Laissant son regard partir vers son poursuivant, elle bouscula un autre homme qui fit volte-face et la dévisagea. Quand elle remarqua que s’était la personne qu’elle cherchait, elle lui dit :
- Viens avec moi, j’ai besoin de toi
- Mais vous tremblez, que se passe t’il ? Elle venait de remarquer qu’elle tremblais de tout sais membres, un regard en arrière lui signala que son poursuivant l’atteindrais dans très peu de temps. A toute vitesse elle prit le bras du jeune archer, toucha son sceptre pour s’effacer des yeux des autres.
- Vous allez bien ? Vous serrez fort mon bras, s’il vous plaie…
- Tais toi, tu vas nous faire repérer. Le bras du jeune homme avait maintenant virer au violet, avec la force d’on faisait preuve Nuria. Quand la jeune fille le remarqua elle desserra son étreint, et l’entraîna un peu plus loin. Une fois assez loin de champs de bataille et de hors de porter son poursuivant elle se rendit visible, essouffler par l’effort que sa lui demandait.
- Allez-vous vous décidez a me parler ? Après avoir survoler les environs d’un regard et avoir reprit une respiration normale, elle répondit avec un grand sourire de soulagement :
- Désoler, mais il y avait une grosse brute qui ne demandait qu’une partie de jambes en l’air avec moi, que je sois consente ou pas. Maintenant suis-moi, on a perdu assez de temps. Ils ont découvert les femmes, enfants et vieillards. Je te laisse imaginer se qu’il font des femmes, celle-ci ne peuvent être sauver, mais leur enfants eux oui. Se qui risque d’être plutôt compliquer, car je ne peu plus utiliser mon pouvoir, mais pas impossible. Je te demanderais juste de les garder.
- Vous rigolez, exténué comme vous êtes il n’en es pas question. Je vais chercher les enfants. Malgré le regard noir, fusillant, le jeune homme ne se déroba pas.
- Oui, sais moi qui l’occuperait dit une grosse voix, sursautant et se retournant Nuria cru vivre son pire cauchemar la grosse brute les avaient retrouvez. Se gros tas de muscle n’était pas aussi bête qu’il le laisser prétendre. Décidément tout allait mal, puissant dans ses ressources pour ne céder une deuxième fois à la panique, elle laissa échapper un long soupire.
- Il est trop jeune disait il en désignant le jeune archer, je serais mieux te servir, ne t’inquiète pas tout ira bien… L’homme se rapprocha d’un pas, pétrifier elle ne savait que faire. Elle se cru perdu, quand un silhouette familière vin vers eux. Le dos un peu arqué par l’age, soutenu par une canne de valeur négligeable, sa long barbe et cheveux tombant, il n’y avait pas de doute, sont père arrivait. Sans crainte il accosta, le tortionnaire de sa fille :
- Dit jeune garçon, sa fais longtemps que tu connais ma fille ?
- Pousse toi pépé, je veux juste quel me donne un peu de plaisir, c’est fait pour ça une femme. Le veille homme se tourna vers sa fille, lui offrant un petit clin d’œil discret et d’une main lui disait de partir. Les yeux en larmes, elle voulait partir mais ses pieds ne répondirent pas, de tout façon elle ne pouvait pas laisser son père.
- Je…
- Tait-toi vieux fous, dit il avant de l’envoyer valser un peux plus loin, d’un revers de main. Le corps fatigue ne résista pas au choque, le coup rompu, il rendit son dernier souffle. Nuria osa regarder l’homme qui était l’auteur de se carnage, la vengeance lui redonnait la force d’utiliser sa magie. Son sceptre tenu a une main, elle y joignit l’autre, la penser fusa et une éclaire foudroya son poursuivant qui tomba comme une masse sur le sol inerte. Ne lui prêtant aucune attention, elle se précipita sur le corps de son père, qui avait déjà rendu l’âme.
- On a pas le temps dit le jeune archer en la tirant, elle se releva péniblement, la tête lui tournait, résulta de la magie. Se jambes avait de mal a la soutenir, les premier pas vacillant furent par la suite soutenu par le garçon. La jeune fille dit alors :
- Comment tu t’appelles ?
- Romain
- Romain si tu pouvais sauver les enfants se seraient très héroïques. Moi je vais partir, je possède un bien trop dangereux s’il tombait entre de mauvaise mains.
- Le sceptre, mais c’est…
- Un ordre dit elle froidement, elle repoussa le garçon et se mit à marcher lentement vers sa demeure. Une fois devant la porte, cette fois pas trop sèche, elle entra refoulant ses nombreux souvenirs. Elle ne devait pas se laisser aller, dans sa chambre elle prit son sac et se dirigea vers une des portes de village ou le combat était moins abondant. Elle sorti de son village sans encombre le cœur gros.

