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Le saviez vous ?
(Sujet créé par Kyr l 12/08/06 à 15:35)
Voilà, une rebrique pour mettre des articles (le plus complets possible) sur tous les sujets susceptibles d'interesser !!
Mes articles sont parfois longs mais bon, on s'y fait
N'hésitez pas aussi à demander des articles ! Un sujet vous interesse ? Vous avez la flemme de faire les recherches ? Ou pas le temps ? Si quelqu'un d'autre est interessé, il peut se charger de rédiger ici un petit article
Vierge de la lance qui distille et pête une durite à l'occasion
N°1 : Le triangle des Bermudes !!!
Il existe ! Le saviez vous ? Et tout ce que l'on raconte à son propos, le saviez vous ? Et les trucs bizarres ?
Le triangle des Bermudes, zone géographique également surnommé "Triangle du diable", s'étend sur 3,9 millions de Km² entre les Bermudes, Puerto Rico et la Floride. Il est situé entre 30° et 40° Nord de longitude. Il comprend environ 150 petits îlots (parfois de simples rochers en pleine mer).
Apparemment cette région fait l'objet de nombreuses diparitions inexpliquées ce qui explique la légende dont elle fait l'objet!
On parle d’anomalies magnétiques qui affolent les boussoles, arrêtent les horloges et font disparaître des objets.
Jusqu'à maintenant, les enquêtes n'ont produit aucune évidence scientifique de l'implication de phénomènes inhabituels dans les disparitions.
Donc rien n'a pu être démontré ou prouvé.
Le mystère du triangle des Bermudes reste pour l'instant inexpliqué.
Grâce à mes recherches, nous allons le percer ensemble !
Le Triangle a eu mauvaise réputation dès sa découverte :
"C'est Juan de Bermudez qui découvrit ces trois cents îles minuscules en 1515. Le climat était agréable, il y avait de l'eau potable et de la nourriture en abondance. La position était idéale pour en faire un refuge ou une base d'approvisionnement. Pourtant, malgré tous ces avantages évidents, les Européens les dédaignèrent pendant près d'un siècle. Les marins de la reine Elisabeth les évitaient même délibérément. Ils les disaient hantées par les démons."
Tout d'abord, il faut s'informer sur la légende, connaitre les détails, qui toujours ont été racontés a la manière de romans par nos amis journalistes...
Les disparitions
la disparition du Pickering, un bateau américain, vers 1800.
En 1854, on perd la trace du Bella un navire britannique qui faisait voile vers la Jamaïque.
Depuis 1854, environ 50 navires ont disparut mystérieusement dans le Triangle des Bermudes.
Puis la fréquence des disparitions s'accélère :
En l866, le Lotta un trois-mâts suédois.
Deux ans plus tard, le Viego, un navire marchand espagnol.
En 1880, l'Atalanta, un navire-école britannique avec ses 290 élèves officiers et tout son équipage.
En 1884, le Miramon, une goélette italienne.
On peut citer aussi:
En 1972, la Mary Celeste, bien qu'elle n'ait pas été retrouvée dans le Triangle, mais entre les Açores et Gibraltar.
En 1902 le trois-mâts allemand la Freya subit, semble-t-il, un sort semblable à celui de la Mary Celeste. Abandonné par son équipage, il errait à la dérive. Des dégâts laissèrent supposer qu'il avait été pris dans une violente tempête. Pourtant, rien de la sorte n'avait été signalé dans la région.
En 1918, c'était le tour du Cyclops, un navire charbonnier de bonne taille. Aucun S.O.S. n'avait été envoyé. Pourtant, il y avait une radio à bord. Disparu par mer calme avec près de 300 marins.
en 1925 par le Raifuku Maru un cargo japonaisenvoie un message incomprehensible :
" Danger like dagger now. Corne quick ! (Danger poignard. Au secours. Vite !) ? Qu'a voulu dire l'opérateur radio ?
Treize ans plus tard:
En 1938, le vapeur l'Anglo Australien signala : " Temps idéal. Tout va bien ", avant de pénétrer dans la zone fatale. On ne l'a jamais revu.
Entre 1945 et 1975, 37 avions, plus d'une cinquantaine de bateaux et même un sous-marin atomique, disparaissent tout aussi mystérieusement et sans qu'aucun débris ni corps n'ait été retrouvé.
En 1945, cinq bombardiers américains :
Le vol 19, constitué de 5 avions torpilleurs Avenger, quitte la base aéronavale de Fort Lauderdale, en Floride, pour une mission de routine le 5 décembre 1945.
Au bout d'une heure, le lieutenant Charles Taylor avertit la tour de contrôle qu'ils sont perdus. La tour demande au vol de prendre la direction de l'Ouest, mais l'officier lui répond : " Nous ne savons pas où est l'ouest. Tout est faux, étrange. Nous ne sommes sûr d'aucune direction. Même l'océan ne semble pas comme d'habitude ".
Le contact radio est alors rompu, et un hydravion bimoteur part à son tour pour leur porter secours, il ne reviendra pas.
Ni la commission d'enquête de la Marine, ni personne d'autre ne peut donner d'explication sur la disparition des six avions et vingt-sept hommes.
Le vol 19 reste le cas le plus célèbre de disparition inexpliquée du triangle des Bermudes.
En 1948, c'est au tour d'un avion de ligne le Star Tiger, qui s'abîme en mer, c'est un avion de transport DC 3, faisant la liaison entre Porto Rico et la Floride. Le pilote aurait transmis les informations suivantes: «Nous approchons de l’aéroport… Nous ne sommes plus qu’à 80 km au sud… Nous apercevons les lumières de Miami… Tout va bien. Attendons les instructions pour l’atterrissage». La tour de contrôle de Miami répondit en vain. On ne retrouva jamais le DC 3, bien qu'il eût disparu près des côtes, là où la profondeur de l'eau n'atteint pas plus de 6 mètres.
La même année : le Star Tiger, un appareil britannique qui assurait la liaison Açores-Bermudes disparu, après avoir envoyé le message suivant: «Conditions météo excellentes. Arriverons à l’heure prévue».
En 1950, un cargo costaricain avec son équipage de 28 hommes par une mer calme.
Le 6 février 1954 disparition du Marine Sulphur Queen un tanker de plusieurs milliers de tonnes
En 1961, l’Albatross, un voilier école, sombra subitement au large de la Floride emportant avec lui 6 des 19 membres d’équipage.
D’après les survivants, le voilier a été pris dans une tempête d’une incroyable violence. En soi, ce phénomène n’a rien d’extraordinaire.
Mais, ce qui l’est plus, c’est que le temps était beau ce jour là. Le voilier avançait sur une mer calme quand subitement un coup de vent violent le renversa.
Cela dura quelques minutes puis la mer redevint calme et lisse. Les marins ont surnommé ce phénomène imprévisible « le grain blanc ».
En 1976, le pétrolier Grand Zénith sombre en laissant derrière
lui, une nappe de pétrole, qui disparaît peu après...[écolo le Triangle ^^]
En 1978 :
Alain Colas, skipper du célèbre "Manureva ", ne reviendra jamais. Il disparaît en mer dans des circonstances curieuses : le 17 novembre 1978, la terre reçoit un appel radio alarmant : " Je suis au centre d'un cyclone. Il n'y a plus de mer, il n'y a plus de ciel. " Ces derniers mots retentissent comme le cri d'un marin dominé soudain par les éléments. Qu'est-il arrivé ? Nul ne le saura. "Manureva" était de conception ancienne ; Alain était fatigué, aigri, et invalide après s'être fait arracher le pied droit par une ancre marine.
