La Pierre de Tear fait peau neuve ! L'aventure continue sur www.pierredetear.fr !
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Chevalier un jour, Chevalier toujours ! Montjoie Saint Denis et Tutti Quanti !
Elle marchait sans but et déambulait dans les couloirs sombres et presque sans fin du château à la recherche d'une proie.
Tout à coup elle entendit des éclats de voix et des murmures venant du rez-de-chaussée, elle savait déjà qu'il sagissait d'un groupe de trois personnes. Elle sourit à l'idée d'un festin.
Cela faisait deux semaines qu'elle ne s'était pas nourrit convenablement, il lui fallait du sang!
Sans bruits, elle descendit lentement les marches, à la recherche de ces trois personnes qui s'étaient introduite dans son château.
A vrai dire cela ne la dérangeait pas tant que ça; L'odeur du sang lui manquait tellement, tellement!
Elle se coula le long du mur, dans un angle sombre où la noirceur de sa robe et de ses cheveux se confondait avec les résidus de la nuit ... Une nuit d'éclairs et de bourrasques humides, giflant les tours éventrées de son repaire .
La créature risqua un regard entre ses cils baissés pour en atténuer la brillance et détailla les intrus, cependant que de la pointe de la langue, elle léchait à petits coups gourmands ses lèvres desséchées .
Trois hommes avaient osé franchir son seuil, trois cavaliers semblant s'en revenir de guerre : un vieux qu'une balafre creusant son front enlaidissait et deux plus jeunes, un rouquin au visage chafouin et un blondinet, joli comme une fille mais dont la moustache aux pointes crânement relevées revendiquait la virilité .
La discussion animée prit soudain des airs de dispute .
Le son de leur voix porta jusqu'à elle:
- Tu crois qu'ils ont le téléphone dans cette baraque ?
- J'en sais rien , répliqua une autre voix, si tu avais remis de l'essence avant de partir aussi...
- Pas ma faute, s'excusa le premier, j'avais pas assez de sous !
- Oui mais t'avais qu'à pas acheter trente paquets de Hèmenèmsse ! tonna une troisième voix
- En plus t'as tout mangé ! s'indigna le deuxième qui était le balafré
- Bon ça va... brédouilla le fautif. Je crois que j'ai entendu quelqu'un
Elle remonta sans hâte deux marches usées de l'escalier le long duquel le corps exsangue de son dernier amant avait glissé comme un soupir ultime . Ses doigts s'agitèrent et leur étrange ballet donna bientôt naissance à une colombe noire qui prit son envol vers la salle du bas . Elle ne voulait pas effaroucher ses hôtes, pas encore, car elle savourait l'attente et goûtait presqu'autant le plaisir de différer la volupté que son accomplissement .
- Ce n'est qu'un oiseau ! s'écria l'un des hommes brièvement rassuré .
- Un corbeau ! grinça le vieux, superstitieux sans doute .
- Chef, je suis désolé de vous contredire mais je crois plutôt qu'il s'agit d'une colombe .
La créature à l'affût sourit, découvrant des dents blanches et acérées comme des crochets de serpent . La voix de celui-ci était plaisante à l'oreille, ses cris de douleur devaient être délectables, elle le garderait plus longtemps que les deux autres, plus longtemps peut-être que Raigis . Sous la frange des cheveux blonds, les yeux lui avaient semblé être bleus ou gris . Comme ils sauraient exprimer la peur et le plaisir qu'elle exalterait en lui, petit homme sans défense !
- Une colombe noire ! se moqua le balafré dans un grand rire qui ne masquait pas son appréhension .
-AIE, hurla soudainement le blondinet.
-Que se passe-t'il encore? Beugla le balafré
-Mais zut heu! Je viens de glisser sur un paquet d'hèmenèssme!
Le rouquin sortit vivement son épee du fourreau:
- Ca ne me dit rien qui vaille, chef ! s'écria-t-il
- Moi non plus, mais calme toi ! repliqua le balafré. Ce lieu empeste une odeur étrange...l'odeur de la mort, l'odeur de la souffrance...
