La Pierre de Tear fait peau neuve ! L'aventure continue sur www.pierredetear.fr !
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Le tintement des armes qui se balancent
La cuisse endolori par des semaines de marches
Les armées, deux impuissantes masses
Près à se rencontrer en un fracas immense
Pourquoi tout cela, quel absurdité !
N'aurions nous pas mieux à faire
Que de se battre sans aucune pitié ?
Les chefs se dressent
Sur les monticules, les rochers
Et hurlent leurs chants salvateurs
Aux soldats qui vont se briser...
Je ne veux pas mourir pour rien
Je n'ai pas ma place ici,
Se battre toujours, sans aucun répit ?
Les soldats harassés hurlent et crient
Aux cieux torturés qui font tomber la pluie
Ils aiguisent leurs armes, préparent le combat
Dans une grande flaque, le sang coulera...
Et nous voilà dans la brume !
Qu'est-ce donc que cette folie
Reverrais-je les yeux de ma petite fille?
Et les cors qui résonnent dans la plaine
Et les corps qui entonnent leurs danse funéraires
L'enfer, enfin est descendu et inonde de sa liesse
Les âmes des perdus qui dans le sang se repaissent
Cesse donc de penser
Tu ne t'en sortira pas !
De la lance ou le glaive, quel sera ton choix?
Et les éclairs qui zèbrent, et l'acier étincelle
Et voilà la bataille qui rugit de plus belle
Déjà les corps jonchent la terre molle
Que restera t il au terme de cette nuit folle.
Quel immense douleurs qui me transpercent
Et le noir qui s'abat sur mes yeux, la mort me caresse
Je ne reverrais plus les yeux de ma petite Agnès...
Et l'aube qui se lève,
Fini les étincelles
Nous avons eu notre lopin de terre
L'honneurs est sauf
Un petit bonhomme
à dit ces adieux
A ce monde plein de rage,
des larmes pleins les yeux...
J'ai vraiment apprécié le premier, juste une petite remarque pour être pénible : Entonner c'est "chanter le début" et donc entonner une danse me parait incorrect même si c'est jouli! Désolé
Merci beaucoup pour vos commentaires.
Merci beaucoup pour "choupi" sa me fait plaisir .
Edit: Les droits d'auteurs sont pour toi...si tu paye bien
Je vais relire tout ça.
Et en attendant :
Le temps des songes
Les fleurs du temps fleurisent et fânent
Emportées dans le vent; leurs ailes diaphanes
Restent un soupçon de passion trop vite perdu
Sombre émanation d'instant suspendu.
L'albâtre et le mabre accrochent les esprits.
Misères dorées, tu ne saurais détrôner
Les ivresses véritables d'un amour aggrandi
Que les palais des hommes ne savent surpasser.
Le temps des songes est à toujours noyés
Dans l'océan des âpres larmes de la vérité
Vogue le radeau, débris d'une gloire,
Vogue sur les eaux, le symbole de l'espoir.
Damnés
Le vent se lève.
Les flots se réveillent.
La nature en éveil
Le règne s'achève.
Des âmes perdues
Dans la plaine s'installent
Les rêves corrompus
Se perdent dans les râles.
Les torches s'allument
Leurs lumières eternelles
Peu à peu se consument
La nuit se costume.
D'une lumière irréelle...
Chevalier un jour, Chevalier toujours ! Montjoie Saint Denis et Tutti Quanti !
J'aime bien le second, plus frappant et plus rythmé que le premier.
Attention aux fautes d'orthographe, désagréables lors de la lecture d'un poème !
Dans le premier, je trouve que certains mots sont mal choisis (en gras):
Les fleurs du temps fleurisent et fânent
Emportées dans le vent; leurs ailes diaphanes
Restent un soupçon de passion trop vite perdu
Sombre émanation d'instant suspendu. (ne cadre pas avec diaphanes)
L'albâtre et le mabre accrochent les esprits.
Misères dorées, tu ne saurais détrôner (qui est le "tu", précédé de "misères dorées" au pluriel ?)
Les ivresses véritables d'un amour aggrandi Que les palais des hommes ne savent (sauraient) surpasser.
Le temps des songes est à toujours (jamais)noyés
Dans l'océan des âpres larmes de la vérité
Vogue le radeau, débris d'une gloire,
Vogue sur les eaux, le symbole de l'espoir.