La Pierre de Tear fait peau neuve ! L'aventure continue sur www.pierredetear.fr !
L'ancien site est a présent archivé pour la postérité et en mode "lecture seule". Vous pouvez consulter l'ensemble du contenu et des anciennes discussions du forum,
mais plus créer de nouveaux topics ni écrire de nouvelles réponses.
N'hésitez pas à rejoindre le Discord de la Pierre de Tear en cliquant ici: Discord Pierre de Tear
- L'équipe des Admins: Klian, Owyn et DS
Les Histoires d'Aelghir : Vos avis SVP
(Sujet créé par Aelghir l 07/01/07 à 02:34)
Prière de m'envoyer un message si vous voulez une autorisation pour lire le texte lui-même. A charge de donner votre avis et je vous le redis, n'hésitez pas à me faire part de ce qui ne vous semble pas bon.
Donc, Desdichado est terminé, Le Règne est en sommeil mais comme le Vésuve, il se réveillera un jour ou l'autre et en ce moment, j'écris Les Ailes du traître.... Et maintenant il y a un autre texte qui n'a pas encore de titre.
Je reviens de vacances loin de tout acces pierreux... et la que vois-je? une nouvelle création d'un de mes auteurs préférés!
De suite je me jete sur le topic... qui me répond sechement que je ne suis pas expressement autorisé a le lire...
Donc le premier truc qui me semble pas bon c'est que je peux pas le lire
Apres pour des commentaires éclairés sur le texte... ca va etre plus dur d'ici demain
Je ne crois pas... juste l'histoire suivante que Ghighir nous concocte...
Mais peut etre des rapprochements? des elements d'une histoire dans l'autre ...ou pas forcement
Il m'a l'air bien interressant le bon Jaèhl... beaucoup moins parfait que ses prédécésseurs... Si on continue a le travailler notre Ghighir a nous qu'on a, il nous fera peut etre des héros qui ne sont pas des héros...
Surtout continue donc cette oeuvre Ghighir, elle est déjà forte de promesses... Et (petit point purement égoiste : ) je veux pouvoir lire la suite!!
Déjà baah on va dire que le début est classique, le pauvre hère qui s'élève par un coup du sort (cf Rand) m'enfin ca marche toujours très bien comme ficelle, plus que le héros noble.
Au début, j'ai pensé que Maen n'était pas le père de Jahel, parceque le mot "père" n'est jamais prononcé, alors qu'il apelle Ilin "sa mère".
Mais je pensais que c'était sans importance, et comme Caldou, qu'il allait être réquisitionné pour le dieu
J'aime bien aussi sa relation avec Mika Me fait penser au Fou dans l'Assassin Royal.
Par contre, j'ai cru un moment que l'on retrouverai la Marcia, fille du Duc ou du Baron du départ
D'ailleurs, à un moment tu dis qu'elle place qu'elle est fille de baron, mais ce n'est pas dans le dialogue ? J'ai révé ?
Chevalier un jour, Chevalier toujours ! Montjoie Saint Denis et Tutti Quanti !
Marcia interviendra plus tard avec une place prépondérante mais pas nécessairement reluisante dans l'histoire.
A la différence de Rand qui n'accepte pas vraiment son destin, Jaèhl s'y précipite à coeur joie. Et puis Rand s'élève pour sauver le monde tandis que Jaèhl s'élève par ambition et par revanche sur le destin qui l'a fait naître esclave. C'est la fameuse "rage" qui le pousse. Il n'est pas du tout altruiste et il oublie vite sa mère... Quant aux dieux, ce sont plus des joueurs que des puissances tutélaires et bienfaisantes ou malfaisantes.
Pourvoyeuse-de-Vent Nul ne se connaît tant qu'il n'a pas souffert
J'en suis à la fin du premier chapitre et je suis déjà captivée (rhaa, pourquoi ça ne marche pas avec tout ce que je lis??) Au fait c'est normal l'histoire des yeux? Jahel ne semble avoir hérité ni de son père ni de sa mère... Enfin je suppose que je ne vais pas tarder à le savoir En tous les cas continue comme ça (mais pas trop vite sinon j'aurai jamais le temps de suivre )
Au fait c'est quoi une provende?
edit: et est-ce que je pourrais aussi avoir accès au topic privé des commentaires siteuplait?
Je commence à mieux cerner le caractère de Jaèhl, et on peut dire qu'il est loin d'être parfait. C'ets bien, ça change.
J'aime bien sa relation avec Mika aussi, et j'ai hâte de voir comment il va se faire sa place.
Par contre, je me demandais si ce n'était pas un peu trop évident. Dès que tu as commencé à insister sur les yeux de Jaèhl qui ne venaient ni de sa mère, ni de Maen, je me suis dit "arf, à coup sûr c'est le fils d'un seigneur qui va bientôt venir le chercher." Enfin bon, moi ce que j'en dis hein...
Chevalier un jour, Chevalier toujours ! Montjoie Saint Denis et Tutti Quanti !
Ouais, c'est assez classique sauf peut-être le caractère du personnage qui en fait est plutôt un beau salaud pour changer des gentils persos.
En fait, c'est la lecture d'un verset de la Bible qui m'a donné l'idée du roman
"Sous trois choses la terre s'est agitée :
Sous un esclave quand il vient à régner,
Sous une femme haïe lorsqu'on en prend possession
Faisant d'elle une épouse et une servante
Quand elle dépossède sa maîtresse."
Pourvoyeuse-de-Vent Nul ne se connaît tant qu'il n'a pas souffert
Je peux avoir ton avis sur la fin des Chroniques svp ?
Heu c'est à moi que tu poses la question? Sinon j'ai lu les deux premiers chapitres (je vais attaquer le 3) et je trouve que Jaèhl a changé un peu trop radicalement; ok il avait cette "rage" mais de là à devenir prétentieux (je sais pas trop si c'est le terme qui convient ) comme il l'est! il prend un peu haut sa position de fils de seigneur, et oublie un peu trop vite son ancienne vie de serf je trouve. Mais en même temps je peux pas dire que ça me plaise pas ce côté "beau salaud" comme tu dis
Ben moi, je ne suis pas vraiment fan, de ce côté "beau salaud". Je n'aime pas forcément que les héros soient parfaits, encore que ça ne me gêne pas vraiment, mais je préfère quand même qu'ils se battent pour la "bonne cause" ou aient des valeurs. Alors que là, chez Jaèhl, j'ai beau chercher, je ne trouve pas grand chose de positif.
Enfin, pour l'instant, si l'histoire me plaît beaucoup, je n'accroche pas vraiment au personnage, pas comme Carmichel ou même Kaïvên, qui étaient peut-être trop parfaits (encore que...) mais que j'appréciais vraiment.
Voilà, en gros celui-là tu peux le tuer, pour l'instant ça me gêne pas trop.
lol
Ceci dit, ce début d'histoire promet, et j'ai vraiment hâte de lire la suite.
Bah justement, j'aime ce coté humain
Un peu comme l'Assassin Royal (anti-héros) ou le Trone de Fer, où les différentes héros pensent à leurs fesses d'abord.
Oui, mais ils pensent aussi aux autres et ils ont du "bon", alors que là Jaèhl, pour l'instant, n'a pas l'air bien meilleur que Marcia. Il ne me serait pas venu à l'idée d'établir une comparaison entre Fitz qui s'est sacrifié pour son pays et Jaèhl, à qui ça ne viendrait même pas à l'idée.
Mais bon, en même temps ça change beaucoup, et puis c'est inhabituel dans la fantasy.
Je ne positive pas Fitz non plus, il m'énerve un peu à s'appitoyer sur son sort, mais il a quand même meilleur fond que Jaèhl, pour ce qu'on en sait pour le moment.
Enfin, pour l'instant ya que trois chapitres, peut-être qu'il va changer après, mais là, ça m'a l'air mal parti.
Chevalier un jour, Chevalier toujours ! Montjoie Saint Denis et Tutti Quanti !
Voilà, en gros celui-là tu peux le tuer, pour l'instant ça me gêne pas trop.
tant mieux parce que c'est ce qui est prévu pour changer re
Heu c'est à moi que tu poses la question?
Oui
Jaèhl a changé un peu trop radicalement;
Il a toujours été comme ça, il n'a pas vraiment changé mais sa nouvelle situation est plus en accord avec ses sentiments. Et comme il dit " C'est la volonté des dieux " (dans le 3 ou le 4, sais plus )
Alors que là, chez Jaèhl, j'ai beau chercher, je ne trouve pas grand chose de positif.
Ben si, il plait énormément aux femmes et aussi, il aime bien Mika et ne lui fera jamais de mal.
peut-être qu'il va changer après, mais là, ça m'a l'air mal parti.
Ca m'étonnerait beaucoup, je crois au contraire qu'il ne va pas s'arranger, c'est assez jouissif de faire vivre ce genre de perso
Pourvoyeuse-de-Vent Nul ne se connaît tant qu'il n'a pas souffert
Donc pour te répondre Aelghir je n'ai pas eu le temps de lire les Chroniques en entier (tu allais trop vite dans la parution, j'ai été larguée )et j'ai dû m'arrêter juste après que Kaïvên (c'est ça? ) soit Leude, enfin je crois. En tous les cas j'essaierai de trouver le temps en cette fin de vacances, mais je compte bien le lire un jour de toute façon
edit: après la fin du chapitre 3 je me rends compte que mon personnage préféré (pour l'instant) est Mika. Il me plaît parce qu'il est innocent justement et avec Jaèhl il me fait penser au fou et à Fitz ensemble (de loin bien sûr )
Je ne déplore qu'une chose: pourquoi les femmes sont-elles encore reléguées au rôle de la serve qui met au monde le bâtard, la marâtre et les soeurs méchantes? Pourquoi n'est-ce qu'un univers d'hommes? J'espère qu'au moins la vilaine Marcia (ou quelque chose comme ça ) va revenir, elle rivaliserait bien d'orgueil avec Jaèhl maintenant!
Chevalier un jour, Chevalier toujours ! Montjoie Saint Denis et Tutti Quanti !
Patience : lis le 4 que je viens de mettre en ligne et tu auras droit à un personnage féminin qui n'est pas méchante avec Jaèhl. Marcia va revenir mais pas tout de suite et il y aura par la suite un personnage de femme important, très même mais je ne peux en dévoiler plus pour l'instant. Peut-être même continuerai-je l'histoire avec elle en perso principal.
Le jeune coq a un peu de mal à s'imposer dans la basse-cour, on dirait, et ça promet de ne pas être très serein pour la suite.
Il y a aussi un progrès au niveau du nombre des personnages féminins. D'ailleurs, pour l'instant, cette Garone me plaît bien.
Je le trouve sympathique, Mika, aussi.
Voilà voilà, donc j'aime beaucoup.
Et puis le débit de postage des chapitres me convient tout à fait, je dois dire.^^
EDIT:
Peut-être même continuerai-je l'histoire avec elle en perso principal.
Appelez moi <a href=http://www.lepetitprince.com/fr/>Prince</a>
Je reviens de vacance! j'ai du retard a rattraper...
edit: c'est lu!
Pour l'instant, je trouve sa excellent, on entre vite dans l'histoire, et je me surprend a vouloir que ce sympathique batard ai une crise de folie, hache en main...
enfin, je ne porte pas les nobles dans mon coeur, mais allez savoir pourquoi, j'aime le Duc.
J'attends des futurs chapitre pour une opinion plus prononcé
J'aime beaucoup le chapitre 5.
Déjà, cette histoire de dieux, j'ai l'impression que ça va donner quelque chose d'intéressant, et j'ai bien aimé la partie de chasse.
Pourvoyeuse-de-Vent Nul ne se connaît tant qu'il n'a pas souffert
Je pense que le dernier chapitre est pour l'instant mon préféré: ya pas mal d'action (et j'aime ça ) et on voit que le duc commence un peu à se détendre vis-à-vis de son fils illégitime. vivement la suite!
Ben, le duc devait attendre qu'il fasse se preuves.
Moi aussi, c'est mon chapitre préféré pour l'instant. Dans celui-là, j'ai même trouvé Jaèhl plus sympathique.
Sympa le chapitre 6.
C'est vrai qu'il apprend un peu vite, mais bon, on sent que c'est parce que ya un complot divin là derrière, donc ça m'a pas tellement gêné. J'ai ADORE la façon dont tu décrivais le moment où il monte le fameux cheval.
Pourvoyeuse-de-Vent Nul ne se connaît tant qu'il n'a pas souffert
Idem pour moi le moment du cheval (je l'ai déjà dit en privé mais je le répète en public )! on a envie qu'il y reste toute la nuit!
Je me suis aperçue d'un truc également: j'aime pas Garone! Oui, désolée, le seul perso féminin un peu important eh ben il m'agace, avec ses habitudes de fille gâtée (je n'avais que ce qualificatif sous la main). Je la trouve plutôt creuse, surtout si elle arrive pas à ce décider entre Ollier et Jaèhl! enfin, on ne peut pas aimer tous les persos je suppose, et Jaèhl compense (mais j'espère quand même que Marcia va réapparaître, elle me plaisait déjà mieux!)
Chevalier un jour, Chevalier toujours ! Montjoie Saint Denis et Tutti Quanti !
Aaaaaaaaaaaattends le chap 7 !!! mais elle n'est qu'un perso secondaire, le temps que Jaèhl jette sa gourme . Marcia va revenir mais toujours aussi garce. Je vais faire entrer en scène une femme plus intéressante, plus complexe d'ici quelques chapitres, il s'agit de SPOILER
J'l'aime bien, Garone, dans le genre délurée Et puis ca change de ces deux grenouille de bénitier que sont les deux soeurs ! on dirait celles de Cendrillon
La scène avec l'étalon est très prenante, on s'y croirait, tout en ombres et ors. Une de mes préférées pour le moment, avec celle ou il arrive, royal, dans ses nouveaux habits Pan dans les dents !
Chevalier un jour, Chevalier toujours ! Montjoie Saint Denis et Tutti Quanti !
L'est beau et en plus il le sait, le salaud ! Ya justement une scène dans le chapitre que je suis en train d'écrire, gnark, gnark, j'y retourne. En ligne demain, ensuite pour les autres chap. faudra être patient, car c'est la rentrée des classes !!!!
Mais pour le duel, tu n'aurais pas utilisé une de tes ébauches précédement postée dans le topic appellé Duel? (d'ailleurs je viens de verifier... il n'y a plus rien ou presque...)
Chevalier un jour, Chevalier toujours ! Montjoie Saint Denis et Tutti Quanti !
Oui, j'ai utilisé ce texte, c'est même pour ça que je l'ai supprimé sur le forum. Le perso de Jaèhl existait déjà mais par petites touches comme dans Duel.
Il ne peut pas se permettre de tuer Ollier quand même !
Pas encore du moins...
A moins qu'ils ne deviennent par la suite non pas amis mais ayant des intérêt convergeants, je n'ai pas encore décidé, ça dépendra de l'évolution de l'histoire.
Dommage pour ta hâte, Owyn, mais aujourd'hui c'est la pré-rentrée et demain la rentrée des classes. Alors.....
Pourvoyeuse-de-Vent Nul ne se connaît tant qu'il n'a pas souffert
J'ai bien aimé le dernier chapitre, mais j'ai trouvé le duel un peu rapide, même s'il ne s'est pas passé comme je m'y attendais. Mais pourquoi Jaèhl s'entiche-t-il de sa cousine?? Elle est vraiment creuse comme fille!
Ah non, moi elle me plaît bien Garone.
Et pis faut le comprendre, le pov, il a jamais vu une fille, à part l'autre prétencieuse de Marcia et ses deux frigides de soeurs.
Chevalier un jour, Chevalier toujours ! Montjoie Saint Denis et Tutti Quanti !
Räpide, c'est à mon goût. Je ne vois pas trpo la nécessité de m'étendre sur toutes les phases du duel et je vais à l'essentiel. Mais qu'est-ce que vous verriez, vous, en plus ?
J'sais pas trop, mais c'ets vrai qu'en général, un duel ça dure des pages et des pages d'interminables descriptions, alors que là, ça doit faire une page maxi. Ben, c'est bref quoi, mais bon, moi ça me choque pas tellement non plus, ça a vite tendance à m'ennuyer si ça dure trop.
Pourvoyeuse-de-Vent Nul ne se connaît tant qu'il n'a pas souffert
C'est vrai qu'on a plus l'habitude de voir de longues descriptions et que ça fait bizarre que ce soit aussi précipité mais en même temps je crois que ça m'aurait barbé que ça s'étale sur des pages et des pages, donc au fond c'est mieux comme ça
Chevalier un jour, Chevalier toujours ! Montjoie Saint Denis et Tutti Quanti !
En ce moment, c'est la rentrée et la panne d'inspiration mais ça viendra en son temps ! Patience et longueur de temps font plus que force ni que rage !
Chevalier un jour, Chevalier toujours ! Montjoie Saint Denis et Tutti Quanti !
Vraiment en panne d'inspiration sur ce coup-là... bon, je vais laisser mijoter un peu et en attendant j'en ai commencé une autre histoire. Faut que je trouve un titre et je vous enverrai bientôt le premier chapitre.
PS : ça va être un peu dur parce que moi a momo les mimines ( carpien, cubital plus tendinite aux deux coudes) mais l'écriture vaincra !
Chevalier un jour, Chevalier toujours ! Montjoie Saint Denis et Tutti Quanti !
Comme il se nomme Alain, il aura du mal à être une héroïne mais il peut se doper à l'héroïne si tu veux mais bon, l'autre perso principal est une femme, enfin presque
mais bon, l'autre perso principal est une femme, enfin presque
Qu'est-ce qu'il nous a encore inventé ?
J'ai toujours hâte de pouvoir lire la suite, en tout cas. Tu n'as pas l'intention de nous faire un chapitre par ans comme RJ avec ses livres au moins ?
Pourvoyeuse-de-Vent Nul ne se connaît tant qu'il n'a pas souffert
En tous cas, le Alain, lui, il ne l'est pas, moche.
Tout comme un certain Lélhyan, Kaïvên ou Jaèhl n'est-ce pas? Bah on commence à être habitué des beaux gosses non? naan je fais la méchante là je vais pas m'en plaindre! je te lirai dès que j'aurai le temps, promis
Chevalier un jour, Chevalier toujours ! Montjoie Saint Denis et Tutti Quanti !
La suite dans quelques jours, peut-être ce week-end, je commence mercredi... Est-ce que j'ouvre un nouveau topic ou bien on continue sur celui-là, belle lectrice ?*
* Vile imitation de Robert Merle (Note du Modo... ouais, bon c'est l'heure de mododo, alors bonne nuit !)
On peux peut-être continuer sur ce topic, non ?
Pas la peine d'en créer encore un si ce texte est en repos, mais il faudra modifier un peu le titre du sujet.
Ah non, eh, hein.
Moi je préfère qu'ils restent tous beaux, physiquement parfaits même si possible, et un peu tarés sur les bords (certains plus que d'autres^^).
Encore que ce dernier point est discutable.
La suite dans quelques jours, peut-être ce week-end, je commence mercredi
Chevalier un jour, Chevalier toujours ! Montjoie Saint Denis et Tutti Quanti !
EL DESDICHADO
Je suis le Ténébreux, - le Veuf, - l'Inconsolé,
Le Prince d'Aquitaine à la Tour abolie :
Ma seule Etoile est morte, - et mon luth constellé
Porte le Soleil noir de la Mélancolie.
Dans la nuit du Tombeau, Toi qui m'as consolé,
Rends-moi le Pausilippe et la mer d'Italie,
La fleur qui plaisait tant à mon coeur désolé,
Et la treille où le Pampre à la Rose s'allie.
Suis-je Amour ou Phébus ?... Lusignan ou Biron ?
Mon front est rouge encor du baiser de la Reine ;
J'ai rêvé dans la Grotte où nage la sirène...
Et j'ai deux fois vainqueur traversé l'Achéron :
Modulant tour à tour sur la lyre d'Orphée
Les soupirs de la Sainte et les cris de la Fée.
Gérard de Nerval,
Précisions :
--------------------------------------------------------------------------------
Le mot espagnol « desdichado », dérivé de « dicha » (bonheur), signifie « malheureux ». Dans le cas du poème de Nerval, on le traduit traditionnellement par « déshérité ».
Il se prononce « dess-di-tcha-do », même si beaucoup de français (y compris Georges Perec) le prononcent à tort « dess-di-ka-do ».
--------------------------------------------------------------------------------
Et voici Gérard de NERVAL (Gérard LABRUNIE) à la recherche lui aussi de son identité.
Dans « Le Déshérité », alternent angoisse, désespoir (le pouvoir seigneurial des LABRUNIE a été aboli par l'Ancien Régime - le poète a eu deux crises de folie en 1841 et 1853) et souvenirs heureux (voyage en Italie, rendez-vous avec la jeune anglaise qui lui fera oublier un funeste projet, Sylvie, baiser d'Adrienne...)
Dans le roman IVANHOE de Walter SCOTT un mystérieux chevalier, compagnon de Richard Coeur de Lion, dépossédé de son château par Jean Sans Terre, se présente sans armoiries dans un tournoi ; son bouclier, à côté d'un chêne déraciné et d'un soleil noir, portait le mot espagnol « Desdichado » !
Gérard de NERVAL est ce chevalier du Moyen Age condamné à vivre dans les ténèbres, seul, atteint - par la fatalité - d'une éternelle douleur psychologique et sentimentale. Bercé dans son enfance de récits légendaires, et parce qu'il pensait descendre d'une ancienne famille du Périgord, apparentée aux BIRON et LUSIGNAN comte de Poitou - qui devint roi de CHYPRE et qui, selon la légende épousa la fée MELUSINE - il s'identifie avec bonheur aux personnages du folklore et aux dieux de la mythologie grecque.
Voilà quelques détails qui je l'espère t'éclaireront.
4 pages et des poussières tapées mercredi, ça avance....
Chouette.
Sinon, je viens de me rendre compte que les Chroniques du Protecteur avaient fortement marquées mon année, en s'accordant bien souvent avec mes humeurs. Je n'ai même lu que ça pendant plusieurs mois, et il m'en reste encore des bouts un peu partout sur mon ordi que je n'ose pas supprimer.
Là, d'un coup, tout ce que j'ai ressenti en lisant ce texte me revient, et je suis (re)prise d'une envie de dire :
Chevalier un jour, Chevalier toujours ! Montjoie Saint Denis et Tutti Quanti !
Waouw ! Ca me fait rudement plaisir ce que tu dis là ! Merci beaucoup ! J'espère que tu vas aimer Desdichado . Mais "Les Chroniques" est aussi le texte que j'ai pris le plus de plaisir à écrire, je me suis beaucoup impliqué dedans.
Merci encore
Ca se ressent vraiment que tu t'es impliqué, et je pense que les chroniques resteront mon coup de coeur parmi tous tes textes. Et en tout cas très bien placées parmi les livres que j'ai lu.
Pour ce qui est d'aimer Desdichado, vu le début, ça ne fait quasiment aucun doute.
Chevalier un jour, Chevalier toujours ! Montjoie Saint Denis et Tutti Quanti !
STEFANOF je copie-colle ton avis sur ce topic qui est destiné justement à cela.
Sur l'autre topic il n'y a que le texte. Bien maintenant je vais lire ton intervention
Bon je n'ai pas lu tout en entier encore (j'arrive vraiment pas à me concentrer quand je lis sur l'écran d'un PC c'est viscéral T__T), mais quelques commentaires si je puis me permettre !
"La forêt ourlée de brumes automnales fondait ses ors et ses pourpres dans un frémissement fauve d’éphémère pelisse avant le long dénuement de l’hiver."
=> On a l'impression que l'auteur (enfin, toi en l'occurrence ) veut en mettre plein la vue avec cette phrase, personnellement c'est un effet que je n'aime pas beaucoup. Non pas que la phrase ne soit pas jolie, mais le fait qu'elle soit si allongée et dotée de tant de "beaux mots" la rend presque légèrement prétentieuse en quelque sorte. C'est un type de phrase que je juge trop tarabiscotée, surtout dans une position aussi voyante que celle d'ouverture de chapitre, qui me fait l'impression qu'on en a trop fait pour la forme et qu'une légère simplification ne ferait pas de mal.
"- Holà, aubergiste ! Envoie quelqu’un prendre soin de nos montures et prépare aussitôt trois repas et aussi tes trois meilleures chambres."
=> Léger manque de naturel je trouve, le "prépare aussitôt " semble davantage relever d'un discours indirect que direct, par exemple. En discours direct, on dira bien plus facilement "tout de suite", "vite" ou peut-être même "immédiatement" au pire pour un effet un peu plus raffiné. Ou carrément un "dépêche toi de préparer", d'ailleurs.
Remarque d'ordre plus général, j'ai le feeling global que tu dis davantage que tu ne montres. Je suis en faveur de faire plutôt l'inverse, une voie qui me semble plus "subtile" en quelque sorte, qui fait davantage appel au sens de l'observation et à l'interprétation du lecteur, plutôt que de lui dérouler tout un menu formaté et prémâcher ainsi son travail. C'est bien sûr une opinion personnelle !
"- Chers et fidèles compagnons, vous me suivriez jusque dans la fournaise des volcans si je le requérais de vous, se moqua ce dernier. Ou au cœur de la plus désespérée des batailles…
Un très bref instant le sourire désinvolte s’effaça pour laisser la place à une inhabituelle gravité tandis qu’il affirmait :
- Mais cela, jamais je ne vous le demanderai."
Là encore par exemple, j'ai l'impression d'une certaine "froideur" de la narration, d'un style si bien poli qu'il en perd quelque chose d'un peu plus humain, d'où une sorte de manque de chaleur. C'est bellement dit, mais ça ne prend pas aux tripes, et l'interruption a un côté fort convenu.