- Arretez ! Vous me faites peur ! bredouilla le roux
Le jeune homme blond ne disait rien. Il regardait autour de lui, comme à la recherche d'un indice.
La créature se délecta de plus belle. Elle adorait sentir la peur grandir en eux, les hommes se croyaient fort mais dès que l'occasion se présentait, leurs instincts les plus primitifs ressurgissaient. La crainte de l'obscurité, celle de se sentir observé, d'être pris par surprise...Ils savent que quelque chose va leur arriver mais ils ignorent où et quand. Ah c'était tellement bon !
Soudain le visage du blondinet se figea et le chef put lire instantanement dans son regard ce qu'il avait vu...
La gorge de Jélian était serrée comme par une corde de pendu et il ne parvint pas à émettre ne fusse qu'un couinement . Ses yeux s'écarquillaient sur la vision qu'il venait d'avoir, brève mais inoubliable, terrifiante mais fascinante . La persistance de l'image était si remarquable qu'il se dit que son chef pouvait sans doute la découvrir dans ses pupilles agrandies .
Jélian avait reconnu la créature cernée de ténèbres qui venait de se dévoiler fugacement à lui . A lui ...
Sa grand-mère lui avait raconté, lorsqu'il était adolescent, les méfaits de la Lamie, qui attirait les hommes dans son repaire pour se repaître de leur vie et de leur âme . Elle avait baissé la voix pour le mettre en garde car, disait-elle, la femme noire avait un faible pour les beaux garçons, blonds de préférence . Jélian ne croyait déjà plus que les histoires de son aïeule étaient vraies mais il en avait fait des cauchemars pendant plusieurs semaines .
Il n'en avait, bien sûr, rien dit à sa grand-mère qui se serait moquée de lui .
C'était quelques mois avant l'attaque de son village qui l'avait jeté sur les chemins, orphelin et démuni . Il avait rejoint le Balafré dans l'espoir de retrouver les routiers sanguinaires qui avaient exterminé les siens mais surtout pour ne pas mourir de faim .
Et volà qu'ils allaient sans doute servir de repas à la Lamie !
La Lamie ! pensa le Balafré. C'est elle ça ne fait aucun doute. Je ne pensais pas qu'elle existait réellement, mais cette expression sur le visage du jeune, elle est unique, j'ai presque pu voir le reflet de sa silhouette dans ses pupilles dilatées par l'effroi. Si nous devons faire face à elle, nous sommes perdus.
- Il nous faut fuir, compagnons ! et vite ! s'écria le chef.
Silence. Personne ne bouge. Les jambes du chef sont paralysées elles aussi, impossible de bouger ! Comment se fait-il que...il est trop tard pour nous, impossible de fuir, nous sommes déjà dans son piège !
La créature s'avance sans un bruit, glissant derrière eux, elle est maintenant à quelques mètres dans leur dos. Des griffes gigantesques dépassent des manches trop grandes d'une tunique sombre, un rictus démoniaque apparait sur une figure hideuse, dévoilant un nombre inquiétant de ce qui semble être des crocs, une lueur de cruauté mêlée de désir brille au fond de ce regard étrange. Elle arrive près de l'homme roux, celui-ci peut presque sentir un souffle venu d'outre-tombe lui glacer l'échine. La Lamie lève un bras quand soudain...
PAF ! La Lamie ...
Un Dragon Bronze surgit de nulle part l'avait pris dans ses serres pour la dévorer
Elle se réveilla dans un sursaut, dans un lit aussi froid que sa peau démoniaque. Elle avait encore rêvé, et comme dans tous ses rêves depuis des centaines d'années, un festin de roi l'attendait à seulement quelques pas devant elle, et elle s'appretait à le dévorer tout cru lorsque ce satané dragon apparut pour la dévorer à la place.
