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J'ai lu La Tisseuse - Contes de fées, Contes de failles un recueil de contes magnifique.
C'est très très bien écrit et surtout très envoutant.
Un peu difficile à lire quand meme.
Est ce quelqu'un a déjà lu un de ces romans ou un de ces contes? et quel est votre avis?
C'estcertes bien écrit, mais je trouve que c'est Trop bien écrit... Tout est vraiment enjolivé en mots et autres, donc c'est beau à lire... Mais au final, je trouve qu'on ne suit vraiment pas l'histoire et on ne s'attache pas aux personnages :/
Le texte était trop travaillé à la limite, plus travaillé sur les mots que les personnages. Enfin c'était agréable à lire, même si je n'étais pas attachée à l'histoire XD
Après mes larmes - la plénitude de mon souffle blanc (H. Takako)
J'ai également lu La Sève et le Givre et j'ai eu du mal à le lire au tout début. Mais une fois plongée dans le texte, j'ai été littéralement envoutée par ce monde, certes complexe, mais fascinant. Je ne me lasse pas de le lire à l'occasion car j'ai l'impression de me retrouver dans certains des personnages, comme par exemple Herne le Chasseur. Ce qui est étrange, c'est que les personnages sont des Fées: des êtres immortels pleins de grandeur, et qui sont sensés ne pas connaître les douleurs et peines propres aux humains. Mais justement, au fil du texte, on découvre que ces être pleins de magnificence sont aussi pleins de failles et de faiblesses. Je crois que c'est ce qui m'a touché dans ce livre: la beauté du monde féerique mais aussi la psychologie complexe et imprévisible des personnages.
Nouvelle sur le forum, je ne pouvais pas ne pas directement me diriger vers ce topic.
Il y a tant à dire sur cette écrivaine, que je ne sais pas par où commencer.
Je l’ai découvert assez ‘tardivement’ avec son premier roman « La Sève et le Givre » et j’ai tout de suite été emporté par sa prose poétique. Cette Dame à une façon absolument hallucinante de conter ses histoires. Elle nous envoûte au fil des mots, elle nous fait découvrir des mondes que l’on n’aurait pas vus même en songes, elle fait naître en nous des sentiments que l’on ne soupçonnait même pas…
En tout cas, c’est ce que moi j’ai ressentit et ressent encore avec ce premier roman et tout ce qu’elle écrit.
Depuis, je collectionne tous les textes que je trouve d’elle, toutes les collections, tout simplement parce que la couverture est différente. Des livres que je garde comme des joyaux. Je dois dire que c’est la seule auteure que je ‘collectionne’, parce que je reprend régulièrement ses œuvres, pour relire tel ou tel passage qui m’avait marqué.
Là je relis « La Sève et le Givre » et je me rend compte, que mon émerveillement est toujours intact, chaque pages, chaque passages est comme si je le découvrait pour la première fois. Et cette lecture est d’autant plus plaisante, qu’au fur et à mesure des textes que j’ai lu, que ce soit dans son recueil « La Tisseuse » ou encore « Musiques de la Frontière » ou même d’autres des ses histoires « Trois fois » sortit dans Fiction2, je me rend compte que chaque histoires est ‘liées’ l’une à l’autre. Je n’avais pas vraiment remarqué cela avant que l’auteur m’ouvre les yeux sur les ‘indices’ qui s’éparpillent dans ses textes.
C’est hallucinant, comme on peut découvrir différemment « La Sève et le Givre » après avoir lu certains textes. J’ai l’impression de redécouvrir l’histoire, de mieux la comprend certainement, de mieux visualiser le monde que Léa Silhol nous fait découvrir…
Je pourrais, je pense parler des heures sur cette auteure, juste parce que j’aime ce qu’elle nous conte et plus encore sa façon si particulière de nous conter ses histoires.
Encore moi
Le dernier roman de Léa Silhol "La Glace & La Nuit" est sortit en Avril chez Les Moutons Electriques
C’est avec une grande ‘excitation’ que j’ai ouvert ce livre, d’une part parce que j’ai aimé profondément « La Sève et Le Givre» et d’autre part, parce que je suis une fan de l’auteure, mais ça ce n’est un secret pour personne
C’est donc, tout naturellement, seule, avec juste de l’encens pour me tenir compagnie que j’ai tourné la première page et commencé à lire.
Nigredo est loin d’être un livre quelconques, c’est un livre qui ouvre les esprits !
Il nous met face à face aux décisions, au choix de notre 'chemin’, lequel vais-je prendre ?