Disons aussi que je ressens un peu trop la patte de l'auteur d'une certaine manière, il y a quelque chose qui fait penser "oui, ces événements ont été très minutieusement posés et construits comme ci comme ça pour tel résultat". Bien sûr dans l'absolu un tel soin est un très bon point ! Mais ici, il me semble poussé à un extrême qui étouffe la spontanéité de l'affaire, et du même coup lui fait manquer d'un certain caractère. Ca semble presque trop parfait si j'ose dire !
Voilà pour le moment, à part ça c'est vraiment très bellement écrit pour ce qui est de la maîtrise de la langue et de la richesse du vocabulaire, thumbs up
Chevalier un jour, Chevalier toujours ! Montjoie Saint Denis et Tutti Quanti !
"La forêt ourlée de brumes automnales fondait ses ors et ses pourpres dans un frémissement fauve d’éphémère pelisse avant le long dénuement de l’hiver."
Un de mes défauts, ma formation, déformation ? de poète sans doute. Je vais donc être moins prétentieux.
Pour les autres critiques, je te remercie aussi mais il me faut le temps d'intégrer ce que tu me dis là et de moudre le grain. Pas sûr que je puisse arriver à en faire mon profit.
C'est vrai que connaissant d'avance l'histoire, ben tiens ! ( même pas vrai, je ne sais pas comment ça va finir), je lance quelques hameçons dans le cours de mon récit. Sans doute sont-ils un peu trop alourdis par le plomb de mes allusions.
Chevalier un jour, Chevalier toujours ! Montjoie Saint Denis et Tutti Quanti !
Pas grave.
Donc, je viens d'envoyer le deuxième et le troisième chapitres !
Mes chérinounets, 2 chapitres d'un coup, vous êtes gâtés mais n'en prenez pas l'habitude !
Je vais privatiser Desdichado, j'autorise vos noms dès maintenant.
Ah, effectivement si tu es poète ça doit expliquer beaucoup de choses D'autant que moi-même n'étant pas vraiment portée sur la poésie, j'ai tendance à noter ce genre de choses d'autant plus vite
Enfin ce n'était qu'une opinion personnelle sur le texte dans tous les cas, ça vaut ce que ça vaut Je vais aller essayer de lire un morceau de la suite maintenant, si j'arrive à lutter contre mon écran assez longtemps >'(
Merci Ghighir de nous avoir mis deux chapitres !!!
J'ai vraiment bien aimé, plus le trois que le deux, d'ailleurs.
J'ai déjà pas mal de soupçons pour la suite, mais ça ne fait qu'éveiller davantage ma curiosité et mon impatience. Je ne sais pas trop encore quoi penser d'Alain et Stéphane, mais j'apprécie les deux personnages, curieusement.
Il y a quelques fautes, mais je corrigerai plus tard.
Donc bravo.
Chevalier un jour, Chevalier toujours ! Montjoie Saint Denis et Tutti Quanti !
Mais si ! je t'ai ouvert l'accès, enfin je crois, bon je vais aller vérifier, ne pleure pas !
EDIT :Mes plus plates excuses, je me frappe le front par terre à tes pieds mignons, aïe ! une bosse ! chameau ! mea culpa, mea maxima culpa et caetera... fausse manoeuvre, voici le topic t'est ouvert !!!!
Il y a quelques fautes, mais je corrigerai plus tard
Ouais, j'ai tout balancé hier soir sans me relire, la flemme. En plus j'écris sur le portable donc il faut que j'enregistre sur la memory key puis que je mette dans mes documents sur l'ordi et après que je l'envoie sur le forum.
Bon, j'ai lu seulement le deuxième chapitre pour le moment ! Il confirme un second point que je n'avais pas abordé encore mais que j'avais craint, à savoir la focalisation sur Alain. Tu me diras, s'il est le plus principal des personnages centraux, quoi de plus normal ? Certes. L'ennui, pour moi (toujours opinion personnelle je le reprécise, souligne, persiste et signe ) c'est que - pour le moment du moins - c'est un personnage trop classique, et trop parfait. L'enfance difficile, le vilain petit canard mal aimé, qui grandit en un jeune homme doté de tous les dons (beauté, capacités de combat, charisme) et du caractère superficiel type du "mec classe irrésistible" (sarcasmes, séduction, audace et ironie), mais rendu "profond" par la sensibilité qui le rend fort conscient des fardeaux du passé et de sa nature.
Bien sûr, qu'un personnage soit un archétype assez connu n'est pas nécessairement un problème (ne serait-ce que parce que tous les personnages peuvent être résumés à un archétype, au fond), et c'est de plus un type que j'ai tendance à beaucoup aimer (voire même mon grand favori avec "la femme de caractère" ). Toutefois, comme tu as cette tendance à dire plutôt que de montrer, je trouve à nouveau ça encore un peu trop voyant, pour une lectrice comme moi ça contribue à me faire me sentir blasée et lasse par rapport au personnage. Voire même si je suis d'humeur particulièrement difficile ça peut me faire légèrement me braquer contre lui
A part ça, la prose est toujours aussi soignée et tu as l'air d'accorder beaucoup d'importance à tisser les relations entre de nombreux personnages différents, ce que j'apprécie
Chevalier un jour, Chevalier toujours ! Montjoie Saint Denis et Tutti Quanti !
J'aime bien les "mecs classes irrésistibles", je m'identifie . La classe, je connais... je suis instit re.
Je comprends ce que tu veux dire. Mais j'aime bien les archétypes. Les romans que j'ai déjà écrits sont des déclinaisons, je sais, du même archétype. Et dire que je ne supporte pas le Richard Cypher de L'épée de vérité parce qu'il est trop parfait, j'ai même arrêté de lire la série. Mais mes personnages ne sont pas si bien que ça, ils ont tous une félure, certains sont même carrément félés. Et mon perso du Règne de l'Esclave, s'il est beau gars, n'est pas du tout gentil.
Quant à ma tendance à dire plutôt que montrer, je vais essayer de me contrôler ça. Tu veux plus de suspense moins de sous-entendus, si j'ai bien compris.
Euh je veux bien plus de sous-entendus et moins de sur-entendus même Disons que si tu veux, j'ai l'impression que là tu ne laisses pas de choix au lecteur sur l'opinion qu'il doit avoir des personnages. Je ne peux pas dire précisément le pourquoi du comment, mais j'ai la sensation qu'on essaie de m'imposer une vision bien spécifique des personnages (comme le fait que Alain = classe) plutôt que de simplement me les montrer tels qu'ils sont et me laisser décider par moi même, comme une grande, ce que j'en pense. Ca revient à cette idée de "trop percevoir la présence de l'auteur", après bien sûr ça plait à certains Personnellement, je suis très vite "turned off" quand je sens trop "l'interférence" de l'auteur dans l'oeuvre ^^ ! J'ai besoin qu'on me laisse davantage respirer, qu'on me prenne pour une lectrice capable de faire ses jugements de valeur de manière autonome, je n'aime pas qu'on me fournisse le travail d'analyse tout fait ("hop ce perso est comme ci comme ça" et ainsi de suite), je trouve ça contraignant et un brin dégradant.
Bref, je m'égare Pour moi les personnages doivent prendre vie de manière plus naturelle, ils doivent briller par eux-mêmes en quelque sorte, pas parce que l'auteur fait absolument tout pour mettre celui-ci en particulier sur le devant de la scène (enfin, l'auteur peut le faire, mais j'attends à ce que ce soit fait de manière plus subtile et moins "grossière"). Je sais que c'est pour ça notamment que j'ai détesté lire Robin Hobb et que j'ai parfois des problèmes avec Guy Gavriel Kay. J'ai beaucoup trop ressentie la présence constante et - pour moi - pesante de la première dans L'assassin royal, et le second est de temps à autre beaucoup trop prévisible/voyant dans la façon dont il met en avant certains persos. Après tous deux sont des auteurs ultra-populaires et adulés, donc il est évident que mon opinion personnelle n'est pas représentative de la majorité d'aujourd'hui
C'est vrai que, en particulier dans le chapitre deux, tu as tendance à "décrire" la personnalité d'Alain, par exemple. Ce serait peut-être plus intéressant de la découvrir à travers ses actes, ou que, lors de ces descriptions, le point de vue soit plus interne, ce qui est déjà un peu le cas puisqu'on le découvre aussi par les yeux de Stéphane.
Bref, plus de sous-entendus quoi. C'est surtout flagrant dans ce chapitre 2, en fait. Dans les chroniques, c'était très prenant (cf Carmichel, j'en pleurais presque à chaque chapitre.), et même chose pour Jaèhl, qu'on découvre au fur et à mesure.
Par contre, j'adore toujours autant tes personnages. Ils sont tous beaux, intelligents, etc, pourtant je trouve qu'ils ne tombent pas dans le banal, déjà parce que la plupart ont quand même un pète au casque. Mais aussi parce qu'on découvre leur souffrance, qu'elle soit physique ou morale, et leur humanisme sous la perfection. Ils sont tous beaux, d'accord, splendides même, mais ils ne se ressemblent pas du tout physiquement(*évite le rapprochement Pyrem/Carmichel* ), et psychiquement.
Moi ça ne me gêne pas du tout. Bien au contraire, j'adore
Qu'on puisse le reprocher, c'est un truc que je ne comprends pas. Je veux bien qu'on modernise la fantasy pour la distinguer du roman de chevalerie etc, mais pourquoi vouloir à ce point s'infliguer des personnages laids ou moyens si on ne le souhaite pas ? Ca en devient, comme l'art moderne, une quête de la parfaite différence, toujours faire de l'original, même quand c'est moins bien que le classique. Et l'art "nouveau" en devient de ce fait encore plus fermé que l'art classique, et se prive de la recherche de la ligne, ou du beau. Car le beau est considéré comme trop banal.
Après je ne dis pas que les persos pas forcément jolis sont moins intéressants, c'est un choix de l'auteur en fonction de ses préférences, et on ne devrait pas lui repprocher de faire tel ou tel type de personnage à chaque fois si c'est comme cela que l'inspiration lui vient. Même chose s'il fait plus de héros masculins que féminins. Ce n'est pas du sexisme ou du machisme, c'est de l'art, et ça ne devrait pas se discuter.
D'ailleurs je n'aime pas commenter les livres. Ce doit être du ressenti, pas de l'analyse froide. On découpe l'oeuvre pour en sortir les défauts, sans se dire qu'ils ne font qu'accentuer ses qualités. On ne cherche pas à se rappeler ce que l'on a senti en lisant, on ne s'en sert que comme conclusion pour orienter sa thèse. Pourquoi est-ce simplet de dire "j'ai aimé" "j'ai adoré" "j'ai détesté ?" Pourquoi est-ce qu'il faudrait toujours commenter, discuter, chercher la petite bête pour ce rapprochement constant de la perfection ? Il est vrai que des commentaires bien construits aide l'auteur a progresser, mais s'il peut être fier de ses progrès, l'écriture, n'est-ce pas tout d'abord un moyen d'exprimer sa douleur, sa joie ? Comment le faire si l'on se bride ?
Parfois, un texte est meilleur lors du premier jet qu'après les retouches, car alors l'âme de ce qu'on voulait dire se reflète dans ces mots qui viennent du coeur sans entraves. Ce n'est pas son approche de la perfection qui le rend magnifique, mais justement son humanité.
Commenter le style ou la forme est utile, mais l'essence du récit ne concerne que son auteur.
edit: C'est pas clair et c'est mal tourné, c'est sans doute bourré de fautes et je n'ai même pas réussi à exprimer ce que je voulais.
Désolée, c'est l'effet Aelghir, je suis tombée amoureuse des Chroniques du Protecteur, ainsi que des Astres Jumeaux à un degré peut-être un peu moindre, parce qu'ils trouvent un écho en moi, et du coup je ne peux les commenter. J'aime autant leurs défauts que leurs qualités.
edit 2: *Se demande ce qui lui a pris de sortir un truc pareil à l'heure du déjeûner, et quel est le rapport direct avec la conversation en court.* Toutes mes excuses, je me suis laissée emporter.
J'avais passé la matinée à analyser un texte, aussi.
Chevalier un jour, Chevalier toujours ! Montjoie Saint Denis et Tutti Quanti !
Non,non, je ne t'excuse pas car j'ai bien aimé ton intervention. Moi aussi, je suis du genre à dire j'ai aimé ou pas, ça me correspond ou pas. Et ton "analyse" correspond aussi à mon travail de création, je n'éprouve pas vraiment de plaisir à faire vivre des héros laids ou banals comme je n'aime pas non plus lire leur histoire. Sectaire et alors ? Une fois, j'avais créé un perso qui n'était pas très agréable à voir avec un sale caractère, plutôt traitre et qui était le frère du perso principal. Par la suite, j'en ai fait le perso principal d'une autre histoire mais j'ai remanié son portrait pour avoir du plaisir à écrire.
PS : je regrette presque d'avoir éliminé Carmichel, il me manque
Que penses-tu du perso de la Primaria ? Elle va revenir par la suite, bien sûr.
Merci. J'ai l'impression qu'on a parfois une façon assez semblable de voir (percevoir ?^^) l'écriture.
Moi aussi il me manque Carmichel.
J'avais vraiment l'impression qu'il était vivant, parfois. Assez souvent même. J'étais triste quand il est mort.
La Primaria me plaît beaucoup, pour le peu que j'en ai vu.
J'ai l'impression qu'elle peut devenir très importante au fil du récit, et rien que sa description promet énormément, en tout cas.
Qu'on puisse le reprocher, c'est un truc que je ne comprends pas. Je veux bien qu'on modernise la fantasy pour la distinguer du roman de chevalerie etc, mais pourquoi vouloir à ce point s'infliguer des personnages laids ou moyens si on ne le souhaite pas ? Ca en devient, comme l'art moderne, une quête de la parfaite différence, toujours faire de l'original, même quand c'est moins bien que le classique.
Je ne sais pas à quel point ce sont mes commentaires ou non qui ont déclenché tout ça, mais je vais y répondre Pour ma part, j'ai tendance à être... eh ben entièrement d'accord avec ce qui est cité ci-dessus en réalité L'original rien que pour faire original à tout prix, c'est bien évidemment stupide. De même, je ne préconise pas de rendre ses persos laiderons, de faire des mecs des violeurs alcooliques barbabres et des femmes des potiches impuissantes en détresse (ben oui si on veut coller au moyen-âge... XD). Perso, j'aime pouvoir m'imaginer le héros ou mon perso fétiche comme plutôt beau, c'est sûr
La question est de savoir manier le classique. Comme je le disais (peut-être pas assez clairement) plus haut, ce n'est pas tant qu'Alain soit un archétype qui me dérange (d'autant que j'aime cet archétype je l'ai dit ), mais plutôt que dans le cas présent je le trouve trop décrit, trop mis en avant et imposé par l'auteur. Pour moi le point crucial ce n'est pas un énième duel classique Vs original, mais plutôt l'exécution de la chose
D'ailleurs je n'aime pas commenter les livres. Ce doit être du ressenti, pas de l'analyse froide. On découpe l'oeuvre pour en sortir les défauts, sans se dire qu'ils ne font qu'accentuer ses qualités. On ne cherche pas à se rappeler ce que l'on a senti en lisant, on ne s'en sert que comme conclusion pour orienter sa thèse. Pourquoi est-ce simplet de dire "j'ai aimé" "j'ai adoré" "j'ai détesté ?" Pourquoi est-ce qu'il faudrait toujours commenter, discuter, chercher la petite bête pour ce rapprochement constant de la perfection ?
Mmmm. Personnellement, je préfère une position entre les deux extrêmes. Disons que quand je lis, je vais me laisser prendre aux tripes par exemple sans chercher de raison particulière pour : si ça marche, ça marche. De même, si au contraire le bouquin me laisse souverainement indifférente ou, pire, furieusement venimeuse, c'est avant tout des émotions à chaud. Toutefois, une fois le livre refermé, je suis tout à fait capable de dire pourquoi ça m'a rendu extatique ou pourquoi j'ai trouvé ça lamentable. Je ne dirais pas que c'est simplet de se contenter de "j'ai adoré/détesté" mais, oui, pour moi ce n'est pas très intéressant de se limiter à ce genre de commentaire. La discussion ne peut pas s'ouvrir si on se limite à un choix binaire et non expliqué, ça en restera à jamais des successions de "moi je trouve que c'est de la balle !" et "non moi je trouve que c'est de la merde !" qui honnêtement ne sont bonnes qu'à faire bailler. L'intéressant est toujours de savoir pourquoi on a aimé ou non. Ce pourquoi n'a pas besoin d'être une vérité universelle (impossible XD) ni même d'être froidement objectif. Ce sont des opinions simplement, mais une opinion bien charpentée est toujours plus attirante qu'une phrase sans appel ni matière à discuter, à comprendre et partager. Perso je ne cherche pas la ptite bête, je dis simplement ce que je vois et ressens en lisant le texte rien de plus
En fait, tu devrais plus souvent poster à l'heure du déjeuner c'est bon à lire
Merci.
Ce n'est pas l'heure du déjeuner mais je peux poster quand même, je pense.
C'est en partie ton post qui a déclenché le mien, du moins au début, mais je me suis surtout laissée emporter.
Je suis d'accord quand tu dis que se limiter à "j'ai adoré" n'est pas franchement utile, et ne permet pas un débat intéressant. Après, il faut savoir dire ce que l'on a particulièrement aimé dans le livre, et voir ses défauts, même si je n'aime pas vraiment ce second point. Ce qui me dérange, c'est que l'on cherche à découper le livre, à dire "ça c'est bien" "ça c'est pas bien" en prenant les passages seuls. Je trouverais plus constructif de saisir l'effet général, d'embrasser la totalité de l'oeuvre, car par contraste, un moment plus sobre fera paraître plus splendide encore celui où l'auteur a laissé s'exprimer son lyrisme, frôlant ou touchant parfois la poésie. Et de même un texte uniforme, reprenant à chaque fois les même qualités, en deviendrait lassant, quand l'autre se jouerait de nous et de nos perceptions, nous prenant par surprise.
Après, toujours avec ce système de l'effet général que tu utilises bien(), il devient vraiment utile de dire ce qui ne rend pas dans le livre, lui fait perdre en intensité. Et si je ne juge pas qu'Alain est imposé (libre à moi de le trouver détestable, car la description laisse aussi ce penchant ), il est vrai que le second chapitre perd parce que trop est dit au lieu d'être ressenti.
Il est dit "Alain est ainsi" quand je jugerais préfèrable de trouver "Alain fait et ressent ceci" pour que le lecteur déduise de lui-même "il est donc comme cela".
Ce que je voulais dire c'est que trop analysent le récit dans le but d'atteindre le format de texte qu'ils voudraient, sans se soucier que c'est d'abord ce qu'est l'auteur qui est exprimé. Ce n'est pas l'histoire en elle-même, la quête ou l'action qui en fait toute l'originalité, mais le style de l'auteur. Sa façon de façonner le récit. C'est en partie pour cela que j'ai beaucoup de mal à me faire lire, je suis trop secrète pour vouloir qu'on lise mon âme, ses ombres comme ses lumières.
Une dissonnance peut parfois exalter autant qu'une résonnance poétique, quand cela s'accorde avec l'ensemble. Certains, en voulant commenter la forme, s'attaque à l'essence, à l'âme, veulent changer les personnages pour les rendre plus originaux ou l'histoire moins habituel. Ils saccagent ce que l'auteur avait créé. On en revient par là à la recherche de l'original pour l'original.
Si l'on faisait cela sur un de mes textes, que l'on me disait "tu vois ton héros, là, ben il est trop beau. Tu devrais le faire brun plutôt que blond, ça changerait", je le prendrais très mal, comme si l'on m'annoncait que je rêvais mal, car l'écriture c'est aussi la forme que prend un rêve conscient ou non.
Par contre, si l'on commente la forme, les résonnances, et que l'on m'explique ce que l'on a mal perçu à la première lecture, toujours dans un aspect général, dans une question de directe connexion au coeur, alors je ne pourrais être que reconnaîssante, parce que cela m'apportera.
Il vaut mieux écouter chaque commentaire, y réfléchir...et modifier uniquement si l'on pense que c'est mieux.
Tout ceci n'étant que le développement de ma conclusion précédente.
Commenter le style ou la forme est utile, mais l'essence du récit ne concerne que son auteur.
Pour résumer, l'écriture et la musique se ressemble beaucoup. Un défaut n'en est qu'un que quand il détruit quelque chose de l'oeuvre. Un fausse note qui se fond dans une mélodie parfaite, comme un léger sursaut, devient une qualité.
Owyn: eh bien je pense qu'on est globalement d'accord Je retiendrai surtout:
Il est dit "Alain est ainsi" quand je jugerais préfèrable de trouver "Alain fait et ressent ceci" pour que le lecteur déduise de lui-même "il est donc comme cela".
C'est exactement ce dont je parle avec "dire Vs montrer" et du fait qu'il me semble m'être imposé etc On se comprend donc ^___^
Enfin, concernant le respect à l'auteur, j'ajouterai qu'il est pour moi rarement question de dire que l'auteur est "bon" ou "mauvais" (à part dans des cas extrêmes ), mais plutôt de dire si ça me plait ou non, et pourquoi Tout ceci pas forcément pour pousser le dit auteur à modifier son art, mais simplement parce que c'est enrichissant de partager nos opinions.
Après j'ai un esprit critique qui a tendance à me faire trop remarquer dans les choeurs de louanges, c'est le drame de ma vie et une autre histoire !
Chevalier un jour, Chevalier toujours ! Montjoie Saint Denis et Tutti Quanti !
Oui à Owyn oui à Caldazar mais plus tard carla tout de suite j'ai un Conseil d'émettre heu des maîtres
Edit : c'est fait.
J'avais supprimé l'accès aux Astres parce qu'en ce moment il est entre les mains d'un comité de lecture. Je pense que je vais aussi envoyer Les Chroniques.
Pourvoyeuse-de-Vent Nul ne se connaît tant qu'il n'a pas souffert
Sympa votre débat là!
Je suis d'accord pour dire que dire simplement "j'ai aimé" ou "j'ai pas aimé" revient à ne rien dire (c'est toujours mieux que rien mais des fois on aimerait en entendre un peu plus^^) Evidemment tout le monde a plus ou moins l'esprit critique mais bon...
Ce qui me dérange, c'est que l'on cherche à découper le livre, à dire "ça c'est bien" "ça c'est pas bien" en prenant les passages seuls.
Personnellement quand je lis un texte je le lis d'abord sans penser à "ça c'est pas bien" ou "c'est bien". Je me fais des petites réflexions de temps en temps pour moi et l'impression générale vient à la fin, mais mon but du départ n'est pas de faire un commentaire construit (surtout quand je me parle à moi-même ). Et je ne suis pas trop d'accord quant au "rapprochement constant de la perfection" dont tu fais allustion Owyn. Il n'y a jamais de perfection en écriture, c'est sûr, mais les critiques qu'on peut faire sur un texte ont pour but de s'améliorer sans forcément chercher à atteindre un sommet. Pour moi ça a une différence (pour moi hein ). Mais aussi les avis diffèrent celon les personnes et les perceptions, donc on n'a pas forcément les mêmes défauts ou qualités relevés.
Heu ajouté à cela que j'écris ce post très vite parce que je voulais donner un avis, donc il y a sûrement des maladresses là-dedans (j'ai du mal à exprimer si rapidement ma pensée, je le ferai plus tard )
ps: Ghighir tu ne refuseras pas le topic de ton nouveau roman à une grande fan comme moi? (bon je l'ai pas encore lu mais ça viendra )
Owyn: eh bien je pense qu'on est globalement d'accord
Je pense aussi.
Et je ne suis pas trop d'accord quant au "rapprochement constant de la perfection" dont tu fais allustion Owyn. Il n'y a jamais de perfection en écriture, c'est sûr, mais les critiques qu'on peut faire sur un texte ont pour but de s'améliorer sans forcément chercher à atteindre un sommet.
En général, oui, mais ce n'est pas le cas de certaines personnes, et pas seulement dans le domaine de l'écriture.
Je suis d'accord, il n'y a pas de perfection en écriture, mais j'ai déjà rencontré des gens, qui, en lisant, voulait non pas améliorer mais changer. Ils ont une vision précise de ce qu'il voudrait, et au lieu de vouloir t'aider à écrire la tienne, il tente de t'imposer la leur. On me l'a déjà fait (pas dans le domaine de l'écriture, mais en peinture. Ca reste une expression de soi.), et c'est vraiment blessant. En voyant le résultat final, j'ai voulu tout détruire. Tout ça parce que ce que j'avais fait, à leurs yeux, n'était pas assez original.
Ca devient une approche de leur vision de la perfection, pour être plus précise.
Merci de nourrir ce débat, en tout cas.
c'est fait.
J'avais supprimé l'accès aux Astres parce qu'en ce moment il est entre les mains d'un comité de lecture. Je pense que je vais aussi envoyer Les Chroniques.
Merci Aelghir.
J'espère que nous aurons vite des nouvelles (positives) de ce comité. Pour les Astres comme pour les Chroniques, que tu aurais vraiment raison d'envoyer.
Votre débat est vraiment intéréssant, soit-dit en passant.
Et moi aussi je préfère les beaux héros, même s'ils sont de fieffés salauds (cf le frère de Cersei...). Mais en même temps, j'aime aussi les anti-héros, ou du moins les héros banals - quelqu'un a lu la Compagnie Noire ?
Pour ce qui est de DesdiShadow, je ne sais pas encore, vous dirais ça plus tard
Mais je ne sais pas m'exprimer moi, suis bien trop refoulée
Moi aussi je suis trop refoulée, comme tu dis. Mais l'écriture est justement un moyen d'expression qui m'aide beaucoup, que ce soit dans ce genre de débat ou sous forme de nouvelles.