Cette aventure inspira la célèbre chanson "Manureva" a Alain Chamfort : http://www.nomorelyrics.net/fr/chanson/Alain_Chamfort/Manureva.html
Au cours du 20ème siècle, on a enregistré près de 100 disparitions à l’intérieur du triangle des Bermudes qui est délimité par la péninsule de Floride, Puerto Rico et l’archipel des Bermudes.
Il faut signaler que des accidents se produisent également dans les zones avoisinantes.
C'est après la disparition des Avengers que l'écrivain Vincent Gaddis inventa le terme "Triangle des Bermudes" [initialement en VO : "The Deadly Bermuda Triangle", publié dans le numéro de février 1964 du magazine de fiction Argosy].
On lui connaît aussi d'autres noms : le "Triangle du Diable" ou "Limbo of the Lost" : les Limbes des perdus ou encore traduit par : le Port des Disparu"
Il s'agit dans cet article d'aboutir a des conclusions raisonnables.
Explications sur la disparition du vol des 5 Avenger
Voici une version plus complète des faits :
"Les 5 bombardiers Grumman TBM "Avenger" ont quitté la base aéronavale de Fort Lauderdale en Floride, le 5 décembre 1945, à 2 heures de l'après-midi.
Selon Charles Berlitz: "ce fut un vol de routine, pilotes et membres de l'équipage n'en étaient pas à leur premier vol d' essai".
A 15h455, le chef d'escadrille, le lieutenant CCC. Taylor, aurait envoyé le message suivant;
"Tour de contrôle, à vous. Répondez vite.; Nous sommes perdus . Aucune terre en vue, je répète... Aucune terre en vue.
-Donnez tout de suite votre position, demanda la tour de contrôle.
-Difficile de vous l'indiquer..Nous ne savons pas ou nous sommes. Je crois que nous sommes perdus.
-Dirigez vous vers l'Ouest.
Impossible de savoir ou est l'Ouest. Tout est confus, etrange. Nous ne savons plus ou est notre position... même l'océan à l'air bizarre"."
Jusque là, rien de nouveau au reste de ce que l'on a trouvé mais... la suite de la communication :
" Le lieutenant Robert Cox, instructeur en chef du Fort Lauderdale, entendit ces messages alors qu'il s'appretait à atterir: "ou êtesz-vous ? quelle est votre altitude ?
Je vient vers le sud pour vous rejoindre !"
Toute aide aurait été la bienvenue en ces circinstances... Pourtant, Taylor resta étrangementr silencieux. Au bout de quelques minutes, le lieutenat Cox entendit:" Ne cherchez pas à me rejoindre, ils ressemble à..."
Puis, plus rien. Il était alors 16h30.
Au même instant, un hydravion Martin"Mariner" chargé de retrouver l'escadrille 19 approchait de l'endroit d'ou le dernier message avait-il semblé être envoyé et... disparu à son tour!
Malgré des recherche menées à grande échelle, on ne retrouva trace ni des 6 avions ni de leur équipage."
Les journalistes à sensation se jettent sur la nouvelle et font monter la mayonnaise. Ils prétendent que les pilotes étaient tous des officiers chevronnés. C’est inexact : s’ils étaient bien officiers, ils avaient obtenu leurs grades dans d’autres armes. A part Taylor, leur moniteur, ils étaient tous « élèves pilotes », qui plus est formés par des cours accélérés pour cause de « temps de guerre ». Quant à Charles Taylor, vingt-huit ans, bien qu’ayant à son actif de nombreuses heures de vol, il n’était pas ce que l’on peut appeler un expert. A deux reprises, il avait dû se poser en mer en catastrophe à cause d’erreurs de navigation. La mission du 5 décembre 1945 était l’une des premières qu’il effectuait depuis Fort Lauderdale, où il avait été muté le 21 novembre précédent.
Problèmes particuliers à ce type de missions, eux aussi passés sous silence : elles se déroulent entièrement au-dessus de l’eau, « à l’estime », et sauf incident majeur, les pilotes y sont astreints au silence radio et doivent communiquer par gestes, sous peine de sanctions disciplinaires. Pas si « facile » que le disent ceux qui refont l’histoire tranquillement assis à leur bureau.
Toujours plus à l’est
Le météorologue belge Jules Metz a consacré la quasi-totalité d’un livre à l’analyse du vol 19. Se plongeant dans le rapport de la Commission d’enquête de la marine américaine, il a retracé sur une carte le parcours des Avengers en tenant compte des caps indiqués par les messages radios et des relevés des centres de contrôle provenant des émissions de Taylor, entre 17h12 et 18h05. Il a découvert que vers 18h les cinq avions se trouvaient en fait, non pas au sud de Fort Lauderdale, mais au nord des Bahamas ! Les conditions météo s’étaient considérablement dégradées : les nuages masquaient les Bahamas, seul point de repère des pilotes, les précipitations diminuaient dangereusement la visibilité. Taylor avait compris qu’il s’était trompé de route. Mais il croyait avoir survolé les Keys de Floride, au sud de la base, alors qu’il était passé au-dessus de la côte ouest de l’île d’Andros, au sud de la Grande Bahama, dont les hauts fonds ressemblent à ceux des Keys. Les forts vents qui soufflaient du nord-ouest avaient fait dévier la formation vers l’est. Taylor s’était alors dirigé vers le nord-est, laissant la grande Bahama derrière lui. Ce qui explique la mauvaise réception des messages de la patrouille, puisque celle-ci s’éloignait de plus en plus du continent.
Taylor, craignant que les élèves ne commettent des erreurs fatales, avait pris la tête de l’escadrille. Mais il multiplia les erreurs. Malgré les conseils de la base, il ne passa pas le commandement à l’un des ailiers, et refusa, par peur du ridicule sans doute, de se brancher sur la fréquence de détresse, ce qui lui aurait permis de rester en contact avec les stations terrestres. Il ne voulut pas non plus mettre cap à l’ouest, car selon ses estimations (fausses), il risquait de se perdre dans l’immense golfe du Mexique. Il suivit donc le cap nord-est dans l’espoir de retomber sur le continent : « Je suggère que nous volions plein est jusqu’à la panne d’essence. Nous avons plus de chance d’être récupérés si nous sommes près de la terre! » Mais, de là où ils se trouvaient réellement, la route vers le nord-est ne faisait qu’entraîner Taylor et ses hommes vers la haute mer
Rien d’étonnant, dans ses conditions, que Taylor ait cru que ses boussoles étaient déréglées puisqu’il était persuadé (à tort) d’être sur le bon chemin et que ses instruments lui indiquaient (à raison) des coordonnées qui ne correspondait pas avec son avance. Lorsque les jauges indiquèrent, vers 19h15, que les réserves de carburant étaient à sec, la tentative d’amerrissage était désespérée : la mer était déchaînée et, depuis 17h30, l’obscurité complète (nuit sans lune). Les lames de fond signalées n’ont fait qu’une bouchée des cinq patrouilleurs et de leur équipage. Le Gulf Stream a concouru à éparpiller les éventuels débris.