On se pose des questions, on cherchent les réponses ont réfléchies et plus que tout on grandit face cette situation.
On évolue, comme évolue Kelis dans l’histoire. On apprend… beaucoup, sur nous, mais également sur eux, les personnages de La Sève et Le Givre.
J’ai été ravie de retrouver Angharad et Finstern, la scène de leur venu est absolument stupéfiante !
Tout comme la séquence entre la Cailleach et Kelis, j’en étais glacée jusqu’à l’os, croyez-le, j’ai comme eu l’impression que des flocons s’engouffraient dans la pièce, j’en ai senti le froid mordant et j'ai remonté mon plaid sur mes épaules.
Nigredo est donc, loin d’être un livre quelconque, c’est un livre mystérieux, énigmatique, au même titre que son prédécesseur, il nous invite à fouiller dans les autres textes Silholiens à la recherche de réponses dont on aurait sans doutes omis d’enregistrer dans nos esprits.
Ainsi, j’ai repris mon exemplaires de « La Tisseuse » et j’ai relu ‘Frost’, j’ai repris « La Sève et Le Givre » aussi, parce que j’avais besoin d’éléments dont je n’avais plus trop le souvenir, et c’est comme ça qu’on apprécie la lecture de Léa Silhol, parce que tous ses textes se rejoignent, s’entrechoquent, se recoupent… et c’est absolument merveilleux !
Je ne saurai que trop vous dire de le lire et d’inviter pleinement ceux, qui hésitent encore, à vous le procurer
Je parcourt le forum pour prendre de vos conseils au sujet de nouveaux livres à lire et que vois je ? un topic sur Léa Silhol. Oh merveille.
Je risque d'être peu objective dans ce que je vais dire tant cette écrivain est une révélation et un coup de coeur pour moi. Sa prose peut certes dérouter tant elle est poétique mais quel bonheur, quel talent, quelle beauté dans les textes.
Cette auteur a été une bouffée d'air frais pendant une année d'étude particulièrement difficile (1ère année de concours). Je me plongeais dans la sève et le givre (que j'ai lu 7 fois) et je me laissais envouter par sa prose féerique. Jamais je n'avais lu avant une histoire qui m'apparaissait comme un rêve, qui répondait exactement à ce que je voulais lire. C'était une révélation.
J'ai donc recherché d'autres livres d'elle. J'ai réussit à dénicher les contes de la tisseuse. Recueil de nouvelles toutes plus agréables à lire les unes que les autres, ma préferé étant le vent dans l'ouvroir qui retrace l'histoire de la destinée faite femme par les dieux grecs. Avec talent, elle nous fait redécouvrir certains mythes qui après les avoir lu, nous font réflechir et nous font aussi rêver.
J'ai aussi déniché "Conversation avec la mort" qui retrace en douze nouvelles (réparties sur les douze heures de la nuit) le dialogue entre un écrivain et la mort en personne. Tantôt sombre et sauvage, tantôt émouvant et tendre, on se laisse prendre par ces histoires qui nous surprennent par leur poésie. Un vrai régal.
Enfin, je crois que je ne pourrai mieux décrire La glace et la nuit que ne la déjà fait Maria. Un vrai rêve éveillé, un plongeon dans un monde féerique.
Ca touche au coeur, ça fait soupirer. Angharaad et Finstern font ainsi partis de mes personnages préférés. Réussiront-ils à sauver Faerie de l'oubli dans lequel les enferment les hommes qui ne croient plus en eux ? Réussiront-ils à conquérir Seuil, la Cour oubliée pour conserver leur nature et leur liberté ?
Résultat, je recherche avec passion et même folie tous les livres qu'elle a écris ou édités. Je suis comblée puisque normalement à noel, je recevrai 38 livres des éditions l'Oxymore, dont Lea Silhol était la directrice de la maison d'édition (qui a malheureusement fait faillite ). Des romans, des recueils de nouvelles, des anthologies, sur toute la fantasy en général. Cela ne peut être que très prometteur.
Si jamais un jour vous tombez sur un de ses livres ou sur un livre des édition l'Oxymore, prenez le, vous ne serez pas déçu je pense.
Ah j'oubliais, Lea Silhol m'a aussi permis de découvrir la maison d'éditions les moutons électrique qui éditent des livres magnifiques et dont les histoires sont de grande qualité, du moins, c'est mon point de vue. J'ai beaucoup aimé Janua Vera de Jean-Philippe Jaworski et compte bien m'acheter la trilogie du Latium de Thomas Burnett Swann.
