La Pierre de Tear fait peau neuve ! L'aventure continue sur www.pierredetear.fr !
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Voici de quoi vous distraire ce week-end, en cas de pluie !
J'ai peu de force mais beaucoup de pouvoirs
Je garde les taudis comme les palais
Mais si mon Maître part
Il lui faut s'assurer qu'il m'emmène avec lui.
Difficile à trouver,
Difficile à garder,
Je cesse d'être, à l'instant
Où je suis découvert.
Plus vous en retirez et plus je deviens grand,
Mais je serai comblé si vous en rajoutez.
Bien qu'elle soit toujours noire, elle peut être blanche.
Ils sont au-dessus des rois.
Nul ne peut ignorer leur colère
Ils sont bien éphémères parfois
Et leur sang nourrit la terre.
Un virage qui ne mène nulle part.
Je viens de nul part mais puis être partout,
Je voyage plus loin que tout aventurier
Souvent, vous m'avez rencontré
Mais sans jamais me voir.
Lumières qui fuient la lumière.
Enfant de l'art, enfant de la nature
Sans prolonger les jours, j'empêche de mourir :
Plus le temps passe, plus je fais d'imposture,
car je deviens trop jeune à force de vieillir.
Un centenaire debout dans la froidure
Echange en moins d'une journée
Son pimpant couvre-chef coloré
Contre un semblable d'ivoire pur
Bien qu'habillé de neuf, l'ancien est esseulé
Car dans la plaine, l'hiver va le dénuder.
Je connais quelqu'un qui toujours m'est proche
Et qui pourtant dans le noir disparait.
Envers moi seul cette personne est loyale :
Une force invincible la contraint à me suivre
Mais bien qu'elle me touche je ne peux la sentir.
Je suis souvent tenue, mais rarement touchée
Je suis toujours mouillée mais ne rouille jamais
Parfois je suis pendue, parfois je suis mordue
Pour bien m'utiliser, tu dois avoir l'esprit vif.
A la fenêtre elle se tient en pleurant
Et avec chaque larme sa vie s'écoule.
Solide comme l'acier mais plus souple qu'une lame
Je ne suis rien de plus que des trous liés à d'autres trous.
Je connais quelqu'un qui toujours m'est proche
Et qui pourtant dans le noir disparait.
Envers moi seul cette personne est loyale :
Une force invincible la contraint à me suivre
Mais bien qu'elle me touche je ne peux la sentir.
J'ai peu de force mais beaucoup de pouvoirs
Je garde les taudis comme les palais
Mais si mon Maître part
Il lui faut s'assurer qu'il m'emmène avec lui.
Hum ! cela va vite... Idem sur autre forum... donc je passerai vers 18 h pour faire un point et découvrir si les 14 sont résolues... sinon ce sera dimanche ou lundi..
Enfant de l'art, enfant de la nature
Sans prolonger les jours, j'empêche de mourir :
Plus le temps passe, plus je fais d'imposture,
car je deviens trop jeune à force de vieillir
13/14 !! Excellent. Ne manque plus que l'enfant de l'art...
J'ai peu de force mais beaucoup de pouvoirs
Je garde les taudis comme les palais
Mais si mon Maître part
Il lui faut s'assurer qu'il m'emmène avec lui. ==> la clef
Difficile à trouver,
Difficile à garder,
Je cesse d'être, à l'instant
Où je suis découvert. ==> le secret
Plus vous en retirez et plus je deviens grand,
Mais je serai comblé si vous en rajoutez. ==> le trou
Bien qu'elle soit toujours noire, elle peut être blanche. ==> la nuit
Ils sont au-dessus des rois.
Nul ne peut ignorer leur colère
Ils sont bien éphémères parfois
Et leur sang nourrit la terre. ==> les nuages
Un virage qui ne mène nulle part. ==> un cercle
Je viens de nul part mais puis être partout,
Je voyage plus loin que tout aventurier
Souvent, vous m'avez rencontré
Mais sans jamais me voir. ==> le vent
Lumières qui fuient la lumière. ==> les étoiles
Enfant de l'art, enfant de la nature
Sans prolonger les jours, j'empêche de mourir :
Plus le temps passe, plus je fais d'imposture,
car je deviens trop jeune à force de vieillir.==> le portrait
Un centenaire debout dans la froidure
Echange en moins d'une journée
Son pimpant couvre-chef coloré
Contre un semblable d'ivoire pur
Bien qu'habillé de neuf, l'ancien est esseulé
Car dans la plaine, l'hiver va le dénuder. ==> un arbre
Je connais quelqu'un qui toujours m'est proche
Et qui pourtant dans le noir disparait.
Envers moi seul cette personne est loyale :
Une force invincible la contraint à me suivre
Mais bien qu'elle me touche je ne peux la sentir. ==> l'ombre
Je suis souvent tenue, mais rarement touchée
Je suis toujours mouillée mais ne rouille jamais
Parfois je suis pendue, parfois je suis mordue
Pour bien m'utiliser, tu dois avoir l'esprit vif. ==> la langue
A la fenêtre elle se tient en pleurant
Et avec chaque larme sa vie s'écoule. ==> la chandelle
Solide comme l'acier mais plus souple qu'une lame
Je ne suis rien de plus que des trous liés à d'autres trous. ==> la chaîne.
Deux pièces (A et B) à chaque extrémités d'un couloir.
Dans la pièce B, une ampoule éteinte.
Vous êtes dans la pièce A, face à trois interrupteurs (1 2 3). Un seul allume la lampe de la pièce B.
Votre mission, (si vous l'acceptez...), sera de trouver quel interrupteur allume la lampe. MAIS ! Dès que vous sortez de la pièce A, la porte se ferme et vous ne pourrez plus y revenir.
Donc, en quittant la pièce A, vous devez être certain de trouver, en entrant dans la pièce B, quel est le bon interrupteur.
(Il est bien entendu impossible de bloquer les portes, et la lumière n'est pas visible dans le couloir)
Facile: j'envoie mon fils dans l'autre pièce. Lui me dira si l'interrupteur allume l'ampoule Sinon, comme je suis très joueur je parie que c'est le deux: c'est pas la bonne méthode non plus ?