La disparition du Mariner est moins mystérieuse encore. A 21h12, le centre des opérations de Miami envoie une information à la station de Banana River : « Une importante explosion a été observée... Les flammes dues à cette explosion ont duré plusieurs minutes ». La capitaine du S/S Gaines Miles a vu l’avion prendre feu en vol et l’équipage du navire ont observé les débris de l’appareil, impossible à récupérer à cause du gros temps. L’accident a pu être suivi par le radar du porte-avions Solomons.
Les Mariner avaient un surnom : « réservoirs de carburant volants ». Compte tenu des émanations qu’ils dégageaient, une étincelle ou une cigarette mal éteinte pouvaient suffire à les faire sauter.
En bref :
La légende moderne du Triangle des Bermudes a commencé peu après la disparition, en 1945, de cinq avions de la Marine amécaine [Le Vol 19] pendant une mission d'entraînement. La théorie la plus logique veut que le compas du pilote-instructeur, le Lt. Charles Taylor, se soit détraqué. Les appareils des élève-pilotes n'étaient pas équipés d'appareils de navigation opérationnels. Le groupe, désorienté, aurait, malheureusement mais tout simplement, épuisé son carburant. La seule force mystérieuse impliquée fut celle de la gravité, appliquée sur des avions en panne sèche. Il est vrai qu'un des avions de secours a explosé peu après son décollage, mais il faut probablement blâmer un réservoir d'essence défectueux plutôt qu'une force étrange.
Et les survivants ?
Joe Talley, un capitaine d'un bateau de pêche sur le Wild Goose, vit ses instruments de bord se dérégler en même temps, son bateau stopper puis reculer avant d'être aspiré par les eaux. Le capitaine qui le remorquait, fut obliger de couper le filin pour ne pas être aspiré à son tour.
D'autre réapparaissent (avec leurs bateau) longtemps (entre 2-3 semaines et 5 ans) après et ne sont pas du tout conscient du temps qui s'est écoulé.
(Mais cela, je ne l'ai trouvé que sur un seul site et le reste des infos données sur d'autres sujets étaient douteuses... donc je ne developpe pas...)
Le mystère du grain blanc
Le mystère du grain blanc est sur le point d’être résolu suite au crash d’un avion en 1975. Ce jour là, une rafale descendante se produisit juste au moment où l’avion survolait l’aéroport. Elle entraîna une violente turbulence atmosphérique.
Quelques secondes plus tard, l’avion s’écrasait.
On appelle ce vent violent « rafale descendante ». C’est en fait une véritable avalanche d’air qui tombe d’un coup d’un nuage.
Le vent qui peut être supérieur à 300 km/h souffle avec une violence destructrice. Le phénomène ne dure jamais plus de quelques minutes et ressemble beaucoup au grain blanc décrit par les marins.
L’étude a abouti sur la preuve que ce phénomène se produit aussi en mer.
Sous l’effet du soleil, l’énergie thermique des eaux s’élève dans l’atmosphère et entraîne la formation de cumulo nimbus au-dessus de l’archipel des Bermudes et jusque dans le golf du Mexique.
Les plus gros de ces cumulo nimbus emmagasinent une vaste énergie thermique provenant de la mer.
On sait aujourd’hui que ce sont ces cumulo nimbus qui provoquent les rafales descendantes.
Un accident qui dévoile la vérité
Si les rafales descendantes peuvent faire chavirer n’importe quel navire, même les plus gros, elles ne peuvent pas provoquer une explosion.
Curieusement, c’est un accident sur une station de forage pétrolière qui permit d’établir une hypothèse assez fiable.
Lors d’un forage, une explosion eut lieu et un incendie ravagea la station. On se rendit compte que d’importantes quantités de méthane échappées du sous-sol marin étaient remontées à la surface pour s’enflammer.
Tout ce gaz qui remonte en bouillonnant peut sans problème renverser une plate forme pétrolière.
Scénario d'une disparition
D’après les scientifiques, voilà le scénario qui a aboutit à la disparition des avions:
Dans le plateau continental, à plus de 500 m de profondeur, à une température inférieure à 5°C, l’hydrate de méthane reste stable
Quand le fond des mers se fragmente sous l’effet d’un séisme par exemple, d’importantes quantités de méthane s’échappent
L’hydrate de méthane remonte à la surface de l’eau en bouillonnant
Un bateau peut se retrouver prisonnier de cette mer en ébullition. Il perd sa flottabilité et coule.
Quand ces importants volumes de méthane atteignent la surface de l’eau, le gaz, plus léger que l’air, monte dans l’atmosphère.
Quand le moteur de l’avion entre en contact avec le méthane, le gaz s’enflamme et l’appareil explose.
Il y avait eu de graves accidents sur des platerformes pétrolières qui déclenchaient elle-mêmes ces remontées par forage.
A savoir que la densité de l'eau chute et donc la flotabilité de tout ce qui touche l'eau à ce moment-là. Les gilets de sauvetages ne sont d'aucuns secours.
Il y a un autre aspect que Charles Berlitz évoquait dans un de ses livres sur les Bermudes. Des "bulles" luminescentes étaient parfois visibles, larges de centaines(??) de km et hautes de dizaines.
Ceci était écrit dans ses livres avant que l'on avance cette théorie du gaz méthane. Et pourtant ça semblerait coller avec un embrasement monstrueux déclenché après une énorme déperdition de gazs sous-marins par le premier avion venu.
Un tel embrasement n'a jamais été prouvé mais on a un exemple en miniature dans le passé avec ce qui s'est passé près de Lyon à Feyzin. Des voitures sur l'autoroute avaient enflammé un poche de gaz venant des usines qui s'était étendue jusqu'à elles.
Pas de paranormal !
Si le mystère du triangle des Bermudes continue à fasciner, il faut admettre que toutes ces disparitions n’ont aucun rapport avec des phénomènes paranormaux ou mystérieux.
Même si aujourd’hui, la science ne peut pas tout prouver, faute de preuves tangibles (le gaz ne laisse aucune trace), les phénomènes atmosphériques que l’on commence tout juste à comprendre en sont certainement la cause.
Ainsi tous ces accidents, disparitions et explosions trouvent une explication. Ils ne sont que l'image d'une zone particulièrement sugette à ce genre de spécialités physiques/chimiques.
Les accidents en mer arrivent plus ou moins souvent en raison des tempêtes, des icebergs, des accidents... Ce qui frappe surtout dans les disparitions du Triangle des Bermudes, c'est l'absence de messages de détresse et la rapidité du naufrage (même par temps calme). Et l'on ne retrouve presque jamais de survivants.
Même pas de Triangle d'ailleurs !
Certains sceptiques soutiennent pourtant que les faits sont insuffisants pour appuyer la légende et qu'il n'y a aucun mystère à résoudre, ni rien à expliquer. Le nombre d'épaves dans cette zone n'est pas extraordinaire, étant donnée sa superficie, son emplacement et le niveau de traffic qui y passe. Plusieurs des navires ou avions qu'on dit être disparus dans le Triangle des Bermudes n'étaient en fait pas du tout dans le triangle. Jusqu'à maintenant, les enquêtes n'ont produit aucune évidence scientifique de l'implication de phénomènes inhabituels dans les disparitions. Donc, toute explication, y compris celles supposément scientifiques, est inutile.
En fait, le nombre de disparitions n'est pas du tout élevé rapporté à la surface (près de 4 millions de km2) et à la météo très capricieuse sous ces latitudes. De plus, plusieurs naufrages prétendus se sont avérées inexacts. Pour certains, le mystère reste à éclaircir. Pour d'autres, il n'y a pas de mystère, sauf peut-être la propagation de la légende sur la base de faits si minces.