Excusez moi, à force d'avoir reparlé de Lea Silhol, il faut que j'aille relire quelques passages de La glace et la nuit.
Je me permet de remonter ce topic pour ajouter quelques précisions sur Léa Silhol est aussi parce qu'il y a pleins de nouvelles a raconter...
Léa Silhol et moi c’est une longue histoire de respect.
J’ai commencé mon « apprentissage » à sa plume avec son premier roman (voir bibliographie ci-dessous), depuis j’ai été littéralement passionné de tout ce qu’elle a écrit.
J’ai quasiment tout lu de Léa Silhol et je reste toujours à l’affût de tout ce qui est a venir.
‘Trois fois les Parques ont parlé, et en accord avec leurs prophéties de ruine, Finstern, Roi de la Cour unseelie de Dorcha, doit mourir. Sauf si... Comme une dernière chance, ou un danger supplémentaire, des puissances contraires mettent au monde Angharad, née du printemps et de l'hiver, de l'élan et de la mort. Elle peut contrecarrer le destin de Finstern, ou le précipiter, et s'avance sur l'échiquier en Reine Blanche, porteuse du pouvoir de trancher entre des myriades d'intérêts divergents. Mais sans savoir quel est son destin, ni le prix qu'elle devrait payer pour écarter Finstern du sien. Au cœur des affrontements entre les fées d'Ombre et de Lumière, les Fatalités et les anciens dieux, Angharad cherche une voie qui lui soit propre, chacune de ses décisions engageant à la fois l'équilibre de la Féerie, et des Terres de Mortalité...’
La suite « LA GLACE ET LA NUIT - I – NIGREDO » est sorti le 20 avril 2007 chez Les Moutons Electriques
‘Le vent a soufflé sur le Royaume… En Hiver, la Reine des Neiges déchiffre la Trame du Temps et voit venir les jours derniers, la fin de tous les Chants. Elle confie à l’un des membres les plus inattendus de la Cour Froide une mission capitale, porteuse de tous ses espoirs : retrouver Angharad, Dame de la Sève et du Givre, qui a quitté les Dix-Neuf Royaumes depuis deux cents années mortelles. La retrouver, la ramener, telle est la mission de Kelis, le barde incertain qui connaît si peu le monde. Un acte désespéré, dont tout dépend. Et Kelis, fou blanc, s’avance sur l’échiquier de sa souveraine, sans se douter qu’il va entraîner, à chacun de ses pas, le plus grand changement qu’ait connu la Féerie. S’avance, tandis que le temps coule comme de l’eau... A travers les pièges des fiefs d’Ombre. Les envoûtements de Nicnevin. Les chasses unseelie et les jeux de Lumière. Les plans des Monarques des Trois Clartés. Les alliances avec les dieux étrangers. Les épées élevées des Nishven et l’art antique des filidh. Les routes à créer et les héritages à accepter. Sur les pas d’Angharad et Finstern, jusque dans leur volontaire exil. Vers la fracture des Cours, la guerre contre la Mortalité, et vers la promesse de la plus périlleuse des Cours. Vers l’espoir de Seuil.’
Notez que le troisième volet « La Glace & la Nuit / opus II / Albedo » sortira courant 2008 chez Les Moutons Electriques
--) Quelques mots… « La Séve et Le Givre » est très certainement le plus beau livre qu’il m’est été de lire, sans compter la suite qui m’a complètement bouleversé. Je vous recommande vivement de vous procurer ses livres, elle a une plume vrai.