Après ce n'est peut-être pas le tien, ce n'est pas pareil pour tout le monde.
Alain dormait nu, à plat ventre sur les peaux d’ours jetées devant la vaste cheminée où brûlait un feu bien nourri dont seuls les crépitements meublaient le silence de la chambre haute. Des livres dont certains étaient ouverts à des passages souvent lus voisinaient sur une table basse avec un flacon de vin à demi plein et un luth patiné par l’usage. Des parchemins recouverts d’une haute écriture élégante jonchaient le lit négligé par le dormeur.
Et là, c'est tout de suite beaucoup mieux. Découvrir le "repaire" d'Alain, ses habitudes de vie, nous en apprennent sur lui, nous donnent un "feeling" du personnage, tout cela de manière subtile, indirecte, ouverte à interprétation selon les perceptions du lecteur. Ca le caractérise efficacement, sans être grossier, sans être contraignant. C'est exactement le genre de "peinture" littéraire que je préfère, en somme ! Je trouve ça immensément plus élégant, et plus intéressant, de partir à la découverte de ton héros de cette façon délicate, comme une sorte de quête personnelle du lecteur, plutôt que les descriptions imposées précédentes. En somme, grand bravo sur ce point, ça s'améliore beaucoup
- Qui vous a payé, ignoble menteur, pour oser m’accuser de si odieuse et frauduleuse manière ?
Côté dialogue par contre, un nouveau manque de spontanéité. Alain est choqué, offensé même - tu le dis toi-même. Surpris au beau milieu de la nuit, qui plus est, sans parler qu'il est selon toute vraisemblance un garçon doté d'un tempérament au moins partiellement enflammé et inflammable. On lui porte une vile et injuste accusation sans préavis, et voilà qu'il rétorque, indigné, une phrase pourtant si travaillée ? Elle me semble bien trop "raffinée" pour la circonstance, en vérité ! D'ailleurs :
- Des preuves ! Prévôt, vous êtes bien placé pour savoir que les preuves sont plus faciles à fabriquer qu’à découvrir.
... est exactement le réplique qui prouve ma thèse, Alain est mordant, impulsif dans sa parole, peu soucieux de ne pas froisser son interlocuteur de toute évidence. J'aime cette réplique, en somme
- Il a dit : « Je veux sa couronne et son épée. Je veux devenir le maître et leur faire boire jusqu’à la lie le vin de ma colère. »
Là encore, jolie réplique. La phrase est soignée, mais cette fois la circonstance s'y prête : bingo ! Tout est question de dosage...
Globalement, l'affrontement entre Alain et son père est joliment tourné aussi, et crédible. Bien joué là encore, on est pris dans le récit. De même pour le sacrifice qu'Alain consent dans le noble but d'épargner Alexandre, et pour le châtiment final... c'est réellement bien fait, et je me sens enfin touchée par le récit, mon intérêt avivée et ma curiosité de la suite demandant satisfaction
J'aime beaucoup ce chapitre, il y a bien plus de ressenti et moins de choses qui sont "dites".
Quand Alain "avoue" avoir fait ce dont on l'accuse pour sauver Alexandre, j'ai trouvé ça vraiment très touchant. Toute la scène est prenante, belle et douloureuse, le désespoir et la peur d'Alain, jusque là assez peu travaillés, atteignent une hauteur poignante, comme une sorte de lancinement durant une bonne partie du chapitre. La fin en particulier a éveillé mon impatience quant à la suite.
Pour ce qui est des dialogues "trop beaux", je confirme qu'on ne parlerait pas vraiment comme ça dans cette situation, mais, Stefanof va me taper (), moi c'est justement ce qui me plaît, ce côté un peu fleuri des phrases. Et puis je trouve que ça fait partie de ton style, ça s'accorde tout à fait avec le reste du texte.
C'est poétique, plein d'émotion en fonction de ce qui doit être rendu, bref, j'aime beaucoup.
Donc pour ce chapitre, toutes me félicitations. Je pourrais chercher des erreurs dans le détails, mais ça contredirait totalement ce que j'ai dit plus haut et puis...non. Dans l'aspect général du chapitre, j'ai vraiment aimé, et ça aurait pu être encore plus intense.
Vivement la suite.
ps: Je vais aussi m'occuper de la correction de l'orthographe, il me semble avoir repéré quelques fautes.
On m'a pas nommée correctrice officielle pour rien non mais.
edit :
Quand vous aurez fini de tchatcher, vous pourrez lire le chapitre quatre, mesdemoiselles
Le chapitre 4, et les suivants, risquent au contraire de nourrir la conversation, cher Chevalier, donc tu n'es pas près d'en voir la fin.
Je viens de découvrir que c'est beaucoup plus plaisant de faire des commentaires plus longs.
Chevalier un jour, Chevalier toujours ! Montjoie Saint Denis et Tutti Quanti !
Mais, je vous lis et avec beaucoup de plaisir, mesdemoiselles ! Surtout quand vous m'envoyez des fleurs mais aussi quand ces fleurs se parent de quelques épines, ces dernières étant les aiguillons de ma créativité.
moi c'est justement ce qui me plaît, ce côté un peu fleuri des phrases
Nice one, encore une fois
En revanche je pense que tu devrais atténuer l'insistance qui suit sur le double sens : il est en effet très clair, inutile de le préciser. Résiste à l'envie de trop assister tes lecteurs à chaque pas, ils peuvent comprendre un certain minimum sans aide. D'ailleurs, si par malheur ils arrivaient à rater le double sens pourtant clair, la réaction des jeunes seigneurs ensuite serait suffisante à les mettre sur la voie !
Chevalier un jour, Chevalier toujours ! Montjoie Saint Denis et Tutti Quanti !
Comment Sissi, tu ne peux point, mais il fallait le dire, cette injustice va être immédiatement réparée et le coupable puni !
Merci pour ta suggestion, Stefi !
Edit : c'est revu !
C'est plus que des rajouts. J'ai supprimé toute la partie "litigieuse" et si j'en ai utilisé des petits bouts dans ce chapitre, j'en ai aussi mis de côté pour plus tard. plus de scènes en direct, plus de suggestions.
Bon alors ce chapitre 2 est très bien revu, je trouve.
Il rend beaucoup mieux, surtout avec le petit retour en arrière (je ne me rappelle plus s'il y était déjà.), et c'est plus intense, même si ce chapitre n'atteint pas le 4.
Ce qu'il y a de bien avec tes livres, c'est que ça va toujours crescendo.
Dis moi Aelghir, question de curiosité et avec un rapport moins étroit à ton récit du moment...
Quand tu écris, tu inventes tes personnages et ton univers au fur et à mesure, ou tu as d'abord établi un certain plan détaillé dans ta tête - ou dans des notes ? Est-ce que tu as des collections de fichiers ou de feuilles volantes où tu consignes de grosses bases de données sur ton oeuvre, ou fais-tu tout ça davantage à main levée ?
Bref, je suis curieuse de l'organisation logistique de ton affaire, si on peut dire
Très chouette chapitre.
Je préfère quand même la partie avec Alain que celle avec Stéphane, sans doute la preuve que mes faveurs s'orientent vers l'aîné.
Et puis je la trouve plus intense, plus proche du chapitre 4.
Ah oui, j'ai un reproche : c'est beaucoup trop court.
La question de Stefanof m'intéresse aussi. Quand je me lance dans de longs récits, j'avance au fur et à mesure, mais quelques fois ça a tendance à s'emmêler, sauf si j'ai déjà une idée plus ou moins linéaire de la suite. Peut-être que tu as une meilleure technique.
Chevalier un jour, Chevalier toujours ! Montjoie Saint Denis et Tutti Quanti !
Quand tu écris, tu inventes tes personnages et ton univers au fur et à mesure, ou tu as d'abord établi un certain plan détaillé dans ta tête - ou dans des notes ? Est-ce que tu as des collections de fichiers ou de feuilles volantes où tu consignes de grosses bases de données sur ton oeuvre, ou fais-tu tout ça davantage à main levée ?
Un peu tout à la fois, sauf des collections de fichiers, ni grosses bases de données.
Je pars d'un perso, dans ce cas-là, Alain, d'une situation de base et je construit au fur et à mesure. Pas mal de choses apparaissent ou changent en cours d'écriture. Ex : La Primaria Jdian était à l'origine un comte tout à fait humain. Je sais à peu près ce qui va arriver à Alain mais pas les détails, je ne connais pas la fin de l'histoire non plus. Quant à l'univers, je le crée au fur et à mesure tout en restant dans un cadre médiéval avec quelques ajouts antiques. Comme j'ai rajouté des perso principaux non humains, il va falloir que je me creuse la cervelle pour les différencier des humains.
Pas de plans détaillés, ni de fichiers, un tort parfois surtout géographiquement parlant, mais j'écris au feeling, à l'émotion du moment.
Dans le cas des Chroniques du Protecteur, à partir d'un certain chapitre l'histoire s'est modifiée par rapport au projet initial parce qu'un personnage secondaire a pris pour moi tellement d'importance qu'il en est devenu le principal. Hein Owyn ! Peut-être un jour écrirai-je la suite, avec les aventures de son fils...
Je ne me vois pas m'enfermer dans des limites, ce n'est pas du tout mon style, même dans mon boulot, je ne suis pas des plus organisé, je fais beaucoup au feeling, ça plait à certains parents d'élèves, pas à d'autres.
Peut-être que je suis aussi un peu trop paresseux pour faire un gros travail préparatoire
Je préfère quand même la partie avec Alain que celle avec Stéphane, sans doute la preuve que mes faveurs s'orientent vers l'aîné.
Dans le cas des Chroniques du Protecteur, à partir d'un certain chapitre l'histoire s'est modifiée par rapport au projet initial parce qu'un personnage secondaire a pris pour moi tellement d'importance qu'il en est devenu le principal. Hein Owyn !
Je ne peux que le comprendre, Carmichel avait pris à mes yeux la même importance.
Peut-être un jour écrirai-je la suite, avec les aventures de son fils...
Ma première sensation en lisant c'est mot est la joie, la deuxième est de savoir si je retrouverais Carmichel dans son fils. Il me manque encore.
Pourvoyeuse-de-Vent Nul ne se connaît tant qu'il n'a pas souffert
A y est tout lu en une soirée! et donc j'ai... beaucoup aimé! (ça surprend qui en fin de compte? ) Mais je ne vais pas m'arrêter là bien sûr sinon autant ne rien dire alors je vais un peu approfondir, avec les bons et moins bon côtés (normal rien n'est parfait en ce bas monde )
J'ai enfin compris ce que tu voulais dire avec le "presque femme" et je dois dire que la Primardia me plaît déjà beaucoup, ne serait-ce parce qu'elle n'a pas le rôle de "celle qui se fait sauter" (excusez-moi du terme ) qu'ont quelques uns de tes persos féminins. De même Diane sort également du lot, elle est d'une douceur bienvenue dans l'action, avec son frère Alexandre. Je les aime bien tous les deux .
Ensuite la mère... Ben elle me fait trop penser à la marâtre de Jaèhl, un peu trop banale dans sa haine pour son fils mais le fait qu'elle aille aussi loin la rend plus originale. Néanmoins je ne l'aime pas!
Le père... Pas grand chose à dire dessus, le duc typique qui a une préférence pour son aînée, rien de nouveau.
Et enfin Alain! J'avoue qu'au début je ne l'ai pas du tout aimé (et je garde un peu d'appréhension à son égard) sans doute parce que je le trouvais beaucoup trop semblable à tes anciens héros: beau, détesté par la plupart des gens et arrogant. Donc trop classique à mon goût. Heureusement tu lui as donné ce mal-être enfoui qui l'a fait remonter dans mon estime, ainsi que le fait qu'il soit prêt à (spoiler!) se désigner coupable d'un crime qu'il n'a pas commis uniquement pour sauver son ami. ça compense le beau gosse coureur de jupons déjà vu, mais pas encore complètement (d'ailleurs sur ce plan-là ce serait bien qu'il évolue )
Voilà mon avis pour les personnages, je voulais aussi dire un mot sur ton style. Toujours très agréable à lire bien sûr mais comme en avait parlé Stefanof certaines phrases (je pense surtout au début) ont une lourdeur un peu inutile; je trouve que tu mets trop d'adjectifs en fait .
Et aussi le langage parfois un peu trop soutenu. Bon je n'ai pas ton niveau de vocabulaire c'est sûr mais j'ai parfois du mal sur certains mots qui pourraient être plus simple à comprendre si tu mettais des synonymes. Mais je crois t'avoir vu dire que c'était dû à ton côté poète, donc je le comprends
Pour finir deux trois choses que j'avais relevées:
Les trois chasseurs pénétrèrent dans la salle commune qu’éclairaient un feu généreux
qu'éclairait un feu généreux
Stéréotype de sa fonction
là par contre c'est le mot stéréotype qui me gêne... trop actuel je trouve, ya mieux
la couronne au triple rubis.
C'est pas "aux triples rubis"? j'ai un doute là
l’inattendu confidence
l'inattendue confidence
Voilà, avec encore mes remerciements au chevalier pour m'avoir fait passer un très agréable moment de lecture!
Edit : C'est fait, je t'ai même remonté les 2 topics.
Grand merci ! J'ai commencé à lire, j'avance doucement
Et enfin Alain! J'avoue qu'au début je ne l'ai pas du tout aimé (et je garde un peu d'appréhension à son égard) sans doute parce que je le trouvais beaucoup trop semblable à tes anciens héros: beau, détesté par la plupart des gens et arrogant. Donc trop classique à mon goût.
Oui, c'est la pensée que j'avais aussi, et je dois avouer qu'en ayant entamé les Chroniques du Protecteur cette idée m'est aussitôt revenue en tête en faisant connaissance avec Kaïvên !
Je perds tellement de temps à sortir mes corrections qu'Isaeda s'en charge à ma place.
J'ai vu d'autres trucs, il me semble, faudra vraiment que j'y pense.
Bonne lecture des Chroniques, Stefanof.
Par contre je reprends la très explicite phrase du Chevalier Ghighir :
Et un conseil d'ami : ne débine pas Carmichel sinon tu auras affaire à Owyn et à Moi
Pas touche à Carmichel.
Pourquoi est-ce que tu l'as tué Aelghir ?
Chevalier un jour, Chevalier toujours ! Montjoie Saint Denis et Tutti Quanti !
Mes perso sont assez semblables mais ils ont des personnalités qui me font triper (identification ?) et comme j'écris avant tout pour me faire plaisir !
Et puis en général, ils en prennent plein la gueule en partie à cause de leur personnalité. Pour Alain, c'est en fait un masque qu'il s'est donné pour moins souffrir ou plutôt pour faire croire aux autres qu'il est indifférent à leur mépris. Pour Kaïvên, c'est vraiment un défaut (?) chez lui.
Carmichel ??? Ah! Tu aimerais bien chanter
"Carmichel est de retour
Alleluia !
Carmichel est de retour
Allelou ou ou ia !"
Mais pourquoi pas ? Dans une hypothétique suite, car son corps SPOILER !
Chevalier un jour, Chevalier toujours ! Montjoie Saint Denis et Tutti Quanti !
Oui mais tu ne sais pas de quelle façon et pourquoi. Quoiqu'il en soit, il y a toujours au moins un de mes perso principaux qui claque à la fin sans parler de tous ceux qui clampsent au cours de l'histoire.
Mwahahaha En tout cas, j'ai lu 3-4 chapitres des Chroniques et c'est assez plaisant, pourtant ce n'est pas simple d'écrire à la première personne La seule chose qui me "dérange" un peu, c'est que je trouve que Kaïvên pleure beaucoup. Non pas que ce soit injustifié quand il le fait en général, mais j'ai toujours trouvé étrange de voir un perso masculin avoir les larmes fréquentes... probablement parce que moi même je pleure rarement Bref ce dernier point n'est pas vraiment une critique, plutôt une observation divagante
Chevalier un jour, Chevalier toujours ! Montjoie Saint Denis et Tutti Quanti !
Tout dépend des cultures. Notre civilisation judéo-chrétienne tient les larmes et l'expression du chagrin pour non virils, affaire de femmes, ce qui va avec l'image négative qui a été longtemps professé de la femme, créature du démon, tentatrice etc..., sexe faible. Mais on devrait dire plutôt stoïco-catholique parce que les Juifs comme les proches orientaux de l'antiquité ne se privaient pas de pleurer( 2 exemples parmi tant d'autres Ulysse et Télémaque pleurant à grand bruit dans les bras l'un de l'autre, Jésus pleurant sur Lazare ou sur Jérusalem). Les larmes ne sont pas un aveu de faiblesse, un homme a autant le droit de pleurer qu'une femme ou qu'un enfant.
Ceci dit, on peut aussi pleurer de bonheur. certaines musiques sont si belles qu'elles me font venir les larmes aux yeux. Bon on s'écarte du sujet.
Kaïvên n'a que dix-sept ans, il manque de maturité et puis malgré ses airs fanfarons, c'est un sensible et puis si je veux qu'il pleure, il pleure, non mais !
Chevalier un jour, Chevalier toujours ! Montjoie Saint Denis et Tutti Quanti !
ce n'est pas simple d'écrire à la première personne
J'ai pris un réel plaisir d'écrire à la première personne, c'est sans doute pour cela que Les Chroniques sont le roman que j'ai le plus aimé écrire. Je m'investis vraiment dans le personnage qui raconte, je ressens les émotions que je décris, je suis plus lui que moi - je ne te dis pas le difficile retour à la réalité ! -
Je crois que pour moi c'est plus évident d'écrire à la première personne, plus "personnel".
Je préfère un héros sensible qui pleure à une grande brute qui ne dit rien, pour ma part. Je trouve ça tellement plus touchant.
C'est sans doute pour cela que j'ai adoré le passage entre Alexandre et Alain dans le chapitre 6.
J'ai vraiment aimé, en particulier le passage que je viens de citer et la fin. Ca m'a beaucoup touchée.
Donc bravo.
Je crois que pour moi c'est plus évident d'écrire à la première personne, plus "personnel".
C'est aussi pour ça que je préfère les Chroniques du Protecteur, et très spécialement quand c'est Carmichel qui (je vais encore spoiler) écrit. C'est très...profond, très personnel. Je crois que je ne me suis jamais senti aussi proche des personnages d'un livre, et c'est en grande partie parce que c'était à la première personne, je pense. Sérieux, je suis restée émue plusieurs jours quand j'ai terminé les Chroniques, et je continue à l'être quand j'y repense.
edit : J'ai toujours pensé que ces cartes étaient très bien trouvées.
Et je veux mettre la seconde en jeu, si on embête Carmichel.
Quit à la tirer en double si Aelghir l'utilise déjà.
Les larmes ne sont pas un aveu de faiblesse, un homme a autant le droit de pleurer qu'une femme ou qu'un enfant.
Ceci dit, on peut aussi pleurer de bonheur. certaines musiques sont si belles qu'elles me font venir les larmes aux yeux. Bon on s'écarte du sujet.
Kaïvên n'a que dix-sept ans, il manque de maturité et puis malgré ses airs fanfarons, c'est un sensible et puis si je veux qu'il pleure, il pleure, non mais !
Comme je l'ai dit, ce n'était pas vraiment une critique, plutôt une observation sur un goût très personnel
Je préfère un héros sensible qui pleure à une grande brute qui ne dit rien, pour ma part. Je trouve ça tellement plus touchant.
Je préfère un juste milieu
En fait, si, de manière plus raisonnée, il y a une chose que je pourrais reprocher aux héros qui pleurent beaucoup : à force, leurs larmes n'ont plus de valeur. Un héros qui pleure souvent finira par laisser le lecteur un brin blasé, ses pleurs n'auront plus le même impact. A contrario, un personnage qui ne pleure que rarement sera d'autant plus frappant à voir déverser son chagrin.
En fait, j'imagine que c'est juste que pour moi les larmes c'est pas banal, si on peut dire
Je dois dire que j'ai été agréablement surpris par ton récit, n'ayant jamais lu un de tes textes. Mais j'ai beaucoup apprécié le personnage de Jaèhl (qu'il ne faut surtout pas faire tuer comme tu le sous-entend dans le topic de commentaire). En effet Jaèhl me fait penser un peu à un "Druss la légende", protégé des Dieux et qui a hâte d'en découdre. J'apprécie son apprentissage rapide, ayant compris que le dieu de la guerre lui donne un coup de main, et son arrogance qui est sa seule protection face à l'hostilité qu'on lui témoigne. Je souhaite vivement que tu poursuives l'histoire car je suis impatient de connaître la suite. On se doute du prix à payer au dieu, quand il aura obtenu ce dont il désirait le plus mais il faut que tu t'arrange (sous forme de rêve) que Jaèhl rencontre ce dieu car c'est un peu bizarre que le dieu s'occupe de lui sans l'avoir prévenue du prix à payer. Ce qui me turlupine également, c'est sa relation avec Mika. Si jaèhl est gentil avec son petit frère, comment se fait-il qu'il ne s'inquiète pas du sort de sa mère? En tout cas il faut vite qu'il se fasse la petite Garonne mais j'ai l'impression, vu le tempéramment que tu lui as donné qu'elle ne sera pas celle qu'il aimera.
Enfin, et c'est plutôt des voeux que je formule, il serait bien que tu nous fasse découvrir en profondeur son héritage directe, c'est à dire le comté de Pléians, les soldats qui sont déja sous ses ordres, ses revenus, que tu nous montre comment il gére son domaine. Et puis, bien évidemment, une bonne guerre ne serait pas malvenue. Pour finir, je trouve que tu as un language trop fleurie alors qu'une simplicité plus évidente sous la plume t'attirerais beaucoup plus de lecteurs. Dans tous les cas, le meilleur compliment que je puisse te faire est que si c'était un livre il aurait une belle place dans ma bibliothéque car je le trouve aussi bien que certains romans. En saluant tes talents d'auteurs, j'éspère te voir poursuivre "le règne de l'esclave", car je veux absolument lire la suite.
PS: si tu pouvais me donner accès à tes autres textes, avec malgré tout un pincement au coeur de ne plus rien avoir à lire sur Jaèhl, je serais content de pouvoir lire tes autres oeuvres.
Le truc c'est que notre Ghighir Tearien écrit a la base pour lui meme...
Et pour Jaèhl, son petit frere représente un aspect positif de son futur, le seul element qui l'ai acceuilli volontairement... tandis que sa mere représente son passé, son statut d'esclave... ce qu'on ne peut lui reprocher de trop vouloir oublier...
Chevalier un jour, Chevalier toujours ! Montjoie Saint Denis et Tutti Quanti !
Caldazar, le psy de la Pierre.
J'écris avant tout pour moi-même, disons depuis pas mal d'années mais je n'avais jamais fait lire mes textes avant de venir sur la Pierre voici bientôt deux ans. J'avais même l'habitude de détruire un roman par le feu quelque temps après l'avoir terminé... comme j'aime jouer (jouir?) avec les mots, j'ai du mal à faire simple, j'essaie, j'essaie mais mon tempérament de poète (voir topic Concours de poèmes) remonte à la surface. Ceci dit je peux faire plus compliqué ( je ne sais plus quel texte dans les joutes :"Sang Mêlé" quasi illisible). Mais pour le règne de l'esclave, il y a deux passages que je me suis "éclater" à écrire dans le genre "plaisir solitaire" quand Jaèlh fait sauter Vent d'Orage et quand il se bat contre Ollier.
J'ai commencé le chapitre 8 dans un lit, pas moi, mais Jaèhl et il n'y est pas tout seul, laisse-le en profiter mais effectivement Garone, ce n'est pas fait pour durer, ça ne va pas même durer longtemps !
Enfin, et c'est plutôt des voeux que je formule, il serait bien que tu nous fasse découvrir en profondeur son héritage directe, c'est à dire le comté de Pléians, les soldats qui sont déja sous ses ordres, ses revenus, que tu nous montre comment il gére son domaine. Et puis, bien évidemment, une bonne guerre ne serait pas malvenue
Je peux l'emmener faire un petit tour d'héritage mais il n'héritera pas de sitôt, le papa est en bonne santé. Le dieu vise bien plus haut et une bonne guerre va justement mettre Jaèhl en avant. C'est ensuite qu'il va rencontrer une femme dont il ne saura que trop tard que c'est la bonne.
Chevalier un jour, Chevalier toujours ! Montjoie Saint Denis et Tutti Quanti !
Ah ! et j'oubliais : chapitre 7 de Desdichado : Alain à Brej Dalvarnik Menhauser, capitale de l'Empire Jdian ( mais où je trouve tous ces noms ? )
Fin de chapitre plutôt intense, je me régale à écrire ce genre de texte.
En effet la fin est vraiment très belle.
Tu as une sorte de don de la dernière phrase, si je puis dire. Durant toute la fin, j'étais de plus en plus émue, mais alors, juste sur les tous derniers mots, mon coeur a fait un bond, sans que je sache trop pourquoi.
Tout le chapitre est vraiment bien, mais c'est ce dernier passage dans la taverne qui m'a particulièrement plu. Il rend bien la personnalité d'Alain, qui, curieusement, me faisait presque pitié dans sa souffrance. Bref, j'aime de plus en plus le personnage.
Et je me demande ce qui va se passer, cette dernière phrase éveille encore plus ma curiosité.
Donc voilà, encore bravo.
Il y a quelques fautes, il me semble. Et "gaîté", ça ne s'écrit pas "gaieté" ? Ou alors il y a deux écritures possibles ?
edit: Ah et puis sang mêlé, que je viens de finir. Je savais pas trop où le commenter alors bon, ce topic en vaut un autre.
Alors c'est bien simple, si beaucoup risquent de ne pas aprécier le style trèèèès fleuri, moi j'adore.