Mais rendons tout d’abord au triangle des Bermudes ce qui lui appartient vraiment : dans les faits, la plupart des tragédies portées à son compte se sont, en réalité, produites à l’extérieur de la zone des Bermudes. Quant au triangle lui-même une région météorologiquement instable de l’Atlantique (La mer des Sargasses est située à l’intersection de deux masses d’air, une chaude et une froide, ce qui explique le nombre impressionnant de cyclones et de tempêtes), il ne reçoit pas plus que sa part normale de désastres et d’accidents. Dans "le mystère des Bermudes - la solution", Lawrence Kusche, bibliothécaire à l’Université d’Etat de l’Arizona, a démontré que la plupart des grands mystères du triangle sont basés sur des citations tronquées, des distorsions ou omission de faits. Dans presque tous les cas, les conditions météo, l’erreur humaine ou incidents techniques constituent la véritable cause des disparitions. D’ailleurs, une grande partie de ces naufrages n’ont pas fait la une des journaux en leur temps ; ils ne sont devenus des mystères qu’à partir du moment où le triangle des Bermudes a acquis une certaine notoriété.
Entre 1950 et 1954, neuf cargos auraient disparu dans cette zone mystérieuse. Le gouvernement japonais aurait, en 1955, chargé une équipe de savants de résoudre ce mystère. Conclusion : le navire expérimental Kaiyo Maru aurai disparut à son tour. En fait, il ne s'agit pas de neuf cargos, mais de neuf bateaux de pêche, de 62 à 192 t, dont on a perdu la trace entre 1949 et 1953'. Quant au Kaiyo Maru n° 5, il ne disparut pas en 1955. mais en 1952. Il y avait bien des chercheurs à bord, mais ils étudiaient la naissance d'un îlot volcanique. Enfin, les autorités japonaises n'ont jamais interdit l'accès de cette zone...
Pour Lawrence David Kusche,contrairement à ce qui est souvent rapporté, la plupart des disparitions ont eu lieu dans de mauvaises conditions atmosphériques, « dans plusieurs cas même, des ouragans publiquement annoncés à l’époque en furent les causes ». (information trouvée que sur un seul site... peut être la vraie version des faits ? Peut être uniquement déstinée à se moquer de ceux qui s'attachent à comprendre en détruisant les hypothèses...)
Notons aussi que même les compagnies d'assurances nient l'existence d'une zone de danger plus grande que la normale dans le Triangle des Bermudes. Alors que pour faire assurer des navires circulants dans d'autres zones jugées, elles, spécifiquement dangereuses (comme les détroits etc.) doivent payer une surtaxe.
Si le Triangle était réellement dangereux, les assurances en auraient profité, même sans ajouter la dimension paranormale.
Dans cette zone (comme dans de combreuses autres du globe), les bossoles perdent le nord magnétique et semblent afficher le nord réel ou alors tout simplement, se dérèglent completement. Ces zones sont connues des marins.
Il semblerait juste qu'à cet endroit il soit tres difficile voir impossible de prévoir de combien sera modifiée la déclinaison....
Conclusion
Plusieurs sites soutiennent que le nombre des naufrages est faible par rapport a la superficie du triangle mais :
- La plupart restent inexpliqués
- Presque aucun n'a transmis de message de SOS a part le vol 19 des 5 avengers
- C'est malgré tout un reccord si près des cotes.
- Les nappes de pétrole disparaissent également
- Et enfin, voir la suite...
La grande part de réponsabilité de la presse
Bien sur, une fois qu'on a lu tout ce qui précède, cela peut paraître ridicule :
L'auteur y amplifie l'affaire des bermudes et en fait un sujet de sensations :
"On l'appelle la "Mer Porte-Malheur", le "triangle du Diable", la "Mer de l'Envoûtement", le "Triangle de la Mort", et le "Port des disparus". Quelle est donc la vérité au sujet de cette région qui semble inoffensive dans l'océan Atlantique, de ces flots qui ont bercé quantité de voyageurs en toute quiétude mais qui ont aussi réclamé un grand nombre de victimes dans les circonstances les plus étranges? Des milliers de personnes ont payé de leur vie, leur droit de passage; des centaines de navires et d'avions y disparurent sans laisser de trace. Pourquoi? Vers quel destin? Comment?"
Quelques précisions :
Les morts sont en effet a compter en milliers mais un seul.
Les "centaines de navires et d'avions" sont en fait : navires + avion =~ 100 disparitions et non pas 100 de chaque !
L'autre nom le plus répandu pour le triangle des Bermudes est : le Triangle du Diable, je n'ai vu qu'une fois la mention du "Port des disparus" (en dehors de celle ci) et je soupsonne l'auteur d'avoir inventé les autres appellations pour les besoin de l'article...
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Voici donc qui pourrais clore notre enquète : de simples anomalies chimiques et physiques encore méconnues de nos scientifiques. Mais le problème est que cela ne se limite pas à cela :
Autres phénomènes étranges
D'après la légende, Christophe Colomb y aurait vu une aurore boréale (qui en principe n'ont lieu qu'en zones polaires) lors de son premier voyage (celui ou il a débarquer sur les iles de Cuba).
Une histoire relate qu'un avion entrant dans un étrange brouillard avait disparu puis réaparru des écrans de la tour de contrôle durant 10 minutes. A l'attérissages, toute les montres des passagers retardaient sans qu'aucuns ne présente un souvenir quelconque de ce laps de temps "manquant". Ni le personnel de vol de la compagnie Earnest Airlines, ni le personnel de l'aéroport de Miami n'a jamais entendu parlé de ce vol...
En octobre 1969, le sous-marin de poche Alvin se retrouve face à face, au large des Bermudes, à 270 m de profondeur, avec un grand animal à tête de reptile et au long cou. Malheureusement, l’animal s’enfuit avant d’avoir pu être filmé. (ce sera le sujet d'un prochain dossier)
En 1966, le remorqueur de sauvetage Good News fait route de Porto Rico à Fort Lauderdale, lorsqu'il est entouré par un brouillard très épais et secoué par des eaux houleuses. Le compas et les instruments électriques commencent aussitôt à se détraquer. Pourtant, dès que le navire sort de cette brume énigmatique, le temps est clair, la mer est redevenue calme et les instruments fonctionnent à nouveau normalement.
En 1972, le pilote Chuck Wakely vole entre Bimini et Miami. Il croit voir que les ailes de son avion deviennent translucides. En quelques minutes, l'habitacle du pilote est inondé par une lueur étrange et l'appareil change de direction sans qu'il puisse intervenir. La lumière s'arrête et les instruments de bord de remettent aussitôt à fonctionner.
Enfin, en 1975, la vedette côtière Diligence se porte au secours d'un cargo en flammes lorsque sa radio s'éteint brutalement sans raison. L'équipage voit de mystérieuses lumières vertes tomber du ciel. L'enquête ultérieure ne peut, là non plus, donner aucune explication rationnelle à cette panne et à ces phénomènes étranges.
En 1881 le Ellen Austin est retrouvé désert au milieu de l’atlantique.
Moins connues ou moins médiatisées, ce sont les apparitions que l’on signale régulièrement dans cette région. Elles défient la logique et sont susceptibles de remettre en cause notre conception de l’espace, du temps et de la matière.