chapitre 2:
Une nuit en forêt

Marcher, toujours marcher c’était elle forcer, pour continuer et ne pas craquer. C’est la première fois qu’elle s’éloignait autant de son village, elle s’enfonçait maintenant dans un forêt. Les grands chênes ne laissaient filtrer que peu de pluie, un luxe pour la jeune fille. Le prochain rocher elle se permettrait une courte pause, il fallait être le plus loin possible du village, demain elle aurait repris des forces et pourrait continuer à fuir. Avoir un pouvoir implique de grandes responsabilités qu’elle venait de comprendre, laissant son père et des innocents à la merci d’une armée ravageuse. Pourquoi refouler ces pensées, elle n’avait pas le choix et devait se concentrer sur son avenir. Il lui semblais si sombre, comment pourrait elle vivre traquer. Ils étaient sans doute en train de passer au peigne fin le village pour trouver le sceptre. Quand ils ne l’auront pas retrouvé, ils chercheront dans les environs détruisant d’autres villages. Ca lui faisait mal au cœur de savoir des gens aussi orgueilleux, pour laisser mourir de si nombreuses personnes. Enfin un rocher, elle se posa un instant, frissonnant au contacte de la pierre froide. Grignota un peu de pain du bout des lèvres, pourquoi le sort s’acharnait il sur elle. Un larmes lui échappa, délivrant les autres, sanglotant elle se replia sur elle-même pour avoir un peu plus chaud. Quand elle n’eu plus de larmes, elle reprit sa marche monotone dans les bois sauvages. Elle devait souvent passer par-dessus un branchage tomber au sol, libérer le passage en coupant des rameaux avec son couteau, ou encor escalader des pentes abruptes. Le soleil déclinait, il lui faudra bientôt trouver un endroit où dormir. Elle n’avait croisé, pour l’instant aucune chaumière et avait prévu des couvertures au cas ou elle devrait dormir à la belle étoile. Le ciel devint oranger, et le froid glaciale de la nuit s’installa, elle ne pourrait pas continuer a progression longtemps. Exténuer pas cette journée infernale, elle se posa le long d’un ancien chêne, tirant sur une de ses couvertures de laines pour la protéger du froid. Elle ne pouvait faire de feu, sous peine d’être découverte par ses ennemies et Dieu seul sais se qu’ils lui ferais subir. Mais son sort ne serait rien au massacre que ferait leur chef avec le sceptre, elle devait le protéger au péril de sa vie. Le sommeil ne semblait pas vouloir d’elle, le corps de son père la hanta une fois de plus. Ses souvenirs d’innocence et d’insouciance refaisaient surface, elle s’en voulait de n’avoir pus le sauver. Elle n’aurait plus le soutien de l’homme qui l’avait élevé, et ses conseils si pratique. Puis ses pensées se tournèrent vers Romain sans était il sortit ? Avait il donner un avenir a ces pauvres enfants innocents ? Reposant sa tète contre le tronc a l’écorce épaisse elle laissa échapper un long soupire, puis se laissa un peu aller. Ses paupières lourdes se fermèrent d’elles même, la coupant des visions extérieures, écouta encor une fois le vent souffler dans les branchages et partit dans le royaume de sommeil…