C'est compliqué, il y a pleins de mots que je n'ai jamais utilisés, et que je n'ai sans doute rencontrés qu'une ou deux fois, ou même pas du tout. Génial.
J'aime me heurter au texte, me délecter de ces phrases (quasi ?)poétique. Et puis l'histoire _c'est déjà fini ?- est intéressante. Deux sangs opposés dans une seule personne, miam. Bref, Dans l'ensemble, le texte est très musical, mais il y a deux trois phrases qui, de mon point de vue, avaient plus de mal à passer. Un mot ou un terme qui bloquait. Mais j'aime vraiment bien.
Faudrait que je relise moins vite je pense.
Un brun aux yeux bleus, quelle bonne idée Je l'aime déjà !
Toujours le même type de héros bravache pour dissimuler une felure, mais qu'importe, le concept me plaît.
Par contre je ne trouve pas trop que tu guides trop le lecteur, ou alors tu as changé beaucoup de choses !
Et j'ai du mal à m'imaginer la capitale, tu ne donnes que quelques éléments architecturaux, l'impression que j'en ai est une grande ville, de style italienne, vide, ou du moins, avec peu de gens.
Ah oui, dans le même genre, je ne me représente pas bien la mère d'Alain A part en grande blondasse, mais est-elle une blonde pâle et hautaine, ou une blonde or et furieuse ?
J'aime bien aussi l'introduction de nouvelles races et des démons, ca sort de l'ordinaire, et tu ne les décris pas trop, libre à nous de chercher à comprendre qui ils sont, c'est chouette
Comme quoi, je suis compliquée, je dis tout et son contraire
Je crois que je vais bien aimer ce nouveau roman
Il va être long ? J'espère que oui
Chevalier un jour, Chevalier toujours ! Montjoie Saint Denis et Tutti Quanti !
ben déjà je viens tout juste de terminer le chapitre 8, très important pour la suite de l'histoire.
La longueur, je ne sais pas.
Les descriptions, ce n'est pas trop ma tasse de thé, quand il y en a une trop longue dans un livre que je lis, je la lis en diagonale pour aller plus vite à l'action. C'est vrai que j'aurais pu mettre un peu plus de gens, du tout venant, dans cette ville effectivement du style de Rome.
Pour les nouvelles races et les esprits, je donnerai des détails supplémentaires eu fur et à mesure ( que je les inventerai parce que je ne les connais pas moi-même... tiens par exemple, j'ai pensé à un truc pour expliquer l'Interdit, cet aprèm en triant les poireaux de campagne )
C'est bon les poireaux, en soupe avec des pommes de terre
Il passe trop vite ce chapitre
Vi, c'est ça que je regrette, tu écris magnifiquement bien, tu arrives à me faire rentrer complètement dans l'histoire mais... C'est trop rapide !
Bon, sur que si tu n'aime pas les descriptions, tu ne vas pas en rajouter, cependant... ca donnerait à tes lecteurs avides un peu plus de pain à se mettre sous la dent
Pareil pour l'Auberge, on sait qu'elle est miteuse, mais rien d'autre, ni l'ambiance, la musique, les odeurs, la population...
Vala vala
Donc maintenant Alain apsse sous le contrôle de la nièce de l'Empereur... Ca promet !
(snif, pourquoi ils ne peuvent pas faire des bébééééés...)
NB : vive les vacances !
Merci pour ce nouveau chapitre !
EDIT : j'ai du mal avec sang-mélé, vu que je lis plutot vite, je dois lire de manière plus "globale" qu'autre chose, donc les mots compliqués, ou inconnus.. ben... je les zappe, ou j'integre les lettres visuellement, ce qui fait par exemple que je ne sais ni prononcer ni ecrire le terme TAR en toutes lettres, je sais seulement le reconnaitre.
Donc des termes compliqués, à l'écran qui plus est... C'est comme un texte tout plein de fautes d'orthographe, je n'arrive pas à le lire
Mais alors quelle action ! Je ne m'attendais pas du tout à ça, sauf au moment où la Primaria est entrée dans la taverne. C'est dommage que ça soit passé si vite, j'ai vraiment aimé.
Donc voilà, très bon chapitre, mais beaucoup, beaucoup trop court.
En même temps, ça m'encourage encore plus à vouloir la suite.
Très beau chapitre, vraiment.
Il est plus long que le précedent, et je crois que jusque là c'est l'un de mes préférés. Le dernier passage entre Alexandre et Stéphane est vraiment chouette, j'ai hâte de lire son arrivée à la capitale.
J'aime bien le passage avec la mimine dans les bouclettes
J'aime bien aussi.
Donc voilà, encore bravo, et j'espère que le 10 arrivera aussi vite.
Chevalier un jour, Chevalier toujours ! Montjoie Saint Denis et Tutti Quanti !
Fin des vacances mercredi, mais j'essaierai d'écrire le chap. 10 d'ici là. J'ai un tas de copies à corriger, ce que je n'ai pas eu encore le courage de faire
Je sens que je vais reprendre la série des "vraiment très bien", mon tampon pour les Chroniques. Bon, pour l'instant je les préfère toujours, et nettement, mais ce chapitre en particulier est...vraiment très bien.
Les choses se mettent en forme, j'ai hâte de savoir ce qu'il va se passer durant cette guerre, bref, je suis curieuse de la suite. Et j'ai bien aimé la petite scène de massage.
Chevalier un jour, Chevalier toujours ! Montjoie Saint Denis et Tutti Quanti !
Merci. j'ai fait un portrait au crayon d'Alain, je compte en faire un de Stal, j'essaierai de les scanner à l'école et de les envoyer de là bas à Karion.
Chevalier un jour, Chevalier toujours ! Montjoie Saint Denis et Tutti Quanti !
Je suis en train de l'écrire mais comme j'ai repris le boulot, j'ai moins de temps et j'ai des problèmes de santé qui me fatiguent; alors, il faudra se montrer un peu plus patient
Un peu plus patientes, Aelghir, tu vois bien que tu es lu majoritairement par des filles.
En francais le masculin l'emporte sur le feminin ... du moins en grammaire...
Et ce n'est pas parce que je ne fais pas de critiques que je ne lis pas...
Donc l'accord au feminin n'est pas a faire dans ton post la miss ^^
J'aime beaucoup ces chapitres aussi...(Caldou, ou comment faire des critiques pour ne rien dire ^^)
Chevalier un jour, Chevalier toujours ! Montjoie Saint Denis et Tutti Quanti !
c'est un problème que j'ai depuis longtemps (depuis l'âge de 13 ans) mais qui s'aggrave et qui concerne les tendons et les ligaments. Jusqu'à maintenant c'était seulement les mains, mais depuis août, j'ai une tendinite aux deux coudes et je commence à avoir mal aux épaules. Le plus pénible c'est la douleur. Conduire et pourtant j'aime ça ! écrire au tableau ! et je ne peux pas porter grand chose ! mais vous voyez, je peux continuer à taper, alors ce n'est pas grave !
Chevalier un jour, Chevalier toujours ! Montjoie Saint Denis et Tutti Quanti !
6 pages, ça avance doucettement. Vous l'aurez demain sans doute. N'hésitez pas à me suggérer des améliorations car celui-là je ne le sens pas trop, trop.
Chevalier un jour, Chevalier toujours ! Montjoie Saint Denis et Tutti Quanti !
AYE, je viens de le terminer, je le relirai demain asque là, je vais faire dormi mes yeux qui sont fatigués, le reste aussi tailleur ( j'ai des poches sous les yeux )
Alors alors. Ben je sais pas trop en fait.
Il manque quelque chose, un peu d'intensité, mais je ne saisi pas vraiment d'où ça vient. Déjà, tu devrais peut-être revoir tes phrases, il y en a qui sont beaucoup trop longues, et sans aucune virgule, ça manque d'un peu de fluidité. Je trouve que le début, en particulier, est un peu maladroit, c'est dommage parce que ça décrit quand même des évènements importants, même si pas vitales au déroulement de l'histoire.
Un manque d'inspiration momentané peut-être ? Ca arrive même aux meilleurs.
La fin est sympa par contre.
Bref, j'aime bien, mais il m'a moins plu que les précédents. Tu devrais peut-être le revoir.
Joanos c'est Alain et Tarik c'est l'autre, et c'est les Handell il me semble.
Je confirme, les marais sont bien décrits, mais j'avoue que pour le reste il me manque quelque chose. Désolée.
Peut-être que c'est mon état d'esprit sinon, ou ta remarque ("celui-là je ne le sens pas trop, trop.") qui m'ont fait partir sur de mauvaises impressions. Je le relirai demain.
ps: ah oui et t'a écris Joanaos quelques part, au début.
edit : Je maintiens au moins qu'il faudrait rajouter quelques virgules, ça gagnerait en fluidité je pense. Enfin, après moi je dis ça, hein, c'est toi l'écrivain.
Chevalier un jour, Chevalier toujours ! Montjoie Saint Denis et Tutti Quanti !
Si je demande des avis, c'est pour améliorer. je suis l'écrivain, vous êtes les lectrices (et les lecteurs ) je tiens donc compte de vos remarques. Je m'en occupe après-midi.
Où çà, un mp ? vois pas ...
Ah si, j'ai vu en allant dans mes messages mais je ne peux pas le lire parce qu'il n(y a pas de sujet
Mais si, il y a un sujet, le point.
Bon, tu sais quoi je vais te le renvoyer avec un sujet plus long, voilà.^^
Que d'histoires pour un mp même pas important.
La bataille de la Seimora mit la coalition rebelle en déroute.
Les trois ducs rebelles commirent l’erreur d’affronter l’armée
répétition.
A part ça, vraiment bravo.
Ce début-là m'a tout de suite mis dans l'ambiance de la bataille passée, et dans l'atmosphère que tu donnes au chapitre. Je trouve que les explications sur les ducs rebelles sont bien placées, et que tout est beaucoup plus fluide.
Du coup, le retour plus ciblé sur Stal et Joanos me plaît mieux, ainsi que tout le reste du chapitre. Le combat "surprise" contre les rebelles est vraiment bien rendu, ainsi que la descrition des marais.
En plus il est assez long.
Doublement bravo sur ce coup-là. Très beau chapitre.
Appelez moi <a href=http://www.lepetitprince.com/fr/>Prince</a>
Au début, je dois dire que je n'accrochais pas vraiment a ton nouveau roman!
Mais je me suis repris et j'ai eu une très agréable surprise en lisant la suite!
De chapitre en chapitre l'histoire s'améliore, et j'aime assez l'image des gardes voilés de blanc.
Chevalier un jour, Chevalier toujours ! Montjoie Saint Denis et Tutti Quanti !
Non, non, t'inquiète, c'est juste une question de disponibilité à plusieurs niveaux. D'ailleurs, le règne de l'esclave est juste en sommeil. Bientôt les vacances donc je pourrai mettre la main au clavier.
Chevalier un jour, Chevalier toujours ! Montjoie Saint Denis et Tutti Quanti !
Ce2 29 élèves depuis 9 ans.
Mais j'ai enseigné dans tous les niveaux au cours de ma carrière sauf en moyenne section de maternelle. j'aime beaucoup le CM2 intellectuellement mais les élèves de CM2 sont de plus en plus difficile, rejetant l'autorité et se prenant pour des petits chefs que je préfère le Ce2 où ils sont encore très attachants. En plus, en Histoire, le programme me botte !
Ca fait 12 ans que je suis dans la même école, avant, j'ai pas mal circulé.
Chevalier un jour, Chevalier toujours ! Montjoie Saint Denis et Tutti Quanti !
Et j'espère que le chapitre suivant arrivera plus vite que celui-là.
Pas sûr, pas sûr du tout, ô lectrice impatiente,
Ecrivain amateur, je ne vis de mes rentes,
Il me faut enseigner, préparer, corriger
Tout cela prend du temps, de l'énergie. Pigé ?
En tout cas, je tenais à te faire un pour te remercier d'écrire tout ça. J'accroche vraiment, et si j'étais une maison d'eddition, je te sauterais dessus (aucun commentaire, ac ce que Menoly m'a fait comme coup je suis passablement refroidie .
au Conteur en passant.)
Moi je dis un grand pour Ghigir !!!
L'attente en vallait vraiment le coup ! Je ne sais pas si c'est parce que ça a mis si longtemps, mais j'ai pris énormément de plaisir à lire ce chapitre. Il est vraiment très bien écrit.
La description du combat de Joanos, et le tout début sont des passages que j'aime particulièrement.
Donc encore bravo, et j'espère que la suit ne tardera pas trop.
Y'a juste ça :
Il se raidit à peine car il savait l’étreinte amicale, ayant entendu le pas vif d’Orlan Pritt gravissant l’escalier derrière lui
Ca m'a plu, avec de belles descriptions des engins, des lieux, des personnes ! PAr exemples je n'avais aps encore imprimé que l'autre Jdianne avait les cheveux courts... ALors que tu l'avais dit
Manque un peut-être un peu de bruit/odeur, m'enfin, ce n'est qu'un détail ^__^
Chevalier un jour, Chevalier toujours ! Montjoie Saint Denis et Tutti Quanti !
En fait, je ne sais pas encore. Stal, je ne pense pas... Alex, pourquoi pas ? Alain-Lionello-Joanos, ça dépendra de l'évolution de l'histoire, je n'ai pas encore décidé, mais il va salement morfler, ça c'est sûr !!!
Chevalier un jour, Chevalier toujours ! Montjoie Saint Denis et Tutti Quanti !
Chapitre quatorze : un peu plus d'une page écrite. pas eu le temps d'en écrire plus car randonnée ce jour ! dans une semaine, les vacances, ça devrait avancer plus vite, d'autant que je tiens la trame du chapitre.
Chevalier un jour, Chevalier toujours ! Montjoie Saint Denis et Tutti Quanti !
Promis, demain, je termine le chapitre. Il sera pluscourt que le précédent, c'est plus un chapitre de transition. J'ai hésité un peu au sujet du point de vue de ce chapitre entre deux personnages, alors j'ai coupé la poire en deux et commencé avec l'un pour terminer avec l'autre.
Désolé, mon week end a été très occupé.
Chevalier un jour, Chevalier toujours ! Montjoie Saint Denis et Tutti Quanti !
Juste pour dire que j'ai écrit 4 pages du chapitre suivant. Ca n'avance pas trop vite parce que 1) Je dors [faut récupérer du long trimestre de quatre mois ], 2) je lis [Le banni de Recluce 1,2 et 3 de Modesit] et 3) je suis aussi sur le Forum !
Chevalier un jour, Chevalier toujours ! Montjoie Saint Denis et Tutti Quanti !
Alex se rapproche peu à peu d'Alain, il va sûrement se passer quelque chose de fort
Stal est accro à Alain mais il y a l'Interdit qui le conditionne.
Voilà Vella
Pourvoyeuse-de-Vent Nul ne se connaît tant qu'il n'a pas souffert
Bon j'ai rattrapé mon retard dans les chapitres (du 8 au 13 ya quand même au moins 48 pages sous word ) et ça me plaît toujours autant a part pour le perso d'Alain que j'aime de moins en moins mais heureusement celui de la Primaria compense! Sinon les Handells m'ont beaucoup fait penser aux Aiels par certains côtés
En tout cas j'ai hâte d'assister à l'enfreinte de l'Interdiction (comme tout le monde )
Je suis donc la seule à vouloir que l'interdiction reste respectée ? C'est chouette de voir une femme puissante qui est accro à l'un de ses serviteurs.
Par contre, comment peux-tu ne pas aimer Alain ? Il est extra.
Pourvoyeuse-de-Vent Nul ne se connaît tant qu'il n'a pas souffert
J'ai lu le dernier chapitre, il m'a bien plu. Tu as une richesse de vocabulaire dans tes phrases qui m'épate toujours Tes duels sont également très bien décrits, ça fait spécialiste sauf que j'ai beaucoup de mal à m'imaginer la scène alors au bout d'un moment ça m'ennuie et j'accélère Par exemple le dernier combat je l'ai trouvé trop lourd. Et certaines phrases comme
Main droite sur la poignée, main gauche sur la lame,
Je vois pas l'utilité de mettre la main sur la lame
Sinon il semble que le petit Alain a eu un début d'humanisme mais ça s'est vite arrêté Et je trouve toujours qu'il joue les gros durs en plus d'être d'une cruauté singulière; ben oui, quand il demande à la Primaria de tuer tous les hommes de la ville c'est assez monstrueux de sa part A la limite je peux accepter le côté sanguinaire de Destir mais Alain est le héros quand même!
Ben, on reproche toujours à Aeghir de faire des héros parfaits, et toi tu lui dis le contraire.
C'est vrai que c'est cruel, mais c'est un côté du personnage, et c'est aussi parce que c'est la guerre. Il y a beaucoup d'ombre en lui, j'aime bien.
Chevalier un jour, Chevalier toujours ! Montjoie Saint Denis et Tutti Quanti !
En escrime médiévale, dans les techniques à courte distance et selon la garde utilisée,l'épée est tenue la main droite sur la poignée et la gauche sur la lame, parfois même les deux mains sur la lame.
Pourvoyeuse-de-Vent Nul ne se connaît tant qu'il n'a pas souffert
Mouais, de ce côté-là on est peut-être censé le plaindre mais je n'arrive pas à plaindre un fils de duc qui a malgré tout eu une enfance plus aisée que beaucoup d'autres
Chevalier un jour, Chevalier toujours ! Montjoie Saint Denis et Tutti Quanti !
C'est ton opinion et tu as tout à fait le droit de penser ainsi. ce n'est pas à moi de dire : amez ou n'aimez pas tel presonnage.
Il faut tenir compte du contexte médiéviste de l'histoire. Les sentiments et les vues de l'époque diffèrent des nôtres. Les hommes attachaient moins de prix à la vie et à l'individu.
Pourvoyeuse-de-Vent Nul ne se connaît tant qu'il n'a pas souffert
Encore heureux que tu ne nous imposes pas d'aimer tes personnages!
Les sentiments et les vues de l'époque diffèrent des nôtres. Les hommes attachaient moins de prix à la vie et à l'individu.
Peut-être mais pour moi la vie c'est sacré Et que le héros en personne se permette d'en faire ce qu'il veut, pas de la sienne mais de celle des autres, ça m'énerve! Enfin j'attends quand même la suite avec impatience parce que, ce cher Alain mis de côté, j'ai toujours du plaisir à lire ton roman
Chevalier un jour, Chevalier toujours ! Montjoie Saint Denis et Tutti Quanti !
Moi, je l'aime bien Alain encore heureux.
Pinaise ! Vous voulez des héros pas parfaits, je vous en ponds deux qui sont loin de l'être Jaèhl et Alain et vous vous plaignez !!!!
Je remarque qu'Owyn a les mêmes affinités que moi avec les perso
Pour autant, je ne dédaigne pas mes autres lectrices et lecteurs, hein !
Bon, ce n'est pas tout,voilà donc le chapitre seize (15 pages format A5. Je sais maintenant comment estimer le nombre de pages en format livre Le nombre de caractères divisé par 1800. Ca fait donc environ 190 pages déjà écrites)
C'est donc la fin de la guerre contre les rebelles vue du côté de Stal.( J'ai fait plus court pour les combats ) Mais ce n'est pas la fin de l'histoire, loin de là. Une autre guerre attend les héros, bien plus personnelle et tragique avec des ennemis qu'ils ne pourront pas combattre.
Chevalier un jour, Chevalier toujours ! Montjoie Saint Denis et Tutti Quanti !
Dans le chapitre précédent, ils ne sont pas dans le même duché, ils se trouvent plus au nord et en altitude. c'est pour cela que le temps n'est pas le même.
pour les émotions et les sentiments, je m'immerge dans les perso et je me mets en situation. C'est parfois assez éprouvant.
Par exemple, dans le chapitre 17, un perso est tellement sous pression qu'il se mord une phalange. Eh ben, ça fait mal !
Chevalier un jour, Chevalier toujours ! Montjoie Saint Denis et Tutti Quanti !
Et voici le chapitre 17 avec un beau coup de théâtre et plein de suspense et d'interrogations pour les chapitres à venir.
Mais comme c'est aujourd'hui le dernier jour des vacances, ne vous attendez pas à avoir du texte à ce rythme là, hein ! Parce que 15 900 caractères ( 9 pages A5 ) en un jour, ce n'est pas tous les jours possible.
Chevalier un jour, Chevalier toujours ! Montjoie Saint Denis et Tutti Quanti !
La suite de l'histoire découle de cette découverte, il ne peut pas rester tout le temps sous son voile et (presque) filer le parfait amour avec Stal, quand même sinon ça devient un truc à l'eau de rose Berk Berk Berk et je ne mériterais plus ma réputation.
Chevalier un jour, Chevalier toujours ! Montjoie Saint Denis et Tutti Quanti !
T'en fais pas, je vais ralentir le rythme vu que les vacances sont terminées et puis j'ai un opéra à monter avec mes élèves et une grosse expo à organiser sur l'Afrique, donc l'écriture va passer un peu au second plan mais pas cesser non plus quand même !
Chevalier un jour, Chevalier toujours ! Montjoie Saint Denis et Tutti Quanti !
RHAAAAA!!!!!
Mais c'est pas possible d'arrêter un chapitre à ce moment précis!......si?
SI, SI Ca s'appelle le suspense.
Va falloir attendre un peu la suite, mon petit, l'école ayant repris, j'ai donc beaucoup moins de temps pour écrire. Mais je peux déjà t'annoncer que SPOILER oups désolé
C'es tcomme les feuilletons dans les journaux au XIX siècle, avec Dumas, Féval ou Balzac... La suite au prochain numéro.
Pourvoyeuse-de-Vent Nul ne se connaît tant qu'il n'a pas souffert
Pinaise ! Vous voulez des héros pas parfaits, je vous en ponds deux qui sont loin de l'être Jaèhl et Alain et vous vous plaignez !!!!
C'est vrai qu'au fond je ne suis pas très bien placée pour parler vu la nature de certains personnages de mon invention. C'est juste mon humanisme qui a été choqué et surtout qu'il n'y ait aucune justification mais je crois que j'ai passé le choc et avec le recul Alain n'est pas si déplaisant
Maintenant je vais rattraper mon retard ce week end j'espère
Bon voilà j'ai enfin pris le temps de commencer à lire Desdichado!
Je n'ai lu que les trois premiers chapitres mais je voulais te faire part de mes premières impressions:
ca c'est pour la critique émotionnelle, on va dire, parce que qu'il ne faut pas la négliger
J'ai aimé surtout les personnages. Que ce soit Alain ou Stéphane en passant par leur mère. Et surtout leur souffrance qui les unit et les éloigne en même temps.
Sinon le seul "défaut" pour l'instant c'est la longueur de certaines phrases quand tu fais des déscriptions.
exemple :
L’été s’en était définitivement allé, chassé par le vent aigre venu des montagnes comme bien s’en rendaient compte les trois cavaliers dont l’âpre bise malmenait les longues chevelures sous les chapeaux de cuir et mordait les visages.
J'ai du relire la phrase deux fois avant de bien la comprendre. Et il y en a d'autres du même genre dans lesquelles il manque de la ponctuation pour faciliter la lecture.
Voilà pour l'instant mes premiers sentiments ...
ps: désolée si on t'as déjà fait ces remarques mais j'ai pas voulu lire les commentaires des autres pour pas ma spoilier toute seule
edit : j'oublais : isbahals et daîmons ce sont des divinités?
Parce que j'aurais mis des majuscules quand tu les emploies.
Ouais, enfin, finalement les commentaires, y'en a pas tant que ça. J'ai particulièreent aimé le chapitre 17, la fin comme le début, et je te trouve cruel de t'arrêter à ce moment là. Vala.
Ils sont bien, mais ne collent pas à ma vision des personnages, encore une fois.
Alors ce chapitre. wow.
Dans celui-là, en particulier le début, je retrouve vraiment l'intensité des chroniques. La ... cruauté des sentiments du début, toute cette souffrance. Le tout début, la scène entre Alexandre et Stal, en particulier.
Vraiment bravo pour ce chapitre, c'est pour moi l'un des meilleurs.
L'avantage que je vois à recevoir les chapitres au compte-goutte, c'est que ça développe l'imagination.
Je me fais de ces films pour imaginer ce qui va se passer...
Chevalier un jour, Chevalier toujours ! Montjoie Saint Denis et Tutti Quanti !
C'est fait, vilaines !
Mon chapitre prend tournure, 7 pages A4 et il me reste à écrire une scène entre Stal et Alex.
Pour Toto, je ne pensais pas lui faire subir des avanies mais pourquoi pas ?
Pas tout de suite, plutôt vers la fin de l'histoire.
Dis, comment tu fais ? Tu as une trame précise dans ta tête, où est-ce que tu inventes au fur et à mesure, ou restes-tu entre les deux, avec des idées globales, puis selon ce que tu fais tu avises ?
Tu écris les idées d'abord, les noms des perso, leur caractères, des plans des lieux ?
Chevalier un jour, Chevalier toujours ! Montjoie Saint Denis et Tutti Quanti !
j'ai l'histoire en tête avec la trame principale et ensuite je tisse les évènements au fur et à mesure de l'écriture. Ainsi, il y a des perso que je n'avais pas prévus qui apparaissent (Oj Tassar par exemple).
Je ne suis pas quelqu'un d'organisé donc je ne fais pas vraiment de truc à l'avance, tout me vient au fur et à mesure, surtout pour les personnages. Parfois je dessine des cartes mais je les perds !
Alors là, magnifique chapitre. Wow.
Toute la scène entre Alain et Tollodian est très belle, de même que celle entre Alexandre et Stal. Je crois bien que c'est mon chapitre préféré jusque là, ou du moins l'un d'eux.