Le mystère s'épaissit lorsque le professeur Wayne Meshejian déclara que le satellite météorologique de la National Océanographique Administration tombait systématiquement en panne chaque fois qu'il passait au-dessus du Triangle des Bermudes : "Une force que nous ne connaissons pas, précisa-t-il, empêche le passage des informations. Richard Winer fait remarquer, en effet, que, dans le Triangle, l'aiguille de la boussole n'indique pas le pôle Nord magnétique mais le pôle Nord réel.
Des apparitions...
Le 17 février 1935, un « avion fantôme » plongea en silence dans l’océan, au large de Daytona Beach, en présence de centaines de témoins. La mer est peu profonde à cet endroit là et des recherches furent entreprises. Mais, on ne retrouva aucune épave et aucun avion ne fut déclaré disparu.
Au cours du mois de juillet 1975, un groupe d’océanographes traversait un orage magnétique et sec.
Jim Thorne voulut fixer sur la pellicule l’une de ces énormes décharges d’énergie. Mais, au développement, la photo montra, en plus de l’éclair, un navire à voiles carrées, alors que nul bateau ne croisait à proximité ce jour là.
John Sander, steward sur le Queen Elisabeth 1, vit un petit avion raser la mer à quelques encablures du paquebot.
Un officier et un autre marin le virent également lorsqu’il s’abîma dans les flots.
Le navire stoppa et on envoya une chaloupe mais les sauveteurs ne repérèrent aucun débris.
Dérèglements dans l'espace temps
L’affaire la plus étrange est celle que vécut Helen Cascio. Elle s’envola pour Turk Island, aux commandes d’un Cessna 172, avec un passager à bord.
A l’heure prévue pour son arrivée, un Cessna 172 tourna bien au-dessus de l’île mais repartit sans atterrir.
Au sol, on voyait bien l’avion et on captait les messages de la pilote mais, elle, de son côté, ne semblait rien entendre.
« Je ne comprends pas. Depuis le temps, on devrait voir la ville, l’aéroport. Mais, il n’y a rien là-dessous. C’est complètement désert ! ».
La tour de contrôle tenta vainement de reprendre contact mais la pilote semblait sourde et aveugle. Comme l’avion faisait demi-tour, une voix de femme dit : »Il n’y a donc pas moyen de se poser nulle part ! ».
Les contrôleurs virent l’avion faire demi-tour et disparaître dans un banc de nuages dont il ne ressortit jamais.
Pourtant, cet avion était bien réel et la pilote avait bien annoncé son atterrissage en donnant son identification à la tour de contrôle.
D’après les propos d’Helen Cascio, l’île avait l’air totalement déserte comme à l’époque où l’homme n’avait encore construit ni ville, ni aéroport.
Cet avion et ses occupants seraient-ils revenus des siècles en arrière ? S’agit-il d’une illusion temporelle ou d’une distorsion du temps bien réelle ?
Ce qu'en disent les images
Encore à noter que si le triangle s'appelle triangle c'est pas uniquement paske l'île et les etats forment un triangle mais ça pourrait aussi ête parceque les dernieres image satellites montrent que le relief sous marin dessine un triangle au fond de l'eau... que de hasard et de questions!
Derniers ajouts
Mais j'ai aussi pu découvrir et explorer une autre piste :
En réalité, le Triangle des Bermudes comprend la Mer des Sargasses et c'est apparement celle ci qui alimente les légendes même si l'amalgame est souvent fait :
Christophe Colomb, à bord de la Santa Maria, fut le premier à consigner des observations inexplicable (11 octobre 1492):
2 heures après le couché du soleil (il faisait nuit) il observa les scintillantes eaux blanches, l'inexplicable luminosité de la mer. Il vit aussi (ainsi que son équipage) une immense traînée de feu qui creva le ciel et disparut dans la mer. Des inexplicables perturbations des compas de bords.
[ca ressemble a ce qui avait été appellé sur un autre site "aurore boreale" mais en était-ce bien une alors ? Perso, je pense que oui et que ces phrases sont rédigées de façon a conserver du folklore^^]
La légende de la mer des Sargasses :
Redoutée par les corsaires de toutes les époques a cause des récits affreux :
"L'un d'eux parle d'un navire qui, pris dans la TEMPÊTE, avait soudain débouché, en pleine NUIT, dans une zone de calme plat et de VENT nul, où il s'était immobilisé. Au petit JOUR, les marins avaient découvert qu'ils étaient en panne sur une sorte d'immense PRAIRIE marine, faite d'ALGUES gigantesques qui évoquaient les bras des PIEUVRES monstrueuses. En vain avait-on largué toutes les voiles pour tenter d'échapper à cette terrible emprise. Le drame dura des semaines au bout desquelles les algues engloutirent le navire et son équipage prisonnier des Sargasses."
D'autre part le triangle ou plutot, la mer des sargasses recele aussi des interrogations biologiques :
La reproduction des anguilles qui ne se produit que dans cette mer.
Les algues uniques de cette mer [algues appellée sargasses] et bien d'autres s'entassent de façon étrange...[ici, l'auteur entre dans des supositions concernant l'atlantide... mais bon ]
Enfin, J.Verne, quelqu'un que vous devez connaitre, évoque cette mer dans 20 000 lieus sous les mers. Pour lire l'extrait concerné :
http://www.educnet.education.fr/localisation/pedago/argos03-04/verne.htm
Lui aussi évoque l'Atlantide et semble donner des explications... et pourquoi pas M. J. Verne ?
----
Et pour faire plaisir a Ithilarin, je suis allée vous rechercher les adresses ou j'avais trouvé les infos... ^^
Bon, il en manque peut être mais j'ai fais de mon mieux
site très complet et serieux >> http://www.dinosoria.com/triangle_bermudes.htm
le meme mais a propos des apparitions >> http://www.dinosoria.com/apparition_triangle_bermudes.htm
site de voyance... ca fait moins serieux tout de suite, mais la plupart des infos se verifient >> http://www.franceastro.com/triangle_bermudes.php
là encore c'est léger mais les infos se recoupent (évidement, elles viennent toutes du même endroit) >> http://fr.wikipedia.org/wiki/Triangle_des_Bermudes
assez complet et detaillé (principalement sur l'affaire des Avengers) >> http://www.zetetique.ldh.org/bermudes.html
Autres sources, no comments :
http://eureka.povlab.org/fiche.php?qid=85
http://fr.wikipedia.org/wiki/Bermudes (bien sur ^^)
Et de nombreux autres qui comme ils resultaient de liens et de redirection, je n'ai pas retrouvés dslée.
----
Et enfin, bon à savoir, le coktail Triangle des Bermudes :
Les Ingrédients
* 1/2 de rhum ambré
* 1/2 de eau de vie de pêches
* jus d'oranges
Procédure
* Directement dans le verre, verser les ingrédients sur quelques glaçons.
* Bien mélanger.
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Cette fois ci, je clos l'article. En effet, maintenant que les disparitions, on en a comprit (partiellement) la cause, un autre mystère vient s'imposer aux esprits torturés de nos scientifiques. Affaire à suivre.
Le triangle des bermudes continue de frapper :
J'attends vos réactions, vos articles, vos demandes etc.
Juste à titre d'information : je prépare un article sur les géants marins, légendaires ou non (Nessie, le Serpent de mer et autres calamars géants), et un troisième sur Vampires et Lycans (l'origine des contes et la limite entre conte et réalité).
Il y a bien d'autres sujets que j'aimerai aborder : les dragons (possibilités d'existence et hypothèses), Nostradamus (Ses prédictions... loufoques ?)...