- Fouiller cette forêt de fond en comble, je veux se sceptre ! Criait un homme dans le lointain. Immergent du sommeil, elle mit un peu de temps a se rendre conte de la menace qui la guettait. Soudain consciente elle rangea sa couverture, et se mit à courir à toute jambe pour échapper à ses adversaires.
- Il y a quelqu’un par la, avait lancer un homme. Nuria trop occuper par sa course folle, n’entendit pas ce dernier qui ne se fit pas attendre à deux fois pour la courser. Le souffle cours, une main poser sur sa hanche, elle n’était pas habituer a se genre d’endurance physique. Elle devait penser à une échappatoire, l’utilisation du sceptre la viderait de ses forces. Mais a quoi bon courir pour rien, il fallait de débarrasser des ces intrus, sa vie et celle d’autres personnes en dépendait. Elle s’arrêta de courir, reprit son souffle un cours instant, saisit son sceptre a deux mains et attendit. Quand les hommes, qui devaient être un dizaine, se trouvèrent assez proche et libera la magie. Alors une lumière éblouissante s’échappa du bâton d’or, elle fut propulsée en arrière, retombant un peu plus loin. Par bonheur elle était bien tomber et n’avait que des petites blessures partiel. Se relevant douloureusement, elle découvrit le carnage : sur quelques mètres de se qui avait été de la végétation se trouvait avait maintenant que des cendres. Des corps calciner reposait sur le sol, elle détourna la le regard de cette vision d’horreur, et ferma les yeux un instant pour pouvoir se réveiller. Pourtant tous ça était belle et bien réel, qu’elle monstre pouvait-elle être, pour avoir détruit tous ça ? Essayant de se concentrer sur son but premier qui est de garder le sceptre, elle se remit en marche en prenant les arbres comme appuis. A environ un cinq pas se trouvait un chaumière, la cheminée laissait échapper une traîner de fumer grisâtre. Se qui montrait le présence de vie a l’intérieur. Empruntant un petit sentier, mal entretenu, elle atteignit la porte. Elle frappa trois coup a la porte en bois, quand celle-ci s’ouvrit elle afficha un sourire forcer.
- Bonjour dit la femme troubler par son accoutrement, il faut dire que normalement seul les hommes portaient des pantalons. Ses cheveux mêlés et son visage fatiguer n’arrangeaient rien.
- Je ne vais pas vous importuner longtemps, je viens vous prévenir qu’une armée arrive et qu’elle vous massacrera si vous ne quittez pas les lieux. La Femme remit un instant son châle sur ses épaules, avant de se concentrer sur le problème. Une fille habiller d’un pantalon sale, venais leur dire de s’enfuir pour une sois disant armée, s’était insensé. Sûrement une blague devait penser la propriétaire des lieux.
- Ecouter nous somme en sécurité ici, je ne sais pas qui vous êtes et…
- Laissez moi, vous montrer quelques choses, soulevant sa cape elle dévoila son sceptre. Les yeux ronds, la peau devenu livide de son interlocutrice, indiquait qu’elle avait déjà entendu parler de Nuira. Rien d’étonnant, elle était connu pour sa magie et surtout pour la peur qu’elle incitait chez les villageois. D’un coup sec elle planta son sceptre a terre, juste assez pour qu’il tienne debout, le reste se produit tout seul. Des images vinrent se placer devant les yeux de la femme, on pouvait voir dans celle-ci l’armée
attaquer le village, les femmes violer, les enfants en pleurent… Des images pas totalement inconnu a la jeune fille, car elles appartenaient à sa mémoire. Les revoir ne lui faisait pas plaisir, mais s’il le fallait pour sauver d’autre vie, elle devait y recourir. Cette magie ne demandant que peu de force et était facile a utilisé, une personne ayant que peux de magie avec se genre de sceptre ne pourrait l’utiliser qu’a de petites fin. Nuria espérait que l’homme qui la traquait n’ai pas autant de magie qu’elle, mais un pressentiment le contredisait. La propriétaire de la chaumière, les yeux en larmes ouvrit grande la porte pour laisser entre la jeune fille, qui déclina l’offre.
- Partez, pendant qu’il en est encor temps… Je dois mettre le sceptre en sécurité. Nuria planta son regard dans les yeux de la femme, une étincelle inhabituelle brillait. Un sourire sadique se dessina sur ses lèvres, elle déclara :
- Je vais leur donner, comme ça ils feront du mal a personne, arrachant le sceptre des main de la jeune fille, avec brutalité.