Recueils :
« Musiques de la Frontière »
‘Début des années 2000… des enfants "différents" apparaissent dans des familles humaines. Doués de physiques et de pouvoirs étonnants, ils sont très vite assimilés aux changelings, les enfants-fées, et soupçonnés d'avoir été laissés en substitut des véritables enfants mortels. Commence alors une cabale sans précédent, aboutissant à l'abandon en masse de ces enfants dans des Centres, prisons et mouroirs gérés d'une poigne de fer. De cette génération perdue, et sous l'égide d'un chef charismatique, Shade, émergera une rébellion qui amènera ces enfants devenus grands à hanter nos cités, à mettre le feu dans les rues. À travers guerres des gangs et courses éperdues, sacrifices et actes de fraternité, suivez les destin de Shade et Ash, Fallen et Jay, Hunter et Gift, d'une vie délivrée de ses chaînes vers un havre promis, une cité mythique au bord du monde. La ville-fée de Frontier, où les arbres poussent dans les maisons et la magie régit le quotidien. À travers une fresque écrite au glamour et au couteau, de coups de feu en amour fou, d'encres enchantées en rites claniques, qui a déjà conquis des milliers de lecteurs et été nominée déjà à de multiples Prix. Une ode à l'esprit d'aventure et à la fraternité qui redéfinit le monde comme un état de perpétuel enchantement…’
« La Tisseuse » 2004
‘Si les Parques, qui écrivent notre Destin, avaient des voix, seraient-ce celles de l'eau ? Se feraient-elles rivières pour nous conter, tumultueuses, le sort de ceux qui trichent avec la Fatalité ou le chant des Banshee ? Deviendraient-elles sources murmurantes, secrètes, pour répéter ce que dit la Mort quand on l'enferme, ou les dieux qui ne peuvent trouver leur propre visage ? Envoûtantes, peut-être, pour narrer la chute de l'artiste et le passage dans la forêt du Seigneur de la Haute Nuit ?… et puis fatales, tempétueuses, pour dire le coup de sabre du Samurai, la vengeance de l'hiver… Et comment, comment encore, pour la mort de la dryade, l'amour des frères, la passion des amants ? Des voix d'eau, de vagues et de torrents. La voix unique, toujours, de la Tisseuse, pour des histoires de fées et de déesses, de fantômes et de dieux tombés, de lumière et de nuit, de beauté entière et de cruauté absolue…’
« Conversations avec la Mort » 2003
‘Dans une maison obscure, durant les douze nuits les plus dangereuses de l'année, un écrivain noue avec la Mort en personne un dangereux dialogue.
L'enchantant de ses récits, à l'instar d' une moderne Schéhérazade, il lui montre son propre visage à travers le miroir de nos yeux. Nos yeux de mortels, de tombes ensevelies dans le désert à d'étranges laboratoires ; d'opéras viennois en planètes portant le nom d'antiques Enfers ; de studios d'étudiants sanguinaires aux rues gelées de New York…
Mais au travers, aussi, de l'âme trouble des hommes, de démence d'artiste en amour d'enfant, de prédation en sacrifice.
Et la Mort écoute, tandis que dehors le monde se tait…
Le temps de douze nouvelles, du Fantastique à la Science-Fiction, découvrez l"autre voix" de la conteuse Léa Silhol, quand la "Tisseuse" ès Fantasy trempe sa plume à l'encre rouge…’
Il y a également les nouvelles isolées, dans divers revues et anthologies clic clic --) Nouvelles
‘C’est le moment où le pas bronche. La chute, le whirl, le vertigo.
A trop voir, à ne pas assez (sa)voir. Ils tombent.
Les Anges, les Ouvreurs, les assassins.
Les vivants et les morts. Les saints et les maudits.
Tombent.
Comme Satan, comme l’éclair… (ah)
C’est un problème de perception. De supplément d’âme.
C’est un phonème de distorsion. C’est un aria, un rap, le buzz de l’alarme.
C’est un mixdown, une restructuration, un bris.
Remix, long-dub, familiarité, altérité. Dessus dessous, de l’ordre au désordre.
(on prend tout, on casse tout, on scratche, on recommence)
En français, en anglais, en citations, chasse à courre, codes.
C’est dans la rétine. C’est dans ma rétine.
La tache, le distinguo, le noise.
C’était là tout le temps.
(do to follow me ?)
This is the shape of things to come.
(do you follow me ?)
This is the new shit.’
--) Ce recueil s’annonce comme un grand chanboulement, une détonation, un grand BOUM pour les lecteurs.
Il est encore possible pour quelques jours de souscrire à Fo/véa sur le site de l’éditeur, sachez également qu’une édition collector très spécial a été tiré de ce recueil, allez vite voir sur le site Edition collector !
Je ne saurai en dire plus que ce que tu as déjà écrit Maria.
Lea Silhol est pour moi une fée, c'est le seul mot qui me vient à l'esprit en cet instant en repensant à tout ce qu'elle a écrit et qui m'a fait rêver.
J'attends Fovéa avec impatience prévu pour la fin de la semaine, enfin.
Quant à La glace et la nuit, Albedo, je souhaiterai tellement l'avoir pour l'agreg. L'année dernière, pendant les oraux, nigredo m'avait été d'un grand réconfort, d'un grand soutien, un vrai dépaysement, une bouffée d'oxygène.
Quant à La glace et la nuit, Albedo, je souhaiterai tellement l'avoir pour l'agreg. L'année dernière, pendant les oraux, nigredo m'avait été d'un grand réconfort, d'un grand soutien, un vrai dépaysement, une bouffée d'oxygène.