Vierge de la lance qui distille et pête une durite à l'occasion
MErci pour tes encouragements Ayamé et ravie de t'avoir instruit ^^
Je précise au passage que mes sources sont principalement des sites qui m'ont parut serieux (sinon, je l'ai précisé), quelques forums ou des marins discutaient des dereglements et d'autres ou les membres échangeaient des hypothèses.
L'article a été rédigé à partir d'autres articles donc mon travail consiste uniquement en la réunion de toutes ces infos en une synthèse.
Voili voilou, après avoir rendu ce qui est à Cesar, le vais retourner au prochain article ^^
super ton article Kyrafine! et très instructif aussi...
A la lecture des hypothèses scientifiques avancées, notamment libération de gaz sous marin, je me demande bien pourquoi il n'y a pas d'étude là dessus. C'est vrai quoi, avec les moyens technologiques dont on dispose, ca doit bien être possible de détecter un gisement de gaz, non?
Super interessant ton article J'attend les autres avec impatience mais merci tout d'abord pour celui-ci, c'etait un sujet qui m'interessait beaucoup. Euh je vais probablement dire une grosse bétise, mais David Copperfield n'avait pas été sur le triangle des bermudes et reussi à faire apparaitre un bateau qui avait sombré des années auparavant ? Comment ils expliquent ça ?
Vierge de la lance qui distille et pête une durite à l'occasion
Merci a tous pour vos encouragements, ca fait plaisir de voir que vous avez été autant a lire ^^
Callaendor >> Je vais voir ce que je peux faire
Pin'shae >> Parce qu'officiellement pour les autorité, il n'y a pas de triangle des bermudes et ces gazs sont très profonds et ce ne sont pas des ressources capables de rapporter des dolards... donc
Arwen >> Ca je ne l'ai pas lu. Mais c'est interessant ! ^^ Dans tous les cas, les apparitions, il ne les expliquent pas. Et ceux qui soutiennent qu'il n'y a rien dans le triangle d'extraordinaire disent que des apparitions du même genre ont lieu dans d'autres endroits du globe.
A verrifier... ^^
Pas mal du tout cette idée de sujet
Ton article est très intéressant, mais un conseil: cite tes sources!!
Je ne dis pas ça pour qu'à chaque fois que tu racontes quelque chose, tout le monde puisse vérifier si c'est vrai; j'y vois plutôt une possibilité d'obtenir des compléments d'information.
M'enfin, je comprendrai aussi si ça te gave de le faire
PS: un article sur les dragons, ça me dirait bien aussi tiens
Pour les dragons, le/la volontaire pourrait commencer par ici, le site de l'exposition : "Dragons entre science et fiction", à la grande galerie de l'évolution jusqu'au 6 novembre... Si j'ai l'occasion de passer sur paris un de ces jours, j'aimerais aller la voir celle là...
Vierge de la lance qui distille et pête une durite à l'occasion
Je comptais aller carrément voir l'expo ^^
Et pour la citation des sources, que des sites...
tappez triangle des bermudes sur google et voila mes sources... Mais attention, on trouve de tout et n'importe quoi (jusqu'au fait que des extraterrestres y auraient installé une arme... ou un vortex ^^). J'ai fais un tri ici et la plupart de ce que je dis, c'est que je l'ai lu sur plusieurs sources et que cela concordait, sinon, je l'ai précisé ^^.
Vierge de la lance qui distille et pête une durite à l'occasion
Alors, pour finir correctement le boulot j'ai repoussé un peu les recherches a propos des apparitions cette fois ci j'editerai aussi le premier message pour completer l'article , entre crochet ce sont mes observations personnelles et entre guillement les citations directes de sites.
Je retire ce que j'avais dis : il va y avoir une suite a l'article n°1 et la voici ^^ :
En fait, le Triangle a eu mauvaise réputation dès sa découverte :
"C'est Juan de Bermudez qui découvrit ces trois cents îles minuscules en 1515. Le climat était agréable, il y avait de l'eau potable et de la nourriture en abondance. La position était idéale pour en faire un refuge ou une base d'approvisionnement. Pourtant, malgré tous ces avantages évidents, les Européens les dédaignèrent pendant près d'un siècle. Les marins de la reine Elisabeth les évitaient même délibérément. Ils les disaient hantées par les démons."
"C'est après la disparition des Avengers que l'écrivain Vincent Gaddis inventa le terme "Triangle des Bermudes" [initialement en VO : "The Deadly Bermuda Triangle", publié dans le numéro de février 1964 du magazine de fiction Argosy].
On lui connaît aussi d'autres noms : le "Triangle du Diable" ou "Limbo of the Lost" : les Limbes des perdus."
[Je pense que l'on peux rapprocher cette appellation de "Le port des perdus" déjà évoqué, il ne sagirait que d'une interpretation plus "vendeuse" de l'anglais. Qu'en pensez vous ?
Par contre, nulle trace d'autres appellations [maintenant, ce sont peut être simplement des appellations plus populaire ce qui expliquerait qu'elles ne figurent que sur très peu de sites]].
A ajouter à l'histoire du vol de 1948 [ce qui est en gras est nouveau] :
"Un Doublas DC 3 disparut entre Porto Rico et la Floride. Le pilote aurait transmis les informations suivantes : " Nous approchons de l'aéroport... Nous ne sommes plus qu'à 80 km au sud... Nous apercevons les lumières de Miami... Tout va bien. Attendons les instructions pour l'atterrissage. La tour de contrôle de Miami répondit en vain. On ne retrouva jamais le DC 3, bien qu'il eût disparu près des côtes, là où la profondeur de l'eau n'atteint pas plus de 6 mètres. "
A ajouter a la liste des accidents : lors d'une Transat francaise, l'un des concurents :
"Alain Colas, skipper du célèbre "Manureva ", ne reviendra jamais. Il disparaît en mer dans des circonstances curieuses : le 17 novembre 1978, la terre reçoit un appel radio alarmant : " Je suis au centre d'un cyclone. Il n'y a plus de mer, il n'y a plus de ciel. " Ces derniers mots retentissent comme le cri d'un marin dominé soudain par les éléments. Qu'est-il arrivé ? Nul ne le saura. "Manureva" était de conception ancienne ; Alain était fatigué, aigri, et invalide après s'être fait arracher le pied droit par une ancre marine."
Cette aventure inspira la célèbre chanson "Manureva" a Alain Chamfort : http://www.nomorelyrics.net/fr/chanson/Alain_Chamfort/Manureva.html
A ajouter aux apparitions étranges :
"En 1966, le remorqueur de sauvetage Good News fait route de Porto Rico à Fort Lauderdale, lorsqu'il est entouré par un brouillard très épais et secoué par des eaux houleuses. Le compas et les instruments électriques commencent aussitôt à se détraquer. Pourtant, dès que le navire sort de cette brume énigmatique, le temps est clair, la mer est redevenue calme et les instruments fonctionnent à nouveau normalement.
En 1972, le pilote Chuck Wakely vole entre Bimini et Miami. Il croit voir que les ailes de son avion deviennent translucides. En quelques minutes, l'habitacle du pilote est inondé par une lueur étrange et l'appareil change de direction sans qu'il puisse intervenir. La lumière s'arrête et les instruments de bord de remettent aussitôt à fonctionner.