Ah dans ce chapitre, sûr qu'il prend de l'ampleur. Il m'a bien plu dans le rôle du méchant, là.
Mais je préfère quand même Alain en héros, hein. Pas toucher.
Attendez le chapitre suivant, vous allez encore plus moins l'aimer !
Très beau chapitre, wow.
La scène est intense, vraiment désespérée, et à mesure que ça avance, je me demande de plus en plus comment ça va bien pouvoir se passer. Car si je n'arrive vraiment pas à m'imaginer Alain mourant sur un bûcher, je ne vois pas non plus comment il pourrait y échapper. Raaah.
Chevalier un jour, Chevalier toujours ! Montjoie Saint Denis et Tutti Quanti !
Bon, chapitre vingt-et-un.
Les choses se précisent dans un sens comme dans l'autre.
J'ouvre un nouveau topic pour que ce ne soit pas trop lourd, je privatiserai au prochain chapitre.
Des tremblements soudains semblent s'emparer des mains de Caldazar. Ce tremblement intempestif malvenu étant apparu suite à la visite du topic (privé) des deux prochains chapitres d'une histoire passionnante. L'on peut noter l'évolution des convulsions à mesure du passage du temps... Les yeux s'éxorbitent et semblent vouloir mener une vie propre. L'individu observé s'accroche à son ordinateur, semblant chercher à établir une communication. Il menace de mordre dès que l'on approche pour tenter de comprendre la source de son problème. Tout ce que l'on peut tirer de lui sont une suite de grognements sans queue ni tête qui seront fidèlement retranscrits ici même :
CouicargggghhhhglglglglbllllGhighiiiiii[small] [ici, le son semble se transformer en râle informe] [/small]iiirVouloirMoiLireSuITeHIstoire.
Nous avons donc fait appel à un spécialiste du décriptage qui après de longs mois de travail nous a remis cette transcription en une langue plus académique : "Pourriez-vous, cher Ghighir, avoir l'extrème obligeance de m'autoriser l'accès à la suite de votre histoire ?
En vous remerciant d'avance
blblblblbl"
Chevalier un jour, Chevalier toujours ! Montjoie Saint Denis et Tutti Quanti !
Désolé, mes canards, mais même moi je ne peux accéder au topic
J'ai pourtant fait les bonnes manoeuvres (je crois) pour autoriser les mêmes lecteurs sur le sujet privé et COUIC !
J'en ai appelé à ZAC, je vais en appeler à d'autres s'il n'est pas dans le coin (coin)
Edit : si l'appel au secours ne donne rien, je créerai un nouveau topic mais demain parce que l'orage s'approche et je vais éteindre l'ordi !
Je ne sais pas ce qui c'est passé Aelghir, il y avait toute une liste d'autorisations mais aucun nom en face. Si tu as un autre problème, tu as juste à crier ou tu envois le Lige-signal.
Tollodian avait suggéré de lui briser les doigts mais il avait sombré dans l’inconscience avant que le bourreau ne mette la menace à exécution. Elles étaient donc restées intactes
elles ? les doigts ?
Très bon chapitre sinon, mais c'est la suite que je veuuuuux.
Pourvoyeuse-de-Vent Nul ne se connaît tant qu'il n'a pas souffert
Pauvre Alain! à croire que ça te plaît de le faire souffrir, ma parole! c'est pas humain Mais ça fait quand même palisir de voir qu'il y a quelques personnes pour vouloir le sauver. J'ai hâte de voir ce que va donner le procès! j'espère que tu feras intervenir la duchesse un moment ou un autre parce qu'en fin de compte tout est arrivé à cause d'elle. J'aimerais bien qu'elle se retrouve devant Alain au moins une fois! Mais Stal ne va sûrement pas laisser son bien-aimé se faire cramer, hein?
Chevalier un jour, Chevalier toujours ! Montjoie Saint Denis et Tutti Quanti !
La duchesse ? je ne sais pas trop encore. Il faudra bien qu'elle morfle, mais les méchants ne sont pas toujours punis, malheureusement.
Stal va intervenir, Alain ne va pas brûler mais il n'a pas fini de souffrir !
Pour le procès, je le décris d'une façon un peu particulière, vous me direz ensuite si ça vous plaît, sinon je le recommencerai.
Pourvoyeuse-de-Vent Nul ne se connaît tant qu'il n'a pas souffert
Comment dire, c'est... inattendu, bien sûr, et magnifique. Le mot va te paraître mal choisi étant donné les évènements; disons que c'est vraiment poignant. Je ne m'attendais pas à ça mais ça ne m'a pas déroutée, et même ça rend beaucoup mieux que d'habitude, c'est bizarre. Sans doute parce que jusqu'ici on avait tout d'un point de vue extérieur, et que d'un coup, sans prévenir, on se retrouve projeté dans le héros. ça m'a beaucoup plus touchée d'entendre son calvaire de sa bouche, de voir par ses yeux, que d'assister à ses tortures de loin (même si ça reste cruel). J'ai failli trouver ça long vers le milieu mais ça a tout de suite repris quand Alain a demandé à son père de le regarder... Alain, je ne l'avais jamais vraiment aimé jusqu'à maintenant, alors qu'il y avait tout pour le plaindre ; à présent j'aurais presque mal pour lui (presque hein, je suis pas sensible à ce point ) N'empêche, l'originalité m'a favorablement surprise et donne beaucoup plus de "relief" aux souffrances d'Alain. Mais ce n'est que mon point de vue En tout cas ne change rien, c'est parfait et j'ai hâte de voir la suite (ah oui, si tu pouvais rajouter "chapitre 23" au début ça clarifierait )
Et un petit rien pour terminer:
vous ne pourrez jamais certifié que j’étais coupable…
certifier s'il te plaît
Oh ! Hisbahals !
Il me semblait que c'était "isbahals" non?
Vala, je suis une fois de plus impressionnée par la qualité de ton style, maître Aelghir
edit: je me suis un peu répétée dans mes phrases; j'espère que c'est clair
Chevalier un jour, Chevalier toujours ! Montjoie Saint Denis et Tutti Quanti !
C'est corrigé.
Merci beaucoup pour ton commentaire. Comme l'écriture de ce chapitre est particulière, je ne savais pas s'il allait plaire.
Mais je n'écrirai pas la suite dans le même style. Je l'ai réservé pour le procès parce que je ne voyais pas comment le raconter de l'extérieur. Je voulais un ressenti plus intime et donc plus fort. C'est assez éprouvant à écrire, non pas que j'ai dû me creuser la tête, c'est venu assez facilement mais je me suis mis à la place du personnage. Les yeux parfois fermés, les mains agrippées aux barreaux, la respiration plus courte, essayant de ressentir les souffrances.
Oh lala, c'est complètement... hypnotisant.
Pas une seule seconde je n'ai réussi à décoller les yeux de l'écran tellement j'étais prise dans... dans Alain. Se retrouver à sa place comme ça, connaître ses souffrances physiques et psychiques comme si elles étaient nôtres, c'est terriblement intense. Je vais y penser un bon moment.
Le style est parfaitement approprié (et aussi très inattendu, quand on compare au reste de l'histoire, mais ça prend vite et bien. ), je dirais vraiment proche de ce que peut être la pensée humaine dans ce genre de situation. Des phrases brèves, parfois sans relations les unes par rapport aux autres, désordonnés. Ca défile, ça défile, ça défile, je me demandais presque si ça allait s'arrêter à un moment. Ce récit à la première personne me rappelle l'intensité des Chroniques, j'en déduis que tu étais vraiment impliqué dans le personnage. C'en est presque terrifiant.
Bon, je m'arrête. Très beau chapitre, tu l'auras compris, qui risque de marquer vraiment le roman même si ce n'est pas vraiment celui ou tu développes le plus ton style en lui-même, quoique...
Chevalier un jour, Chevalier toujours ! Montjoie Saint Denis et Tutti Quanti !
Merci.
La suite ?
Quand elle sera écrite !
Mais j'ai trois autres romans en gestation dans ma tête auxauels je dois dire :
" Mes petiots, arrêtez de vous exciter comme ça, j'en ai encore un à terminer"
Chevalier un jour, Chevalier toujours ! Montjoie Saint Denis et Tutti Quanti !
En tous cas, j'ai déjà les titres et le ou les perso principaux.
Donc, dans l'ordre d'écriture à moins que je fasse un chapitre de chaque à la fois ou selon inspiration !!! Je verrai lorsque Desdichado sera terminé car il est dans sa dernière partie : l'évasion et l'épilogue.
Plus bel oiseau de proie... (Milan, Lance (Lancelot))
Le poison de la Fedeltà (Aurémon Ser Volkain, Robin Ser Alrick [de son vrai nom Quès Dih'S Rouh'al]
Ma Gloire Et Mon Service (Hugues de Cyrille)
Que des héros, pas d'héroïne ( je suis clean moi ). Alors, mesdemoiselles ne me prenez pas la tête. Ceci dit, il y aura des femmes et certaines de caractère !
C'est terrible ce que tu me demandes la Ghighir...
C'est sur, ca change... mais pas pour moins bien, je te l'assure.
Mais (car il y a un mois de mai) dans ce procès aussi il y a des moments d'immobilismes, d'attentes... comme l'entrée des juges ou la délibération par exemple...
Or (et ce qui suis n'est que mon *presque* humble avis), ce chapitre me parait trop... monolithique on va dire...
Des pauses, signfier les temps de silence non seulement par des points de suspension mais aussi par des retours à la ligne... Des trucs comme ca ^^
Pourvoyeuse-de-Vent Nul ne se connaît tant qu'il n'a pas souffert
Oooh non Ghighir! Aucune femme pour héroïne! je sais pas si je vais tenir le coup! c'est bien parce que c'est toi Mais quand même... Je sais que j'ai tendance pour ma part à mettre des héroïnes mais en ce moment j'écris un roman ou le narrateur est un garçon et ça m'amuse beaucoup! Est-ce que tu as peur de ne pas connaître assez la psychologie féminine, ou alors tu préfères les mondes de mâââles? j'aimerais savoir... en tout cas j'aime bien les titres et les noms de perso, à part pour le troisième (ouh je sais pas pourquoi mais je le sens pas du tout celui-là! tu pourrais pas trouver mieux? )
Alors, mesdemoiselles ne me prenez pas la tête.
Désolée c'était plus fort que moi
Ceci dit, il y aura des femmes et certaines de caractère !
ça n'intéresserait pas grand monde sinon, malgré ton talent
edit: au fait, toujours pas de réponse d'éditeurs?
Chevalier un jour, Chevalier toujours ! Montjoie Saint Denis et Tutti Quanti !
On est en apnée pendant toute la lecture.
Merci. C'est l'impression que je voulais donner. C'est comme ça que je l'ai écrit (pas tout le temps quand même sinon COUIC ! ) Des pensées qui jaillissent qui défilent qui se heurtent qui se mélangent qui pleurent qui crient qui souffrent qui s'accélèrent qui ne sont plus qu'émotions.
Je veux qu'on soit dans la tête du personnage, dans l'instant et dans l'événement. En tous cas, c'est comme ça que j'ai écrit. J'étais Alain.
C'est aussi pour cela que j'ai choisi de ne pas faire de passage à la ligne.
Chevalier un jour, Chevalier toujours ! Montjoie Saint Denis et Tutti Quanti !
Désolé pour mes lecteurs mais malgré les vacances, ça n'avance pas pour la bonne raison que la bronchite m'a beaucoup fatigué et donc les idées (et même l'envie) ne viennent pas facilement.
Chevalier un jour, Chevalier toujours ! Montjoie Saint Denis et Tutti Quanti !
Mes canards, pour vous faire patienter, je vous envoie le premier chapitre de
"Ma Gloire et Mon Service" mais ne craignez rien, dès que j'irai mieux, je continuerai Desdichado.
Pourvoyeuse-de-Vent Nul ne se connaît tant qu'il n'a pas souffert
Je le lirai, promis, mais par pitié change le titre! peut-être que ça ne veut pas dire grand chose mais franchement ça me donne pas envie de le lire...
Sinon l'histoire promet, ça commence bien pour le héros tiens. J'aime bien jusque là.
Un truc m'a fait bizarre par contre, l'écriture de "Cyrille". Avec lle, je trouve que ça fait féminin, même en nom de famille.^^
le féminin est Cyrielle ( le prénom de l'une de mes filles)
Le prénom d'Eléa aussi.
Je sais bien, mais je voyais ça écrit Cyril, dans mon esprit, c'est sans doute pour ça que ça me fait bizarre.
Enfin moi je disais ça comme ça hein, je te demandais pas de changer.^^
Chevalier un jour, Chevalier toujours ! Montjoie Saint Denis et Tutti Quanti !
C'est de la Fantasy ! Donc on peut mélanger les époques de référence. Par exemple, les personnages vont utiliser des épées mais il y aura aussi des armes à feu. Quant aux Ailes, en fait, j'ai bien l'idée mais je ne sais pas vraiment comment elles fonctionnent. Ca viendra au fil de l'écriture.
Sang-mêlé, bâtard, personnages qui ne savent pas vraiment qui ils sont, c'est vrai que ça me branche vraiment et que je le décline au long de mes histoires. J'espère que ça ne fait pas trop redondant. Quant aux amitiés, enlève les "", SVP, ce sont de vraies amitiés, un sentiment qui est aussi fort que l'amour mais sans le rapport à la chair. C'est aussi quelque chose qui me branche et que j'explore au fil des textes.
J'ai trop l'habitude d'avoir le médiéval comme époque de référence. C'ets pour ca que ca me fait bizarre.
Sinon les guillemets ne sous entendaient pas un rapport avec le sexe mais plutot un amitié amoureuse platonique.(je sais pas si je suis très claire) Parce qu'une amitié aussi forte comme il y a entre tes personnages s'apparente plus à de l'amour qu'à de l'amitié. Enfin pour moi.
Chevalier un jour, Chevalier toujours ! Montjoie Saint Denis et Tutti Quanti !
Bon ! Je vous ai envoyé le début du chapitre 24 de Desdichado. Comme vous le verrez (ou l'avez vu, ça dépend dans quel ordre vous prenez les topics) il n''est pas terminé. mais cela m'incitera à écrire plus vite le reste. Les vacances (et le repos) s'approchant, ça m'y aidera.
Eh bien, le moins qu'on puisse dire c'est que ça fait plaisir de te relire.
Mais maintenant t'as intérêt à vite écrire la suite, que tu as réveillé ma faim.
Chevalier un jour, Chevalier toujours ! Montjoie Saint Denis et Tutti Quanti !
Je ne les voyais pas comme ça mais ce n'est pas faux. Bon, je vais profiter de ce mercredi (enfin rien à faire de "sérieux", stages, réunions, boulot) pour avancer le chapitre.
Chevalier un jour, Chevalier toujours ! Montjoie Saint Denis et Tutti Quanti !
Juste pour vous dire que j'ai bientôt terminé le chapitre 24 et que je me rends compte que l'histoire elle-même est bientôt terminée... peut-être un chapitre 25 et un épilogue (ouvert comme j'aime bien les faire, en laissant l'histoire en suspens). Voila...
Chevalier un jour, Chevalier toujours ! Montjoie Saint Denis et Tutti Quanti !
Moins long que les Chroniques mais pas trop court quand même non ? Il va falloir que je comptabilise les acaractères pour estimer le nombre de pages A5
Chevalier un jour, Chevalier toujours ! Montjoie Saint Denis et Tutti Quanti !
Désolé de te dire que ce n'est pas pour bientôt parce que ce n'est qu'un projet à peine formulé avec rien de construit et que d'autres histoires retiennent mon attention, comme le règne de l'esclave à terminer ( Je pense que je m'y mettrai pendant les grandes vacances) et les Ailes par exemple.
Appelez moi <a href=http://www.lepetitprince.com/fr/>Prince</a>
Mais diantre, qu'avais-je fait?
Dans mon inexacte certitude, j'étais ma foi convaincu d'avoir lu ce chapitre, et voila qu'arrive comme un cadeau du ciel, une suite non moins enlevante que les précédentes.
L'injustice étant maintenant réparé, je peux maintenant me morfondre dans une attente languissante que je mettrai a profit pour reposer mes méninges, surmené par une dure journée de labeur et d'écriture de post ma foi beaucoup trop élabiré pour mon propre bien!
Chevalier un jour, Chevalier toujours ! Montjoie Saint Denis et Tutti Quanti !
Ouala ! Nenfin ! Mes canards ! Qui c'est qui a dit que j'écrivais trop vite ? Plus d'un mois entre les deux derniers chapitres. J'espère que ça valait le coup d'attendre. Bonne lecture.
J'aime bien la fin !
Pourvoyeuse-de-Vent Nul ne se connaît tant qu'il n'a pas souffert
Aah depuis le temps que j'étais pas passé par ici, voilà que le sieur Aelghir s'est décidé à nous dévoilà la fin de son roman Eh ben je vais m'y mettre de ce pas, je te dirai ce que j'en pense
ignorait le passage de trois Humains et d’un Jdianne
Sauf changements radicaux dans la trame de l'histoire, j'aurais mis d'unE Jdianne
(c'est lors de la traversée du village ^^)
Pleins de bonnes choses la dedans ^^
Mais à mon pas-si-humble avis, il manque un petit truc à la narration, surtout à la fin, qui m'a paru ... "conventionnelle" ou manquant un peu de ... souffle on va dire.
(oui, c'est pas très clair ce que je veux dire... mais j'ai du mal a exprimer le "ressenti" ^^)
Ah nan, je dois vraiment être trop sensible pour supporter la fin de tes romans, chaque fois je suis toute bouleversifiée. C'est trop beau, et tellement atroce. La dernière phrase, comme toujours...
Le style, ouais c'est vrai que tu as fait mieux, ceci dit, mais je vais pas me plaindre. J'imagine même pas le choc si ç'avait été du Ghighir au sommet de son art.
Encore bravo, et j'attends l'épilogue pour pleurer... ou sourire.
Chevalier un jour, Chevalier toujours ! Montjoie Saint Denis et Tutti Quanti !
Mouais, je suis assez d'accord avec vous. J'ai un peu galéré sur la fin du chapitre. J'avais l'idée mais pas l'enveloppe. Je ne suis pas des plus satisfait de ce que j'ai écrit... je reverrai ce passage plus tard, considérez-le comme une trame.
Pourvoyeuse-de-Vent Nul ne se connaît tant qu'il n'a pas souffert
Aaah dieu merci c'est pas la fin! ya encore plein de trucs à révéler! Mais c'est horrible, comment tu peux faire une chose pareille? Mais c'est vrai que c'est toujours chaud à écrire une fin de roman qui plaise à tout le monde (je dis pas que ça m'a pas plu hein, le style y est toujours )
Franchement, la vérité? Tu es un boss!!!! Je le dis tel que je le pense aelghir, t'es un maître!!!! Putain (escusez ma vulgarité) j'ai kiffé deshidado!!!!!
Est ce que tu peux me donner acces a la suite, je crois que c'est a partir du chapitre 21!!!!
Ouais, mais on a un peu de mal à s'imaginer que tout ce qui fait mal dans la fin du chapitre va miraculeusement se résoudre dans l'épilogue, vois-tu. D'où les commentaires.
Mais enfin bon, je l'attends quand même avec impatience et espoir... qui sait...
edit: ouais, moi j'aime les happy end, ça me fait pleurer.
Chevalier un jour, Chevalier toujours ! Montjoie Saint Denis et Tutti Quanti !
Tu vas pleurer, je te le promets . Ce sera une fin ouverte comme d'hab ! Comme c'est un épilogue, il ne sera pas trop long, vous l'aurez mercredi, je pense
Chevalier un jour, Chevalier toujours ! Montjoie Saint Denis et Tutti Quanti !
Ta ta ta tam !
Voici la fin de l'histoire.
Un happy end quand même, pour une fois !
Et un petit coup de théâtre !
J'aimerai savoir si vous vous y attendiez ?
edit : ceux qui n'ont pas encore lu l'histoire, ce post est plein de spoiler, attention.
A ce que Alain soit en vie ou que Stal soit enceinte ? Un peu j'avoue, mais pas les deux à la fois peut-être.
Ce qui ne m'empêche pas d'être contente ! C'est une fin parfaite pour moi !
Juste un truc, je trouve dommage que tu ne revienne pas du tout sur Stephane et Diane, et sur Aurelia d'Angarran. Et, à la fin, un peu sur Alexandre. D'accord, c'est pas un personnage principal, mais je suis triste pour lui. Il va être tout laissé de côté, même avec Alain aveugle.
Mon dieu mais ce que je suis tendre, j'ai honte.^^
ah oui :
Son pas légèrement inégal trahissait la légère boiterie qui subsistait
Ca fait un peut répétition, quand même.
En bref, très belle fin, j'étais toute joyeuse que ça finisse comme ça pour eux. Mais la toute dernière partie avec l'empereur laisse présager une suite...
Très belle fin, avec une ouverture pour une suite éventuelle.
Une fin heureuse avec beaucoup de poésie. Cela me rappelle un peu la "Nuit sur le mont chauve" : plein de bruit et de fureur (et un cauchemar à jouer pour les musiciens ) avec une fin très douce, pleine d'espoir et de lumière
Pourvoyeuse-de-Vent Nul ne se connaît tant qu'il n'a pas souffert
Je suis pas fan des happy end mais je peux pas m'empêcher d'aimer ça, j'y peux rien! Par contre comme Owyn j'aurais aimé une petite réapparition, même simplement dans un dialogue, de Stéphane et Diane (qu'ils se soient mariés ne m'aurait pas surprise^^) et surtout de la méchante madre qui est quand même la cause de tout ça...
Chevalier un jour, Chevalier toujours ! Montjoie Saint Denis et Tutti Quanti !
A quand la suite ?
Comment voulez-vous que je le sache ???
Cet été peut-être...
Si l'inspiration s'y prête.
Merci pour vos commentaires, je suis content que la fin vous plaise.
C'est vrai que j'ai fait l'impasse sur plusieurs personnages mais l'épilogue est du point de vue de Stal, donc elle ne sait rien en ce qui les concerne.
Quant à Alexandre, ce n'est pas de lui dont elle est amoureuse et même, il l'agacerait plutôt.
On garde ce topic ? Oui ? non ? Oui, oui oui ? Abstinance ? Bon, on garde ce topic. Ah non on ne change pas son vote mademoiselle ! Grr...
Hum. Non rien...
Breeef, tout ça pour dire que j'ai lu le second chapitre des Ailes du... euh... du traître. J'arrive pas à retenir ce titre, grr. Tiens d'ailleurs en y réfléchissant il me fait déjà de la peine. Cyrille, le traître ? Ca va mal se passer ? Nooon.
Ouaip, deuxième chapitre mais j'ai comme l'impression que le personnage a du potentiel. Normal me direz-vous, c'est un perso d'Aelghir. Il me plait déjà (sauf son nom, Hugues, mais bon ça, question de goût), ou du moins il est en bonne voie pour, le vilain. Il va encore me faire souffrir je sens, snif (Carmicheeeeeel ).
Le deuxième chapitre est vraiment sympa. Déjà on en sait un peu plus sur le niveau de modernité du monde -premiers pistolets- et la révélation de ce que sont les fameuses Ailes et vraiment... wow. Toute cette description du mécanisme et de son emploi, l'Anima, etc. m'a vraiment enchantée. J'imagine qu'il y aura manière d'approfondir tout ça au fil du récit. Ca place déjà dans un contexte que j'aime bien en tout cas. Et le fait que l'histoire ne se déroule pas dans un monde bien médieval, même si on y retrouve beaucoup de caractéristiques, apporte une diversité plus qu'appréciable. Les mondes dans lesquels tu places tes persos sont toujours d'une richesse extraordinaire, c'est presque dommage que tu ne les développes pas davantage et que tu te concentres tant sur l'histoire individuelle. Mais c'est un choix. Puis bon, vais pas me plaindre, ou je risque de me retrouver avec un méga chapitre sur la culture du pays alors que je trépigne sur place en attendant de savoir si Cyrille est mort ou je ne sais quoi.
Tain qu'est-ce que je cause moi aujourd'hui. Bon, résumaillons. En gros un personnage central qui promet (l'a quand même pas l'air facile à gérer, le gars, encore un caractériel, tss...), dans un décor plaisant. Que demande le peuple ? Ah ouais, c'est vrai... la suite ?
edit: après relecture, je préfère préciser : non, je n'ai pas bu ni consommé de substances illicites, et c'est pas Shinje qui poste.
Chevalier un jour, Chevalier toujours ! Montjoie Saint Denis et Tutti Quanti !
Merci. Ben évidemment que c'est un caractériel, je n'aime pas les perso lisses, tu sais bien.
Pour les Ailes et l'Anima, je vais développer au fur et à mesure... pas tout d'un coup hein, déjà faut que j'y réfléchisse et que je me rencarde. (Pour les Ailes, je me suis inspiré de Léonard de Vinci et comme je ne savais pas comment les actionner, j'ai imaginé l'Anima.) Dans le prochain, chapitre, vol au-dessus du Détroit, j'approfondirai le concept.
Vint le moment où la forêt céda, de façon presque brutale, place à la steppe
Cette phrase sonne étrangement, je trouve, l'incise fait ressortir "place" sans laisser de lien avec "céda", le rendu est un peu bancal
Il parvint plus vite qu’il n’aurait cru au pied du mur aveugle où seule, se découpait une porte pleine, sans serrure
La premiere virgule casse le rythme.
J'aime beaucoup les descriptions de la fuite et de la forêt, ainsi que les Ailes. Je me posais pas mal de questions à ce sujet
J'apprécie beaucoup l'idée des Avians/Rampants, je ne sais pas si je l'ai déjà dit
As-tu lu Elle qui chevauche les tempêtes ?