Qu'est-ce que c'est l'agreg ???
un examen ? pour quand ? Juin ?
Il faudra certainement attendre un peu pour Albedo je suppose, mais tu peux déjà lire sur le site de Léa Silhol qu'il y aura une nouvelle dans l'anthologie de Lucie Chenu "De Brocéliande en Avalon" qui sortira chez Terre de Brume pour le printemps, ça t'aidera certainement à supporter ce stress
Et puis Fo/véa sera là pour te soutenir... tic tac tic tac
Au pire, si tu as besoin de réconfort, relis encore et encore 'Nigredo'
Fo/véa est sortit il y a a peine une semaine et déjà il doit être réimprimé, car tout est parti !
Et vous, vous avez votre exemplaire ???
Ce livre est une bombe !
La maquette est précise, différente de tout ce dont vous avez pu lire. C’est un livre, mais pas un livre.
Léa Silhol, une fois de plus, m’a scotchée.
Fo/véa, un vertige, une sensation bizarre.
Une vérité qui reste ancrée au fond du cœur.
Un souffle de plus dans nos poumons.
Une lame aiguisée qui nous ouvre l’âme.
C’est beau, c’est douloureux, c’est violent, c’est vrai, c’est des paysages, des ethnies, c’est la vie.
Je l'ai commandé samedi dernier au calepin jaune par paypal, mais je n'ai toujours rien reçu. Moi qui voulait l'avoir en revenant de mon épreuve de physique, snif. Peut être demain ou samedi.
Je n'ose entamer d'autres livres, tellement je suis impatiente de lire celui-là. Je l'attends depuis si longtemps. ^^
J'ai aussi commandé lettres aux ténèbres aux éditions du calepin jaune.
Je l'ai commandé samedi dernier au calepin jaune par paypal, mais je n'ai toujours rien reçu. Moi qui voulait l'avoir en revenant de mon épreuve de physique, snif. Peut être demain ou samedi.
Je n'ose entamer d'autres livres, tellement je suis impatiente de lire celui-là. Je l'attends depuis si longtemps. ^^
J'ai aussi commandé lettres aux ténèbres aux éditions du calepin jaune.
Ô Kellen, comme tu as eu raison...
Ne t'en fais pas il viendra, je me doute que tu dois être hyper impatiente, il va arriver très certainement
Tiens-moi au courant dés que tu l'auras !
Tu as pris quelle version ??? Collector ou regular ?
Oh merveille des merveilles.
Je viens de le recevoir Maria. Mon copain m'en a fait la surprise en sortant de mon épreuve de chimie. Il tenait 2 enveloppes bulles que j'ai délicatement ouverte. (j'ai tout déchiré en sautillant ).
Je m'en vais le commencer de suite.
Il est magnifique, semble pleins de surprise à ce que j'ai vu au niveau des mises en pages et des photos. J'ai reconnu de suite les illustrations d'estelle valls de gomis et de PFR. Et ce thème, ah, tout ce que j'aime.
J'ai pris la version regular. Vu comment elle est belle, je n'imagine même pas comment aurait pu être l'édition collector.
Allez, allons se noyer dans le vertige et la chute.
Oh merveille des merveilles.
Je viens de le recevoir Maria. Mon copain m'en a fait la surprise en sortant de mon épreuve de chimie. Il tenait 2 enveloppes bulles que j'ai délicatement ouverte. (j'ai tout déchiré en sautillant ).
Je m'en vais le commencer de suite.
Il est magnifique, semble pleins de surprise à ce que j'ai vu au niveau des mises en pages et des photos. J'ai reconnu de suite les illustrations d'estelle valls de gomis et de PFR. Et ce thème, ah, tout ce que j'aime.
J'ai pris la version regular. Vu comment elle est belle, je n'imagine même pas comment aurait pu être l'édition collector.
Allez, allons se noyer dans le vertige et la chute.
Ah ! Je suis super contente pour toi !
Et bien la version collector est toute en couleur, magnifique
Pour décrypter les codes c'est plus facile je pense... quoi que je sèche dans tous les codes héhé, mais bon je m'acharne, je m'acharne !
Bonne lecture, surtout dés que tu as fini, n'hésite pas à poster partout tes impressions !
JE pense me mettre à léa Silhol prochainement à lire vos posts enthousiastes.
Par contre je ne sais pas trop par qui commencer. que me conseilleriez vous?