Enfin, en 1975, la vedette côtière Diligence se porte au secours d'un cargo en flammes lorsque sa radio s'éteint brutalement sans raison. L'équipage voit de mystérieuses lumières vertes tomber du ciel. L'enquête ultérieure ne peut, là non plus, donner aucune explication rationnelle à cette panne et à ces phénomènes étranges."
- 1881 le Ellen Austin est retrouvé désert au milieu de l’atlantique .
- Le 6 février 1954 disparition du Marine Sulphur Queen un tanker de plusieurs milliers de tonnes
Mais j'ai aussi pu découvrir et explorer une autre piste :
En réalité, le Triangle des Bermudes comprend la Mer des Sargasses et c'est apparement celle ci qui alimente les légendes même si l'amalgame est souvent fait :
Christophe Colomb, à bord de la Santa Maria, fut le premier à consigner des observations inexplicable (11 octobre 1492):
2 heures après le couché du soleil (il faisait nuit) il observa les scintillantes eaux blanches, l'inexplicable luminosité de la mer. Il vit aussi (ainsi que son équipage) une immense traînée de feu qui creva le ciel et disparut dans la mer. Des inexplicables perturbations des compas de bords.
[ca ressemble a ce qui avait été appellé sur un autre site "aurore boreale" mais en était-ce bien une alors ? Perso, je pense que oui et que ces phrases sont rédigées de façon a conserver du folklore^^]
La légende de la mer des Sargasses :
Redoutée par les corsaires de toutes les époques a cause des récits affreux :
"L'un d'eux parle d'un navire qui, pris dans la TEMPÊTE, avait soudain débouché, en pleine NUIT, dans une zone de calme plat et de VENT nul, où il s'était immobilisé. Au petit JOUR, les marins avaient découvert qu'ils étaient en panne sur une sorte d'immense PRAIRIE marine, faite d'ALGUES gigantesques qui évoquaient les bras des PIEUVRES monstrueuses. En vain avait-on largué toutes les voiles pour tenter d'échapper à cette terrible emprise. Le drame dura des semaines au bout desquelles les algues engloutirent le navire et son équipage prisonnier des Sargasses."
D'autre part le triangle ou plutot, la mer des sargasses recele aussi des interrogations biologiques :
La reproduction des anguilles qui ne se produit que dans cette mer.
Les algues uniques de cette mer [algues appellée sargasses] et bien d'autres s'entassent de façon étrange...[ici, l'auteur entre dans des supositions concernant l'atlantide... mais bon ]
Enfin, J.Verne, quelqu'un que vous devez connaitre, évoque cette mer dans 20 000 lieus sous les mers. Pour lire l'extrait concerné :
http://www.educnet.education.fr/localisation/pedago/argos03-04/verne.htm
Lui aussi évoque l'Atlantide et semble donner des explications... et pourquoi pas M. J. Verne ?
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Et pour faire plaisir a Ithilarin, je suis allée vous rechercher les adresses ou j'avais trouvé les infos... ^^
Bon, il en manque peut être mais j'ai fais de mon mieux
site très complet et serieux >> http://www.dinosoria.com/triangle_bermudes.htm
le meme mais a propos des apparitions >> http://www.dinosoria.com/apparition_triangle_bermudes.htm
site de voyance... ca fait moins serieux tout de suite, mais la plupart des infos se verifient >> http://www.franceastro.com/triangle_bermudes.php
là encore c'est léger mais les infos se recoupent (évidement, elles viennent toutes du même endroit) >> http://fr.wikipedia.org/wiki/Triangle_des_Bermudes
assez complet et detaillé (principalement sur l'affaire des Avengers) >> http://www.zetetique.ldh.org/bermudes.html
Autres sources, no comments :
http://eureka.povlab.org/fiche.php?qid=85
http://fr.wikipedia.org/wiki/Bermudes (bien sur ^^)
Et de nombreux autres qui comme ils resultaient de liens et de redirection, je n'ai pas retrouvés dslée.
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Et enfin, bon à savoir, le coktail Triangle des Bermudes :
Les Ingrédients
* 1/2 de rhum ambré
* 1/2 de eau de vie de pêches
* jus d'oranges
Procédure
* Directement dans le verre, verser les ingrédients sur quelques glaçons.
* Bien mélanger.
Vierge de la lance qui distille et pête une durite à l'occasion
Contre toutes attentes mon deuxième article (Fait sur un coup de tête) portera sur un grand mystère de notre monde actuel qui n'a pas encore été évoqué.
Non, pas les dragons...
Pas non plus l'enigme de Philadelphie ou celle de l'Île de Pâques...
Notre sujet pour ce deuxième numéro de "Le saviez vous" portera sur...
Les mesures de Bière !!!
Cher Lecteur amateur de Bière,
Après des recherches nous avons pu vous trouver ces informations.
Il s'agit d'information récupérées directement dans la base de donnée internationnale de la base je vous demanderai donc la plus grande attention.
Tout d'abord, il s'agit de se replacer dans le contexte adequat.
En effet, les appellations changent d'un pays a l'autre et il arrive même qu'elles s'inversent carément.
Alors...
Tout d'abord, petite mise au point historique sur la Chope :
Une chope (de l'alsacien « schoppe » qui signifie « grand verre à bière ») est un verre, muni d'une anse, dans lequel on boit généralement de la bière.
Elle peut être en bois, en terre cuite, en gré, en métal (zinc, étain), en porcelaine, ou en émail, mais on la trouve généralement en verre.
Une chope peut également être munie d'un couvercle, et il existe même des chopes spécifiques aux moustachus ( o_Ô ).
Les divisions de boisson se font de la sorte (Pour la France, soyons un peu chauvins) :
La pinte de Paris valait 48 pouces du Roi cubes, soit environ 952,146 millilitres. Elle se divise en 2 chopines.
( A noter qu'au Canada c'est presque les mêmes pintes mais aux US la pinte se rapproche plus du demi-litre... pff, petits joueurs mais résultat : En France, par un effet de mode, une pinte désigne récemment le verre de bière d'un demi-litre. En Flandre, une 'pint' désigne un verre de bière de 25 ml)
La chopine, de l'allemand 'Schoppen', « puisoir de brasseur ». La chopine se subdivise en deux demiards.
En France, la chopine contenait la moitié d'une pinte, et valait ainsi 24 pouces du Roi (ce pouce valant environ 27,07 mm) cubes, soit environ 476,073 millilitres. (Au Canada, la chopine dépasse de peu les 500mL, donc est un peu plus grande)
(Dans le langage familier, une chopine peut désigner aussi une bouteille de vin, indépendamment de sa contenance.
Minute culture G :
Notez qu'un galope-chopine désignait autrefois un homme qui se présente dans les bars pour se faire payer à boire.)
Le demiard contenait 12 pouces du Roi cube soit environ 238,036 ml, ce qui correspond au quart d'une pinte ou bien aussi à la motié d'une chopine.
(Puisque sa capacité correspond approximativement au verre de 25 cl, on continue, en France jusqu'à nos jours, de commander un « demi » de bière dans les bistrots. Un demiard vaut aussi la moitié d'une chopine canadienne.
Re-Minute culture G :
La capacité d'une « tasse de déjeuner » (Breakfast cup) impériale est égale à un demiard.)
Voici pour les appellations anciennes et d'origine.
A présent, voici une liste d'autres appellations utilisées de nos jours (toujours en France) :
12.5cL >> Galopin
25 cL >>> Demi ou Bock (d'où le terme sous-bock)
50 cL >>> Chope, Distingué, Baron (peut aussi designer 1L), Pinte, Serieux (peut aussi designer 1L, ou 2 etc.) ou mini-chevalier (ridicule n'est ce pas ?)