Par contre, je me demande s'il ne serait pas mieux de laisser certaines choses de ce monde dans l'ombre, un peu comme dans la Roue du Temps, pour donner plus de mystère/profondeur, plutôt que de nous expliquer en long et en large comment tout fonctionne... Des bribes d'informations, quoi
Chevalier un jour, Chevalier toujours ! Montjoie Saint Denis et Tutti Quanti !
MERCI pour tes corrections Sihaya !
Désolé, Shaevar, mais en ce moment je suis en pleine relecture d'un manuscrit que je dois envoyer à un éditeur alors les Ailes ne volent pas trop... mais j'y pense. Je pars la semaine prochaine en montagne sans connection internet pour 2ou 3 semaines mais avec mon ordi portable. J'en profiterai pour continuer le roman.
Edit : non, je n'ai pas lu Elle qui chevauche les tempêtes
Pour les Ailes, je ne sais même pas comment ça fonctionne, j'invente au fur et à mesure...
Chevalier un jour, Chevalier toujours ! Montjoie Saint Denis et Tutti Quanti !
Coucou d'un revenant : Deux chapitres dont un plutôt long (29 pages livre), je n'ai pas pu faire mieux en 3 semaines parce que j'avais la famille et les amis dans les pattes et que j'ai beaucoup usé de pastels pour faire des portraits de chats et des paysages cévenols.
Des commentaires sur la lecture , svp !
A ce propos toi qui t'y connais, sais-tu combien de signes fait une page de, disons, livre de poche ? Je me demandais ça pour savoir à peu près, devant mes pages Word, combien ça faisait !
Merci d'avance, et si tu peux me mettre en accès sur tes threads, je te lirai avec plaisir !
Chevalier un jour, Chevalier toujours ! Montjoie Saint Denis et Tutti Quanti !
Pour un format livre A5 il faut diviser le nombre de caractères par 1800 pour obtenir approximativement le nombre de pages. Pour le format poche j'ignore !
Les Ailes du Traître sont en lecture libre (pour le moment)
Je t'ouvre Desdichado
Ben il va falloir un peu de temps pour que j'aille au bout. ^^ Pour mon grand malheur, je travaille en corporate finance, avec des horaires de barbarian, mais j'espère m'en taper quelques chapitres par semaine (poster vite fait ça va, lire en ligne c plus chaud ^^). Des premières dizaines de lignes : j'ai pas trouvé de choses choquantes ni côté grammaire/syntaxe ni côté style. Je suis pas fan des prénoms du monde réel, même si leurs dérivés (en changeant une lettre par exemple), ou bien les prénoms rares, trouvent grâce à mes yeux. Un exemple tout con, qui n'aurait pas collé ici, mais qui illustre bien : Alain, j'aime pas, Alaïn ("allein"), j'adorerais.
Je suis pas allé assez loin pour juger de la cohérence de l'univers, mais ça a l'air bien construit. Les persos principaux sont pas caricaturaux, et on s'y attache relativement rapidement (au prorata des pages lues, et par rapport à un roman med/fan en général), ce qui est suffisamment rare (c'est pas Ned Stark, mais c'est beaucoup mieux qu'avec les Louise Cooper).
EDIT : tu prends les caractères avec espace ou sans pour le décompte ? mon prologue ferait entre 22 et 27p, si je compte bien.
Un changement par rapport aux atmospheres de tes autres romans. Sans doute du au niveau technique des Ailes, dont le mécanisme parait a la fois super simple (une simple pensée) et se montre très complexe.
Encore une histoire de plus qui promet des développements forts addictifs ^^
Chevalier un jour, Chevalier toujours ! Montjoie Saint Denis et Tutti Quanti !
J'ai déplacé ton post et je te remercie de tes commentaires
Anoréän 25-08-2006 09:31
hello Aelghir,
je sais pas s'il faut poster là mais bon. je trouve ça vachement bien ! encore une fois, le perso est fouillé, et même si je n'aime toujours pas les noms, le scénar est cool, et la description de l'univers me plaît. j'aurais bien aimé que la prison soit plus décrite mais c un détail.
une suggestion : au début "pour intercéder pour lui", j'aurais mis "en sa faveur" pour alléger la fin de la phrase.
et dans les 2-3 premiers paragraphes, à un endroit, il manque un "y" dans une expression genre "qu'est-ce qu'il "y" pouvait", mais je n'ai pas retrouvé la phrase exacte à la seconde lecture.
je n'ai pas encore terminé de tout lire, mais j'ai davantage envie de suivre celui-là que les autres que j'ai commencés.
OK je savais pas trop où le poster. bon moi les ailes vraiment j'accroche bien. en fait ce roman me fait penser à ceux de mc master bujold, chalion's bane (le fléau de chalion, ed. pocket), et le suivant, dont g plus le nom.
g vu que t'as pas édité le "intercéder pour lui", je maintiens que "en sa faveur", à cet endroit, ça passe mieux, ça coule plus. ^^
enfin, sur le forum "libre" (je crois) tu appelles à contribuer au grimoire, ce que g fait en postant la première partie du chap 1. il y a un temps de latence entre le moment où je poste et la fin de la relecture par mon correcteur attitré, d'où les "edit" en bas de posts, mais sinon, j'espère poster la suite rapidement.
Tiens, une question en passant, puisqu'il y a aussi peu d'activité sur ce forum que dans ma vie sentimentale : est-ce que Hugues est littéralement amoureux de Geoffroy ? C'est peut-être explicite dans la partie que je n'ai pas lue, ou bien je n'ai pas trop compris le début du roman. Mais je me le demande sérieusement.
Chevalier un jour, Chevalier toujours ! Montjoie Saint Denis et Tutti Quanti !
Comme il l'explique plus loin, il s'agit d'une amitié passionnée non pas d'un amour dans le sens où l'aspect charnel entre en compte. Sexuellement parlant, Hugues est hétéro et même plutôt homme à femmes. Mais comme la plupart de mes personnages principaux, il ne connait pas les demi mesures et manque totalement d'équilibre. C'est quelqu'un d'excessif. Je laisse souvent mes personnages masculins frôler la folie ou même y verser. J'espère avoir éclairé ta lanterne.
Edit : je n'ai pas eu le temps de modifier parce que je devais partir 3 jours mais je tiens compte de tes remarques, n'hésite pas à en faire.
J'ai malgré tout l'impression de lire les réflexions d'un personnage réellement amoureux d'un autre ! Sinon, après quelques lectures rapides ailleurs, c'est toujours mon récit préféré.
"- L’Avian Cyrille, annonça le Grand Commandeur, est sorti premier de la promotion avec un total à ses examens de quatre-vingt-huit points.
Un murmure flatteur salua la performance. Le roi se pencha vers le jeune Avian avec un sourire appréciateur.
- Si je me souviens bien, Aide de Camp Cyrille, le maximum est cent. Où avez-vous égaré les deux points qui vous manquent pour atteindre la perfection ? "
entre 88 et 100, je suis pas sûre qu'il n'y ait que deux. T'as pommé un 10 ?
J'ai pas encore fini le chapitre 4, alors je ferai un commentaire plus construit à ce moment-là. Mais en tout cas ça sera vachement positif.
sur les encouragements caldouesques (dieu sait ce qu'il arrivera à me faire faire lui ) je viens ici quérir l'autorisation de lire tes histoires, Sieur Aelghir... mais je ne garantis pas une lecture (et les avis associés) rapides, etant donné que je ne dispose pas d'enormément de temps libre actuellement... à mon plus grand désarroi.
Aelghir, j'ai lu quelques lignes des Ailes Du Traître, et voilà ce que j'en pense :
- Je n'aime pas les prénoms que tu as choisis (désolé !)
- Par contre j'aime bien tes idées, c'est original, bravo !
- Ton style me plaît bien, mais il y a quelques phrases un peu longues qui me gênent un peu, mais sinon j'adhère totalement.
Bon, j'ai -enfin- fini le chapitre 4 des Ailes, désolée de ne pas avoir eu le temps avant.
Et j'ai beaucoup aimé, c'est le moins qu'on puisse dire ! J'ai l'impression que tu as progressé dans la découpe des chapitres, qui me paraissent un peu mieux gérés que dans les Astres par exemple, où certains arrêts étaient un peu maladroits. Là c'est fluide, tu passes très habilement d'une idée à l'autre. Et le retour en arrière dans l'histoire de Cyrille est très bien mené et hautement intéressant !
Tous les personnages ont une véritable profondeur, qui plus est, mais le petit point négatif c'est le Suprême, qui me semble altéré, presque fade à côté de Cyrille. Du coup je peine à comprendre l'attachement que ce dernier lui porte, parce qu'on ne se rend pas bien compte qu'il est à ce point exceptionnel. Ca vaudrait peut-être le coup de l'enrichir, mais enfin moi j'dis ça.
Encore bravo quoi qu'il en soit ! La suite un peu plus tard j'imagine ? Avec la rentrée tout ça, tu dois pas avoir bien le temps...
Chevalier un jour, Chevalier toujours ! Montjoie Saint Denis et Tutti Quanti !
Peut-être n'est-il pas si intéressant que ça et que c'est surtout l'idée que s'en fait Cyrille qui le rend unique pour lui. N'oublions pas que mon héros n'est pas, comme mes autres personnages, des plus équilibrés.
Vrai que je n'ai pas trop le temps, je vais voir si aujourd'hui, je peux continuer le chapitre suivant qui raconte l'arrivée de Cyrille à Kurvval.
Ah, j'ai même changé les noms des personnages pour faire moins "moderne". Mais il faudra que je rectifie les chapitres précédents, ça va prendre du temps.
Certys Kyril, ça fait plus fantasy que Hugues Cyrille ?
Chevalier un jour, Chevalier toujours ! Montjoie Saint Denis et Tutti Quanti !
Pour mes lecteurs peut-être impatients :
Je suis à la huitième page du chapitre V mais j'essaie aussi d'écrire un texte pour la joute 15, je sais, il ne reste pas beaucoup de temps ! alors un peu de patience
Ah, et puis j'écris des poèmes aussi. Je voudrais plus de temps pour pouvoir tout faire. En ce moment, peinture, pastel et dessin sont en sommeil sinon c'est moi qui ne dormirais plus.
Roooooh, j'avais pas vu avec tous ces topics de joute etc, je suis vraiment pas douée moi décidément. Désolée.
Promis, dès ce soir j'essaie de lire et de commenter, comme d'habitude.
Mon opinon change peu de d'habitude, je dois dire. Je trouve que tu amènes vraiment bien les souvenirs de Certys dans le texte, sans que ce soit maladroitement entrecoupé tout au long du chapitre. Là c'est coulé, de plus nous suivons ses réflexions, on peut même établir une comparaison entre le Cyril d'avant et de maintenant, y'a une légère progression on dirait.^^ Puis le développement de l'intrigue en Nextia me plait beaucoup aussi, on voit déjà les personnages qui se révèlent (le fils du régent me plait beaucoup ) et leurs caractères. Par contre si j'attends de voir ce que va donner Cosme, plus j'en apprends sur Amintas, plus je le trouve assez quelconque en fait, je sais pas si c'est fait exprès.
Bref, entre le style, les personnages et le début de l'intrigue, ce cinquième chapitre promet beaucoup pour la suite de l'histoire.
Ah oui, et les noms collent tout de même vachement mieux, c'est plus fluide et mieux ancré dans le contexte que Hugues ou Geoffroi, je trouve.
*cherche un défaut*
Peut-être que le personnage de Rhys ne soit pas plus approfondi et nuancé, il apparaît pour le moment comme un personnage assez peu fouillé, presque plat ou du moins secondaire à mes yeux. Est-ce voulu ou va t-il se développer par la suite pour devenir un membre du cercle proche du héros ? Jusque là, il m'a semblé que tes persos que le héros considérait comme des amis étaient toujours très dessinés (aaaah Carmichel, Carmichel...), pourtant là entre Rhys et Amintas... ou alors je deviens exigeante.
Enfin, c'est Certys qui importe vraiment de toute façon, ceci dit, et lui je l'aime beaucoup.
Chevalier un jour, Chevalier toujours ! Montjoie Saint Denis et Tutti Quanti !
Ouais, Le personnage d'Amintas prend plus d'épaisseur au fil du texte mais pour montrer en fait qu'il n'en a guère, il n'a pas grand intérêt, c'est un faible qui se laisse facilement gouverner par ses passions. En fait, il devait être plus consistant mais au fil de l'écriture, il me plaît d'en faire un fantôche, plus amusant. Quant à Rhys, je vais l'étoffer car il est assez important dans l'histoire de Certys et ses rebondissements.
Chevalier un jour, Chevalier toujours ! Montjoie Saint Denis et Tutti Quanti !
ça avance, ça avance, et en plus les vacances arrivent, je serai plus dispos. Je viens de créer un nouveau personnage qui n'était pas prévu et qui risque de prendre une certaine importance. Vous me direz ce que vous en pensez, hein ?
Et, que Anoréan en soit remercié, les affaires sont florissantes.
Encore un hommage.
Faut pas mettre une apostrophe avant le A ?
Très chouette chapitre en tout, le personnage de la Louve (Fallianha ? J'ai pas encore retenu son nom je crois) me semble bien parti pour se développer de manière intéressante, vu comme il démarre. Je l'espère en tout cas, parce que ses débuts promettraient beaucoup pour la suite à mes yeux.
Pour la globalité du chapire ; plus tranquille que les autres et peu de mouvements dans l'intrigue, mais il met efficacement les choses en place et laisse entrevoir des personnages qui risquent d'être important pour la suite (Cosme, Ganrael...). En plus ça fait une petite pause pas plus mal... avant la tempête du chapitre 7 que l'on attend déjà ?
edit: si c'est bien Fallianha le perso pas prévu qui risque de prendre de l'importance, moi je dis bravo. elle promet d'apporter plus de richesse à l'histoire.
Chevalier un jour, Chevalier toujours ! Montjoie Saint Denis et Tutti Quanti !
Oui Fallianha.
Dans le chapitre VII pas de tempête prévu, juste des éléments qui vont se mettre en place, tout comme, je crois dans les chapitres suivants. Cosme, Ganrael vont prendre leur place dans l'histoire.
Depuis le temps que je voulais le faire... J'ai enfin lu les Ailes du traître.
Mon opinion tient en un mot: bravo!
J'ai été un peu étonnée par le style au début. Le niveau de vocabulaire est un cran au-dessus de la fantasy habituelle mais c'est plutôt agréable. En plus, grâce à ça, je vais me coucher moins bête que je me suis levée: je ne savais pas ce que c'était un alleu. Par contre, les phrases sont un peu longues. On a parfois un peu de mal à te suivre.
Pour l'histoire, je trouve que les idées sont bien trouvées. La théorie des ailes me plaît vraiment beaucoup. J'attend avec impatience une description des exploits aériens parce que jusqu'à présent, la seule fois où il a volé, il était pas vraiment en forme... Je verrais bien un petit duel avec le fils du régent. C'est assez prévisible en fait, non?
Niveau personnages, Amintas n'a vraiment aucune profondeur mais ça doit être voulu . Il donne vraiment l'impression d'être un faible qui se laisse porter par les évènements. Rhys est plutôt sympathique et il gagnerait à être développé. Le régent est d'une ambiguïté savoureuse. J'aime bien les personnages imprévisibles et manipulateurs. Fallianha... Ah, mon personnage préféré. Le moins qu'on puisse dire, c'est qu'elle a de la ressource . En fait, je pense que c'est la seule personne du récit à être l'égal de Certys. Elle lui ressemble pas mal d'une certaine façon: beaucoup d'ambition, une conscience aigue de sa valeur et une franchise qui peut être décapante. Ce couple promet!
Enfin, le personnage principal... Il me plaît vraiment beaucoup. Il est vraiment complexe, il est à la fois attachant et énervant. J'ai parfois eu envie de lui taper dessus... ce qui est plutôt bon signe, parce que ça ne m'arrive que quand les personnages sont bien campés . Il a un côté obscur intéressant. Mais pour l'instant, il fait quand même preuve d'un manque de maturité (enfin, c'est comme ça que je le perçois...). On a l'impression qu'il pense qu'il suffit qu'il mette les pieds quelque part pour que ça y est, il devienne l'homme le plus important du secteur. Je suppose que ça va s'arranger par la suite. C'est un personnage très intrigant.
Mais quand même, j'ai l'impression qu'une fois arrivé à Nextia, tout se déroule un peu facilement pour lui. Je sais bien qu'il est apparenté au roi mais j'aurais pensé qu'il aurait plus de difficultés à se faire accepter. Même s'il s'est brouillé avec Amintas, il doit bien encore éprouver de la loyauté envers son ancien roi. Le fait que Rhys accorde aussi facilement son amitié et que le régent ne le surveille pas plus étroitement me perturbe un peu. Après tout, la brouille aurait pu être un stratagème pour envoyer Certys espionner un peu l'ennemi. Bon, je suis sans doute un peu parano...
En résumé, belle histoire, bien écrite avec des personnages intéressants. Je rejoins le fan club qui attend la suite avec impatience.
Chevalier un jour, Chevalier toujours ! Montjoie Saint Denis et Tutti Quanti !
Merci.
Bien jugé, Madhina, et tu perçois bien mon personnage. Certaines choses qui se mettent en place vont mieux se comprendre par la suite. Et pour l'accueil, on ne peut pas dire que tout le monde lui ait sauté au cou (le fils du régent par exemple)
Donc voici un chapitre septième qui éclaire ou obscurcit (au choix) la personnalité de Certys. Et pour faire connaissance avec Cosme. Dans le prochain, vous connaîtrez un peu mieux Ganrael.
Ps Ah ! Ces maudites phrases trop longues. Et pourtant je me relis ! J'espère qu'elles sont moins longues dans celui-ci.
J'ai enfin lu le chapitre 7, je m'excuse encore une fois de mon retard.
Alors j'ai bien aimé la mise en place, c'est un petit chapitre qui laisse se tisser l'intrigue pour la suite, et la rencontre Cosme/Certys est assez sympathique. J'aime assez les petites descriptions du jardin aussi.
Ce qui m'a moins plu, c'est la façon dont commence la conversation entre Cosme et Cyril, je l'ai trouvée trop rapide et peut-être un peu maladroite, d'autant plus qu'une description plus concrète de l'adolescent, dès le début, aurait été, pour moi, bienvenue. Après c'est toi qui vois.
Autrement c'est un personnage qui me plait bien à première vue, je ne sais pas trop ce qu'il va devenir par la suite mais il aurait le potentiel pour être plein d'ambiguité. Et Certys, toujours, de plus en plus profond à mesure qu'il met en place ses petites manoeuvres. Bref, j'ai bien aimé.
Puis le style m'a semblé plus léger, un peu plus fluide aussi peut-être, dans ce chapitre, et ça collait bien avec l'ambiance de ces jardins. Voilà voilà.^^
Chevalier un jour, Chevalier toujours ! Montjoie Saint Denis et Tutti Quanti !
Merci, je tiendrai compte de tes remarques lorsque je relirai le roman, une fois terminé.
En fait au fur et à mesure que j'écris et que je creuse mes personnages, je crois que tous veulent se servir les uns des autres pour arriver à leurs fins, de façon plus ou moins naïve, sauf peut-être Ganrael.
Chevalier un jour, Chevalier toujours ! Montjoie Saint Denis et Tutti Quanti !
Pour "Anoréan", j'explique : de temps en temps, j'utilise le nom d'un habitué du Forum, Owyn, Caldazar(qui a eu le privilège de devenir un vrai personnage dans un de mes romans) et d'autres, toi, tu n'es rien moins qu'un dieu, ne te plains pas
Pour les séquences aériennes, je vais en inclure une dans le chapitre que je suis en train d'écrire, je vais bientôt m'y atteler. Mais je manque de temps en ce moment et les prochaines vacances sont dans 5 semaines.
Au sujet d'un duel avec Ganrael, le chapitre sus-dit commence justement par là, mais pas dans les airs ; plus tard...
J'ai lu la dernière livraison. Je commence par un petit détail: j'ai relevé l'expression "visage inscrutable". Je trouve ça bizarrement tourné, à la place, j'aurais plutôt mis "visage impassible", m'enfin ce que gendy... Sinon, je trouve que le trajet dans le carrosse est un peu lourd au sens où finalement, il n'est pas très utile. Je m'explique: ce qu'ils se disent aurait pu être dit au palais dans la suite du duel. Finalement, j'ai l'impression que ce passage casse le rythme du récit en quelque sorte.
Personnellement, je préfèrerais qu'on passe directement du palais à la caserne (me souviens plus du nom exact du bâtiment en question...). Ou alors, le trajet pourrait être l'occasion pour Certys de se plonger dans ses pensées. Bon, en bref, je trouve que la conversation avec le régent pendant le trajet n'est pas à sa place, pas pertinente. Et les descriptions (de la ville surtout) ne sont pas assez bien intégrées dans le récit.
Voilà, maintenant que j'ai fini de démolir le chapitre , je passe aux bonnes choses. La rivalité entre Certys et le fils du régent est de plus en plus explicite, et dans tous les domaines. C'est vraiment une relation très intéressante, ça promet de belles étincelles pour la suite! En fait, le problème, c'est qu'ils se ressemblent trop... Et le passage avec les ailes... Chuis trop contente, j'attendais ça impatiemment. En plus, avec des révélations fort intéressantes. Décidément, y'a pas à dire, niveau psychologie des personnages, c'est le top!
J'attends la suite avec impatience!! Au fait, est-ce que je pourrais avoir accès à Desdichado? Merci d'avance.
Chevalier un jour, Chevalier toujours ! Montjoie Saint Denis et Tutti Quanti !
Merci pour tes commentaires.
Pour le trajet en carrosse, c'est un peu du "meublage", je ne voulais pas les faire arriver directement à la caserne.
Quant aux descriptions, ce n'est pas ma tasse de thé. On m'a dit que je n'en mettais pas assez, alors voilà... Bon, je préfère l'action et la psychologie des personnages à la description, c'est tout.
Duc de Chelsee, veuillez vous défaire de votre épée
Bon, il s'appelle Chelsee ou Chelsnee alors ?
Très bon chapitre, comme d'habitude, j'ai particulièrement aimé celui-là. Le début, avec le duel entre Ganrael (?) et Certys, puis la partie avec les Ailes. Encore que cette dernière n'est pas vraiment celle qui m'a le plus intéressée. J'aime mieux les discussions entre Cyril et le Régent.^^
D'ailleurs ce dernier commence à prendre plus de finesse on dirait, et il me plait bien (niveau qualité de personnage, j'entends.^^) Pareil pour Ganrael, mais lui il m'énerve bien avec son petit mauvais caractère là, gnn. Quoique Cyril est un peu pareil.
Bref, de beaux passages et les parties s'écoulent avec assez de fluidité, j'aime beaucoup.
edit : j'affinerai mon commentaire plus tard si tu veux, là jpeux pas taper, j'ai les doigts gelés.
Chevalier un jour, Chevalier toujours ! Montjoie Saint Denis et Tutti Quanti !
Je mets ici les commentaires que Lugh m'a envoyé par mail, en le remerciant encore. J'ai rajouté en gras mes réponses.
Remarque préalable : J’ai beaucoup aimé ton récit et ta façon d’écrire. C’est uniquement parce qu’il s’agit d’un texte de grande qualité que je me permets de faire des remarques que j’espère constructives. Je ne connais pas tes autres écrits et je ne sais donc pas si ce récit s’insère dans un monde déjà connu, je pars de zéro en le lisant.
Donc déjà un grand bravo, j’ai pris beaucoup de plaisir à te lire.
Voici quelques remarques à prendre avec des pincettes, je ne suis pas prof de français.
Chapitre 1
Espérez-vous, Compagnon, que notre souverain vous accordera son pardon. Vous vous imaginez qu'il vous rendra son amitié et sa confiance, continua le chef de la Police. Il est de mon devoir de vous détromper. Il manque un point d’interrogation à la fin des deux premières phrases.
Effectivement
Réjouis-toi, piétine mon amour propre, hobereau de médiocre apparence, si mielleux il a peu de temps à mon égard. Il y a peu de temps
Tout à fait
On prenait tant de précautions à l’encontre de l’ancien favori que c’en devenait risible. Que cela en devenait risible ? Ce n’est pas du dialogue.
Eh oui !
Désormais les euphémismes utilisés par Bollet laissaient la place, dans la bouche sans lèvres du Chef Hermon, à la réalité de l’enfermement. Bouche sans lèvres ? c’est peut-être une figure de style mais en fantasy il y a tellement de machins qui se baladent pas conformes à la nature que le lecteur se pose toujours la question de savoir si c’est une image ou pas.
D’accord, je vais préciser l’image
Cyril, même s’il était toujours Compagnon et Commandeur, n’était ici qu’un prisonnier sans soutien avec personne pour intercéder pour lui. Légèrement redondant, s’il est sans soutien, personne n’intercède.
C’est vrai
Depuis plus d’une semaine, les bourrasques de pluie mêlée de neige frappaient les murs de la forteresse, interdisant toutes sorties. Toute sortie ?
Possible !
Vous n’avez aucun droit, tout Compagnon ou Commandeur que vous soyez ! Ici c’est moi et moi seul qui interdis ou autorise et vous n’êtes qu’un prisonnier au statut indécis. Interdit ?
Le sujet est « qui » qui remplace Je donc « interdis » (nous qui interdisons)
Chapitre 2
Il sentit la brûlure du projectile labourant son flanc avant même d’entendre le bruit sec du tire-feu. Détail, mais le projectile dépasse vraiment la vitesse du son ?
Corrigé
De temps en temps, il s’accordait un temps de galop mais évitait le trot dont les saccades réveillaient la souffrance tapie dans son flanc. Incohérence, le galop est plus rapide que le trot.