Mélisande,
Jamais trop tard pour lire du Léa Silhol, a que non ! :-D
Je ne saurais te répondre, es-tu capable de tous lire en même temps ??? ^_^
J'ai commencé par "La Sève et Le Givre", j'y ai découvert un monde fantastique, a partir de là, ma 'vision' de la vie a changé, parce que, honnêtement, tu ne sors pas indemne d'une lecture comme celle-là, tu en deviens plus fort, mieux, plus 'Vrai'... ensuite j'ai lu tout au fur et à mesure, j'ai évolué au gré des textes qui sont apparut de plus en plus fort et qui se sont bien 'intégré' aux différents événements que je vivais... alors t'en conseiller un, plus qu'un autre est difficile pour moi dans la mesure ou TOUS sont indispensables.
Qu'aimes-tu lire ?
Quel est l'état de ton esprit en ce moment ?
"La Tisseuse" est un bon recueil pour te 'familiariser' avec la plume de Léa Silhol.
"La Sève et Le Givre" est ce qui se fait de mieux en Roman à mes yeux, "Nigredo", la suite aussi.
"Fo/véa" est la 'claque' qu'il nous faut, un livre très particulier, tant par son contenu que par ce qu'il nous donne comme sensation.
"Musiques de la Frontière" est une pure merveille, tu y découvre des gens exceptionnels !
Je te conseil c'est quatre là pour 'démarrer' et ensuite, comme nous, tu deviendras accrocs, et tu suivra la route avec Léa Silhol au gré de ses différentes parutions, et c'est une très bonne drogue !
Ah Maria m'a précédé de quelques minutes, c'est ça de mettre trop de temps à formuler ces pensées en choses cohérentes. Surtout quand il s'agit de Léa Silhol, je n'arrive jamais à dire avec précision ce que je ressens en lisant ses livres. ^^
Dans les livres encore facilement disponibles : il y a la sève et le givre (éditions points). Le 1er roman de Lea Silhol qui est ensuite suivit par La Glace et la Nuit, nigredo (éditions moutons électriques).
Ces 2 romans se suivent et sont très agréable à lire, fascinant.
Ils retracent l'histoire d'Angharad la Blanche ( une fée née de l'union du fils de la reine de la cour d'hiver et d'une dryade. Elle possède donc des dons très particuliers qu'aucune autre fée n'a eu à ce jour. Pourquoi ? ahah ) et de Finstern, l'un des neuf seigneurs des cours d'ombre de faerie. On découvre un univers merveilleux, un monde très poétique, surprenant. Pour moi, ce fut un rêve en couleurs, parfait.
C'est ce que je te conseillerai de lire en 1er.
Perso, j'ai commencé par La sève et le Givre, et j'en suis tombée amoureuse, c'est mon gros coup de coeur. Je ne peux donc que te le conseiller.
Après, si tu veux lire des nouvelles, il existe un autre recueil qui, lui, rassemble des nouvelles sur Frontier : une ville de fées en marge de notre monde contemporain. Il s'intitule Musique de la Frontiere. En gros : Des enfants un peu particuliers apparaissent dans notre monde et du fait de ces dons et de leur apparence proche des fées, ils sont rejetés par la société qui veut alors les parquer dans des centres, mais certains refusent cet isolement. C'est donc l'origine de Frontier, sa quête, ses liens, sa coexistence avec l'humanité qui sont retracés. Je suis restée scotchée littéralement sur chaque histoire, certaines étaient touchantes, poignantes, d'autres presque violentes, mais c'est toujours très beau.
Enfin, il y a Conversation avec la mort et les Contes de la tisseuse, qui sont presque introuvables. Mais si jamais tu aimes vraiment l'univers de Léa Silhol, je les ai en double, je pourrai te les passer si tu veux.
Pour Fovéa, je suis en train de le lire, je pense qu'en 1ère lecture de Léa Silhol, cela pourrait étonner un peu. Comme elle l'a dit elle même sur son site, c'est le bouquin le plus étrange qu'elle est fait jusque là. Mais quel livre. On en tombe à la renverse.
Je viens de finir La Sève et le Givre, roman fort sympathique, la prose s'adapte impeccablement bien à l'univers : pour parler de Faërie, il faut de la poésie (cf Thomas le Rimeur).
Vous pouvez dés à présent voter pour le Prix Rosny.
Léa Silhol est en compétition pour sa nouvelle
"Winter Wonderland Inc." (in Les Noëls électriques, LES MOUTONS ÉLECTRIQUES
Mais notez bien que le liste n'étant pas exhaustive, vous pouvez voter pour les texte parus en 2007, donc, toujours de Léa Silhol, est logiquement en compétition également:
"Point du Jour" (in Fées Divers)
"Passing By" (in Khimaira)
Comme vous me l'aviez dit c'est une véritable claque Je ne suis pas sûre d'avoir les mots pour exprimer ce que j'ai ressenti en le lisant.