56,8cL >> Chopine
1 L >>>>> Chevalier, Parfait, Double-pinte, Formidable (ca évoquera sans doute quelque chose a quelqu'un, sachant que le formidable peut aussi indiquer 3L !)
Attention ! Pour les appellations belges par exemple (pas foutus de faire comme nous eux )
12.5cL >> Benjamin
20 cL >>> Flute ou Hollandais
25 cL >>> Chope ou Pinte /!\ (quand je vous dis que c'est trompeur)
33 cL >>> Gourde
50 cL >>> Demi
1L >>>>>> Corbeau, Lunette, Litron
A savoir que les termes "Corbeau" et "Lunette" viennent en fait des bistrots portant ce nom là bas en Belgique
Pour votre culture G (encore un ti coup) :
En Suisse un Galopin ca vaut 20 cL et equivaut au Caña espagnol et a la Stange de Cologne.
25 cL en espagne c'est une Cerveza
28.5 cL s'appelle un 'Half' en Irlande
33 cL au Luxembourg, c'est un 'Mini'
42.5 cL ca se dit 'Pint' en Australie (tout pour nous embrouiller)
50 cL Ca peut se dire Chope ou Cannette en Suisse et les espagnols diront 'Pinta'
56.8 cL en Irlande c'est 'Pint' et au Canada 'Pinte'
1L En allemagne on appelle ca un Mass (avec le B etrange au lieu des 2 S), mais en Suisse on dit la 'Masse' ou le 'Litron'
Voili voilou, vous savez tout sur les mesures de biere. En bref, n'importe ou en Europe ou au Canada en commandant une chope ou une pinte, vous aurez de la bière, mais de là à savoir combien... ^^
Pour finir une dernière couche de culture G :
Savez vous ce que sont la cervalobélophilie et la tégestophilie ???
La tégestophilie correspond au fait qu'une personne, appelée tégestophile, collectionne des objets ayant un rapport avec la bière.
La cervalobélophilie, qui est une sous-catégorie de la tégestophilie, est le fait de collectionner les étiquettes de bière et/ou les sous-bocks.
PS : nous vous rappellons que l'abus d'alcool est dangereux pour la santé mais ceci dit... A la votre !
article surprenant mais néammoins fort intéréssant.
je me pose des questions sur la facon dont a été réalisé le travail de recherche d'informtion m'enfin bon
Savez-vous d'ou vient le signe d'insulte d'Angleterre (le V de Victoire mais fait avec la paume face à vous) ??
Au moyen age, les Archer Anglais utilisaient ces deux doigts là pour tirer sur les Français, bien sur . Les Français, dès qu'ils en capturaient un, leur coupaient ces doigts là. Donc, lorsqu'un archer anglais se trouvait face à un francais, il lui montrait ces doigts en pensant "j'les ai oujours, na na na !!"
Du moins, voici l'explication donné lors du festival de joute médiéval du chateau de Berkeley en Angleterre On y va quand, ça a l'air chouette ?? ici
Je me pose une question idiote: d'où ça vient "OK", pourquoi ces deux lettres là pour cette signification? Quelqu'un sait, j'ai (un peu ) la flemme de chercher...
L'explication que j'ai, c'est que ça veut dire "0 Killed" (dans quel contexte par contre je ne pourrais pas dire; peut-être l'aviation pendant la IIème guerre?)
Ca vient de la guerre de secession. Les officiers en faisant leur rapport notaient O K pour zéro killed (pas de tués) d'où le sens actuel.
Sur wikipédia, on trouve :
OK, terme d'origine anglaise, signifie donner son accord.
Origine [modifier]
L'origine de ce terme n'est pas certaine.
1. Autrefois, suite à une bataille navale, les marins britanniques inscrivaient sur la coque des bateaux le nombre de tués.
Pour 3 morts, ils inscrivaient 3K, voulant dire « 3 kills ». Et lorsqu'il n'y avait aucun mort, ils inscrivaient OK pour « 0 kill ». On comprend alors pourquoi cela veut dire à présent « Tout va bien. »
2. Une autre version affirme que ce mot vient des Américains. Lors de l'invention du télégraphe, des rapports journaliers circulaient sur les lignes. De même, quand il n'y avait pas eu de morts, on télégraphiait « 0 Kill », qui est vite devenu OK.
3. Une version indique qu'il provient de la Guerre de Sécession, où les sudistes, après une bataille, annonçaient le nombre de morts. Lorsqu'il n'y en avait pas, on annonçait « 0 killed », donc « OK, tout va bien » (dans le monde anglo-saxon, le zéro s'exprime souvent de façon orale comme la lettre « O », par exemple lorsqu'on donne un numéro de téléphone).
4. Une autre version soutient que le terme serait issu du grec. En effet, les dockers grecs aux États-Unis écrivaient « Ola Kala » sur les caisses à charger. Cette expression, qui veut dire « tout va bien » en grec, serait à l'origine de l'abréviation O.K.
5. Certains prétendent qu'il vient du temps des colonisations et de l'esclavagisme chez les Français : une fois que les esclaves étaient chargés, leur « chef » leur disait « au quai » pour qu'ils apportent leur chargement sur le quai. L'expression aurait alors dérivée.
6. La plus ancienne version est attribuée à Andrew Jackson, héros de la 2e guerre d'indépendance puis président des États-Unis, qui aurait fait une faute d'orthographe: « Oll Korrect » (OK) au lieu de « All Correct ».
7. Il peut aussi provenir de « All Correct », dit rapidement « All Crect », qui s'est dérivé en OK.
8. Il semblerait qu'un grand chef d'entreprise américaine, Otto Kaiser, examinait chaque colis avant son expédition et, qu'en cas d'accord, il y mettait ses initiales : O.K.
Le premier «bébé sirène» de Chine lutte contre la mort
Touché du rare «syndrome de la sirène», un bébé chinois retrouvé abandonné devant un hôpital d’enfants survit grâce à des soins intensifs depuis deux semaines.
Avec ses 2,45 kilogrammes pour 21 centimètres, le bébé est dans un état stable, selon Xu Zhiyue, chef du département de soins intensifs de l’Hôpital Pédiatrique Provincial du Hunan, à Changsha, en Chine. D’après un test ultrasonique, il s’agirait d’un petit garçon, né le 9 novembre dernier. Cette date était inscrite à l’intérieur de ses vêtements lorsqu’il a été retrouvé.
Il est actuellement maintenu en vie par une dialyse péritonéale, qui remplace ses reins inexistants. Il n’a pas non plus d’appareil urinaire et ses deux jambes sont complètement jointes de la cuisse au talon. De plus, cœur fonctionne mal, son anus et ses parties génitales sont sous-développés, son appareil alimentaire est déformé et ses intestins obstrués.
Un enfant sur plus de 70'000 souffrirait de la sirénomélie, ou «syndrome de la sirène», selon le site french.peopledaily.com.cn, qui relate les faits. La quasi-totalité d’entre eux décèdent rapidement. Une Américaine de 17 ans et une Péruvienne de 2 ans, dont les jambes ont été séparées, sont les seules victimes de ce défaut congénital en vie à ce jour.
L’hôpital chinois va tenter le même type d’opération sur le bébé abandonné et s’est engagé à assumer le coût du traitement. Les parents du nourrisson restent inconnus à ce jour.