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Ah, l'amour
(Sujet créé par Belgarion al'Garath l 24/06/07 à 16:24)
non favori





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Mara
19/06/2007 16:39
Novice


tu veux parler de ça?
Ellidan
22/06/2007 16:23
There's no escape in pain, you belong to me !

arf, on dirait que j'ai supprimé l'article de base... Ca devait me paraitre hors sujet apres coup. Moi je parle du truc qui sert qu'à dégouter quelqu'un de la vie.
Mara
23/06/2007 14:30
Novice


OOOOoohhh...
c'est pas vrai, ça peut être joli...

Mais je ne comprends pas trop le but de ton sujet là

Tu peux mettre le texte de Départ stp?
Ellidan
23/06/2007 15:33
There's no escape in pain, you belong to me !

Ouais, ce serait bien. J'vais essayer de le retrouver.
Ellidan
23/06/2007 15:34
There's no escape in pain, you belong to me !

ca devait etre ca :

Sourire rayonnant quand elle me regarde
Qui, dès qu'ell' tourne le dos, se mue en larmes
Des rêves d'une nuit jamais réalisés
Regrets pour toujours, ce n'était qu'une amitié.
Bientôt ce sera le temps de nous séparer,
Et plus jamais nous ne nous reverrons après.
Je voudrais juste toujours rester près de toi,
Tu es bien la seule qui t'intéressais à moi
Unique tu es, unique tu resteras,
Je ne rencontrerai plus personne comme toi
La nuit comme le jour, tu hantes mes pensées
Tu ne quittes jamais mon esprit égaré
Il arrive que je me perde dans tes yeux
Dans lesquels se reflète parfois le ciel bleu
Et je me laisse emporter par la marée
Et me noie dans l'océan de mes pensées.
Mara
24/06/2007 01:03
Novice


Très joli. plein d'émotions.









(Je voudrais pas te pourrir mais les vers sont pas de la même longueur ce la dit, moi j'aime bien, mais ça casse un peu le rythme de lecture )
Ellidan
24/06/2007 13:46
There's no escape in pain, you belong to me !

Quoi!? C'est pas vrai!!! Mince, je croyais pourtant qu'ils faisaient tous 11 pieds! mais on dirait que non finalement... bizarre...
Mara
24/06/2007 14:34
Novice


non, on arrive à

11
10
12
12
12
12
13
12
12
11
11

12
11
11
11
11


soit:

Sou/ri/re /ra/yon/nant/ quand /el/le/ me /regarde/
Qui/, dès/ qu'ell'/ tour/ne/ le/ dos/, se/ mue/ en /larmes/
Des/ rê/ves/ d'u/ne/ nuit/ ja/mais/ ré/a/li/sés/
Re/grets/ pour /tou/jours/, ce /n'é/tait/ qu'une a/mi/tié/.
Bien/tôt/ ce/ se/ra/ le/ temps/ de/ nous/ sé/pa/rer,/
Et/ plus/ ja/mais/ nous/ ne/ nous/ re/ver/rons/ a/près./
Je/ voudrais/ jus/te/ tou/jours /res/ter/ près/ de/ toi,/
Tu/ es/ bien/ la/ seu/le/ qui/ t'in/té/res/sais/ à/ moi/
U/ni/que/ tu/ es/, u/ni/que/ tu/ res/te/ras/,
Je/ ne/ ren/con/tre/rais/ plus/ per/son/ne/ com/me /toi/
La/ nuit/ com/me/ le/ jour/, tu/ han/tes/ mes/ pen/sées/
Tu/ ne /quit/tes/ ja/mais/ mon/ es/prit/ é/ga/ré/
Il/ ar/ri/ve/ que/ je/ me/ perde/ tes/ yeux/ ???
Dans/ les/quels/ se/ re/flè/te /par/fois/ le/ ciel/ bleu/
Et/ je/ me/ lais/se em/por/ter/ par/ la/ ma/rée/
Et/ me/ noie/ dans/ l'o/cé/an /de /mes/ pen/sées./



voilà voilà, j'espère ne pas m'être trompée.
Aelghir
24/06/2007 16:24
Chevalier un jour, Chevalier toujours ! Montjoie Saint Denis et Tutti Quanti !

Onze pieds, c'est boiteux ! Rien ne vaut douze pieds !
L'Alexandrin, mon vieux, croyez-moi, c'est le pied !
Mara
24/06/2007 16:26
Novice


Tout a fait

(pourquoi que t'as pas rajouté: je prends mon pieds quand je lis des alexandrins de douze ieds ? )
Aelghir
24/06/2007 16:35
Chevalier un jour, Chevalier toujours ! Montjoie Saint Denis et Tutti Quanti !

Parce que "Je prends mon pied quand... et caetera"
Si je compte bien, douze pieds il n'y a pas !
Caldazar
24/06/2007 16:35
Le Blob attaque !



À Ernest Delahaye

Ah ! vraiment c’est triste, ah ! vraiment ça finit trop mal.
Il n’est pas permis d’être à ce point infortuné.
Ah ! vraiment c’est trop la mort du naïf animal
Qui voit tout son sang couler sous son regard fané.

Londres fume et crie. Ô quelle ville de la Bible !
Le gaz flambe et nage et les enseignes sont vermeilles.
Et les maisons dans leur ratatinement terrible
Épouvantent comme un sénat de petites vieilles.

Tout l’affreux passé saute, piaule, miaule et glapit
Dans le brouillard rose et jaune et sale des sohos
Avec des indeeds et des all rights et des haôs.

Non vraiment c’est trop un martyre sans espérance,
Non vraiment cela finit trop mal, vraiment c’est triste :
Ô le feu du ciel sur cette ville de la Bible !

Verlaine – Sonnet boiteux


Et un tout petit manque de mot dans le vers :
Il arrive que je me perde tes yeux
Poésie très sympa, qui fait bien passer le message
Ellidan
24/06/2007 16:52
There's no escape in pain, you belong to me !

ah oui c'est vrai! Je corrige immédiatement c'est oubli stupide...
Mara
25/06/2007 09:47
Novice


Papy Gighir Maître Yoda à imité
de ses chers alexandrins il nous a gratifié
Critiquant Onze-pieds avec assiduité.

nananananananananananana

(Alexandrin il y a , mon cher Aelghir^^)
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