C'est d'une beauté renversante, un livre plein d'émotion. Léa Silhol est une Conteuse comme il n'y en a guère et on ne peut sortir indemne de cette lecture.
Je commande la suite dès que possible et essayer de me procurer la sève et le givre dans une plus velle édition que ce livre de poche que j'ai trouvé. Un aussi beau livre mérite un meilleur cadre
Je viens d'apprendre qu'aux moutons electriques, un autre livre de Lea Silhol est prévu.
Comme Albedo, la suite de nigredo (suite de la sève et le givre) ne sort pas avant 2009, Lea Silhol a prévu autre chose pour nous faire patienter : le 20 juin normalement sortira Avant l'hiver, architechtonique des clartés.
« Le visage des Cours est complexe. Sans ‘histoire écrite’ et tissé de secrets, de rites, de complots. Un lacis d’obligations contraires, de nasses, de pièges. Où le mensonge est une arme, et le mystère un bouclier. Derrière son énigme, le Peuple de Féerie cache un cœur trouble, qu’il n’a cure de rendre intelligible. Au contraire. Ici, toujours, les routes servent davantage à perdre qu’à guider. C’est déjà, en soi, un défi que de décrypter nos voies. Mais le seul fait d’entreprendre ce que nous avons entrepris est, aussi, faire œuvre interdite. Certains nous la reprocheront, même parmi ceux qui, comme nous, ont choisi la voie de Seuil. On ne prend pas le risque de dévoiler les enchantements de Tir-na-nOg ou de Dorcha sans en payer le prix. Mais au-delà de nos voiles, de nos ruses, de nos cruautés… nous devons enfin savoir, oui, comme le disait Elzeriad, ‘ce qu’il en est, au final, de notre monde’.
La Féerie est un piège. Un piège, Morgane, y compris pour nous. À la fin, même cela, ou surtout cela, devra être renoncé, et dissout.
Ah, un autre livre magique pour me faire passer la pillule des oraux. Merci
Sinon Melisande, si tu veux, je pourrai te donner les Contes de la tisseuse et Conversation avec la Mort, si cela te dit. Je les ai en double en belle édition et pensais les donner à quelqu'un qui appréciait l'univers de Léa Silhol et qui voulait s'y plonger.
Malheureusement, je n'ai qu'en un seul exemplaire La sève et le givre en belle édition.
Je viens de finir Musiques de la Frontière
J'ai été scotchée par ce livre. Il se dégage de ces nouvelles une beauté sauvage difficilement contenue. On ne peut en sortir indemne.
De Fallen à Gift ou Joy on suit tous ces personnages en passant par des kyrielles d'émotions, de la mélancolie à l'horreur en passant par la joie et la peine.
Un livre sublime qu'on a de la peine à refermer!
Mais j'espère que je vais recevoir bientôt la Glace et la Nuit ou ceux que tu m'as promis Kellen parce que je suis devenue accro!
Ça y est, c'est mon tour de me mettre à "Frontière"! Mélisande m'a lue les deux premières nouvelles, on en sort pas indemne! Je dois même avouer avoir pleurer pour la première! ( Et c'est rare que je pleure pour un livre )
Nouvelle parution dans le monde de Léa Silhol.
Après un saut dans le vide avec Fo/véa, c’est a travers les carnets de Kelis, que l’auteure nous emmène, directement au coeur des cours Vertigen.
Ce roman, qui en annonce d’autre dans la même collection est disponible chez Les Moutons Electriques
« Le visage des Cours est complexe. Sans ‘histoire écrite’ et tissé de secrets, de rites, de complots. Un lacis d’obligations contraires, de nasses, de pièges. Où le mensonge est une arme, et le mystère un bouclier. Derrière son énigme, le Peuple de Féerie cache un cœur trouble, qu’il n’a cure de rendre intelligible. Au contraire. Ici, toujours, les routes servent davantage à perdre qu’à guider. C’est déjà, en soi, un défi que de décrypter nos voies. Mais le seul fait d’entreprendre ce que nous avons entrepris est, aussi, faire œuvre interdite. Certains nous la reprocheront, même parmi ceux qui, comme nous, ont choisi la voie de Seuil. On ne prend pas le risque de dévoiler les enchantements de Tir-na-nOg ou de Dorcha sans en payer le prix. Mais au-delà de nos voiles, de nos ruses, de nos cruautés… nous devons enfin savoir, oui, comme le disait Elzeriad, ‘ce qu’il en est, au final, de notre monde’.