Le petit galop est une allure plus confortable que le trot. Mon dernier cheval me donnait un petit galop si souple que j’avais l’impression d’être dans un fauteuil.
Le fleuve serpentait mollement à travers la steppe et jetait ses eaux boueuses dans le détroit à un demi lick de l’établissement. Son innocuité n’était qu’apparente. Pas trop sûr de l’utilisation d’innocuité dans ce contexte. C’est sensé concerner une substance non ?
J’ai remplacé par placidité
Chapitre 3
Il pensa brièvement à les semer dans les airs tourmentés par les rafales de vent. Je trouve la phrase bizarre, j’ai du mal à me représenter l’air tourmenté par le vent même en rafales.
Phrase rectifiée !
Chapitre 4
des bois sombres sommant les collines aux lignes douces. Sommant ??
Il me semblait que ça existait. Bon surmontant alors...
La fatigue pesait sur ses épaules mais il ressentait plus sûrement le faix de l’appréhension. Bientôt, il confierait son avenir sinon sa vie aux mains d’Hérode d’Angon. L’homme lui avait fait forte impression. Il ne serait pas facile à séduire mais Hugues était fermement décidé à avancer son pion. Comme l’avait relevé d’Angon lui-même, les puissants ne l’impressionnaient pas. N’avait-il pas été le favori d’un roi ?
Je ne comprends pas bien ce passage, Hugues est-il ou non impressionné ? Quitte à le faire paraître inquiet, il vaudrait peut-être mieux que ce soit pour une raison objective d’intérêt que de simple impression puisqu’il est censé être un personnage assez « libre ».
Effectivement, il y a contradiction. Je vais revoir le passage. Ou carrément supprimer la première phrase avec "impression".
Suprême Geoffroi, commença le Grand Commandeur Hélias de Clarin, soyez le bienvenu au sein de l’Académie des Ailes qui a pour glorieuse mission de former les officiers Avians, le fine fleur de vos armées. La ?
Ah ! ben oui la, dsl !
Voici devant vous onze jeunes hommes qui ont mérité de recevoir de vos mains le document qui leur accorde le grade d’Aide de Camp. Je n’aime pas trop cette phrase. D’abord, on s’adresse rarement à son souverain en lui disant « untel a mérité tel geste de votre part ». Ensuite, cela fait un peu trop sortie grande école et pas assez intégration à un corps d’officier d’élites.
Je ne sais pas, je ne sors pas d’une grande école. J’ai fait l’école normale et pas l’école normale supérieure. Bon, je vais essayer de réfléchir à la meilleure manière de m’adresser à un souverain.
Sur le sable ratissé du manège, il échauffa le jeune cheval en le faisant tourner en longe. A l’aide de la longe ?
Terme d’équitation
Dans deux à trois semaines, Suprême, peut-être moins. Danseur apprend remarquablement vite. Il m’a suffi de lui prouver ma loyauté et mon estime. Agissez de même envers lui et il se donnera entièrement. Il est en tout point digne de vous. Bizarre qu’un jeune homme emploie l’impératif pour s’adresser à son roi dans les toutes premières phrases échangées, même pour des conseils.
Effectivement.
Hugues secoua la tête. Il était résolu à la franchise quitte à blesser Artémisia. Il valait mieux pour elle qu’elle le soit maintenant alors qu’elle pouvait encore demander que le mariage ne se fasse pas. Qu’elle soit au courant ? cela fait une phrase un peu lourde à mon sens.
Un de mes défauts : les phrases trop longues...
Les noces, presque aussi somptueuses que celles du couple royal furent célébrées au cœur du printemps. Est-ce très réaliste ?
Oui, bon... restons modestes
Hugues se contentait d’ignorer leurs mines arrogantes et leurs regards fourbes. Quelques lignes au-dessus, il y a déjà : Hugues se contenta d’en rire. On commence à comprendre, c’est peut-être pas nécessaire d’en rajouter.
Donc, je supprime
Hugues montait ce jour-là un étalon très près du sang, un Fillipano issu du même élevage que le fameux Danseur. Près du sang ?
Encore un terme d’équitation. Un cheval près du sang est un animal très fougueux et généreux.
Mais Hugues estimait pouvoir dominer l’animal tout en jouissant de son ardeur. Cette phrase recèle un brin … d’érotisme ?
L’équitation est un sport très sensuel. Il y a un contact entre le cavalier et le cheval qui est assez unique.
Le jeune homme n’aimait pas particulièrement chasser à coure le cerf ou le chevreuil. Chasse à courre.
Oubli d’un R, dsl
Ses vignerons élevaient des vins parmi les plus réputés du royaume. Cultivaient ?
Non, la vigne se cultive, le vin s’élève.
Les foins odorants nourrissaient un petit bétail abondant et il en restait à suffisance pour le vendre en des contrées moins bien loties. En suffisance ?
Je crois que les deux peuvent se dire. Si je mettais suffisamment ?
Vous êtes si attirant. Le miel de votre bouche au dessin parfait doit être un délice. C’est classe mais une séductrice décochera-t-elle vraiment ce genre de phrases ? ça sonne un peu trop littéraire pour moi.
Ma formation est littéraire mais je peux modifier du style : j’ai trop envie de vous rouler une pelle !
La chevauchée en compagnie de Roman pour revigorante qu’elle ait été avait été un brin trop longue. J’aime pas.
C’est vrai que c’est maladroit : à revoir donc !
Chapitre 5
Les sièges de cuir rembourré et les suspensions atténuaient les cahots inérants à ce mode de transport. Inhérents
Oh ! la vilaine faute. J’ai honte
Il avait assurément ordre de leur accorder l’entrant car il inclina sèchement la tête, ouvrit l’un des battants et s’effaça pour les laisser passer. L’entrée ?
Dans le sens de l’action d’entrer mais peut-être cette expression est-elle surannée voire obsolète donc va pour entrée.
Et vous ne vous offusquerez certainement pas que je me recommande à votre bénévolence par la grâce du lien de parenté qui nous unit. Bienveillance suffirait peut-être ?
Sans doute
Certys avait l’impression de livrer au régent un duel à pointes mouchetées. Quelques lignes au-dessus, il y a déjà : Le repas ne se prolongea guère après cette passe à fleurets mouchetés.
Donc répétition, va falloir trouver une autre image.
Chapitre 6
Certys se rapprocha de la croisée, frotta l’un des vitres dont les bulles d’imperfection contrariaient quelque peu la vision. Les arrières des demeures voisines arrêtaient rapidement l’œil. Les façades arrières, cela sonnerait mieux non ?
Oui !
Chapitre 8
Hodin d’Angon ne pouvait se douter du tour que prirent les pensées de Certys lorsque celui-ci eut réglé avec lui-même la question de son changement d’identité. Juste pour info., j’ai relu cette phrase 2-3 fois avant de comprendre.
Donc, il faut que je l’éclaircisse, compris !
Chapitre 9
Je doute que tu sois vraiment sincère. Je ne connais très peu d’hommes qui sachent parler franc. Et crois-moi, Certys Cyril, j’en ai fréquenté beaucoup. Je ne connais que ou bien je connais très peu.
C’est une phrase que j’ai corrigée et en corrigeant, j’ai oublié le « que »
Remarques plus générales :
Durant sa période de favori du roi, Certys est également à « mi-temps »Commandeur des Ailes. On ne sait pratiquement rien de ces activités. Pourquoi ne pas développer un peu cette partie qui permettrait d’expliquer mieux son jugement sur les Avians, sa colère de ne pas être nommé au poste de Grand Commandeur,...
Bonne suggestion
Qu’en est-il de la famille, des amis de Certys ? de son vieux serviteur ? Après son évasion, que deviennent ses terres ? Accessoirement, sa femme ? Ne cherche-il pas à avoir des informations ? Cela pourrait épaissir un peu le personnage, il a des sœurs que deviennent-elles ?
Ses parents sont morts, ses sœurs mariées, il n’a pas d’amis, sa femme conserve les terres, il me semble l’avoir mis quelque part ou j’ai oublié... il aura des informations dans la suite de l’histoire.
Plus largement, le récit est très Certys-centré. C’est assez plaisant mais au terme d’une histoire relativement longue, on aimerait en savoir un peu plus sur le reste du monde. Avoir un regard différent que celui de Certys pour éviter une certaine lassitude surtout si l’histoire se prolonge.
Justement, je me posai la question de faire intervenir le point de vue d’autres personnages, Amintas en particulier, mais pour certaines raisons tenant à la suite du récit, je ne vois pas comment y parvenir. De plus, adopter uniquement le point de vue de Certys est un de mes choix d’écriture dès le départ.
La plus grande critique que je ferai est que ce récit est une narration des péripéties d’un jeune homme. C’est intéressant mais cela le serait bien plus si on avait vraiment l’impression que le monde autour de Certys n’est pas créé uniquement pour lui donner des faire-valoir. En gros, l’histoire à l’intérieur d’un monde construit et non une histoire qui construit le monde. Je sais que c’est plus facile à dire qu’à faire mais bon c’est juste du ressenti.
Je comprends ce que tu veux dire. J’en tiendrai compte lors de la suite et de la relecture, une fois l’histoire terminée.
Encore une fois, bravo. Tu comptes te faire éditer ?
J’aimerais bien...
Ok, j'ai compris, c'est ici pour les commentaires ! Moi quand on m'explique lentement...
Alors je veux bien l'acces aux autres oeuvres, je les lirai avec grand plaisir.
Et si tu veux te "venger" sur ma prose, c'est avec plaisir egalement
Chevalier un jour, Chevalier toujours ! Montjoie Saint Denis et Tutti Quanti !
Ok ! je t'ouvre Desdichado, Les Chroniques du Protecteur. (Désolé pour les Astres Jumeaux mais comme je l'ai envoyé à un éditeur, je l'ai fermé) les deux autres nécessitent une relecture que je ferai lorsque j'aurai plus de temps.
Salut à toi Aelghir. Depuis un certain temps je prends un grand plaisir à lire les textes des différentes joutes et j'avoue qu'après avoir parcouru le forum je serais vraiment intéressé par la lecture de tes oeuvres (j'entends par là Règne de l'Esclave, Desdichado, etc...)
Est-il possible d'y avoir accès, même si je ne suis qu'un petit nouveau sur la Pierre?
PS : ça me ferait vraiment plaisir.
Chevalier un jour, Chevalier toujours ! Montjoie Saint Denis et Tutti Quanti !
D'accord, pour le moment Les Ailes du traître sont en lecture libre, je t'ouvre Desdichado, Les Chroniques du Protecteur et Le règne de l'esclave (ce texte est en sommeil faute d'inspiration mais je compte le reprendre quand j'aurai le temps) à charge pour toi de me dire ce que tu en penses et si tu vois des "trucs" à reprendre.
J'ai commencé à lire. Je n'ai pas tout fini car j'ai d'autres lectures en ce moment mais je peux te dire que pour l'instant j'aime beaucoup. Je te donnerai mon avis de façon plus détaillée quand j'aurai vraiment tout fini. Mais franchement il y a du talent, ne t'arrête jamais d'écrire. Tu sais que tu m'as même donné envie de m'y remettre ! Mais je te rassure, mon histoire (je n'en ai qu'une) n'a absolument rien à voir. Encore bravo.
Chevalier un jour, Chevalier toujours ! Montjoie Saint Denis et Tutti Quanti !
Je me suis remis à écrire mais le chapitre onze avant le chapitre dix... ça tourne pas rond dans ma p'tite tête... vous aurez donc sans doute les chapitres suivants dans le désordre...
Chevalier un jour, Chevalier toujours ! Montjoie Saint Denis et Tutti Quanti !
Je tenterais de donner mon avis sur ton nouveau chapitre ^^
même pas vrai !
Les grenouilles ne sont pas de parole cette année.
je crois que pour la peine je vais te ressortir un poème sur les grenouilles si je le retrouve !
Ayé !
Dans un bol de pâtes sauta une grenouille.
Remuant les pattes, cette espèce d'arsouille
Fuit dans les Carpates, c'est une vraie fripouille.
Il faudra qu'on l'appâte et puis qu'on la dérouille!
Tiens, j'ai retrouvé celui-là.(au temps béni où on s'amusait avec les rimes imposées)
Caldazar
content
hasard
vent ?
On va voir ce qu'on peut faire, hum.
Un ami
Quand je lui demandai : " Un problèm' Caldazar ? "
Il me répliqua : " pas du tout, chuis content ! "
Il me cherche, c'est sûr, il n'y a pas de hasard.
D'un coup de pied au cul, je lui souhaitai bon vent !
J'ai promis de tenter ... pas de réussir
Mais en bref :
Les Ailes sont très impressionnantes, mais on dirait presque qu'il s'agit pour lui d'une simple promenade à pied, par une soirée de printemps pas super chaude, mais agréable quand même ...
Sinon, j'aime beaucoup, encore une fois. Et on profite d'un perso sain d'esprit
Chevalier un jour, Chevalier toujours ! Montjoie Saint Denis et Tutti Quanti !
Le chapitre onze avant le dix !!! eh ben oui, j'ai commencé le chapitre dix puis le onze... comme un certain lecteur m'a dit qu'il trouvait dommage qu'on ait tout du point de vue de Certys, voici le point de vue d'un autre personnage. J'attends les commentaires ( hein, Lugh !) .
Chevalier un jour, Chevalier toujours ! Montjoie Saint Denis et Tutti Quanti !
Peut-être s'en découvrira-t-elle une ? Le récit est ouvert. Lorsque j'écris, ce n'est pas figé, je peux modifier au fur et à mesure. Par exemple le personnage de la Louve n'était pas du tout prévu mais je me suis dit qu'il fallait un perso féminin fort en Nextia et Pouf ! pouf ! la voilà.
Héhé Je péfère largement ce chapitre au précédent. L'empoisonnement de Cosme ne m'étonne guère, par contre poison-contre poison.. Un peu touffu, surtout que l'on a jamais su auparavant que Certys maitrisait les plantes, détail qui tombe un peu comme un cheveu sur la soupe.
Chevalier un jour, Chevalier toujours ! Montjoie Saint Denis et Tutti Quanti !
Bon appétit (après coup).
Ce n'est pas Certys qui a la connaissance des plantes, juste un ermite vivant sur son alleu de Fershield. Ce n'est pas clair ?
Edit : Il me semble pourtant (extrait), c'est Certys qui parle :
Dans mon alleu de Fershield, vit un ermite versé dans le savoir des plantes. Les bonnes et aussi les mauvaises : celles qui tuent ou rendent malades. Sous le sceau du secret, il a étudié cette mixture. Je serais bien incapable de t’en répéter la composition. Je n’y connais strictement rien. Mais ce que je sais désormais, c’est qu’il s’agit d’une saleté qui sape l’énergie physique et mentale de Cosme et le maintient dans cet état nerveux déplorable qui le fait passer pour faible d’esprit.
Chevalier un jour, Chevalier toujours ! Montjoie Saint Denis et Tutti Quanti !
Ben, il est assez simple son plan, il le dit lui-même : frapper le serpent à la tête. Mais bon, avec quelques fioritures et si ça ne marche pas, il en prévoit un de secours, mais en fait, ce qui va se passer, c'est ****spoiler****
La suite au chapitre suivant
Ma première impression sur le chapitre 11 rejoint celle de Sihaya en fait. Le changement de point de vue est agréable mais le fait que ce soit celui d'Artémisia est un peu perturbant. Même s'il est vrai qu'il est intéressant d'avoir des nouvelles de Certys d'un autre pays, le personnage d'Artemisia a jusqu'alors été évoqué seulement en passant, alors ça fait tout bizarre qu'elle se retrouve en première ligne.
Disons que si tu n'écris qu'un chapitre de son point de vue, ça fera vraiment bizarre. Perso, je suis pour une Artémisia qui revient régulièrement, parce que c'est une femme qui a du potentiel! (forcément, c'est une femme )
J'ai préféré le chapitre 12. Je trouve que le point de vue de Rhys est le plus intéressant pour raconter Certys de l'extérieur. Et puis, le complot se met en place! Cosme va pouvoir s'affirmer...
*trépigne d'impatience pour connaître la suite*
Chevalier un jour, Chevalier toujours ! Montjoie Saint Denis et Tutti Quanti !
Chose promise, chose due. Je viens de relire le chapitre treize et je vous l'envoie.
Les choses continuent à se précipiter... attendez le suivant !
Alors, des commentaires ?
J'ai bien aimé les ailes du traitre. En attendant la suite, peux tu m'ouvrir tes autres topics???????????????????
Même que j'essayerai de faire une critique plus constructive
Chevalier un jour, Chevalier toujours ! Montjoie Saint Denis et Tutti Quanti !
Tè ! A cette seule condition (j'ai l'impression de me répéter)
Le Règne de l'esclave n'est pas terminé, je pense m'y remettre lorsque j'aurai achevé Les Ailes.(c'est écrit dans un style assez différent)
Toujours pas de commmentaires sur le dernier chapitre ?
Pour les Ailes, j'aime bien les changements de point de vue. C'est lassant d'avoir toujours le même personnage au centre de l'action. Et le perso de la Louve devient de plus en plus compliqué. Et moi, j'aime les persos compliqués et tordus
Chevalier un jour, Chevalier toujours ! Montjoie Saint Denis et Tutti Quanti !
J'en suis à la 11ème page, il y a de quoi lire. j'ai promis du sport, du saignant, en voilà. Je termine, je relis, j'envoie... ce soir peut-être, qui sait ?
Le responsable en était bien plutôt ce coquin de cocher qu’elle aurait aimé voir renvoyer au plus tôt. *renvoyé ?*
Un frisson parcourut son dos tandis qu’il s’approchait d’elle. Il l’enlaça et posa ses lèvres sur sa nuque. Elle frissonna plus violemment encore.
*Petite répétition*
tu as posté deux fois le debut du chapitre 14
La Louve Dommage qu'elle soit blonde La couleur enlève de son côté flamboyant, à mon goût.
Sa duplicité envers Certys m'a rendue triste, m'enfin, à quoi d'autre pouvait-on s'attendre de la part d'une prostituée. Par contre, ce qui m'a un peu étonnée, c'est qu'elle ne cherche pas à gagner plus de pouvoir, qu'elle se satisfasse de jouer les parfaites dames de maison. Je la voyais plus ambitieuse, plus passionnée.
Ganrael En voilà un beau pervers. Le méchant par excellence Tu as tendance à faire des personnages principaux à multiples facettes, plus gris que blanc, mais tes méchants sont très noirs, en tout cas jusque là D'aucune façon, à aucun moment, tu ne nous le rend humain, ou du moins, rien ne justifie ses manières de faire, il est juste.. sadique et fou. C'est peut être un peu dommage, il est par trop caricatural face au reste de ton univers peu manichéen.
Bon, il est certain que mes goûts en fantasy sont largement influencés par Le Trône de Fer, et que depuis je recherche des personnages ambigus. Point de vue faussé
Voila. Et que je conseille le Thème final d'Eward ScissorHand pour lire le dernier chapitre
Chevalier un jour, Chevalier toujours ! Montjoie Saint Denis et Tutti Quanti !
Merci pour tes commentaires.
Ganrael est sadique mais ce n'est qu'un aspect du personnage. Dans les chapitres suivants, on découvrira un autre pan de sa personnalité... sans oublier qu'il n'est pas tout à fait sain d'esprit. Il n'est pas tout noir. Quelque part, j'aime bien Ganrael.
Il sait ce qu'il veut (le pouvoir), comment l'obtenir (comme une brute) et il ne s'embarrasse pas des trucs appelés "scrupules" ... Il est dangereux, il va morfler lui aussi
Ouich, avec un peu beaucoup de retard j'ai enchaîné les chapitres que j'avais pas lui, mais là je suis pas trop en état de faire un commentaire (ptite nuit oblige).^^
En tout cas ces chapitres sont très agréables à lire, les personnages commencent à se diversifier et deviennent de plus en plus profond et complexes, c'est chouette. Artémisia m'est sympathique aussi, de même que la Louve même si sa "trahison" rend triiiiste.
Ce qui m'a un peu déçu c'est l'histoire autour du poison et de Cosme, quand Certys raconte tout à Rhys. Ca fait un peu trop facile genre je me pointe j'prends la fiole tiens c'est du poison nous sommes sauvés du méchant Régent. J'sais pas trop comment dire.^^
Et le dernier chapitre... alala, wow. Ganrael est tout à fait diabolique mais il y a dans ce passage un mélange de sensualité et de brutale cruauté très... sympathique. Je l'ai pas spécialement trouvé tout "noir", on dirait juste que le fait d'être en présence de Cyril étouffe toute sa personnalité à l'exception de la partie méchant/taré. J'attends de voir la suite.
J'aime juste pas quand on casse des os.
En bref, je continue à te lire avec le même plaisir. Et même un peu plus.
edit : pour la scéance de torture cependant, comme les raisons évoquées par Ganrael semblent quand même un peu légères, voire passent à l'as, tu aurais peut-être du appuyer un peu plus sur le côté "prétexte" de cette soi-disant trahison pour qu'on voie vraiment que c'en est un pour Ganrael plus que pour l'écrivain. Enfi moi j'dis ça.
Chevalier un jour, Chevalier toujours ! Montjoie Saint Denis et Tutti Quanti !
Pour le poison, c'est un peu facile, c'est vrai, mais ce n'est pas là le point nodal de l'histoire.
un mélange de sensualité et de brutale cruauté
Bonne réponse !
Ajoute une dose de déséquilibre mental qui va se révéler au chapitre suivant.
Ce n'est pas une soi-disante trahison mais bien une vraie, du moins ça dépend de quel côté on se place. Mais il est vrai que j'aurais pu appuyer sur le côté "Ca fait un moment que je veux me payer le méchant qui m'a pris mon papa alors je saute sur la première occasion pour me le farcir et chouette ! en plus j'avais raison !" C'est bien ça que tu suggères ?
Ah mince, j'ai dû mal lire. J'avais compris que Certys voulait mettre Cosme sur le trône mais pas qu'il était encore du côté d'Amintas... Et qu'il avait répondu juste pour que la torture s'arrête... bon faut dire que j'ai du lire vers du 2h du mat aussi.><'
Ceci dit, c'est cela que je suggère. Mais ça a moins d'importance du coup.
Chevalier un jour, Chevalier toujours ! Montjoie Saint Denis et Tutti Quanti !
En fait les deux... mais le chapitre suivant que je commence à écrire ce soir expliquera les motivations et les desseins de Certys puisque je reprends pour ce chapitre son point de vue.
Je profite du fait que j'ai un moment pour commencer mes critiques sur le règne de l'Esclave et les Chroniques du Protecteur (pas fini de le lire).
Le règne de l'Esclave : j'accroche beaucoup plus que les autres de tes romans. Peut-être le personnage principal, peut-être une façon de raconter, peut-être le scénario, je ne sais pas. Mais je n'ai qu'une envie, lire la suite
Les Chroniques du Protecteur : j'aime beaucoup même si, en ce moment, je sature un peu sur les histoires de prophéties. Les personnages sont, comme toujours avec toi, intéressants, construits, plus que de simples calques (rayer la mention inutile). Je détaillerai un peu plus quand j'aurai fini.
Chevalier un jour, Chevalier toujours ! Montjoie Saint Denis et Tutti Quanti !
Merci.
Au sujet du règne, je le reprendrai lorsque j'aurai terminé Les Ailes.
A moins que je ne transforme en roman mes nouvelles de la joute 10 et des joutes 13 & 16... trop de projets... pas assez de temps !
Chevalier un jour, Chevalier toujours ! Montjoie Saint Denis et Tutti Quanti !
Ah mince, j'ai dû mal lire. J'avais compris que Certys voulait mettre Cosme sur le trône mais pas qu'il était encore du côté d'Amintas... Et qu'il avait répondu juste pour que la torture s'arrête...
Ben au moins ça ne transparaissait pas trop dans les chapitres précédents, tant mieux pour le suspense. Je suis rassuré. Mais au chapitre suivant, je prépare un nouveau coup de théâtre.
Retournement de situation exemplaire, c'est le moins qu'on puisse dire!
J'ai juste quelques petites remarques. A un moment tu utilises la métaphore de l'arbre et de la forêt pour le complot autour de Cosme. Je la trouve pas géniale: qualifier Certys d'arbre majestueux me perturbe et puis la phrase "La forêt était en marche"... C'est peut-être bizarre mais ça m'a tout de suite rappelé Narnia - dans le Prince Caspian si mes souvenirs sont bons, les arbres se déplacent vraiment - et ça cadre pas trop avec le contexte. Ce n'est qu'un point de détail mais je trouve vraiment que la phrase sonne bizarre.
Deuxième point, sur les réactions de Ganrael quand il apprend que Certys est son frère. Je me serais atendue à ce qu'il manifeste son trouble de façon plus "spectaculaire" en quelque sorte. Qu'il hurle un peu ou quelque chose dans le même genre. Après tout, c'est un personnage plutôt violent!
En tout cas, je passe toujours un aussi agréable moment en te lisant et j'attends avec toujours plus d'impatience la suite
La page est trop lourde, mon ordi ne gère pas et me ferme complètement firefox dès que je clique sur le lien du sujet. (edit : si quelqu'un peut me l'envoyer par mp ?^^)
Un chapitre moins "fort" niveau émotions (peut etre parce que l'on a pas eu le temps de s'attacher au "gentil" Ganrael ... ?) mais le niveau est toujours là
Chevalier un jour, Chevalier toujours ! Montjoie Saint Denis et Tutti Quanti !
C'est vrai, le perso de Ganrael pourrait être plus exploité mais les évènements vont vite. Il se passe très peu de temps entre les deux chapitres. je pourrai peut-être en écrire un intermédiaire pour creuser les pensées tourmentées de Ganrael.
Chevalier un jour, Chevalier toujours ! Montjoie Saint Denis et Tutti Quanti !