Son ventre gargouilla fortement, et elle grogna d'insatisfaction. Cela faisait mille an que personne ne s'était aventuré dans son chateau au fin fond de l'Irlande : les guerres ne se passaient plus sur cette lande aride depuis longtemps, et les chevaliers avides d'aventures s'embarquaient pour l'angleterre.
En trainant les pieds, elle se dirigea vers le couloir glacial qui la mènerais vers sa salle de bain pour s'éponger de cette sueur nocturne qu'elle avait depuis quelques temps avec ses rêves devenant de plus en plus fréquents... La peur, peut-être est-ce cela réellement... ce sentiment qu'elle a procuré à tant de générations d'aventuriers. Le couloir est vide, seuls les souvenirs l'habitent. En passant devant le premier miroir, elle pensa à ce jeune chevalier, comment s'appelait-il déjà? Eomir...
Oui, il s'appellait Eomir. Décidément, les années lui pesait, elle avait même du mal à se souvenir des prénoms. Enfin, celui la n'avais fait qu'un bref "passage" au chateau : elle s'était bien amusée avec lui pendant un certain temps, mais il s'était vite affaiblit, et elle evait été obligée de s'en débarasser.
Ahhh, il était loin le temps ou, encore jeune, à à peine 1132ans elle gardait ses victimes pendant de longs mois dans le chateau, à les dévorer à petit feu en leur suçant de plus en plus de sang à chaque visite.
Elle devanait vieille, et sa pitié grandissait : elle tue directement ses victimes maintenant, vite agacée par leur cris qui la ravissait tant il n'y a pas si longtemps.
Plongée dans ses souvenirs, elle n'entendit les trompettes au loin qu'au bout d'un certain temps...
Tararatatataratatacouac ... Tatarataratata !
Le village qui se trouvait à quelques lieux de là, devait célébrer quelque chose... ces humains toujours prêts à faire la fête. Peut-être qu'un homme ivre pourrait l'aider à assouvir enfin un nouveau désir de sang...
Dans la froideur de la nuit, un jeune homme, empestant le vin bon marché, avance en titubant sur la route juste éclairée par un quartier de lune. Il aperçoit l'entrée du château et se dit que ça pourrait être drôle d'aller le visiter...
Il passe entre les immenses battants de la porte en bois, emerveillé par tant de grandeur. Après avoir marché dans la cour, il parvient à des escaliers, qu'il monte lentement, en trébuchant de nombreuses fois. Arrivé au dernier étage, il entre dans une pièce ou lit accapare le moitié de la place. IL s'éfondre dessus, et s'endort immédiatement, avec 2.3g d'alcool dans le sang...
Malheur! La Lamie l'a mis au lit, il a mal .
" Ma mie, ma maladie m'a laminé "
" Malingre malin, malicieux malappris, vous matez mes mammelles ! "
La ladie mit le mâle dans la malle et lui mina le mât .
Sur le seuil de la chambre, la Lamie semblait hésiter, la tentation était à son paroxisme, le besoin d'une nouvelle victime balançait avecl'envie de profiter un peu de ce jeune homme... Que choisir? Elle ne pouvait pas avoir oublié le plaisir de se délecter d'un homme, ils sont si faibles...
Rrrrr...zzzzzzzzzzzzz...rrrrr....zzzz !!!!
Le jeune homme est affalé sur le lit, il n'aurait pas dû abusé du Boj'Haulénou'voh !!!!
La lamie, après quelques minutes de réflexion décide de garder ce jeune homme assez stupide pour se jetter dans la gueule du loup. Elle décide de ne pas le dévorer de suite et d'attendre de voir sa réation lorsqu'il se rendra compte de la situation dans laquelle il s'est mis.
elle s'avança vers le lit, voluptueuse, elle se serait crue revenir des siècles plus tôt, là où ses pas ensorceleurs paralisaient la gente masculine. Elle s'installa sur le bord du lit, à ses côtés, l'envie montait en elle. Elle commença à passer la main dans ses cheveux lorsqu'elle entendit que des voix semblaient résonnées au fond des larges couloirs...