La Féerie est un piège. Un piège, Morgane, y compris pour nous. À la fin, même cela, ou surtout cela, devra être renoncé, et dissout. » K.
Léa Silhol, cartographe émérite ès ‘envers du monde’, accompagne l’écrivaine Élisabeth Massal dans le labyrinthe d’une bibliothèque d’ombres et de murmures ; pour déchiffrer au spectrographe et au scalpel les carnets interdits de la ‘Trame’.
Ce premier Vertige s’exerce à démêler, aux côtés du barde Kelis, les écheveaux des Cours de Vertigen, des jours d’Aana aux batailles pour Érin, de la Chute de Tréaga aux pactes de Dorcha, jusqu’au bris des royaumes fae, et la venue des temps de Seuil, tels que relatés dans les romans La Sève et le Givre et La Glace et la Nuit.
Un seul mot à dire whaou! C'est dans la continuité de la sève et le givre sans toutefois ce côté trop travaillé qui peut géner certains.
Comme toujours chaque mot posséde sous sa plume une saveur particulière, siholienne.
J'attends la suite avec impatience et j'ai été captivée par tout ce que l'on apprend de plus sur les Cours et leurs habitants, Tara, Angharad et Finstern eux même...
Et une piste interessante s'ouvre rejoignant les deux univers de Léa Silhol que j'ai déjà parcouru celui des cours et celui de Frontier: Finstern et Angharad ne partent il pas à la recherche de la cour de Seuil, le nom que les fays donnent à Frontier? De plus dans il ne neige pas à Frontier, on apprend que Shade de Danaan (et Dana a été la première reine de la Seuil de Nigredo, coincidence?) a dû rechercher des objets pour trouver Seuil et la tirer de son oubli, comme Angharad et Finstern avec les hallows.
Coincidences? Je ne crois pas. Mais ça nous promet de nouveaux récits sur Frontier et là, je saute de joie
Bon bien sûr j'ai adoré. Certaines de ces nouvelles sont captivantes, musicales, envôutantes, on passe du rire au serrement de coeur en quelques pages.
J'ai particulièrement apprécié les contines d'ombre et de lumière, les mille ans de froid et la nef des fous et le récit de Titania Bien des choses obscures dans la Sève et le Givre trouvent ici leur explication
Toutefois il est presque regretable d'avoir eu ce livre avant Albedo, la suite de Nigredo. Même si il n'y a pas de révélations majeures sur la suite des évènements, j'aurais préféré me passer des quelques indices disséminés dans ce livre.
Je viens de finir coup sur coup les Contes de la Tisseuse et Conversations avec la mort.
Bon vous me connaissez, c'est du Léa Silhol donc j'ai adoré
Je marque toutefois une préférence marquée pour la Tisseuse. Les conversations sont écrites sur le même modèle qu'Avant l'Hiver, c'est à dire une série de nouvelle reliée par un fil commun: le barde Kelis qui réunit des témoignages, un écrivain qui parle à la mort. Léa Silhol qualifie ce procédé de "roman en morceau".
Et si ce procédé est bien mené dans Avant l'Hiver, il ne l'est pas vraiment dans Conversations et les nouvelles m'ont paru un peu trop dépourvues de liens. J'ai adoré la plupart d'entre elles mais le livre en tant que tout m'a décue sans pouvoir expliquer pourquoi.
Je vous conseille malgré tout les deux recueils qui restent du très bon Silhol. J'ai particulièrement aimé dans la Tisseuse la réutilisation de personnages mythologiques grecs comme la Gorgone ou Tanathos. Léa Silhol prouve ici encore sa connaissance des mythes et son habilité à les réécrire et les développer.
Léa Silhol est nommée dans les 2 catégories pour le prix merlin:
Romans//
Avant l'Hiver, de Silhol Léa, éditions Les moutons électriques
Nouvelles//
Désaccordé (Tuned in DAGDAD), Silhol Léa, dans De Brocéliande en Avalon, Terre de brume
De la Gorgone à sa fille, Silhol Léa, dans Les Enfants de la Chimère, Spootnik
Et c'est par içi qu'on file aux urnes clic clic --) Prix Merlin 2009
Nigredo ne veut pas sortir en poche
19€ le tome broché, ça me fait bien trop cher - mon dernier espoir : la bibliothèque..
Quand même depuis 2007 ils auraient pu faire un effort
Quasiment aucun de ses livres n'existent en poche, à part La sève et le Givre.. C'est regrettable !