Un peu à la traîne, la suite... comme moi, je me traîne. Pourtant je suis en vacances. Peut-être me faut-il le stress de l'école et le désir d'évasion après la journée de classe pour écrire. Et puis l'action retombe un peu après le paroxysme des 2 derniers chapitres. Bon, faut que j'aille acheter le pain !
Ce qui me fait bizarre depuis le gentil Ganrael, c'est que les deux qui se détestent / méprisent cordialement depuis qu'ils se sont rencontrés, on leur dit "Aimez vous l'un l'autre car vous êtes frères" et "p...Pouf *" d'un coup on verrait dans une BD des p'tits coeurs partout autour d'eux, ils s'adorent et regrettent tout ce qu'ils ont pu faire à l'autre, et ce, même s'ils ont les tripailles à l'air et les membres qui tentent de partir en vacances ...
Alors qu'un zigoto à sandales a essayé chez nous la meme chose il y a environ 2000 ans, et qu'on peut encore le résultat
*(non, on ne leur dit pas pouf, c'est une image ... enfin un son, mais c'est la même idée, pour autant qu'un(e) Pouf puisse en avoir )
De retour apres une abscence prolongee, l'occasion de lire plusieurs chapitre d'un coup.
J’aime beaucoup à la fois les introductions de personnages secondaires et le déroulement de l’histoire. Chaque personnage a ses propres motivations et son objectif et cela donne au récit un rythme plus soutenu. Globalement, je trouve quand même que les oiseaux tombent vite de leur perchoir… L’aigle chute très vite et sans rémission dans les mains d’un dément et Hodin se fait renverser sans difficulté. Pourtant les partisans d’Hodin devaient être nombreux et les légalistes peu nombreux. Je trouve Ganrael très sûr de lui et c’est un peu étrange qu’il n’informe pas aussitôt son père de la decouverte de la trahison. Bien sûr, ces remarques n’engagent que ce que je perçois moi de l’histoire…Encore bravo pour ce récit.
Quelques remarques chapitre par chapitre :
Chapitre 11
Des signets signalant quelques passages témoignaient qu’il les avait consultés assez souvent. Signets signalant, pléonasme ?
Ce ne fut donc pas de gaîté de cœur que le cousin de Certys lui apprit que celui-ci passait désormais pour le giton de Hodin d’Angon. Giton ?
Il lui restait dans la bouche comme un goût de citron vert qui lui aurait agacé les dents. Les goûts et les couleurs… mais ce n’est pas si désagréable le citron vert J
De minuscules inflorescences blanches parsemaient les rameaux des mystes odorants et exhalaient un parfum miellé. Myrtes ?
Chapitre 12
Ils ne feront pas confiance et je ne peux les en blâmer. Ils ne me feront pas…
Chapitre 14
Je trouve ce passage un peu excessif. Ganrael s’engage sur la base d’un simple témoignage dans un combat aérien puis une scène de torture alors qu’il lui serait plus simple de pénétrer dans les appartements de Certys avec son père et de le confondre avec l’aide du médaillon. Au fond, que valent les aveux arrachés de force ? Et que se serait-il passé si la Louve avait menti à Ganrael et s’il n’y avait pas de médaillon ?
Chapitre 15 et 16 Rien a dire.
Chapitre 17 Bien mais il manque pour moi certains passages. La description actuelle donne une impression de grande facilité pour ce coup d’état, un récit des combats des légalistes contre par exemple la garde rapprochée du régent donnerait un peu plus de souffle épique. Le point de vue d’Haerliis tentant d’empêcher cette prise de pouvoir peut être intéressant, après tout l’homme est juste du mauvais côté au mauvais moment.
Voili voilou. Bravo et bon courage pour la suite qu'on espere proche
Chevalier un jour, Chevalier toujours ! Montjoie Saint Denis et Tutti Quanti !
Merci de tes commentaires... beaucoup sont justifiés. C'est vrai que c'est un peu rapide. Lors d'une prochaine réécriture, j'en tiendrai compte. J'ai tendance à aller un peu vite aux passages qui m'intéressent le plus à écrire.
chapitre 11 : giton nom commun d'après Giton personnage du Satyricon de Pétrone, jeune homosexuel entretenu.
Myste est un nom de mon invention pour un buisson.
Chevalier un jour, Chevalier toujours ! Montjoie Saint Denis et Tutti Quanti !
Le chapitre suivant est un peu en berne...
Il faudrait que je le continue mais...
Pareil pour la joute, j'ai des idées mais pas de carburant.
J'ai une idée pour un prochain roman et ça me parasite.
Et puis je fais la relecture de Desdichado...
Je veux des vacances !!!
Tous ces mouvements dans tes différents romans éveillent ma curiosité... Faut dire que maintenant qu'ils sont sous mon nez, je veux savoir ce qu'il y a dedans
Peux-tu m'en donner l'accés? Merci d'avance!
Chevalier un jour, Chevalier toujours ! Montjoie Saint Denis et Tutti Quanti !
D'ac !
Edit : c'est fait !
Pour Desdichado, je suis en train de faire la relecture, j'ai même changé le nom des perso principaux... je vais mettre les nouveaux textes progressivement à la place des anciens ( pas de changements spectaculaires, quelques phrases refaites, raccourcies, quelques ajouts). Je te l'ouvrirai un peu plus tard.
Reédit : DESDICHADO est en ligne et en privé. Comme dit précédemment, il s'agit d'une relecture. J'ai entre autres changé le nom de certains perso :
Alain devient Allexian, Alexandre : Trézel, Stéphane : Stéfel et Diane : Danilia.
Il y a une dizaine de jours, j'avais droit a une semaine de "vacances" pour reviser le brevet... et j'ai eu le malheur de tomber sur Les Ailes du Traitre. J'y ai passe la journee entiere ! pour les revisions, c'etait un peu rate... enfin, est-ce que je pourrais avoir une autorisation pour les autres romans ?
Chevalier un jour, Chevalier toujours ! Montjoie Saint Denis et Tutti Quanti !
D'accord, je fais ça dès que j'ai le temps. A charge de commentaires.
Pour le moment Les Ailes sont un peu en sommeil, j'ai écrit la moitié du chapitre suivant mais les vacances étant bientôt, ça ira plus vite.
Chevalier un jour, Chevalier toujours ! Montjoie Saint Denis et Tutti Quanti !
Pareil que pour Les Ailes. Certains m'ont dit que les noms ne faisaient pas trop fantasy et comme je suis à l'écoute de mon lectorat : voilà. Si vous voulez l'accès au nouveau Desdichado, suffit de demander. J'ai bientôt fini de le relire, il manque le dernier chapitre et l'épilogue. Peut-être que lorsque j'aurai terminé les Ailes, je commencerai la suite de Desdichado avec l'histoire des jumeaux.
Chevalier un jour, Chevalier toujours ! Montjoie Saint Denis et Tutti Quanti !
Merci de ton dessin, Rhéane. J'apprécie beaucoup. J'ai moi aussi fait un portrait de Carmichel qui est dans La Galerie de la Pierre, section dessins. (de profil, en couleur)
J'aimerais aussi connaître ton ressenti au sujet de ce personnage.
"- Je ne pouvais qu’à grand peine détacher mon regard de son triste et beau visage. Je l’avoue, j’étais fasciné. "
Tout a fait d'accord avec le Leude Myrman...mais sinon, je ne suis pas particulierement habile avec mes mots, y faut pas m'en demander beaucoup plus...
Chevalier un jour, Chevalier toujours ! Montjoie Saint Denis et Tutti Quanti !
Carmichel en a fasciné plus d'un(e), demande à Owyn. A commencer par moi. C'est un personnage qui au départ était secondaire et qui a pris de l'importance au fil du récit au point que j'avais l'impression qu'il était vivant. Je sortais rarement indemne de l'écriture des parties le concernant à la première personne. Je me suis immergé dans ce personnage plus que dans n'importe quel autre. (pourtant il n'y a que peu de moi en lui, du moins je le crois).
Pareil que pour Les Ailes. Certains m'ont dit que les noms ne faisaient pas trop fantasy et comme je suis à l'écoute de mon lectorat : voilà. Si vous voulez l'accès au nouveau Desdichado, suffit de demander. J'ai bientôt fini de le relire, il manque le dernier chapitre et l'épilogue. Peut-être que lorsque j'aurai terminé les Ailes, je commencerai la suite de Desdichado avec l'histoire des jumeaux.
Ok
Dommage, j'aimais bien les noms plus communs, ça fait original dans un bouquin de fantasy
C'est comme les nanas américaines/anglaises qui s'apellent Simone, c'est in
Carmichel en a fasciné plus d'un(e), demande à Owyn.
Je confirme... Et comment ! J'y pense encore.
Personnellement, j'aimais bien aussi les noms "normaux" dans Desdichado, même si les nouveaux sont bien aussi. Mais pour les Ailes, c'est vrai que je préfère Certys à Hugues.
mici aussi !
y'a juste un petit probleme : certains chapitres sont un peu tronques, je crois: le chapitre 9, par exemple, et le 12 sont coupes en pleine phrase.
fin chap 9: "Pendant les quelques années où il avait été à la tê "
N'ayant pu lire que le début du premier chapitre pour cause de retour inopiné du frère auquel j'avais emprunté l'ordinateur sans permission explicite, je vais tâcher d'imprimer le premier chapitre. Le début me plait beaucoup en tout cas
Voic mes retours sur Desdichado, avis subjectif comme toujours.
Chapitre 1
Le jeune chasseur à la sombre chevelure détonait parmi les paysans, les bûcherons et les marchands itinérants réunis dans la salle enfumée de l’unique auberge des confins septentrionaux du duché de Thurin. Détonnait avec 2 n je pense. Le jeune chasseur n’ignorait pas qu’il n’était loin d'être le bienvenu. Un n’ de trop. Crois-tu, Fénicien, que j’aurais accepté de trinquer avec toi ? J’avoue pourtant que j’admire ton audace. Oser te risquer si loin de tes quartiers me semble toutefois relever plus de la folie que du courage. La main de ton duc n’est pas assez longue pour te protéger dans les hautes terres. Pour un rustre forestier, son langage est assez châtié. De manière générale, cela me semble peu vraisemblable qu’un roturier s’adresse en égal (voire en supérieur) à des gens qui sont de la noblesse ou de la bourgeoisie. Il peut se monter agressif, hostile,… mais je ne trouve pas très crédible les fines analyse politiques du style : « Je le récuse et je ne reconnais que la véritable maîtresse de ses terres, la duchesse Aurélia d’Entelme ».
Chapitre 2
Elle tourna son attention vers les jeunes filles assises non loin d’elle, silencieuses, gênées sans doute par l’algarade et leur ordonna Il me semble qu’une algarade est plus violente que cela. Ce sourire secret trahissait sa tristesse profonde, muette, irrémissible. Irrémissible ? dans le dico, j’ai « qui ne pardonne pas »,
Mais Stéfel, se raisonna-t-il, était sans doute le seul être au monde qui avait besoin de lui et cette constatation atténuait la jalousie qu’il éprouvait à son égard. N’est-ce pas en contradiction avec les liens d’amitié qui l’unissent à Alexandre et sa sœur ?
Chapitre 3
L’invitée d’honneur se trouvait être cette année-là la Primaria Stal Guéra Menhauser, nièce de l’Empereur Jdian et guerrière de renom. C’est une fête en particulier ? le « cette année là « est un peu lourd, je trouve
Il consistait en poissons de rivière et de lac somptueusement apprêtés et proposés sur des plats en argent ciselés par d’habiles graveurs dont une importante communauté travaillait à Grammont. Phrase un peu longue, il est peut-être possible de parler de l’artisanat local après une séparation logique?
Tout aussi ostensiblement, il reniait son ascendance thurinoise comme sa mère l’avait renié, lui. Je ne comprends pas bien. Plus haut, tu mets : « Allexian revendiquait à la fois son sang fénicien et son héritage thurinois » ?
Alban Angarran rompit le long silence où s’engluaient les certitudes des uns et les incertitudes des autres en frappant plusieurs fois dans ses mains. Bof. Certitudes et perplexité ? enfin faut changer un peu quoi
Chapitre 4
avait creusé sa propre tombe. Il manque Il. Oui ! Je voulai… Il manque un bout. Coupure du forum ?
Chapitre 8
Le jeune aigle aux ailes brisées qui lui faisait face l’attirait et l’émouvait trop pour qu’elle le laisse mourir au nom d’un enjeu insane. Insane ? anglicisme ?
Chapitre 12
Destir Oj Tassar se tenait assise à califourchon sur l’une des chaises disposées autour de la table, simple planche posée sur deux tréteaux et sur laquelle une carte était déroulée.
Ambiguïté, en lisant rapidement, j’ai cru que c’était la chaise qui était constituée d’une planche.
Fin du chapitre, des noms restent à changer.
Chapitre 13
Une sape avait été discrètement creusées creusée
Chapitre 15
Avec effort, il chassa Trézel de son esprit et en se morigénant En fait, juste au-dessus, on parle de Stal même si elle est secondaire dans son esprit.
Chapitre 16
La jeune femme s’occupa en premier lieu du Grand Noir. Même en supposant qu’elle en est très envie, j’imagine mal le commandant d’une armée de 2000 hommes s’occuper elle-même de son cheval.
Chapitre 19
Mais je ne reconnaîtrai jamais des crimes que je n’ai pas commis. Ben si, il l’a fait.
Chapitre 20
En son fort intérieur, il convenait qu’il n’avait jamais pris la peine de le connaître, de s’intéresser à ses aspirations et à ses besoins. For intérieur
Chapitre 24
- Je t’aime, Primaria. C’est peut-être voulu mais n’est-ce pas étrange d’utiliser un titre militaire pour déclarer sa flamme ?
Chapitre 25
Et pourtant, je leur dois une sorte de gratitude que je leur dois de m’avoir ouvert les yeux
Bof.
Commentaire :
J'ai bien aimé meme si le début me semble un peu lent. Une fois lancé, on reste bien accroché dans l'histoire car les péripéties s'enchainent et que les différentes vies se complètent bien. Il manque peut-etre un brin d'"exotisme". Qu'est-ce qui différencie les humains, des Jidall? Quelle est leur culture? Comment fonctionne la magie? Quels sont les autres peuples de ce monde?
Cela colorerait peut-etre un peu ce récit mais l'intrigue est déja bien présente.
Que devient Danilia ? Eclipsée par la charmante Stal ? Je m’attendais à la voir réapparaître. N’est-elle pas préoccupé du sort de son frère ? Celui-ci ne semble pas en tenir compte et dans la deuxième moitié du récit, il n’en est même pas fait mention alors.
La bataille de la Seimora est décrite en quelques paragraphes et c’est pourtant l’affrontement décisif. Une fois cette victoire acquise, les forces rebelles sont divisées chacune dans leur duché et la conquête des provinces une par une est fatale. Pourquoi ne pas développer plus cette bataille qui est décisive plutôt qu’un siège annexe qui ne présente pas de difficulté ? Surtout si les forces en présence sont défavorables numériquement au vainqueur.
Passez-moi l’expression mais Allexian en prend quand même plein sa gueule. Torturé, à demi-mort dans son cachot où chaque mouvement le fait hurler, il chevauche toute la nuit, avant de se prendre deux coups de poignard sauvages (rien que l’hémorragie, j’ose pas imaginer). Puis il tombe d’une falaise, se fracasse contre une corniche et attend paisiblement qu’on vienne le tirer de là. Pardon mais j’y crois pas. Il faut quand même savoir quel est le niveau de la médecine dans ce monde là ? Soit il y a un thaumaturge aux pouvoirs magiques pour l’aider, soit on le martyrise un peu moins. Par exemple, Destir Oj Tassar peut tomber toute seule. Après tout, nombreux sont ceux qui ont lu Sherlock Holmes et qui se doutent de la suite.
L’épilogue est plutôt énigmatique et au lieu de conclure ouvre. C’est un choix mais est-il par exemple indispensable de parler de Dawoudi, de Dourjjas et autres spécificités Xénèthes ? Présenter une nouvelle culture à l’épilogue, je ne trouve pas cela judicieux. Autant le réserver pour l’introduction de la suite !
Aelghir j'adore ton roman.
Je ne suis pas douée pour les commenrtaires et les critiques, car je ne suis pas assez connaisseuse pour donner des avis constructifs et valables. Mais bon, j'aime ton roman
Je te réponds donc ici. Juste pour te dire qu'avec l'auxilliaire avoir, le COD étant avant le verbe, on accorde. Donc la survenue avait retenue! Je maintiens ce que je dis. Il me semble qu'une prof rôde dans ce forum, peut être pourra-t-elle trancher la question ...
Pas besoin d'etre prof... dans la phrase "La survenue inopinée de son frère avait retenu Trent", le sujet est "La survenue inopinée de son frère" et le COD est "Trent". Le COD est non seulement apres le verbe, mais egalement au masculin. Donc pas d'accord.
Il y a pire qu'une prof (d'ailleurs, il y en a plus qu'une ) et c'est un instituteur... Son pseudo commence par Ae, continue par lgh et finit par ir
M'enfin, c'est vrai qu'a voir le temps qu'il a passé en primaire, sans passer au collège, on peut se demander s'il connait bien les règles
La nouvelle histoire fait en effet fortement penser aux "Aventuriers de la mer" de Robin Hood, je pense qu'on peut compter sur toi pour être plus sadique avec tes personnages
Chevalier un jour, Chevalier toujours ! Montjoie Saint Denis et Tutti Quanti !
Je te réponds donc ici. Juste pour te dire qu'avec l'auxilliaire avoir, le COD étant avant le verbe, on accorde. Donc la survenue avait retenue! Je maintiens ce que je dis. Il me semble qu'une prof rôde dans ce forum, peut être pourra-t-elle trancher la question ...
Pas besoin de te répondre, Dark Shadock l'a fait pour moi.
Pas besoin d'etre prof... dans la phrase "La survenue inopinée de son frère avait retenu Trent", le sujet est "La survenue inopinée de son frère" et le COD est "Trent". Le COD est non seulement apres le verbe, mais egalement au masculin. Donc pas d'accord.
J'accepte les corrections sans problèmes sauf si elles sont injustifiées et de plus insistantes. Sans forfanterie, la plupart de mes fautes (peu nombreuses) sont surtout dues au fait que je reprends régulièrement des parties de phrases et que j'oublie de rectifier certaines marques de genre et de nombre.
Caldazar, il n'y aura pas autant de bateaux dans mon histoire.
Chevalier un jour, Chevalier toujours ! Montjoie Saint Denis et Tutti Quanti !
J'ai déplacé le post de Darkan dans le bon topic et ma réponse itou :
C'est du Aelghir donc fluide et bien écrit dans l'ensemble, rien à dire sur la forme. Un seul truc m'a chiffoné. Dans le prologue la description du chemin : Au début tu parles de "se fraie un difficile passage" et de "serpente" et après le chemin est "égal", "lisse comme du verre". Ca m'a un peu perturbé car je m'imaginais un chemin étroit et accidenté au début et il a fallut revoir tout ça quelques lignes plus loin. Après c'est personnel mais je te dis comment j'ai vu la chose.
Sinon j'ai vraiment aimé le prologue mais moins la suite mais c'est surement car j'accroche pas trop aux histoires de marins (Les aventuriers de la mer j'ai plutot aimé mais sinon ...)
Enfin voila mon petit commentaire la dessus. Le prologue m'a quand même assez accroché pour que je lise la suite si jamais tu la poste...
Bonne continuation!
Quelques oublis de mots, c'est vrai, je m'en vais revoir ça. Par contre la survenue avait retenu (il n'y apas d'accord puisque c'est l'auxiliaire avoir)
Le chemin est étroit et tortueux mais son sol est lisse, ça ne me semble pas contradictoire tout en l'étant C'est une forêt pas comme les autres. L'un n'empêche pas l'autre mais font contraste, normal.
Ce n'est pas vraiment une histoire de marin. Mais plutôt une histoire de haine et d'amour. C'est juste que je voulais sortir un peu du milieu où évoluent mes précédents personnages, donc j'ai utilisé une famille de marchands.
PS pour les commentaires, j'ai un topic réservé, en tous cas merci.C'est là !
Chevalier un jour, Chevalier toujours ! Montjoie Saint Denis et Tutti Quanti !
J'ai repris l'écriture après une assez longue eclipse que je ne m'explique pas. Fatigue sans doute...
J'envoie donc le chapitre 19 des Ailes du Traitre, qui est plutôt un chapitre de transition.
Parallèlement je vais continuer l'autre histoire toujours sans titre.
(et pour répondre à Caldazar en retard, oui, je compte bien être sadique)
Chevalier un jour, Chevalier toujours ! Montjoie Saint Denis et Tutti Quanti !
Les Ailes du Traître sont en lecture libre. Ainsi que l'autre que j'ai commencé depuis peu et qui n'a pas encore de titre. D'ailleurs, je vais bientôt terminer un nouveau chapitre pour cette histoire.
Sinon, je peux t'ouvrir Desdichado (qui est sur la page suivante, je crois)... mais pas Les Chroniques du Protecteur (pour cause de réécriture.)
Chevalier un jour, Chevalier toujours ! Montjoie Saint Denis et Tutti Quanti !
Post de Bibilovitch :
J'ai vraiment beaucoup aimé. Il y a une ambiance bien particulière, des personnages bien particuliers: bref c'est du tout bon et on attend la suite avec impatience.
Le style est quasi parfait alors j'ai un peu de mal à faire des critiques mais j'ai noté deux /trois petites choses.
"Elle contient un cri mais pas un soupir de soulagement lorsqu’un espace dégagé s’ouvre brusquement devant elle"
Je trouve que cette phrases est mal formulée; C'est un avis perso.
Earl Tann Baerath est parfois appelé "Père" tout cours pendant le récit, moi ça m'a fait tiquer étant donné que le texte n'est pas écrit à la première personne.
"Père" est utilisé parfois en pleine phrase avec une majuscule et parfois sans.
Bon bien sur ça ne change rien à la qualité du texte qui me fait d'ailleurs beaucoup penser (et dans ma bouche c'est un grand compliment ) à Raymond E Feist: "l'ascension d'un prince marchant".
Chevalier un jour, Chevalier toujours ! Montjoie Saint Denis et Tutti Quanti !
Venant d'un jouteur classé second aux dernières joutes, ton appréciation me touche.
J'ai rectifié la phrase que tu as trouvée à juste titre mal formulée.
Quant au "père" sans déterminant, c'est un choix stylistique que j'ai fait parce que, même si le texte n'est pas écrit à la première personne, il est centré sur un personnage, son vécu, ses pensées, d'abord Yestîn puis Trent. Puis je repasserai à Yestîn. Donc, l'un ou l'autre fils pense à Earl comme "père" et non comme "le père". S'il y a une majuscule à père en pleine phrase, c'est une erreur que je rectifierai. Mais si ça dérange le lecteur, ce père sans déterminant, je peux revoir ma copie. Vos avis, svp ?
Je serais plutôt partisan de Père avec une majuscule, car les fils traitent leur père avec respect, visiblement, donc probablement (enfin c'est mon interprétation) pensent à lui avec une majuscule.
La première fois où tu parles de la mère de Yestîn, c'est pour dire qu'elle lui a enseigné la peinture et la musique, et ensuite on apprend qu'elle est morte 10 ans plus tôt, incohérence?
Je trouve le personnage du père marchand un peu brut de coffre et son attitude pas toujours très logique. Après l'arrivée du bateau, il est maussade lors du retour en carriole et volubile lors du repas, pourquoi? Il vient de réaliser d'énormes profits avec son bateau, pourquoi s'énerver pour des broutilles auprès de son fils?
"Il la parcourut des yeux mais ne posa son regard sur aucune des femmes en tenue légère qui la peuplaient." Je ne trouve pas très crédible ce passage...
Un peu trop d'insistance à mon goût sur la rivalité entre les frères pour l'héritage, cela revient plusieurs fois en peu de temps.
Voilà, je passe sur les commentaires élogieux que le texte mérite sûrement. Je les garde pour la publication.
Chevalier un jour, Chevalier toujours ! Montjoie Saint Denis et Tutti Quanti !
Je reviens sur tes remarques
Qqs remarques sur les maîtres marchands :
La première fois où tu parles de la mère de Yestîn, c'est pour dire qu'elle lui a enseigné la peinture et la musique, et ensuite on apprend qu'elle est morte 10 ans plus tôt, incohérence?
Il avait 10 ans à sa mort, puisqu'il a 20 ans. Elle a commencé à l'enseigner jeune mais c'est vrai que s'il s'est arrêté à ce moment là, c'est un peu juste. Je vais lui trouver quelqu'un qui aura continué à lui enseigner au moins la musique car il est important pour la suite de l'histoire qu'il soit un bon musicien.
Je trouve le personnage du père marchand un peu brut de coffre et son attitude pas toujours très logique. Après l'arrivée du bateau, il est maussade lors du retour en carriole et volubile lors du repas, pourquoi? Il vient de réaliser d'énormes profits avec son bateau, pourquoi s'énerver pour des broutilles auprès de son fils?
C'est son caractère, il est peu laudatif par rapport à ses fils mais bon, je vais le rendre plus content durant le retour.
"Il la parcourut des yeux mais ne posa son regard sur aucune des femmes en tenue légère qui la peuplaient." Je ne trouve pas très crédible ce passage...
J'vais revoir ça.
Un peu trop d'insistance à mon goût sur la rivalité entre les frères pour l'héritage, cela revient plusieurs fois en peu de temps.
La rivalité des deux frères par rapport à l'héritage ainsi que leurs sentiments sont importants pour la suite de l'histoire. Ils y pensent beaucoup l'un l'autre. Est-ce vraiment dérangeant d'insister là-dessus ?