La Lamie se leva d'un coup, mécontente qu'on vienne la déranger pendant son dîner. Elle se précipita dans le couloir, et se colla contre un mur pour voir qui se trouvait la. Trois hommes étaient en train de se parler, en se disputant presque :
"Mais qu'es ce que tu racontes, ce chateau est vide : le roi ne peut pas loger ici, il lui faut un vrai lit!"
"Oh ça va, il pourra dormir à al dure, comme nous pour une fois, ça ne lui fera pas de mal!!"...
" Druipok REZAUTNU popoery tre inufitra re ytupoil renifuler pertidou n'enen aurtrell dea fruttt hhhhhhhhooooooooooo ! Gragrug limon edre don pata couet Zimbom ! " se mit à hurler la noire furie en griffant les murs gluants d'humidité .
Les hommes sursautèrent . Les poils de leurs bras se hérissèrent et leurs bouches se desséchèrent .
- Gragrug limon edre don pata couet Zimbom ! répéta l'un des intrus en roulant des yeux effrayés .
- Tu sais ce que ça veut dire ?, lui demanda son compère, plutôt inquiet .
- Je n'en ai aucune idée
Car la Lamie, en tant qu'être millénaire et maléfique, parlait la langue ancienne des Frutichg, mystérieuses créatures des cavernes, connues de nos jours comme leurs descendants, les Lémuriens.
Les hommes, tremblants, se regardaient sans topr savoir quoi faire :
-Bon, je vais chercher les chiens, ils réduiront cette horreur en bouillie...
Sauf que, quand l'homme voulu les chercher, les chiens ronflaient tous en coeur. Il ne put d'aucune facon les reveiller !
Il revient donc auprès de se camarades, et leut explique le problème :
- mais il suffit pourtant de leur crier "chat" pour qu'ils deviennent aussi fou que dasn laur jeunesse...
Un de ses compère lui dit:
-C'est simple: mets-leur sous le nez un bon morceau de viande du diner et ils se réveilleront aussitot!
L'homme se traita intérieurement d'idiot de ne pas y avoir pensé et tourna les talons en grommelant dans sa barbe. Pendant ce temps, les deux autres, apeurés, n'osaient pas bouger et contemplaient la lamie, la face bleme de terreur.
La créature en profita et se jetta sur eux.
Mais soudian, on entendit un grand bruit qui venait de la cour : des chevaux arrivaient au grand galop, et s'arretaient bruyament au pied de la tour.
La lamie entendit plusieurs hommes monter en courant, et après un instant de surprise, ils se précipitèrent sur elle.La lamie poussa un hurlement strident suffisant à rendre tous les hommes sourds et tenta de se débattre. Elle en envoya deux rouler par terre mais il y en avait encore trois sur elle et, malgré ses tentatives répétées, elle se retrouva jetée dans un épas sac de toile résistant à ses coups de griffes.
Un des hommes survivant l'assoma d'un bon coup de buche.
"Chouette, J'la mis en sac !"
Sur ce trait d'esprit, il donna une accolade virile a un de ses compagnon.
Allez les gars, faut l'envayer à sa mojesté. Il va peut être nous recompenser.
Un d'eux la tire jusque dans la cours, ou des hommes attendent, postés autour d'un carosse. Les hommes poussèrent la Lamie qui criait à tue-tête dans la cage et en refermèrent la porte qu'ils verrouillèrent d'un solide cadenas
Les trois hommes montairent. Deux a coté de la cage pour surveiller la Lamie au cas où un seul coup de buche ne suffirai pas et un tenait les rênes.
-ON THE ROAD AGAIN!!!!...(Oui celui qui avait pris les rênes, Grûnt du nom que lui avait affectueusement donné sa môman, était un ancien bikers.)
Et les trois hommes et leur colis maléfique partir donc on the road pour rejoindre leur majesté.