- Vous vous trompez, se sceptre est magique, s’il tombe entre leur mains beaucoup trop de gens mourront expliqua t’elle calmement. Bientôt des larmes pelèrent ses joues rougie, elle lui redonna son bien, désoler de cette réaction stupide. Ses yeux avait perdu cette étincelle, a l’évidence quelqu’un l’avait manipuler cette innocente, mais qui ? Après une bref consolation, Nuria reprit sa route. Un peu plus tard, un cri de détresse, remplit de tristesse rompit le silence ordinaire de forêt, faisant fuir les oiseaux a battement d’ailes rapide. Une fumée noire s’élava dans le ciel brumeux du matin, sans était finit de ces pauvres gens et de leur maison. Ils l’avaient rattrapé, décidément ils n’était pas décider à lâcher l’affaire et étaient discipliner. Le crie suivant qui s’échappa de ses lèvres, ressemblait plus à un crie de souffrance. Etrangement le sceptre était devenu brûlant, d’un mouvement sec elle le balança sur le sol recouvert de feuilles mortes. Voyant qu’il était redevenu normal elle le ramassa, grande fut sa surprise quand il l’attira dans un sentier secret. Seul un forestier aurait pu le connaître, cacher comme il l’était. Du a la force employer par le sceptre, Nuria se mit courir pour ne pas le lâcher. Il s’arrêta précipitamment, cinq minutes plus tard, Nuria plier en deux reprenait son souffle.
- Vous voila dit un femme a la voix grave, Nuria se redressa pour faire face a l’inconnu. La peau couleur chocolat, des cheveux noirs couper cours, son corps musclé et les armes qui l’accompagnaient témoignaient de son expérience à combattre.
- Nous étions attendu ? Demanda elle, de sa voix glaciale. Un sourire flotta sur le visage de son interlocutrice, apparemment contente de sa réaction.
- C’est moi qui ai appelé ton sceptre, j’ai une mission pour toi. Je pense qu’elle te plaira. Cacher derrière son visage neutre, Nuria ne saisissait pas tout. Tant de questions flottaient dans son esprit, qui allaient bientôt être résolu.
- Premièrement comment savez-vous que j’ai un sceptre ? Comment le contrôler vous ? De quel droit me tutoyer vous ? Quel…
- Nuria, du calme. Je t’es connu enfant, tu as bien changer, je te voix encor bercer dans les bras de ta maman, racontait elle mélancoliquement. La jeune fille la foudroya du regard, se qui la poussa a rentrer dans le vif du sujet. Je me nomme Débra, ta mère était du coté du bien et je te propose de prendre sa suite. Il faudra te décider vite.
- A se que je sache, ma mère s’occupait d’un village. De plus Débra je ne vois pas en quoi vous oser me tutoyer ! Si le sceptre vous intéresse je serais désoler de ne pouvoir vous le donner, adieu. A peine sa phrase finit elle se retourna pour quitter les lieux. Une fois de plus le sceptre émana une chaleur inhabituel qui la brûla, lui arrachant un deuxième crie. Se retournant furibonde, elle dit sur un ton, qui assurait son mauvais caractère :
- J’en ai rien à faire de votre camp, je suis traqué. Vous croyez que j’ai que ça à faire. Ma mère était libre et moi aussi, je choisis de ne pas continuer sa qu’elle avait commencer !
- Tu veux combattre l’homme qui convoite se sceptre, joint toi a nous et nous vaincrons le mal a sa source. Tu choisi de fuir ou de lutter ? Expliqua la femme calmement.
Vu de cet œil, la proposition était plus valable. C’était peut être la réponse a ses prières, pour se débarrasser de la menace qui la traquait. Après avoir peser le pour ou le contre, elle exposa sa réponse.
- J’accepte, au point ou j’en suis que peut il arriver de plus horrible ? Le sourire refleuri alors sur le visage de l’étrangère.
- Tu ne sera pas déçu, elle leva les mains et une étrange silhouette volante vin obscurcir le ciel. Avec grâce un monstre au corps entièrement de pierre se posa devant Nuria. Il avait des pattes griffues, deux ailes de chauves souris dans le dos et de petites oreilles pointues. La jeune fille écarquilla les yeux devant le créature, la magie sa elle en avait vu, mais de gargouille c’était bien le première fois. Après avoir quitter son état de stupeur, elle demanda :
- C’est une gargouille ?
- Non c’est ta gargouille
- Quoi ! proféra elle, je vais faire quoi de cette chose. Son interlocutrice poussa un soupire exaspérer, décidemment cette petite avait hériter du caractère insupportable de son père. Mais elle se contenta de répondre calmement sans éveiller de soupçons :
- Elle n’a pas de nom, tu pourras lui en donner si tu le veux. Cette chose, comme tu l’appelles est ton moyen de transport et tu pourras te rendre conte qu’il n’es pas aussi débile, qu’il ne paraît.
- Sa parle ? demanda Nuria, sans excès de colère cette fois ci. - Eh bien…Non, mais sa comprends certaines choses. La jeune fille fit un mou, pas du tout convaincu. Dans qu’elle histoire venait elle encor de se fourrer.
- Maintenant, tu vas devoir y aller, bon courage et surtout prends a garde a Dylan.
- Et…Attendez… disait elle en luttant contre l’attraction du sceptre commander pas Débra. Je vais où ? Pourquoi ? C’est qui Dylan ? Brusquement la magie disparue et Nuria s’étala de tout son long sur le sol poussiéreux. Comme si mais vêtements n’étaient pas assez sal pensa t’elle. Se relevant, elle attendait toujours ses réponses.
- Tu vas devoir trouver la pierre Améthyste