Le Mage Esté et le Mage Ordome leur avaient donné pour instruction de ramener manu militari la Lamie sans lambiner . Et les deux Mages qui n'étaient pas des faux mages à pattes molles mais de vrais rocs forts et très versés dans l'interprétation des tomes de Sa Voix attendaient qu'ils la leur livrent sur un plateau .
L'attelage arriva devant l'imposante forteresse du Mage Esté (), le plus puissant souverain du royaume. Le Mage Ordome les accueillit sur le perron, averti de leur arrivée. Il perdit un instant contenance en voyant la Lamie qui se débattait comme une furieuse; en effet, beaucoup de personnes avaient entendu parlé de cet être maéfique mais peu l'avait vu en vrai. Les cinq hommes qui l'entouraient se mirent au garde-à-vous avec une fierté non dissimulée. Le Mage Ordome, lui, eut du mal à dissimuler sa répulsion. car, si la Lamie sentait mauvais; les hommes qui l'avaient touchée n'en sentaient pas moins. Il hésita à leur faire prendre un bain avant de les accompagner devant le Mage Esté, puis finalement se dit qu'une odeur un peu forte changerait de la douce senteur des algues de pieds du Mage.
-Suivez-moi, dit-il alors, le Mage Esté va vous reçevoir.
Le mage Esté, qui avait été désigné par l'état mage-or, justement, se nettoyait les pieds avec une Raclette . Une divine odeur de Crottins s'éleva .
" Quelle Epoisses, pesto le mage Ordome contre le portier , Il Brillat Savarin , lorsqu'il nous laissa entrer . "
- Comme vous êtes Beau, Fort, s'empressa-t-il de dire .
- Qui m'amenez-vous là ? Ils ont un Salers, de vrais Trous du Cru ! Des Bleus ! D'Auvergne et des Causses, en plus ! Vous vous croyez sur le Pont, l'évèque ? Morbier ! Espèce d'aligot ! Et puis, vous là-bas, CAMENBERT ! hurla le mage à la Lamie qui Faisselle qui ne comprend rien .
Les cimq hommes suivirent le Mage Ordome jusqu'à l'imposante salle où trônait le gros Mage Esté, en pleine contemplation des franges du tapis. Il sursauta au son de la voix du Mage Ordome et releva son cou gras vers lui.
-Ces cinq hommes viennent de capturer la Lamie, mon Mage Esté.
-Bien, dit le Esté en se levant avec lourdeur, ils méritent une récompense.
Les hommes esquissèrent un petit sourire et leur yeux se firent insistants. Mais à cet instant le Mage Esté, sentant une odeur qui couvrait inhabituellement celle de ses pieds, plissa le nez et fronça les sourcils.
Mais qu'es ce qui peu comme ça?
Je croirais reconanitre l'odeur qui s'échappe lorsque j'enlève mes vêtements pour mon bain annuel!
Que celui qui pue autant se dénonce sur le champ, ou je fais couper la tête de tout le monde!!
Les soldats, de triomphants qu'ils étaient, se ratatinèrent sur eux-même, espérant se fondre dans le tapis. Les yeux du Mage flamboyaient. Il surprit soudain un petit sourire vengeur sur les lèvres du Mage Ordome et se tourna vers lui, la face rouge de colère.
"Mais pourquoi riez vous maaauuusieuu??? Savez vous quelque chose? REPONDEZ", ajouta-t-il, la face rouge de son caprice, et en tapant des pieds.
Et le Mage Ordome se hâtant de répondre: "Mais de rien votre Mage Esté, de rien." Et à cet instant le pauvre homme,qui ne peut se retenir plus longtemps, éclate d'un rire retentissant.
Mais le Mage avait de grands pouvoir, et un réel charisme. Toute la salle se mit à rire, sans le savoir pourtant : les personnes présentes se regardaient entre elles, fesant des signes pour montrer leur incompréhension, car s'était comme leur bouches riaient toute seules...