- Très bien, c’est déjà ça, j’attend la suite qui est se Dylan ? Et je vais… Le visage de Débra se crispa, sous l’effet de la colère. Sa patience avait été mise a bout :
- Nuria tu vas monter sur cette gargouille, ou c’est moi qui t’y fais monte de force ? La menace avait été annoncer sur un ton, qui ne ressemblait plus a de la gentillesse. Voyant que continuer ne servirait a rien Nuria s’approchant a contre coeur du monstre de pierre. Assise maintenant a califourchon, sur le dos, elle sentit son poile se hérisser a contacte de la gargouille. Se voyage en plein air, ne lui disait rien de bon. De tout façon elle ne pouvait plus reculer, d’une façon ou d’une autre elle était coincé. Poussant sur ses pattes arrières la créature, quitta la terre ferme pour rejoindre le ciel nuageux. En haut l’air était plus fraie, Nuria regretta vite de ne pas s’être couvert plus chaudement. A la hauteur où ils se trouvèrent, il n’y avait pas un oiseau, animal ou encor créature, seul les nuages leur tenaient compagnie. Sous eux le paysage défilait à vive allure, du moins c’est se qu’elle imaginait, car la jeune fille n’avait pas risquer un coup d’œil. Craignant de déstabiliser la gargouille elle se tenait droite, se concentrant sur se qu’elle devait faire. Malheureusement, elle n’en avait aucune idée, la seule indication était de trouver une pierre. C’est un peu maigre, mais elle devrait s’en contenter. Avec force elle serra le sceptre en ses doigts, seul le bâton d’or pouvait la réconforter, même si se combat était pour lui. Ses pensées s’évaporèrent à toutes vitesse, quand la créature en pierre entrepris une descente en pique vers le sol. Le vent fouettant le visage de la jeune fille n’avait peu d’importance à coté de scène qu’elle était en train de vivre. En voyant le sol se rapprocher, sont cœur manqua de s’arrêter de battre, quand la gargouille se redressa a temps pour se posa, elle reprit un peu son souffle. Une fois en sûreté elle se dégagea vite du monstre, encor sous le choc elle prit le temps de reprendre ses esprits. Quand enfin elle se sentit mieux, elle remarqua que la gargouille s’était posée dans une clairière non loin d’un petit village. Nuria laissa seul l’étrange créature, ici personne ne viendrait la cherche, de plus ils auraient sans doute peur d’elle. De son coté la jeune fille rejoignit le village, où régner la bonne humeur et l’activité. Les maisons semblaient plus développer que celle de son village natal, et il n’avait pas remparts. Elle s’adressa à la première personne qu’elle rencontra sur son chemin :
- Bonjour, désoler de vous déranger, mais je recherche la pierre Améthyste… L’homme ne pris pas le temps de savoir la suite, il leva son bras en direction de la droite et renseigna :
- C’est par la que vous trouverez se que vous chercher, je serais vous je m’y risquerais pas trop.
- Pourquoi ? L’homme lança un regard étonner par son ignorance. Il ouvrit la bouche pour lui répondre, mais une autre voix étrangère répondit pour lui :
- Pasque le palais où elle se trouve est dangereux, cette fois c’est Nuria qui lança un regard étonner, avant de se retourner. Un garçon les cheveux bruns en bataille, les yeux bleu clair, malicieux et d’environ son age venait de prendre par a la discussion. Il n’avait rien de moche, cependant Nuria resta de marbre et lui lança :
- Ah oui, peut être l’avez-vous visiter ? Un sourire flotta sur les lèvres du garçon.
- Non, mais je t’y invite, Débra sera d’accord. Le lien se fit tout de suite à l’esprit de la jeune fille.
- Tu es Dylan, je suppose et vu ton accoutrement tu possèdes un sceptre. L’homme ne s’étonna pas de cette déduction où ne laissait rien paraître. Nuria n’avait jamais rencontrer un personne en possession d’un sceptre, seul la matière et couleur grise des ces habits l’avait mise sur la piste.
- Tu as raison. Ils ont enfin pensé à envoyer quelqu’un à ma hauteur. A cette réplique la jeune fille lui lança un regard noir. D’autres personnes avant elle avait essayé de remplir la mission, qu’étaient-ils devenu ? Etait-elle suicidaire ?
- Bon tu viens ? ont à pas que ça à faire, s’impatienta le jeune garçon. Avant de le suivre, elle voulu remercier l’homme qui l’avait renseigner. Celui-ci ne semblait pas aimer l’irruption de Dylan, car il avait filler en douce. Comme toutes les personnes qui se trouvait dans la rue, un silence écrasant avant remplacer la bonne humeur du village. Dans qu’elle situation venait elle de se fourrer, devait elle continuer ? Fuir était sage, vu le comportement des villageois. Mais se garçon avait quelque chose de différent, que les autres…
- Ne t’inquiète pas, ils sont toujours comme ça avec moi, ils n’aime pas vraiment mon camps dit il calmement. Nuria resta neutre, se mettant en route, pour ne pas perdre plus de temps…





Ellidan
18/10/2007 18:48
There's no escape in pain, you belong to me !

Euh... 'Faudrait voir à corriger les fautes d'orthographe.
Aelghir
18/10/2007 22:38
Chevalier un jour, Chevalier toujours ! Montjoie Saint Denis et Tutti Quanti !

Effectivement, trop de fautes pour que j'ai envie de lire. Passe ton texte au correcteur, svp. Malheureusement, il n'y a pas que des fautes d'orthographe, attention à la concordance des temps par exemple et au choix des mots.
Kellen
19/10/2007 18:00
Ferme les paupières, rejoins la nuit.

J'ai lu ton premier chapitre.
Il est évident qu'il faudrait corriger les fautes d'orthographe et revoir quelques concordances de temps et tournures de phrase un peu maladroites.

Après, je pense que mettre en forme ton texte de façon plus lisible serait confortable pour la lecture. Il t'arrive très souvent de terminer un dialogue en continuant directement par de la description, reviens à la ligne à ce moment là, cela aèrera le texte.

Comme ça par ex :

- Où est-il ? Demanda t-elle sèchement.
- Il est tombé a l’eau, je vous en supplie sauvez le !

La seconde plus tard, Nuria s’engagea dans une course folle pour sauver le malheureux.


Sinon, l'histoire pourrait être intéressante.
Etoffe la encore, plonge nous dans son univers, décris un peu plus.

Le fait d'écrire semble être pour toi une passion, essaye aussi de nous passionner et continue à écrire. L'orthographe et la mise en forme viendront avec le temps mais cela te demandera une certaine discipline qu'il faut toujours travailler et suivre.

Bon courage et bonne continuation.




Ellidan
20/10/2007 09:21
There's no escape in pain, you belong to me !

Rien que dans cet extrait : "- Où est-il ? Demanda-t-elle sèchement.
- Il est tombé a l’eau, je vous en supplie sauvez-le !

La seconde d'après(ou une seconde plus tard), Nuria s’engageait dans une course folle pour sauver le malheureux.

Et le texte est plein de fautes de ce genre. Il est impératif de le corriger si tu veux des appréciations, parce que quand un texte est bourré de fautes, très peu de monde a envie de le lire.
cassica
20/10/2007 10:03


je sais très bien que l'orthogrphe et le conjuguaison se ne sont pas mes points forts, loin de la. Je vais essayer de m'améliorer dans ces domaines, même si vous le remarquez pas j'ai déjà fais pas mal d'afforts. Je pense qu'une personnes pour m'aider a la corréction serait la bienvenu, mais cette personne pour l'instant je la connais pas.
Merci pour vos conseilles
Thismardoch
20/10/2007 12:15


Je me suis occupé de débroussailler le premier chapître, j'essaierai d'aider cassica pour les concordances de temps aussi, maiàs pour l'heure je suis sur le départ, donc pas tout de suite.

--

Sinon on pourrait aussi corriger systématiquement toutes les fautes (dans chaque post), mais ça peut être décourageant. Or ce n'est pas le but.
Ellidan
21/10/2007 18:23
There's no escape in pain, you belong to me !

chapître?
Thismardoch
21/10/2007 19:29


En effet, j'ai mis un "^" et un "à" en trop.
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